Toute la difficulté est là, vous ne voyez pas le rapport entre les 2 phrases, en fait face à un problème de dette publique, toutes les personnes physiques ou morales impliquées devraient contribuer à l’effort de la manière la plus égalitaire qui soit, en ce compris les organismes bancaires,or ce n’est absolument pas le cas, les banques (privées évidement ) semblent jouir de tous les droits, de tous les privilèges, on ne les laisse se préoccuper que des intérêts maximums qu’elles peuvent tirer de la situation, on exige donc aucune participation de leur part à l’effort de guerre, elles peuvent percevoir a durée indéterminée des intérêts sur des fonds qui ne sont nullement destinés à un quelconque investissement.nikola a écrit : 24 avr. 2019, 07:44Je ne vois pas le rapport entre les deux phrases.Aggée a écrit : 24 avr. 2019, 06:50 Une étude plus approfondie vous permettra de découvrir que la fiscalité est, par excellence, le moyen le plus approprié pour « rendre les riches plus riches et les pauvres plus pauvres ».
En France, comme dans d’autres pays, la dette publique est un prétexte formidable pour transférer l’argent du contribuable vers des organismes financiers (et leurs clients).
Philanthropie et fiscalité
Re: Philanthropie et fiscalité
Re: Philanthropie et fiscalité
Les taux d'intérêts sur les dépots sont quasi nuls et parfois même négatifs ! On n'est pas à l'abri d'une nouvelle crise financière.
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Re: Philanthropie et fiscalité
C’est mieux comme ça Aggée, c’est plus clair et on est plus en accord.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Philanthropie et fiscalité
Du coup Agée. 3 questions en une.Aggée a écrit : 24 avr. 2019, 06:50Une étude plus approfondie vous permettra de découvrir que la fiscalité est, par excellence, le moyen le plus approprié pour « rendre les riches plus riches et les pauvres plus pauvres ».Ferdinand a écrit : 21 avr. 2019, 12:30 ce qui me pose problème actuellement c'est que pour l'exemple du crédit d'impôt, il y a une perte d'argent pour l'état.
Quelle serait la première chose à faire ?
Que l'État reprenne en main la création monétaire ?
Ou
Qu'il refuse ( comme l'Islande ) de rembourser la dette .?
Ou
Les deux .
Ou
Je me plante et la réponse est autre.
Merci.
Re: Philanthropie et fiscalité
D’abord, vos questions indiquent que vous avez parfaitement compris le problème, merci.Ferdinand a écrit : 24 avr. 2019, 18:25 Du coup Agée. 3 questions en une.
Quelle serait la première chose à faire ?
Que l'État reprenne en main la création monétaire ?
Ou
Qu'il refuse ( comme l'Islande ) de rembourser la dette .?
Ou
Les deux .
Ou
Je me plante et la réponse est autre.
Merci.
La création monétaire ne devrait servir que les seuls intérêts de l’Etat, entendez de ses citoyens, que rapporte la privatisation de la dette ? Rien du tout au contraire, elle soumet le contribuable a l’intransigeance du marché et à l’effet exponentiel du taux d’intérêt dans l’endettement.
Petite question, les banques privées « fabriquent elles » les taux d’intérêts qu’elles réclament.
Autrement dit, quand une banque crée ex nihilo 100 euros pour vous les prêter à 10 %, fabrique t’elle aussi les 10 euros qui devrait vous permettre d’honorer votre prêt ?
Je me suis beaucoup intéressé aux techniques de Hjalmar Schacht qui a utilisé une « monnaie parallèle » pour sortir l’Allemagne de la crise, alors d’emblée, je vous affirme que je ne cautionne nullement le nazisme ,que je ne suis nullement partisan du troisième Reich ,que je ne propose pas directement cette solution mais sur le plan économique elle a été efficace et elle aurait pu servir a de juste causes, en tout cas sur le plan strictement technique, donc en étant apolitique, elle a révélé le talon d’Achille d’un système financier qui semblait tout puissant..
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bon_MEFO
Bon MEFO
On peut le voir comme un système de « vraie-fausse » monnaie fondée sur des reconnaissances de dette échangées par les entreprises, émise par la Metallurgische Forschung ou MEFO.
Ils n'étaient pas comptabilisés dans la masse monétaire, et servaient à l'État pour payer les industries d'armement.
En 1939, la valeur des MEFO atteint 12 milliards de marks, contre 19 milliards de marks de dette officielle.
Re: Philanthropie et fiscalité
Mon cher Eatsalad, il s'agit de Loterie Solaire de Philip K Dick !eatsalad a écrit : 23 avr. 2019, 20:16 Effectivement..
Du coup on fait quoi ?on tire au sort nos places dans la société ? et on relance la roue régulièrement ?
(ca me rappelle une oeuvre de SF que j'ai lu ado mais je sais plus qui l'a écrit )
"N’a de conviction que celui qui n’a rien approfondi."
Emil Michel Cioran
Emil Michel Cioran
Re: Philanthropie et fiscalité
https://www.maxmilo.com/produit/le-banquier-du-diable/
Un tireur d’élite peut devenir un champion olympique ou un tueur à gage, toute la question est de savoir comment il utilise son talent….Hjalmar Schacht, l’économiste le plus génial du xxe siècle, a aussi sauvé l’Allemagne de la ruine. Non pas une fois, mais à trois reprises. Hyperinflation, montagnes de dettes qui étranglent le pays, chômage qui touche sept millions d’Allemands : ce démiurge renverse toutes les situations. Aujourd’hui, nos dirigeants modernes sont impuissants à peser sur le destin de leurs nations et assistent en spectateurs à l’effondrement de leurs économies. Puissent-ils s’inspirer de cet homme exceptionnel à l’inflexible détermination : car rien n’était insurmontable pour le banquier du diable.
Re: Philanthropie et fiscalité
Rien n'était insurmontable car l'Allemagne était une dictature à l'époque ! Elle pouvait imposer des mesures draconiennes ou illégales sans devoir rendre de comptes à personne.
(wiki)Parmi ses créations les plus spectaculaires, il y a le « bon MEFO ». L'idée repose sur la création d'une société imaginaire, la Metallurgische Forschungsgesellschaft, m.b.H., ou « MEFO », dont les titres servent de monnaie d'échange convertible en reichmarks sur demande. Les MEFO sont surtout utilisés pour payer les industries d'armement. Les banques et les municipalités sont obligées d’acheter des bons MEFO, jusqu’à hauteur de 30 % de leur portefeuille pour les banques et de 90 % pour les municipalités et compagnies d’assurance. Ceci permet une importante augmentation de la masse monétaire, qui s’accroit de 30 % entre février 1933 et février 19378 mais qui n'est pas comptabilisée dans la dette publique (il s'agit ici d'un artifice purement comptable).
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Re: Philanthropie et fiscalité
Mais finalement, dans le principe, c'est vrais que le mécanisme du crédit d’impôt fait que le donateur impose à l'état de contribuer à la même cause que lui à hauteur de la valeur du crédit d’impôt calculé sur la base de son don...Ferdinand a écrit : 21 avr. 2019, 20:43 Effectivement, je me suis emmêlé les pinceaux![]()
Merci de la rectification...![]()
Pour des petites sommes, finalement, c'est pas mal ce système.
Pour des gros coups, si le donateur risque d'avoir un retour sur investissement, c'est bien qu'il prenne conscience du problème et renonce au crédit d’Impôt sinon il risquerait en effet de voler l'état.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
Re: Philanthropie et fiscalité
Il y a des plafonds au crédit d'impôt alors comment pourraient-ils "voler" l'état ?jean7 a écrit : 25 avr. 2019, 13:03 Mais finalement, dans le principe, c'est vrais que le mécanisme du crédit d’impôt fait que le donateur impose à l'état de contribuer à la même cause que lui à hauteur de la valeur du crédit d’impôt calculé sur la base de son don...
Pour des petites sommes, finalement, c'est pas mal ce système.
Pour des gros coups, si le donateur risque d'avoir un retour sur investissement, c'est bien qu'il prenne conscience du problème et renonce au crédit d’Impôt sinon il risquerait en effet de voler l'état.
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Re: Philanthropie et fiscalité
cette réduction étant limitée à 20% du montant du revenu imposable et pour des dons fait à des associations reconnues d'utilité publique, c'est pas non plus la fête du slip.jean7 a écrit : 25 avr. 2019, 13:03 Mais finalement, dans le principe, c'est vrais que le mécanisme du crédit d’impôt fait que le donateur impose à l'état de contribuer à la même cause que lui à hauteur de la valeur du crédit d’impôt calculé sur la base de son don...
"Lourd est le parpaing de la réalité sur la tartelette aux fraises de nos illusions." Boulet
Re: Philanthropie et fiscalité
Dans la pure théorie, s'il tire un bénéfice de l'action qu'il subventionne, l'état étant obligé de participer en finançant cette subvention par renoncement à la perception des sommes toutes plafonnées qu'elles soient... ceci dit le plafond est nécessaire pour, toujours théoriquement, protéger l'état qui se trouverait éventuellement obligé d'emprunter...Lambert85 a écrit : 25 avr. 2019, 13:07 Il y a des plafonds au crédit d'impôt alors comment pourraient-ils "voler" l'état ?
Je répète que c'est de la théorie, je ne dis pas que ça puisse être le cas.
Certains comparent le financement des travaux de ND à une opération de communication, on pourrait en dire de même pour Bill Gates qui a finalement acheté une renommée mondiale de philanthrope.
Ce n'est pas une mince affaire que d'étayer soit que BG dans son cas ait par cette renommée, pu récupérer sa mise. Si c'est le cas, toute aide d'état qu'il ait pu recevoir liée à ses dons seraient en quelque sorte des détournements de l'argent originellement destiné au budget de l'état à une fin d'enrichissement personnel.
On peut aussi se demander s'il est normal pour un état de contribuer à l'achat d'une réputation pour une personne.
On remarque au passage que si la chanson "les Français n'aiment pas les riches ils les critiquent même quand ils sont généreux" il est encore plus certain que tout le monde déteste les états car quelque soit la somme que l'état français mettra au pot pour réparer ND il sera critiqué!

Mais la question du don est sans fond, on pourrait dire que seul les dons anonymes devraient ouvrir à un crédit d’impôt. Mais ce serait particulièrement idiot et contre productif car quand bien même les donateurs obtiendrait un retour (financier ou parce que le gain de réputation aurait une valeur supérieure à 'argent dépensé), c'est un cas particulièrement clair de gagnant-gagnant.
Je crois plutôt que les dons spectaculaires drainés pour la reconstruction de ND générera plus de redistribution que s'il n'y avait pas eu d'incendie. En quelque sorte, l'état a des chances de bénéficier aussi de cette opération, même si on lui a forcé la main.
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Re: Philanthropie et fiscalité
Cela reste que 20% du revenu imposable reste un gros montant quand celui-ci se chiffre en millions. Un maximum fixe serait plus adapté comme 9000$ max de crédit d’impôts, peut importe le revenu.miraye a écrit : 25 avr. 2019, 13:23cette réduction étant limitée à 20% du montant du revenu imposable et pour des dons fait à des associations reconnues d'utilité publique, c'est pas non plus la fête du slip.jean7 a écrit : 25 avr. 2019, 13:03 Mais finalement, dans le principe, c'est vrais que le mécanisme du crédit d’impôt fait que le donateur impose à l'état de contribuer à la même cause que lui à hauteur de la valeur du crédit d’impôt calculé sur la base de son don...
L’erreur est humaine.
La catastrophe est informatique.
Le désastre est idéologique.
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Re: Philanthropie et fiscalité
Vous constaterez ci-dessous qu’il n’est nul besoin d’être sous le joug d’une dictature pour user d’artifices comptablesLambert85 a écrit : 25 avr. 2019, 13:02 Rien n'était insurmontable car l'Allemagne était une dictature à l'époque ! Elle pouvait imposer des mesures draconiennes ou illégales sans devoir rendre de comptes à personne.(wiki)Parmi ses créations les plus spectaculaires, il y a le « bon MEFO ». L'idée repose sur la création d'une société imaginaire, la Metallurgische Forschungsgesellschaft, m.b.H., ou « MEFO », dont les titres servent de monnaie d'échange convertible en reichmarks sur demande. Les MEFO sont surtout utilisés pour payer les industries d'armement. Les banques et les municipalités sont obligées d’acheter des bons MEFO, jusqu’à hauteur de 30 % de leur portefeuille pour les banques et de 90 % pour les municipalités et compagnies d’assurance. Ceci permet une importante augmentation de la masse monétaire, qui s’accroit de 30 % entre février 1933 et février 19378 mais qui n'est pas comptabilisée dans la dette publique (il s'agit ici d'un artifice purement comptable).
https://www.gouvernance-rse.ca/?p=971
Il est extrêmement frustrant de parler de Hjalmar Schacht, on doit toujours essuyer des remarques qui perturbent la compréhension du phénomène, on en arrive à ce que l’arbre cache la forêt, je ne défendrais jamais le système nazi, je ne cautionne aucun totalitarisme mais si ce que vous dite était aussi simple que cela ,si l’Allemagne nazie était devenue puissante simplement grâce à son système autoritaire, alors n’importe quel régime dictatorial aurait pu devenir la première puissance militaire mondiale comme ce fut le cas pour l’Allemagne avant la guerre.L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a annoncé, lundi 5 octobre, avoir obtenu un large consensus sur son plan de lutte contre « l’optimisation fiscale agressive » des grands groupes – pratique consistant à user d’artifices comptables, pour délocaliser les profits dans des paradis fiscaux où ils n’ont aucune activité réelle.
Il fallait d’abords être économiquement très solide pour pouvoir fabriquer des chars, des avions, des navires de guerre, des armes etc….
Sans la guerre, l’Allemagne serait certainement devenu la première puissance économique de la planête, il fallait autre chose que de l’autoritarisme bête et primaire pour réussir cela.
Dois-je vous rappeler que Hjalmar Schacht a été acquitté lors du procès de Nuremberg, Hitler et Schacht furent plutôt 2 phénomènes concomitants, Hjalmar Schacht œuvrait pour redresser une Allemagne économiquement exsangue, pas spécialement pour engager son pays dans la guerre, son personnage devait apparaitre inévitablement controversé puisqu’il a dû composer avec un illuminé qui à largement profiter de son génie.
Un peu comme les scientifiques du projet Manhattan ils n’ont pas œuvré spécifiquement pour exterminer le peuple japonais, vous pourrez cependant affirmer que sans eux, il n’y aurait pas eu Hiroshima et Nagasaki.
Hjalmar Schacht a imaginé un moyen de payement qui échappait au monopole des banques et à la spéculation financière, un système souple basé sur des espèces de lettres de change ou de traites convertibles mais qui s’échangeaient comme de l’argent.
Sacht a bipassé les banquiers classiques, démontrant par la même occasion qu’il n’était pas nécessaire de dépendre de leur prêts avec interets pour générer une économie florissante.
Si Schacht a peut-être été le banquier du diable, il a avec certitude personnalisé Satan pour tous les systèmes bancaires capitalistes.
Sans Hitler, Son système (avant la guerre) aurait tout aussi bien pu marcher pour une cause plus noble .
Re: Philanthropie et fiscalité
Vous oubliez que les banques et les municipalités étaient forcés d'acheter ces Mefos pour que ça fonctionne. Ce serait impossible de nos jours.
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Re: Philanthropie et fiscalité
Ça serait plutôt des MOFO de nos jours. 

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Re: Philanthropie et fiscalité
Je perçois au moins 2 impossibilités, celle qui tient de contingences réelles et celle qui résulte d’un défaitisme cultivé, l’oligarchie financière semble avoir subtilement cadenassé nos esprits en version « pensée unique ».Lambert85 a écrit : 29 avr. 2019, 19:23 Vous oubliez que les banques et les municipalités étaient forcés d'acheter ces Mefos pour que ça fonctionne. Ce serait impossible de nos jours.
Voici pour cette oligarchie la seule manière de concevoir la création monétaire , un client emprunte de l’argent auprès d’une banque privée, la banque à partir de rien crée la somme de manière strictement comptable, le client va donc utiliser cet écrit dont le seul atout majeur est d’être reconnu par tous, comprenez que le client va injecter cette somme dans le système, il va par exemple payer des maçons pour construire un immeuble, que se passe-t-il donc alors, grâce à son travail, le maçon va « matérialiser » la valeur de l’écrit, il va transformer cette valeur scriptural en une valeur matériel, de la richesse a donc été produite… par le maçon …pas par la banque, l’argent ayant servi de motivation pour faire travailler l’ouvrier ,le client quant à lui ,rembourse la banque par mensualités avec intérêts, toujours grâce a une activité économique, dans ce système la banque fournit un travail absolument dérisoire , elle rédige le chèque et récupère la somme qu’elle détruit de manière comptable,(pour éviter l’inflation due à une trop grande quantité de monnaie en circulation ) elle prélève toutefois des intérêts.
Une remarque cependant, si la banque prélève des intérêts, elle ne créé pas ces mêmes intérêts au cours de l’opération prêt/création monétaire, ces intérêts constituent donc des sommes d’argent qui, au fil du temps, sont retirée de la circulation, le système s’appauvri en monnaie, il faut donc perpétuellement emprunter aux banques privées, avec intérêts pour conserver une quantité de monnaie suffisante en circulation.
La spirale mécanique de l’endettement est alors assurée au seul profit des banques.
Dans un système capitaliste, on doit d’abord créer ou posséder le capital monnaie pour rémunérer le travailleur.
Hjalmar Schacht avait compris que le travailleur pouvait produire de la richesse d’abord et que l’on pouvait traduire cette richesse en monnaie ensuite.
Re: Philanthropie et fiscalité
Personne et aucun état n'est obligé d'emprunter
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Re: Philanthropie et fiscalité
Pour les Etats de la communauté européenne, si ! C’est une obligation, et ces Etats sont obligés d’emprunter à des banques privées… c’est le seul moyen pour eux de créer de la monnaie, le piège a été bien ficelé ! (C’est en fait le contribuable qui doit rembourser les dettes publiques et payer les intérêts…) vous voyez, on en revient à la fiscalité, pour les banques pas besoin d’aller à la pèche aux clients, les Etats sont des pourvoyeurs hors pair de clients, ses propres contribuables en fait, ces derniers sont forcés de rembourser des prêts qu’ils n’ont jamais contractés personnellement.
Petite question d’ailleurs, si la population d’un Etat devait doubler, comment pourrait-il faire pour créer de la monnaie autrement, davantage de citoyens nécessite davantage de monnaie, non ?
Une solution serait que les Etats puissent directement emprunter à la banque centrale européenne à taux zéro, mais pour cela il faudrait une révision de la constitution européenne.
Re: Philanthropie et fiscalité
" une révision de la constitution européenne"
À l'unanimité des 28 états...hum hum...
Quasi impossible....
FREXIT.
À l'unanimité des 28 états...hum hum...
Quasi impossible....
FREXIT.
Re: Philanthropie et fiscalité
Quand on voit le merdier au Royaume-désUni suite au vote du brexit alors qu'ils étaient peu intégrés dans l'EU, la plupart des partis eurosceptiques ont modéré leurs demandes. 

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Re: Philanthropie et fiscalité
Décrivez-nous la procédure, ses tenants et ses aboutissants, et chiffrez-nous tout ça.

"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: Philanthropie et fiscalité
Dis moi plutôt Katana girl, comment tu
"Fais réviser la constitution de l'UE"
"Fais réviser la constitution de l'UE"
Re: Philanthropie et fiscalité
Comme il n'y a pas de constitution européenne, la réviser est en effet impossible. Pour l'heure une seule a été proposée et refusée.Ferdinand a écrit : 02 mai 2019, 01:38 Dis moi plutôt Katana girl, comment tu
"Fais réviser la constitution de l'UE"
"Quand elle devient « pure » de toute expérience sensorielle, la raison déraisonne. Elle prétend prouver l’existence de Dieu et l’immortalité de l’âme. Cette folie s’appelle métaphysique. Le métaphysicien est un savant fou. Il veut tout prouver, il ne montre que son insanité." Jean-Baptiste Botul
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