Pour ma part, j'ai beau lire et relire ton deuxième protocole j'en suis encore à me demander combien il y a d'horloges, est-ce 2, 4 ou même 6 horloges ?
Si tu procédais avec un minimum de rigueur on perdrais moins de temps et personne ne chercherait à consulter sa boule de cristal pour résoudre les incohérences réelles ou apparentes.
Tu dois bien te dire que dans ces conditions cela n'encourage personne à essayer de résoudre un tel imbroglio.
Et cela, d'autant plus que tu tentes de renverser un principe fondamental qui ne fait aucun doute.
D'autre part, si tu penses que ton protocole va te permettre de mesurer une vitesse absolue alors cela devrait être évident pour tout le monde si tu faisais une application numérique...
Si j’insiste ce n'est pas du radotage, c'est uniquement pour te faire mettre le doigt sur une évidence : une vitesse n'est jamais absolue mais toujours relative à un référentiel donné.
Cela saute aux yeux que tu ne l'as pas compris quand on lit ce que tu viens de dire :
Non, dans le cadre de la RR l'univers n'existe pas, aucune étoile ne peut te servir de référence absolue, seuls existent les référentiels que tu imposes.Souris a écrit :Il me semble que le mobile est nécessairement quelque part.
C'est ta fusée et celle d'un autre observateur qui feront office de ton wagon et du quai de la gare.
Réfléchis un peu, si tu n'as aucun moyen de consulter l'extérieur alors c'est uniquement ton wagon qui sert de référentiel, dans ce cas, il se déplace dans le vide par rapport à quoi ?De toute façon, si je suis dans le mobile et que j’imagine que je suis au milieu de nulle part ou que j’imagine que je suis quelque part cela ne change rien car je ne me réfère pas à l’extérieur du mobile dans mon expérience de pensée.