La question de la mesure pour chacun...
J'ai envoyé un message à Aymeric Caron sur FB (il répond parfois) à propos d'une critique que je faisais sur une de ses opinions, ou positions. Il n'a pas répondu. Il n'a pas que cela à faire mais je crains qu'il n'ait pas vraiment envie de débattre.
Il préfère garder son idéologie extrémiste et c'est son fond de commerce.
Psychologiquement ça le fait vivre aussi, il n'y a pas que l'argent dans la vie.
Entre moralisme et écologie, Mr Caron fonce tête baissée.
Il s'est fait attaqué et répond par la célèbre technique-masque : "c'était de l'humour!". Mes enfants de 4 et 7 ans font pareils quand ils sont pris en défaut.
Il ne veut pas reconnaître son excès, son idéologie.
Après, homme de pailles sur homme de paille de la partie adverse qui s'en donne à coeur-joie pour le casser.
Ces débats sont pauvres intellectuellement je trouve.
Je pense que l'écosystème du côté moustique n'est pas en déficit.
Je pense que le moustique ne ressent pas la douleur (pas de système nerveux développé à cet effet).
Je pense que l'idéologie fait perdre la raison et rejoint les extrémismes religieux (nouvelle religion : le boboïsme?).
Je suis pour une défense accrue des animaux mais là je trouve mes limites.
J'en ai rien à faire des moustiques dans ce sens-là.
Ce qui me préoccupe, c'est leur côté vecteur de maladie humaine et animale.
Ils doivent être nécessaires à l'écosystème dans une certaine mesure mais que l'on en garde juste ce qu'il faut alors.
Faire de l'éthique sur le traitement des moustiques (pour eux-même) est faux scientifiquement parlant. Ethique = notion de mal donc de souffrance. Pas de souffrance, pas d'éthique, pas de débat moral.|