Défendre les moustiques.

[lefauve]

Ils doivent être nécessaires à l'écosystème dans une certaine mesure

Oui. On peut craindre la disparation des abeilles (qui nous sont sympathiques) mais cette disparition est un épiphénomène: de très nombreuses espèces d'insectes se raréfient (exemples dans cet article de LaPresse).

Ce qui me préoccupe, c'est leur côté vecteur de maladie humaine et animale

Les moustiques qui piquent l'humain composent moins de 10% du nombre d'espèces de moustiques. Et comme le problème principal (outre les démangeaisons relativement bénignes) est que ces espèces transmettent des parasites, ce sont ces parasites qu'il faudrait viser. Si on vise les moustiques, c'est parce qu'il est techniquement plus simple de le faire.

Jean-François

Étant donné le nombre et le cycle de vie très court et très rapide. C'est pratiquement impossible. Le moustique ne fait pas que transmettre le virus, ils sert de basins préservation. Même si on traite tout les infecté. Les moustiques vont en infecté d’autres. À moins de trouver une méthode de tuer uniquement les moustiques infecté ce qui est totalement impossible pour l’instant.

[Jean-Francois]

À moins de trouver une méthode de tuer uniquement les moustiques infecté ce qui est totalement impossible pour l’instant

Au moins, contrairement aux grandes années de l'usage du DDT (avec des conséquences néfastes sur l'ensemble d'écosystèmes), les chercheurs sont conscients d'avoir à trouver les méthodes les plus ciblées possibles.

Jean-François

[Lambert85]

Par RFI Publié le 05-08-2019 Modifié le 06-08-2019 à 01:42

Le Burundi fait face à une épidémie de paludisme qui ne dit pas son nom. Plus de 5,7 millions de cas, dont 1 801 décès, ont été recensés depuis le début de l'année jusqu'au 21 juillet 2019, selon les chiffres rendus publics par OCHA, et cela sur une population de 11 millions de personnes. Le gouvernement n'a pas encore déclaré officiellement une épidémie de paludisme, malgré des demandes répétées en ce sens depuis plus de deux mois.

[lefauve]

À moins de trouver une méthode de tuer uniquement les moustiques infecté ce qui est totalement impossible pour l’instant

Au moins, contrairement aux grandes années de l'usage du DDT (avec des conséquences néfastes sur l'ensemble d'écosystèmes), les chercheurs sont conscients d'avoir à trouver les méthodes les plus ciblées possibles.

Jean-François

Le DDT et plusieurs produits qui sont toxique sont pratiquement disparus. La lutte au moustiques se fait désormais sur différent niveaux. Le contrôle des larves. Favoriser le développement des prédateurs. Les libellules sont un excellent outils de contrôle. La protection des oiseaux joue aussi un très grand rôle. Plus il y a d’oiseaux moins il y a de moustiques. Même chose pour la faune aquatique. Les batraciens sont utile au contrôle. De plus les nouveaux produits ne sont toxique que pour les moustiques.

[Loupa]

À moins de trouver une méthode de tuer uniquement les moustiques infecté ce qui est totalement impossible pour l’instant

Au moins, contrairement aux grandes années de l'usage du DDT (avec des conséquences néfastes sur l'ensemble d'écosystèmes), les chercheurs sont conscients d'avoir à trouver les méthodes les plus ciblées possibles.

Jean-François

Le DDT et plusieurs produits qui sont toxique sont pratiquement disparus. La lutte au moustiques se fait désormais sur différent niveaux. Le contrôle des larves. Favoriser le développement des prédateurs. Les libellules sont un excellent outils de contrôle. La protection des oiseaux joue aussi un très grand rôle. Plus il y a d’oiseaux moins il y a de moustiques. Même chose pour la faune aquatique. Les batraciens sont utile au contrôle. De plus les nouveaux produits ne sont toxique que pour les moustiques.

En raison particulièrement de ce livre nommé Printemps Silencieux dans le monde occidental.