carlito a écrit : 04 avr. 2020, 01:10
MaisBienSur a écrit : 03 avr. 2020, 17:29
Moi ceux qui me dérange, c'est les mauvais patrons, qu'ils soient riches ou pas, quand ils ne respectent pas les droits de leurs employés/ouvriers.
Et lorsque les droits des employés/ouvriers ne font qu'être rabotés par des politiques qui vont dans le sens des patrons?
C'est hypocrite ce que tu nous raconte là...
Non, un combat n'en empêche pas un autre !
Ils faut aussi des droits pour les patrons, pour qu'ils puissent faire tourner leur entreprise en France, mais en gardant un équilibre avec ceux des ouvriers, ce qui n'est pas une mince affaire et qui nécessite de parfois se battre aussi. Moi à mon niveau, j'ai plus de pouvoir en "local". Pour le national, il existe d'autres élus qui siège à l'assemblé, au sénat, etc...
Et puis il y a aussi mes combats pour d'autres pays, où la distance fait que je ne peut aider physiquement mais j'essaie de contribuer financièrement à mon niveau.
carlito a écrit : 04 avr. 2020, 01:10
C'est marrant de pointer ceci comme
trés injuste alors qu'au fond on ne parle que d'argent pour des personnes qui n'en manquent pas (et tant mieux pour eux).
Et lorsque l'on parle de précarité dû, en grande partie, à des politiques économiques qui impact des millions de personnes et qui créer le syndrome du 15 du mois (plus de rond!), tu nous expliques que c'est parce qu'ils ne savent pas consommer.
Ce 2 poids 2 mesures est très agaçant.
Désolé de t'agacer, mais dans la mesure où différents foyers, vivant dans les mêmes conditions (lieux, revenus, personnes vivant sous le même toit...), certains s'en sortent et d'autres non, ils sont ces fameux "15 du mois", je dois en déduire quoi ?
Je connais même un couple de cadre dans mon entreprise qui font partie de ces "15 du mois", et après ?
carlito a écrit : 04 avr. 2020, 01:10
La rupture conventionnelle ne marche que dans un seul sens, si le patron veut se séparer d'un employé.
Cela lui coûtera, quelque soit les négociations, moins chère qu'un licenciement et en plus il est protégé d'un éventuel recours au prud'homme.
Non, je m'y connais très bien, ainsi que les règles de licenciement, ça fait 6 mois que j'y travaille.
Et tu peux te faire licencier avec une prime et le chômage suivant le type de licenciement.
Mais pour la rupture conventionnelle, bien sûr qu'elle se négocie et que si tu n'as rien à proposer, ils ne vont pas te la donner, ça peut leur couter cher en proportion de l'ancienneté, moi elle pourrait être de 35 000 brut mini.
Dans mon cas, je vais négocier ma date de départ, puisqu'ils ont besoin de mon expérience pour le démarrage de nouvelles lignes de production, sinon je démissionne et je peux prétendre au chômage directement pour regroupement familial. J'attend juste la sortie de crise coronavirus pour reprendre mes RDV avec la DRH.