on a donc O’M’ = OM, soit:ricard a écrit : Au temps to = 0 de E, M’ coïncide avec le point M(x,y,z) de E
x’ = x
y’ = y
z’ = z
Et voilà le travail!
on a donc O’M’ = OM, soit:ricard a écrit : Au temps to = 0 de E, M’ coïncide avec le point M(x,y,z) de E
Avant d'aller plus loin, les moments que tu considères (les espaces euclidiens 3D de simultanéité) ce sont les feuillets de simultanéité des observateurs au repos dans E ou les feuillets de simultanéité des observateurs au repos dans E' ? Parce que si tu crois que c'est là même chose, il te faut d'abord démontrer cette hypothèse physique implicite.richard a écrit : 25 nov. 2020, 12:56À tout moment les points de E’ coïncident avec les points de E.
Les coordonnées de M’ dans E (x’, y’, z’) sont les mêmes que dans E’, ce qui peut porter à confusion.richard a écrit :Au temps to = 0 de E, M’ coïncide avec le point M(x,y,z) de E et au temps t avec le point P de E:
OM’t= OP = OM + MP = OM + M’o M’t
richard a écrit : 26 nov. 2020, 10:51Je rappelle que la relation O’M’ = OM s’écrit x’ = x; y’ = y; z’ = z.
Question rouge de richard: de Lyon: parmi ces relations quelle est celle qui décrit la trajectoire d’un point mobile suivant l’axe des x et quelle est celle qui caractérise la transformation de Galilée?
Tout à fait. Ma réponse citait les équations que tu as correctement identifiées comme découlant les transformations de Galilée x’ = x; y’ = y; z’ = z puisque O’M’ = OM (isométrie au sein d'un seul et espace Euclidien valable pour tous les référentiels inertiels).richard a écrit : 26 nov. 2020, 11:33L’équation qui caractérise la transformation de Galilée est x’ = x; y’ = y; z’ = z puisque O’M’ = OM.
Venons en maintenant à la question cruciale suivante. Question rouge d'ABCrichard a écrit : 26 nov. 2020, 13:02ABC je suis content que tu sois d’accord avec moi, à savoir que les équations qui caractérisent la transformation de Galilée sont x’ = x; y’ = y; z’ = z et non pas x’ = x + vt; y’ = y; z’ = z.
Fastoche! La vitesse vp maximum perçue par un observateur est la vitesse de la lumière c. La vitesse réelle v d’un corps étant liée à la vitesse perçue par le facteur de Lorentz: v = \(\gamma\) vp, il est clair que cette vitesse devient infinie quand la vitesse perçue approche celle de la lumière.ABC a écrit : 26 nov. 2020, 13:13 Quelle est la vitesse maximale de propagation des interactions tangibles (de contact, de liaison...) et visuelles dans l'hypothèse physique correspondant aux transformations de Galilée ?
ABC a écrit : 26 nov. 2020, 13:13 Quelle est la vitesse maximale de propagation des interactions tangibles (de contact, de liaison...) et visuelles dans l'hypothèse physique correspondant aux transformations de Galilée ?
Again. Quelle est la vitesse maximale de propagation des interactions tangibles (de contact, de liaison...) aussi bien que visuelles dans un espace-temps où les transformations de Galilée seraient rigoureusement exactes.richard a écrit : 26 nov. 2020, 14:12Fastoche! La vitesse vp maximum perçue par un observateur est la vitesse de la lumière c. La vitesse réelle v d’un corps étant liée à la vitesse perçue par le facteur de Lorentz: v = \(\gamma\) vp, il est clair que cette vitesse devient infinie quand la vitesse perçue approche celle de la lumière.
Tu admets la possibilité d'une vitesse de propagation d'interactions inobservables à ce jour à vitesse infinie donc, notamment, la possibilité d'actions à ce jour inobservables instantanées à distance ? C'est bien ça ton hypothèse (méta)physique ?richard a écrit : 27 nov. 2020, 09:55La vitesse maximum d’un corps perçue: vp est la vitesse de la lumière c; la vitesse maximum d’un corps v n’est pas limitée, elle peut être infinie. Étonnant non? car v = \(\gamma\) vp
richard a écrit : 27 nov. 2020, 13:35Ce n’est pas une hypothèse encore moins une hypothèse métaphysique, c’est une conséquence du fait que des espaces en mouvement l’un par rapport à l’autre sont liés par la transformation de Galilée. J’aimerais bien d’ailleurs que tu nous donnes les équations relatives à cette transformation, maintenant que tu as compris de quoi il retournait.
Maintenant, comment arrive-t-on aux transformations de Galilée ?richard a écrit : 27 nov. 2020, 13:35Toutefois tu n’as toujours pas donné les équations liées à la transformation de Galilée. Un petit effort, ce n'est pas très difficile!
Les équations de la trajectoire d’un point mobile suivant l’axe des x sont:Manifestement tu rencontres des difficultés. je t’aide un peu.
Non.richard a écrit : 29 nov. 2020, 09:06Au temps t=0, les points O’, M’ de E’ coïncident avec les points O, M de E.
C'est ta façon de voir la physique qui est naïve richard, tu n'as toujours pas compris que la réalité dépend des propriétés de la matière et pas des mathématiques pures qui ne sont utiles que pour modéliser sans pour autant permettre d'extrapoler aux limites.richard a écrit : 30 nov. 2020, 11:51 Curieux n’a pas compris que l’on pouvait associé à un solide de référence (un référentiel) un ensemble de points fixes.
Cet ensemble de points ayant une structure d’espace vectoriel normé il est loisible de travailler avec ces objets mathématiques plutôt qu’avec de la matière. En fête il n’a pas bien compris ce passage de la physique aux mathématiques.
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit