C’est pas une contrepèterie mais c’est bien rigolo.
À ce sujet, une contrepèterie belge: il fait beau et chaud.
C’est pas une contrepèterie mais c’est bien rigolo.
Euh... Ce ne serait pas plutôt : ce recteur est une grand bonhomme ?Wooden Ali a écrit : 16 févr. 2021, 09:19Pourtant, ce recteur est un grand bonheur !Le recteur serait-il en phase terminale?
Ah oui!Kraepelin a écrit : 16 févr. 2021, 12:42 Financé par le gouvernnement fédérale, un projet accadémique pour "décoloniser" l'enseigement de la physique «trop blanche, trop pleine de préjugés coloniaux sur ce qu’est la connaissance » en réhabilitant des savoirs autochtones marginalisés.
Comme le constatait l'une des "physiciennes" d'origine autochtone auteur de ce projet: « We are finally gaining momentum in elevating Indigenous knowledges as equally valid to Western science ».
Même moi j'en reste éberlué!
Ça peut sembler superflu (et on peut penser qu'il vaudrait mieux investir pour être en mesure de faire face à des pandémies comme celle que nous vivons actuellement au lieu de laisser fermer nos usines). Mais vous voyez, tous ces excellents investissements vont nous rapporter (les indiens vont nous faire profiter de leur savoir faire)!
Et on ne pourra plus parler des trous noirs, parce que ce sera raciste ?Dominique18 a écrit : 16 févr. 2021, 12:50Ah oui!Kraepelin a écrit : 16 févr. 2021, 12:42 Financé par le gouvernnement fédérale, un projet accadémique pour "décoloniser" l'enseigement de la physique «trop blanche, trop pleine de préjugés coloniaux sur ce qu’est la connaissance » en réhabilitant des savoirs autochtones marginalisés.
Comme le constatait l'une des "physiciennes" d'origine autochtone auteur de ce projet: « We are finally gaining momentum in elevating Indigenous knowledges as equally valid to Western science ».
Même moi j'en reste éberlué!
Quand on parle de naines blanches, en astrophysique, cela pourrait-il laisser supposer que nous allons assister à une sorte de "révolution"?
Bien sûr ! Je l'ai gâchée et je m'en excuse.Euh... Ce ne serait pas plutôt : ce recteur est une grand bonhomme ?
Ben non, tu as fait une méta-blague.
Dans Le Devoir de samedi, Christian Rioux rappelait le canular réussi en 2018 par Pluckrose, Lindsay et Boghossian. Ils envoyèrent à des revues «savantes» 20 articles abracadabrants et truffés de chiffres inventés. L’un avançait qu’il y avait «une rampante culture du viol» chez les chiens. Un autre soutenait qu’à l’astrologie masculiniste, il fallait opposer une astrologie «féministe, queer et indigéniste».
Seulement six des vingt articles furent refusés par ces revues «sérieuses».
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... os-enfants
Espérons qu'elle pourra résister à ce nouveau viruses of the mind aussi, de la même façon qu'elle le fait face au créationnisme (et autres crétinismes).DictionnairErroné a écrit : 16 févr. 2021, 15:57 Une étude sur la propagation du wokisme et son infiltration en science.
Nous n'avons pas besoin de creuser bien creux dans le wokisme pour découvrir que le racisme systémique wokien est basé uniquement sur les préjugés racistes, de même pour toutes leurs philosophies condamnant le racisme, le culturel, le sexe, etc. C'est l'exploitation ultime des préjugés et du non-sens pour en faire une norme.En effet, d’une part, tout le monde ne s’habille pas de façon à correspondre aux stéréotypes de la masculinité ou de la féminité – et il serait pour le moins insultant pour une femme pas maquillée, en pantalons, avec les cheveux courts, de se faire dire par un fonctionnaire que son apparence ne correspond pas au genre indiqué sur ses documents d’identification.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... tification
Ça me rappelle le livre de Sokal, que j'ai lu il y a quelques mois, "Pseudosciences et postmodernisme: Adversaires ou compagnons de route ?" où Sokal dénonçait la volonté de mettre à égalité pour les sciences indiennes, l'astrologie indienne, la médecine ayurvédique, à la science "coloniale". Et en voyant, E. Cohen, dire à la télé que l'Allemagne est première en vaccin, à cause de "Biontech" créée par un couple d'origine turque (https://www.courrierinternational.com/a ... e-covid-19). En 2017, Erdogan a interdit l'enseignement de la théorie de l'évolution en Turquie pour des raisons religieuses: les futurs biologistes turques seront-ils aussi innovants qu'Ugur Sahin et Özlem Türeci ?Vous pensez que les sciences de la nature sont à l’abri des folies actuelles ? Erreur. Prenons un exemple : la physique. Quoi de plus objectif que l’étude des propriétés de la matière, de la lumière, de l’univers ? Galilée, Newton, Einstein, Bohr, Planck : du sérieux, du solide, du granit.
En êtes-vous bien sûr ? Trois universitaires d’une institution montréalaise ont reçu en 2019 une subvention de 163 000 $ d’un organisme fédéral. Ils veulent contribuer à « décoloniser la physique », trop blanche, trop pleine de préjugés coloniaux sur ce qu’est « la connaissance ». On y parviendrait en réhabilitant des savoirs autochtones marginalisés. L’une des trois universitaires se réjouissait : « We are finally gaining momentum in elevating Indigenous knowledges as equally valid to Western science ». Pour elle, le savoir en matière de physique est « occidental », n’est qu’une voie parmi d’autres vers la connaissance, et devrait s’ouvrir à des savoirs autochtones « également valides ». Je rappelle qu’on parle ici de physique, pas de spiritualité, d’expression artistique, de droit ou d’organisation de la gouvernance locale.
RFI a écrit :« Le créationnisme n’est pas une question de science ou de religion »
« Le créationnisme n’est pas une question de science ou de religion, mais un problème purement politique, estime Cédric Grimoult. C’est un moyen pour les fanatiques d’exciter le rejet de la science, de la modernité et de l'esprit critique en jouant sur une connaissance superficielle de l’évolution par la population. Y compris en France, beaucoup de gens ignorent que l’homme et la vache ont un ancêtre commun ».
Dans le monde arabo-musulman, « si la théorie de l’évolution est évoquée à l’université pour quelques cours techniques, en pratique, tout se conjugue pour qu’elle ne soit pas enseignée », que ce soit la pression sociale, celle des parents ou l’autocensure des professeurs, relève l’enseignant.
Pour Faouzia Charfi, si la question de la théorie de l’évolution est aujourd’hui sensible dans le monde arabo-musulman, elle ne l’a pas toujours été. Certains penseurs musulmans célèbres tels que Ibn Khaldoun (1332-1406) se sont penchés sur l’observation de la Nature et des êtres vivants dès le Moyen-Age. Même constat du côté de Cédric Grimault qui rappelle qu’au 19e siècle, Charles Darwin avait plutôt été bien reçu par les penseurs musulmans dits « progressistes ».
Théorie moderne
Alors, que s’est-il passé ? Pour Faouzia Charfi, le rejet de la théorie de Darwin se trouvait déjà en creux dans l’émergence des Frères musulmans, la confrérie née en 1928 en Egypte sous l’impulsion d’Hassan El-Banna. Ses théoriciens remettent en cause la théorie de l’évolution, perçue comme trop « moderne », symbole de l’influence occidentale néfaste. Leurs idées imprègnent alors les autres mouvements islamistes dans le reste du monde musulman.
« En Turquie, où la recherche scientifique était plus développée que dans les pays arabes, on a vu apparaître une réaction à la sécularisation initiée par Atatürk et l’essor d’écoles privées qui prônaient un retour à une conception du monde conforme à la religion musulmane », explique Faouzia Charfi. En 1972, Ennahda, le parti islamiste tunisien, écrit ainsi dans sa revue El Maarifa que « le darwinisme fait de nous des sous-groupes de l’espèce des singes ». Au pouvoir après la révolution de 2011 et jusqu’en 2014, ses membres ne touchent pourtant pas aux programmes scolaires « parce qu’ils avaient eux-mêmes une faible culture scientifique », relève la physicienne.
En Tunisie même, la question fait l’objet de va-et-vient et de discussions. En 1989, une réforme pilotée par le ministre de l’Education de l’époque, Mohamed Charfi, vise à renforcer l’enseignement de la théorie de l’évolution en dernière année de lycée dans toutes les sections mathématiques, sciences expérimentales et littéraire, équivalent des baccalauréat S et L en France.
Mais en 2002, le président Zine El Abidine Ben Ali « s’éloigne du clan progressiste et fait des concessions aux conservateurs », déplore Faouzia Charfi. Un chapitre consacré à la théorie de l’évolution dans les manuels de sciences de la vie de la Terre est alors tout simplement supprimé. L’enseignement de la théorie de l’évolution est alors limité : il subsiste dans la section « sciences expérimentales » mais disparaît de toutes les autres.
« Aujourd’hui, des ingénieurs tunisiens n’en ont jamais entendu parler, se plaint Faouzia Charfi. Certains enseignants ne veulent pas l’enseigner et il y a peu de chance que le sujet tombe au baccalauréat. Comme dans d’autres pays arabes, le Tunisien moyen a souvent une vision composite et partielle : il peut croire à la théorie de l’évolution, mais tout en estimant que Dieu reste maître de toutes choses ».
Pour Cédric Grimault comme pour Faouzia Charfi, trop de musulmans sont prisonniers du « concordisme » : toutes les connaissances scientifiques seraient déjà contenues en germe dans le Coran, ce qui abolit d’office l’esprit critique et la nécessité de la recherche scientifique. « C’est un enjeu qui dépasse celui de la science, conclut Cédric Grimoult, car apprendre à développer l’esprit critique, c’est aussi échapper au fanatisme ».
Y a des distributeurs de capote dans les rues de certaines villes/pays!?LoutredeMer a écrit : 15 févr. 2021, 16:39...que les distributeurs dans les rues datent du milieu des années 90 seulement...
Ça se voit bien que tu habites l'Amérique du Nord, pays conservateurs au niveau des moeursDash a écrit : 16 févr. 2021, 19:09Y a des distributeurs de capote dans les rues de certaines villes/pays!?![]()
Tout n'est pas mauvais dans cette théorie, et je pense qu'il y a moyen de trouver des compromis acceptables pour tout le monde.DictionnairErroné a écrit : 16 févr. 2021, 18:14 Le jugement de la Cour supérieure est teinté de wokisme. Le genre est plus important pour identifier le sexe, ce dernier n'étant pas fiable.
En effet, d’une part, tout le monde ne s’habille pas de façon à correspondre aux stéréotypes de la masculinité ou de la féminité – et il serait pour le moins insultant pour une femme pas maquillée, en pantalons, avec les cheveux courts, de se faire dire par un fonctionnaire que son apparence ne correspond pas au genre indiqué sur ses documents d’identification.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... tification
Plus exactement, dans la rue à côté des pharmacies (en France).Dash a écrit : 16 févr. 2021, 19:09Y a des distributeurs de capote dans les rues de certaines villes/pays!?LoutredeMer a écrit : 15 févr. 2021, 16:39...que les distributeurs dans les rues datent du milieu des années 90 seulement...![]()
Je pense que vous n'avez pas pris le temps de lire et que vous déformez ses propos. Elle ne fait pas de la science non plus mais de la psychanalyse.Kraepelin a écrit : 16 févr. 2021, 21:20 Une perle de la main d'une amie féministe belge:
Luce Irigaray : « E=mc2 serait une équation sexuée, car elle privilégie la vitesse de la lumière par rapport à d’autres vitesses»
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Des usées, oui.Dash a écrit : 16 févr. 2021, 19:09 Dans les toilettes de club, bar, certains restau, oui, déjà vue ici, mais dans les rues! Nope!
J'aurais aimé avoir un lien avec ces programmes de subventions et les projets subventionnés. Habituellement c'est public. Juste pour avoir toute l'information.Kraepelin a écrit : 16 févr. 2021, 12:42 Financé par le gouvernnement fédérale, un projet accadémique pour "décoloniser" l'enseigement de la physique «trop blanche, trop pleine de préjugés coloniaux sur ce qu’est la connaissance » en réhabilitant des savoirs autochtones marginalisés.
Comme le constatait l'une des "physiciennes" d'origine autochtone auteur de ce projet: « We are finally gaining momentum in elevating Indigenous knowledges as equally valid to Western science ».
Même moi j'en reste éberlué!
J'ai trouvé ceci:Christian a écrit : 17 févr. 2021, 02:59 J'aurais aimé avoir un lien avec ces programmes de subventions et les projets subventionnés. Habituellement c'est public. Juste pour avoir toute l'information.
Pourquoi ne pas ouvrir les portes aux concepts ésotériques de la physique au niveau doctoral?Trois chercheurs de Concordia collaborent à la mobilisation des savoirs autochtones dans l’étude de la physique.
«Nous imaginons un scientifique ou un ingénieur moderne, capable d’une réflexion critique sur sa propre culture scientifique, et conscient de l’existence de différents savoirs ainsi que du rôle de la science dans la perpétuation des inégalités sociales», résume Tanja Tajmel.
https://www.concordia.ca/fr/actualites/ ... sique.html
Ici l'application du projet est différente et réfère plutôt à une étude sociologique et historique des sciences dans un étrange mélange de refonte scientifique.Plus encore que les autres sciences, la physique est un champ dominé par les hommes blancs, et donc un miroir des schémas coloniaux et des inégalités sociales. Malgré ce fait, la physique est considérée comme une science « dure », déconnectée de la vie sociale et de l’histoire géopolitique. Ce narratif constitue et reproduit les inégalités, ce qui se reflète dans la sous-représentation des femmes, des personnes racisées et des peuples autochtones en physique.
https://decolonizinglight.com/fr/accueil/
Kasim Ali Tirmizey intègre le savoir autochtone dans son cours à Concordia. Le 18 février 2020 aura lieu la prochaine journée de formation des professeurs sur la décolonisation des cours de génie et d’informatique.
https://www.concordia.ca/fr/actualites/ ... ordia.html
Aucun problème à étudier la situation, est-ce économique, sociale, précarité, handicap. C'est louable. Mais les wokes ne peuvent s'empêcher de déclarer dans le même article:Tous ne sont pas égaux devant la COVID-19 : les personnes racisées semblent plus affectées que les autres par la maladie. Mais pour agir de façon efficace à ce sujet, il faut recueillir des données sur la race des personnes infectées par le virus, demandent des conseillers municipaux montréalais ainsi qu’une quinzaine d’organismes représentant des groupes minoritaires.
Alors les wokes veulent démontrer par inversement des preuves que le racisme sextémique est un fait dans les hôpitaux. C'est leur objectif primaire derrière ce blablabla universitaire. Cette façon de faire est identique à la méthode trollienne Julien99®. Il serait intéressant de faire une étude comparative en psychologie entre un Troll et un Woke. La même race?«On sait que quand des personnes racisées ou membres de communautés autochtones se présentent dans les services de santé, ils ne sont pas reçus de la même façon que les personnes des groupes majoritaires».
https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-0 ... a-race.php
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