Une histoire sceptique

[DictionnairErroné]

C'est l'histoire du gars alcoolique qui rencontre un sceptique. Il lui dit, je suis divorcé, j'ai perdu ma job, je perds la tête, je ne sais plus quoi faire. Le sceptique lui dit d'arrêter de boire. Le gars répond qu'il n'en est pas capable. Le sceptique ajoute c'est parce tu ne crois pas assez en tes capacités.

[DictionnairErroné]

C'est l'histoire d'une femme qui s'est fait violer et rencontre un sceptique. Monsieur, je fais de l'insomnie et lorsque j'arrive à dormir je fais des cauchemars, je regarde toujours en arrière de moi lorsque je marche, je suis tout le temps angoissé, j'ai peur. En ouvrant sa pharmacie, le monsieur lui montre l'étendue de ses pilules pareil comme dans un magasin de bonbons. Tenez, ceci est pour votre insomnie, ceci pour votre angoisse, ceci pour votre humeur et revenez me voir dans 3 mois. J'ai également celle-ci ma pauvre p'tite m'dame, la petite mauve avec un point orange si c'est nécessaire. Bon, quelques effets secondaires, mais choses certaines vous ne serez plus jamais angoissé au moins.

[DictionnairErroné]

On me demandait des exemples sur l'évolution de la pensée freudienne. Bien en voici un, extrait du chapitre V.
https://archive.org/details/lecoeurdelh ... 5/mode/1up

Si j'en crois mon expérience clinique, l'attachement préoedipien du petit garçon et de la petite fille pour leur mère, attachement qui diffère sur le plan qualitatif de l'amour oedipien du garçonnet pour sa mère, est de loin le phénomène le plus important, les désirs incestueux du petit garçon ne jouant comparativement qu'un rôle tout à fait secondaire. J'estime pour ma part que l'attachement préoedipien du petit garçon et de la petite fille à la mère constitue l'un des moments clés du processus d'évolution et l'une des principales causes de névrose ou de psychose. Plutôt que de le considérer comme une manifestation de la libido, je préfère mettre l'accent sur ce qui le différencie par nature des désirs génitaux du garçonnet, même si l'on emploie à son propos le terme de libido. Ce penchant incestueux, au sens prégénital du terme, est l'une des inclinations les plus fondamentales aussi bien de l'homme que de la femme; il recouvre le désir de protection et de gratification narcissiques, la soif d'être libéré des dangers de la responsabilité, de la liberté et de la conscience, l'aspiration vers un amour inconditionnel, ne demandant pas à être payé de retour. Il est indéniable que tous ces besoins sont normalement présents chez l'enfant et que c'est la mère qui en assure la satisfaction. S'il n'en était pas ainsi, le bébé ne serait pas en mesure de survivre; en effet son état de détresse ne lui permet pas de s'appuyer sur ses propres ressources et il a besoin qu'on l'aime et qu'on le soigne sans tenir compte de ses mérites personnels. Il arrive que cette fonction maternelle ne soit pas remplie par la mère elle-même mais par une autre personne maternante, pour reprendre l'expression de H. S. Sullivan, une grand-mère par exemple ou une tante.

Toutefois l'évidence même de cette dépendance de l'enfant par rapport à une figure maternelle a rejeté possède la capacité de travailler et de s'acquitter des tâches que la société lui a confiées; mais il a également davantage conscience que l'enfant des dangers et des difficultés de la vie; il sait qu'il existe des forces naturelles et sociales sur lesquelles il ne peut exercer aucun contrôle, des accidents qu'il ne peut prévoir, des maladies auxquelles il ne peut se soustraire; il sait enfin que la mort l'attend au bout du chemin. Dans ces conditions, quoi de plus naturel que la soif ardente d'être entièrement pris en charge par une puissance tutélaire dispensatrice d'amour et de sécurité? Ce désir n'est pas seulement une « répétition » de l'attirance pour la mère; il naît de ce que la situation de détresse qui pousse l'enfant à rechercher l'amour de la mère se perpétue chez l'adulte, quoiqu'à un niveau différent. Si les êtres humains — hommes et femmes — pouvaient trouver une « Mère » pour le restant de leurs jours, l'existence serait débarrassée de son fardeau de tragédies et de dangers. Dans ces conditions, peut-on s'étonner de l'acharnement avec lequel l'être humain poursuit inlassablement cette Tata morgana?

De nos jours nous ne référons plus la personne "maternante" uniquement à la femme. Dans les couples homosexuels mâle par exemple et vice versa avec le "paternant". C'est à dire offrir les besoins essentiels au bon développement du cerveau de l'enfant. Les détracteurs de la psychothérapie et de la psychanalyse se sont cachés dans un passé de 150 ans. Ils se rassurent dans une vision préhistorique.

[DictionnairErroné]

C'est l'histoire d'un jeune garçon qui se fait harceler à l'école au point tel qu'il pique une crise chaque matin pour ne pas y aller. Un sceptique lui dit qu'on va en parler au directeur. Envoyant le garçon de force à l'école, après quelques semaines il revient avec un oeil au beurre noir. Le sceptique envisage de le changer d'école. Le p'tit est catégorique plus jamais il ira à l'école préférant mourir que d'y aller. Le sceptique lui dit de rester à la maison aussi longtemps que nécessaire, ça va passer un jour ou l'autre.

[DictionnairErroné]

Évidement un sceptique n'aurait aucun problème à vivre ces situations. Avec un cerveau caméléon, on s'adapte à tout facilement.

[Igor]

Évidement un sceptique n'aurait aucun problème à vivre ces situations. Avec un cerveau caméléon, on s'adapte à tout facilement.

Pouvez-vous me dire quelle mouche vous a piqué? Parce qu'un sceptique c'est comme n'importe quel humain, il y en a de toutes les sortes (vous me semblez généraliser un peu).

[Lambert85]

C'est l'histoire d'un jeune garçon qui se fait harceler à l'école au point tel qu'il pique une crise chaque matin pour ne pas y aller. Un sceptique lui dit qu'on va en parler au directeur. Envoyant le garçon de force à l'école, après quelques semaines il revient avec un oeil au beurre noir. Le sceptique envisage de le changer d'école. Le p'tit est catégorique plus jamais il ira à l'école préférant mourir que d'y aller. Le sceptique lui dit de rester à la maison aussi longtemps que nécessaire, ça va passer un jour ou l'autre.

Moi je lui dit plutôt de foutre un bon coup de poing dans la gueule de ceux qui le harcèlent !

[Dominique18]

C'est l'histoire d'un jeune garçon qui se fait harceler à l'école au point tel qu'il pique une crise chaque matin pour ne pas y aller. Un sceptique lui dit qu'on va en parler au directeur. Envoyant le garçon de force à l'école, après quelques semaines il revient avec un oeil au beurre noir. Le sceptique envisage de le changer d'école. Le p'tit est catégorique plus jamais il ira à l'école préférant mourir que d'y aller. Le sceptique lui dit de rester à la maison aussi longtemps que nécessaire, ça va passer un jour ou l'autre.

Moi je lui dit plutôt de foutre un bon coup de poing dans la gueule de ceux qui le harcèlent !

Expériences vécues.
C'est sommaire, c'est brutal, mais ça peut produire des effets.
A replacer dans un contexte, avec les précautions d'usage.

[Lambert85]

Expérience vécue, la direction nous a convoqué et comme on les avait déjà prévenus plusieurs fois des faits et qu'ils s'en foutaient, ils ont bien dû admettre qu'il avait bien fait. Il n'a plus été harcelé après ça.

[Dominique18]

Expérience vécue, la direction nous a convoqué et comme on les avait déjà prévenus plusieurs fois des faits et qu'ils s'en foutaient, ils ont bien dû admettre qu'il avait bien fait. Il n'a plus été harcelé après ça.

Ça me rappelle des choses...
A répétition, en différentes situations, avec plusieurs acteurs...
C'est curieux...

[Cartaphilus]

[Des histoires « sceptiques »...]

En un sens vous avez raison : quand plus grossière est la caricature, il n'est guère nécessaire d'en démontrer l'énormité...