Hé bien mon coco, tu en tiens (décidément) une sacrée couche !
Non seulement tu ne comprends rien à rien, ou tu ne veux pas, mais en plus tu mélanges tout.
T'es vraiment un has been de première.
Ce qui apparaît certain, c'est que tu ne lis pas, ou trop vite.
Pourquoi l'agence suggère-t-elle à l'influenceur d'amener son public à faire sa propre conclusion ?
Matthieu Balay : Ici, on essaie de renforcer l'appropriation du message. Il ne s'agit pas tant que les personnes fassent leur propre conclusion, mais qu'elles soient convaincues, après avoir vu la vidéo, que c'est leur opinion propre et non pas celle d'un influenceur. Autrement dit, elles ne doivent pas penser qu'elles ne font que répéter ce qu'elles ont entendu. Il est plus facile de douter d'une parole qu'on répète que d'une opinion que l'on s'est forgée. Le rapport à la remise en question est aussi plus facile dans le premier cas car si une opinion n'est pas identifiée comme étant la mienne, j'aurais moins de mal à m'en détacher, principalement car elle provoquera moins de dissonance cognitive.
Une présentation des faits qui ressemble à s’y méprendre à celle déployée depuis des semaines dans sa communication sur les réseaux sociaux par le laboratoire russe Gamaleya, qui produit le vaccin Spoutnik V.
EU bureaucrats should not forget that #SputnikV is one of the 3 vaccines in the world with proven efficacy of more than 90% & study this real world vaccination data from #Hungary's gov't which shows that Sputnik V has the best safety & efficacy profile
https://t.co/eIMZYsq7xPpic.twitter.com/FQiP25EHFJ
— Sputnik V (@sputnikvaccine) May 19, 2021
S’il est difficile d’être formel, cet épisode s’imbriquerait parfaitement dans la stratégie russe, déjà documentée, de dénigrement des vaccins occidentaux au profit de Spoutnik V. Une stratégie que l’on retrouve dans un rapport publié fin avril par le Service européen pour l'action extérieure (SEAE). Les treize pages qui composent ce document, que l’on peut retrouver sur le site web de la task force européenne EU vs. Disinfo, font état d’une montée en puissance de la désinformation étrangère, notamment russe et chinoise, sur les vaccins occidentaux.
« Propager la peur »
Le but : promouvoir les vaccins produits par ces pays en mentant sur la dangerosité supposée des vaccins venus de l’Ouest, « propager la peur » et « accentuer la défiance » des citoyens envers les autorités sanitaires et politiques de leur pays. Un mode opératoire qui est loin de se limiter aux organes de propagande habituels puisque le rapport mentionne l’utilisation de médias fantoches et l’utilisation extensive des réseaux sociaux comme Youtube. Des accusations rejetées en bloc par Pékin et Moscou.
Vouloir payer un influenceur réputé qui bénéficie d’une large audience pourrait alors largement s’inscrire dans cette stratégie. Même si l’entreprise est, de toute évidence, risquée. « Quelqu’un avec moins de scrupules aurait tout à fait pu accepter l’offre de Fazze » explique Léo Grasset qui pointe le « Far West » et le manque de régulation de YouTube « qui se repose trop sur des algorithmes » souvent décriés comme inefficaces.
Ils sont où, les antivaccins?
Retourne faire mumuse dans ton bac à sable avec Bigard, et JDM.
Tiens, au fait, qu'est ce qu'il devient, celui-là ?
Covid-19 et la grippe. Comparer Covid-19 et la grippe est un des volets principaux de l’argumentation de Jean-Dominique Michel. Selon lui:
«D’après ce qu’on sait aujourd’hui, les caractéristiques de l’épidémie de Covid-19 en termes de contagiosité, de dangerosité et de létalité, sont exactement les mêmes, en terme d’ordre de grandeur, que les épidémies d’influenza qu’on a année après année. Ni plus, ni moins.»
Cette analyse se fonde essentiellement sur celle du Pr John Ioannidis, épidémiologiste à Stanford très réputé pour ses travaux sur la qualité des recherches scientifiques. Mais sa prise de position iconoclaste sur Covid-19, en date de la mi-mars, a été critiquée par de non moins éminents confrères, comme Gregg Gonsalves (Yale), Kristian Andersen (Scripps) ou Marc Lipsitch (Harvard).
Elle va également à l’encontre des mises en garde répétées de l’OMS quant à la dangerosité de la crise, qui se fonde sur des données épidémiologiques solides et une expertise reconnue sur ces questions.
Car Covid-19 diffère bien de la grippe, si l’on s’y penche sérieusement:
https://www.heidi.news/sante/que-penser ... l-epidemie
Dans ce cas, leJDM est anti-tout, comme d'autres allumés, sans disposer des moindres aptitudes, compétences, connaissances, qualifications...
On retrouve une bonne partie de tes dérives que tu sembles bien puiser chez JDM.
Pas très original.
Je complète (le document date de quelques mois, il y a peu de chances que les positions de JDM aient évolué):
https://www.rtbf.be/info/societe/detail ... d=10598692
De son côté, Pierre Wolper, l’actuel Recteur de l’ULiège, tient à préciser que le programme des grandes conférences est élaboré, en toute indépendance, par les organes de l’asbl "Grandes Conférences Liègeoises". Les autorités universitaires n’exercent pas de contrôle sur les choix de conférenciers.
Pierre Wolper ajoute qu’il n’aurait pas invité, s’il en avait eu l’opportunité, Jean-Dominique Michel et Didier Raoult (prochain conférencier) car il n’est pas convaincu que leurs conférences soient de qualité. Par qualité, il n’entend pas qualité oratoire, ni caractère captivant, mais la qualité de la construction du message délivré que ce soit par la science ou le raisonnement construit et étayé qui le sous-tend.
Il précise que des points de vue discordants, surtout dans un contexte incertain où des approches non-conventionnelles pourraient in fine se révéler de grande valeur. Mais la valeur d’un point de vue discordant ou d’une approche non-conventionnelle, dépend de la qualité de sa construction. Sans cela, on tombe vite dans la provocation sans fondement.
Il invite ceux qui assisteront aux prochaines conférences à aiguiser leur esprit critique et à se méfier de la séduction que peut exercer un orateur de talent. Chacun pourra alors juger si ce qu’il entendra est d’une qualité qui justifie le prix du billet. Dans le cas contraire, conclut-il : "Je recommande plutôt l’aspirine que la chloroquine".
Une petite dernière : les antivax sont tellement atteints qu'ils ne sont pas foutus de sortir des arguments plus novateurs que ceux déjà employés au XIXème.
Tu chercheras, ça t'occupera.
Tu as entendu, dernièrement, leur niveau d'argumentation ?
Faut vraiment être tarés pour sortir des conneries aussi énormes.
Plus fort que Claire Séverac !
Si c'est ça leur forme d'intelligence, ça fait peur!
Tu es d'une parfaite mauvaise foi, menteur et tricheur. Pas très futé en prime.
...mais la valeur d’un point de vue discordant ou d’une approche non-conventionnelle, dépend de la qualité de sa construction. Sans cela, on tombe vite dans la provocation sans fondement.
Ca te correspond trait poutr trait.
Ce n'est pas de l'ad hominem, c'est un constat clinique de ton état, un diagnostic.
Tu vois bien que nous n'avons plus rien à échanger. C'est inutile. Alors oublie ! N'y reviens plus !