Mais qui peut croire à cette fable? Je pensais que l’histoire du Père Noël leur avait servi de leçon.Dany a écrit : 23 juil. 2021, 13:03 Les temps de voyage, en durées propres, des deux voyageurs étaient identiques (un an), mais ils n'ont pas voyagé à la même vitesse de croisière, d'où leur retours à des dates terrestres différentes et les différences d'âges entre les voyageurs eux-mêmes, malgré leurs temps de voyage identiques dans leurs fusées respectives.
Voilà pour ton problème des triplés.
Relativité, positivisme et réalisme
Re: Relativité, positivisme et réalisme

- Caheb_Lahynch
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Re: Relativité, positivisme et réalisme
Malheureusement pour toi ça n'est pas une croyance. Tu es de plus en plus méprisant, tu te contente de troller sans faire aucune démonstration rigoureuse de ton "machin" (pour reprendre tes mots) et faire exprès d'interpréter/comprendre ce qu'on te dit de travers, alors que tes contradicteurs se plient en quatre, multiplient les démonstrations et exemple tous aussi rigoureux les uns que les autres...
Enfin en attendant qu'est ce que ton machin à réussi à prédire? Où est le premier tiers rédigé?
Enfin en attendant qu'est ce que ton machin à réussi à prédire? Où est le premier tiers rédigé?
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Ca n'a rien d'une fable. Relis (attentivement, mais je doute fort que ça te soit possible) le dernier post de curieux. Ca se vérifie avec les muons, c'est exactement le même schéma.richard a écrit :Mais qui peut croire à cette fable? Je pensais que l’histoire du Père Noël leur avait servi de leçon.
Et les vieillissements des muons aussi bien que des jumeaux vont bien dans le même sens, malgré ce que tu racontes.
Tu ne comprends pas, parce que tu ne veux pas comprendre. Je remarque que tu avais complètement inversé les protagonistes de l'exemple des triplés pour essayer de justifier ton ironie grasse habituelle concernant le soi disant manque de logique de la RR... mais avec les protagonistes dans le bon sens, c'est quand même la même ironie chez toi. Bref, tu mets énormément de bonne volonté à voir tout à l'envers.
On est parfaitement tous d'accord sauf toi et les faits confirment la RR. Ca devrait te faire réfléchir quant au caractère plutôt pathologique de ta dissonance...
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Parce qu'il ne veut pas, ou parce qu'il ne peut pas. La question n'est pas encore tranchée en ce qui me concerne.
Il y a des personnes qui n'ont pas la capacité d'abstraction suffisante pour, par exemple, comprendre que la terre est ronde. C'est tellement hors de leur perception empirique du monde qu'elles sont incapable de le concevoir.
Je crains qu'on soit dans la même problématique ici.
"Assurons nous bien du fait, avant de nous inquiéter de la cause." Bernard Le Bouyer de Fontenelle
"Plus un fait est extraordinaire, plus il a besoin d'être appuyé de fortes preuves." Pierre Simon Laplace
"Plus un fait est extraordinaire, plus il a besoin d'être appuyé de fortes preuves." Pierre Simon Laplace
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Toujours aussi nul le richard !richard a écrit : 23 juil. 2021, 11:01 Merci curieux pour ces précisions. Tu me dis d’bordet ensuitecurieux a écrit : 22 juil. 2021, 17:25
Dans l'expérience réelle des particules élémentaires accélérées en cyclotron, c'est le "voyageur" qui "vit" plus longtemps que son témoin sédentaire.Dans le cas des jumeaux le voyageur vit moins longtemps que le sédentaire et dans le cas des particules il vit plus longtemps. Donc c’est pareil! Ben maintenant j’ai compris. Incroyable cette théorie de la relativité! Formidable!ce sont deux cas identiques, le terme voyageur s'applique dans les deux cas et ils reviennent tous plus jeunes que le témoin sédentaire.
Ou est-ce que tu as vu que le voyageur de Langevin vivait moins longtemps que le sédentaire ?
Si c'était le cas alors il ne reviendrait pas, il serait mort.
T'en fumes vraiment de la bonne...
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Relativité, positivisme et réalisme
P'tet élevé dans un couloir, bercé trop près du mur.

Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Oui! T’as raison, curieux! Honte sur moi! Je me suis mal exprimé. C’est «la durée du voyage est moins longue pour le voyageur que pour le sédentaire» qu’il fallait dire. Et c’est «la durée de vie de la particule en mouvement qui est plus longue que lorsqu’elle est au repos (sic)» qu’il fallait dire. Je suis impardonnable. Mille excuses!curieux a écrit : 23 juil. 2021, 16:13 Ou est-ce que tu as vu que le voyageur de Langevin vivait moins longtemps que le sédentaire ?

Re: Relativité, positivisme et réalisme
1/ richard n'a pas de théorie. Tu le vois bien ?Caheb_Lahynch a écrit : 19 juil. 2021, 11:29Ce que je n'arrive pas à comprendre c'est pourquoi tu ne vas pas sur des forums de physique réputés pour exposer ta super théorie.
Dernière modification par ABC le 24 juil. 2021, 11:19, modifié 3 fois.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Ah! Oui! Merci Pancrace! j’ai souvent entendu dire que le temps propre du muon variait avec la vitesse. Mais ça marche mieux comme ça la durée de vie propre du muon ne change pas*, par contre la durée impropre (vu avec une vitesse relative) est différente. Pour l’observateur immobile (sic) la durée mesurée est plus grande. C’est cohérent, mais parfois le temps est aussi fonction de la position dans le référentiel, et là je suis perdu. Pourrais-tu m’expliquer?

Re: Relativité, positivisme et réalisme
1/ Avant même de chercher à élaborer un modèle de quoi que ce soit, il faut savoir de quoi on parle. Ce n'est pas son cas. Il n'a toujours pas compris qu'en Relativité de Galilée l'interaction électromagnétique viole le principe de relativté du mouvement. La Relativité de Galilée prédit, notamment, la possibilité de mesurer une vitesse absolue avec un intefféormètre de Morley-Michelson. Je le lui ai expliqué en détail (équations à l'appui) mais il botte en touche (comme chaque fois que l'on met le doigt sur l'une de ses erreurs, tout particulièrement les plus grossières) en disant que les transformations de Galilée (que tout le monde appelle comme ça) ne sont pas des transformations de Galilée !!Caheb_Lahynch a écrit : 19 juil. 2021, 11:29Ce que je n'arrive pas à comprendre c'est pourquoi tu ne vas pas sur des forums de physique réputés pour exposer ta super théorie.
- Il y supprime la vitessse
, le point essentiel objet de ces transformations
- pour ne conserver que l'invariance des longueurs, invariance incompatible avec le respect du principe de relativité du mouvement par l'interaction électromagnétique.
On démontre aussi, en quelques lignes de calcul aussi (niveau math spé, un niveau très insuffisant pour aborder la physique à un niveau fondamental, sauf, éventuellement, pour un tout petit nombre d'individus exceptionnellement doués en physique, quelque chose comme une dizaine de personnes par siècle),
- que l'équation de propagation des ondes électromagnétiques est invariante de Lorentz,
- que l'équation de propagation des ondes électromagnétiques est approximativement invariante de Galilée quand v/c est petit devant 1. C'est normal puisque les transformations de Galilée sont une approximation des transformations de Lorenz quand v/c est petit devant 1.
Tu verras que toutes les stratégies de fuite possibles et imaginables, il les met en oeuvre pour ne pas répondre à ce type de question. La raison ? c'est simplement parce qu'il n'en connait pas la réponse ou encore parce qu'il sent que s'il y rélféchit un peu trop il risque de finir par comprendre la RR. Il ya une vingtaine d'années, ses questions étaient les questions normales d'un novice en RR. Désormais ses questions/affirmations atteignent un niveau d'absurdité choquant. Heureusement qu'il ne s'agit pas de questions vraiment sérieuses (comme celles auxquelles notre société doit actuellement faire face).
A titre d'image, comment quelqu'un pourrait-il prétendre améliorer la conduite du chantier de construction d'un immeuble
- sans s'avoir ce qu'est un plan,
- sans savoir ce qu'est le béton armé,
- sans savoir comment poser une canalisation,
- sans savoir à quoi sert une prise de terre ?
Ce serait complètement absurde ? Non ?
2/ sur un forum de physique spécialisé (voir même seulement modéré comme futura-science), les divagations de richard ne seraient pas tolérées bien longtemps. Elles sont tolérées sur le présent forum car c'est un forum à caractère généraliste et que la correction des erreurs de richard, présente (présentait plutôt) un intérêt de ce point de vue.
3/ Par ailleurs, même quand on est susceptible d'avoir quelque chose à dire (un jour ou l'autre, voir plutôt l'autre

- comme une étape ultérieure que l'on relègue à un moment (possiblement hypothétique) où l'on aura suffisamment creusé telle ou telle question pour pouvoir en discuter au bon niveau
- et que l'on est prêt et sufisamment motivé pour y investir beaucoup de temps et de concentration.
Dany a écrit : 23 juil. 2021, 15:28(en réponse à richard) Tu ne comprends pas, parce que tu ne veux pas comprendre.
Les deux je pense, et ses 20 ans de pataugeage dans la gadoue n'ont rien arrngé, bien au contraire.thewild a écrit : 23 juil. 2021, 16:04Parce qu'il ne veut pas, ou parce qu'il ne peut pas. La question n'est pas encore tranchée en ce qui me concerne.
Pour richard, ça va plus loin. Il voudrait une théorie lui offrant le confort d'une vision classique, donc avecthewild a écrit : 23 juil. 2021, 16:04Il y a des personnes qui n'ont pas la capacité d'abstraction suffisante pour, par exemple, comprendre que la terre est ronde. C'est tellement hors de leur perception empirique du monde qu'elles sont incapables de le concevoir. Je crains qu'on soit dans la même problématique ici.
- longueurs absolues,
- durées absolues,
- simultanéité absolues.
... Il se trouve qu'il en existe une !
- mathématiquement cohérente ELLE,
- réalisant des prédictions conformes à l'observation ELLE,
donc juste celle-là et déjà toute faite : la Relativité Resteinte dans son interprétation Lorentzienne.
Pourquoi richard n'a-t-il pas étudié cette interprétation (un mois de "travail" grand maximum) qui colle pourtant parfaitement à son cahier des charges ??? Probablement parce qu'il veut inventer quelque chose sans réaliser son niveau d'incompétence du domaine auquel il s'attaque. Un tel manque de lucidité sur son niveau d'incompétence est complètement stupéfiant...
...Encore que la proportion de personnes s'estimant bien plus compétents que tel ou tel sélectionneur en foot-ball ou posséder le bon sens et les compétences requises pour être président de la république (du moins en France, au Quebec je ne sais pas) soit étonnament élevé.
Pas plus et pas moins que d'habitude et sur tout ce qui concerne la RR.richard a écrit : 24 juil. 2021, 10:37le temps est aussi fonction de la position dans le référentiel, et là je suis perdu.
- Le temps (l'instant en fait)
- dans un référentiel inertiel d'observation R
- d'un évènement zA en un point A et
- d'un évènement zB en un point B
- simultanés dans un référentiel inertiel R'
- où les points A et B sont au repos
zB est alors, en effet, postérieur à zA du point de vue du référentiel R d'observation.
Dit autrement, dans un train AB se déplaçant à vitesse v, du point de vue du chef de gare, une horloge située en B dans un vagon de train se déplaçant à vitesse v retarde (de v AB/c²) par rapport à l'horloge située en A, alors que ces horloges indiquent la même heure du point de vue des voyageurs que se soit vérifié
- en envoyant un signal lumineux à partir du milieu de AB,
- ou en déplacant (lentement/c), l'horloge situéen en A pour l'amener en B.
Disons que, formulé ainsi, c'est ambigu. On pourrait penser que le jumeau non inertiel va mourir plus tôt que son jumeau inertiel alors qu'ayant vécu moins longtemps pendant son voyage la durée propre du voyage du jumeau non inertiel est plus courte que celle du jumeau inertiel), le jumeau non inertiel va au contraire mourir plus tardcurieux a écrit : 23 juil. 2021, 16:13(àrichard) Où est-ce que tu as vu que le voyageur de Langevin vivait moins longtemps que le sédentaire ?
. Cet invariant (la durée propre séparant deux évènements) a la signification physique suivante: il égal au temps propre obtenu par intégration d'une unique ligne d'univers reliant deux évènements (c'est à dire un observateur au sens de la définition qu'en donne la RR). Laquelle selon tes connaissances approfondies de cette théorie (richard a écrit : 20 juil. 2021, 20:52 Le temps vécu est le temps propre. Le temps propre est invariant...


Quel est, par ailleurs, l'unique référentiel inertiel dans lequel la durée mesurée entre ces deux évènements est égale au temps vécu de cet unique observateur et quel est la vitesse de cet observateur dans ce référentiel inertiel ?
réponse : hé bien selon Bergson et en acccord avec moi même, les ombres sur la caverne de Platon ont une longueur impropre et elles bougent plus vite qu'elles mêmes, comme le son qui va plus vite que lui-même, et sauf celle de Luky-Luke qui, d'après des considérations hautement épistémologiques, a une prémice fausse...
Bla bla bla... Bref, je n'en rien.
Dernière modification par ABC le 24 juil. 2021, 12:05, modifié 1 fois.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
J’ai étudié la RE en cherchant une représentation graphique d’icelle alors que j’en avais une à disposition, le graphe de l’espace-temps de Minkowski. Si c’est pas un esprit de contradiction, ça! Alors voilà ce que j’ai trouvé.
Pour cet observateur la longueur d’un segment Mi, Ni de Ei est un arc de cercle de longueur Mpi Npi = R \(\alpha\) cos \(\beta\), tandis que la longueur de ce segment pour un observateur de Ei est égale à MiNi = R \(\alpha\). Les longueurs perçues de ce segment sont donc dans un rapport cos\(\beta\) entre les deux observateurs.
On remarquera que les longueurs perçues correspondent aux longueurs impropres de la RE.
La suite. Avec mes notations l’angle \(\beta\) est égal à l’angle (\(\phi\)) de cette figure. De même je note \(\alpha\) l’angle \(\theta\) de cette même figure. Pour un observateur d’un espace E le point Mi d’un espace Ei en mouvement par rapport à cet observateur est perçu sous la forme d’un point M. de coordonnées (\(\beta,\alpha)\) de la sphère, dite sphère du perceptible de O.richard a écrit : 22 juil. 2021, 14:33Cette fréquence est également fonction de la vitesse au second degré (en v2/c2) pour les ondes électromagnétiques.
Cette variation est en effet explicable en considérant la fréquence comme un complexe dont le module reste constant et telle qu’un observateur n’en perçoive que la partie réelle: γ = γo cos β, avec sin β = vp/c; vp étant la vitesse perçue par cet observateur.
Pour cet observateur la longueur d’un segment Mi, Ni de Ei est un arc de cercle de longueur Mpi Npi = R \(\alpha\) cos \(\beta\), tandis que la longueur de ce segment pour un observateur de Ei est égale à MiNi = R \(\alpha\). Les longueurs perçues de ce segment sont donc dans un rapport cos\(\beta\) entre les deux observateurs.
On remarquera que les longueurs perçues correspondent aux longueurs impropres de la RE.

Re: Relativité, positivisme et réalisme
La réponse de richard n'avait rien d'ambigu, en clair il se moquait e la RR parce que selon lui elle prétend que d'une part le muon rapide vivait plus longtemps alors que, d'autre part, elle affirme que dans les mêmes conditions le jumeau de Langevin vivait moins longtemps.ABC a écrit : 24 juil. 2021, 11:15Disons que, formulé ainsi, c'est ambigu. On pourrait penser que le jumeau non inertiel va mourir plus tôt que son jumeau inertiel alors qu'ayant vécu moins longtemps pendant son voyage la durée propre du voyage du jumeau non inertiel est plus courte que celle du jumeau inertiel), le jumeau non inertiel va au contraire mourir plus tardcurieux a écrit : 23 juil. 2021, 16:13(àrichard) Où est-ce que tu as vu que le voyageur de Langevin vivait moins longtemps que le sédentaire ?
C'est juste de l'ironie envers un truc auquel il n'a rien pigé.
En clair il n'a pas compris que la RR est cohérente en présentant ces deux cas comme strictement similaire. C'est dire à quel point il prend les physiciens qui ont vécus depuis un siècle pour des crétins congénitaux...
Il a admis son erreur mais je parie la gomme à Denis que dans pas moins de 4 posts il réaffirmera le contraire.

Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Ça c’est bien possible, curieux.
Je récapitule ma proposition.
On remarquera aussi qu’à la différence de la RE, la contraction (apparentes) des longueurs se fait dans toutes les directions. Bon! maintenant les vitesses.
La vitesse d’un point Mi de Ei perçue par un observateur de E, vip est égale à vip = R cos\(\beta\) d\(\alpha\)/dt.
Je récapitule ma proposition.
richard a écrit : 24 juil. 2021, 11:45 Cette variation [en v2/c2 des ondes électromagnétiques] est en effet explicable en considérant la fréquence comme un complexe dont le module reste constant et telle qu’un observateur n’en perçoive que la partie réelle: γ = γo cos\(\beta\), avec
sin\(\beta\)= vp/c; vp étant la vitesse perçue par cet observateur.
On continue ?La suite. Avec mes notations l’angle \(\beta\) est égal à l’angle \(\phi\) de cette figure. De même je note \(\alpha\) l’angle \(\theta\) de cette même figure. Pour un observateur d’un espace E le point Mi d’un espace Ei en mouvement par rapport à cet observateur est perçu sous la forme d’un point Mip de coordonnées (\(\beta,\alpha)\) de la sphère, dite sphère du perceptible de O.
Pour cet observateur la longueur d’un segment Mi, Ni de Ei est un arc de cercle de longueur Mpi Npi = R \(\alpha\) cos \(\beta\), tandis que la longueur de ce segment pour un observateur de Ei est égale à MiNi = R \(\alpha\). Les longueurs perçues de ce segment sont donc dans un rapport cos\(\beta\) entre les deux observateurs.
On remarquera que les longueurs perçues correspondent aux longueurs impropres de la RE.
On remarquera aussi qu’à la différence de la RE, la contraction (apparentes) des longueurs se fait dans toutes les directions. Bon! maintenant les vitesses.
La vitesse d’un point Mi de Ei perçue par un observateur de E, vip est égale à vip = R cos\(\beta\) d\(\alpha\)/dt.

Re: Relativité, positivisme et réalisme
Pour quoi faire ?
Tu avais fini par comprendre la relativité de la simultanéité des réceptions d'un même signal lumineux en A et B puis finalement, à nouveau tu ne la comprends plus en déclarant que c'est pas du jeu. Ce phénomène là, ne compte pas as tu décidé, je préfère les réceptions plutôt que les émissions ...
..ce qui, au passage, est la même chose en raison de la symétrie T, mais, comme c'est moins intuitif, tu utilises ce changement inutile car il t'est ainsi (un peu) plus facile (1) de continuer à ne pas comprendre.
Tu t'étonnes que le temps vécu par le jumeau de Langevin non inertiel (celui qui parcourt un cercle) soit plus court que le temps vécu par le jumeau inertiel. Pourtant, ça se visualise très facilement en leur associant à chacun une light clock.
On voit très facilement (calcul du temps d'aller-retour de la lumière entre deux miroirs en mouvement) que le nombre de tic tacs de la light clock du jumeau de Langevin non inertiel tournant à vitesse v sur un cercle (un cercle au repos dans le référentiel inertiel du jumeau inertiel)
- est plus faible que celui du jumeau de Langevin inertiel selon le coefficient (1-v²/c²)^0.5 en Relativité Restreinte
- est plus faible que celui du jumeau de Langevin inertiel selon le coefficient encore plus faible (1-v²/c²) en Relativité Galiléenne (à cause de l'absence de contraction de Lorentz, le temps d'aller-retour de la lumière y est encore plus long).
Lequel ?
(1) On considère deux flashs émis l'un en A et l'autre B arrivent en même temps en I milieu du wagon AB
Ils sont donc simultanés dans le wagon
le flash est au contraire émis d'abord en B et ensuite en A dans le référentiel du chef de gare.
Je ne fais pas le calcul ridiculement simple, tu sais parfaitement le faire (le coup de la gazelle et du léopard, je penses que tu l'as compris)...
... mais ça m'étonnerait que tu le fasses. Tu sais que si tu le fais tu vas comprendre l'erreur basique que tu traines depuis plus de 20 ans, erreur servant de base à ta tentative de recherche de "théorie", et tu ne le veux pas.
Dernière modification par ABC le 24 juil. 2021, 18:12, modifié 1 fois.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
La réception d’un signal n’est pas la même chose que son émission. L’émission c’est l’évènement par lui-même. Un événement n’émet pas forcément un signal lumineux. Comment faire dans le cas où deux événements simultanés n’émettent pas de signaux lumineux?ABC a écrit : 24 juil. 2021, 17:41 Ce phénomène là, ne compte pas as tu décidé, je préfère les réceptions plutôt que les émissions ...
..ce qui, au passage, est la même chose en raison de la symétrie T, mais, comme c'est moins intuitif, tu utilises ce changement inutile car il t'est ainsi plus facile de continuer à ne pas comprendre.

Re: Relativité, positivisme et réalisme
On associe une émission de signal lumineux à ces événements par exemple ?richard a écrit : 24 juil. 2021, 18:04Un événement n’émet pas forcément un signal lumineux. Comment faire dans le cas où deux événements simultanés n’émettent pas de signaux lumineux?


"Assurons nous bien du fait, avant de nous inquiéter de la cause." Bernard Le Bouyer de Fontenelle
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Re: Relativité, positivisme et réalisme
Bon, alors, les évènements par eux mêmes d'émission d'un flash en A et d'un flash en B atteignant en même temps I milieu du Wagon ABrichard a écrit : 24 juil. 2021, 18:04La réception d’un signal n’est pas la même chose que son émission. L’émission c’est l’évènement par lui-même. Un événement n’émet pas forcément un signal lumineux. Comment faire dans le cas où deux événements simultanés n’émettent pas de signaux lumineux?
- Ils sont simultanés dans le wagon AB n'est-ce pas ?
- Ils sont simultanés aussi dans le référentiel du chef de gare ?
- en partant de B pour atteindre I qui avance vers elle à vitesse v ?
- en partant de A pour atteindre I qui s'enfuit à vitesse v ?
Bref, pour qu'un phénomène qu'on n'a pas envie de voir n'existe plus, il suffit de se mettre un bandeau sur les yeux ou la tête dans le sable. Ca le fait disparaitre.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Bon, d’accord! Deux flashs sont émis simultanément en deux points A et B d’un espace E au temps t de E. À ce moment t, deux points d’un espace E’ coïncident avec A et B de E. À quel moment de E’ les éclairs vont-ils arrivé en A’ et B’?

Re: Relativité, positivisme et réalisme
Il y a un truc basique que j'ai pigé, richard, et je suis pas sûr que ça soit le cas pour toi. Pour mesurer un temps propre, disons la durée de vie d'une particule, il faut qu'elle soit immobile devant l'horloge qui mesure cette durée. En particulier la durée de vie propre est unique, c'est un invariant.
Si maintenant la particule est en mouvement par rapport à l'horloge (placée dans un accélérateur par exemple) et qu'on mesure à nouveau sa durée de vie avec cette même horloge, on trouvera un temps plus long, qui est qualifié de impropre car il varie selon la vitesse de la particule. Si celle-ci tend vers la vitesse de la lumière, le temps impropre mesuré tendra vers l'infini.
Finalement si on équipe la particule d'une autre horloge, le temps impropre mesuré par la première devient le temps propre mesuré par la seconde. En effet la particule est toujours immobile par rapport à elle-même, donc le temps mesuré sur son horloge est propre. Par contre ce n'est plus un invariant puisqu'il dépend de la vitesse de cette particule.
Si maintenant la particule est en mouvement par rapport à l'horloge (placée dans un accélérateur par exemple) et qu'on mesure à nouveau sa durée de vie avec cette même horloge, on trouvera un temps plus long, qui est qualifié de impropre car il varie selon la vitesse de la particule. Si celle-ci tend vers la vitesse de la lumière, le temps impropre mesuré tendra vers l'infini.
Finalement si on équipe la particule d'une autre horloge, le temps impropre mesuré par la première devient le temps propre mesuré par la seconde. En effet la particule est toujours immobile par rapport à elle-même, donc le temps mesuré sur son horloge est propre. Par contre ce n'est plus un invariant puisqu'il dépend de la vitesse de cette particule.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Ils arrivent donc en même temps en I milieu de ABrichard a écrit : 24 juil. 2021, 18:53Bon, d’accord! Deux flashs sont émis simultanément en deux points A et B d’un espace E au temps t de E...
- Les évènements d'émission en A et en B sont simultanés aussi dans le référentiel où AB se déplace à vitesse v dans le sens AB ?
- la lumière mettrait le même temps pour atteindre B qui s'enfuit que pour ateindre A qui se rapproche ?
Re: Relativité, positivisme et réalisme
. À ben maintenant v’là que le temps propre n’est plus un invariant. Faudrait accorder vos violons!Pancrace a écrit : 24 juil. 2021, 18:54 Il y a un truc basique que j'ai pigé, richard, et je suis pas sûr que ça soit le cas pour toi. [...]
le temps mesuré sur son horloge est [un temps] propre [qui] n'est plus un invariant puisqu'il dépend de la vitesse de cette particule.


Re: Relativité, positivisme et réalisme
Au tien ?richard a écrit : 24 juil. 2021, 19:06[maintenant v’là que le temps propre n’est plus un invariant. Faudrait accorder vos violons!![]()
Tu as trouvé combien pour le ralentissment du tic tac d'une light-clock tournant à vitesse v sur un cercle
- en Relativité galilélenne
- en Relativité Restreiente
- de longueur L invariante en relativité Galiléenne
- subissant la contraction de Lorentz L(1-v²/c²)^0.5 en Relativité Restreinte.
- un allongement de durée du tic-tac de la light-clock tournante en 1/(1-v²/c²)^0.5 en RR
- un allongement de durée du tic-tac de la light-clock tournante en 1/(1-v²/c²) en Relativité galilélenne (durée du tic-tac de l'horloge encore plus allongée par la vitesse v en Relativité galiléenne en raison de l'absence de contraction de Lorentz).
Cachez cette luminère que je ne veux pas voir ?
Dernière modification par ABC le 24 juil. 2021, 19:23, modifié 1 fois.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Il y a plusieurs temps propres richard, selon que l'horloge qui le mesure est immobile sur terre ou bien sur le dos de la particule en mouvement. Mais le temps propre "générique", celui qui est invariant, correspond à l'horloge immobile sur terre face a une particule immobile aussi.
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