- niveau analytique: "...L’intention affichée et qui sert de base à un mouvement ou une idéologie n'est qu'un élément d'appréciation sur la pertinence de son action..". Soit peu ou prou la définition initialeL’intention affichée et qui sert de base à un mouvement ou une idéologie n'est qu'un élément d'appréciation sur la pertinence de son action. Disons qu'elle est nécessaire mais loin d'être suffisante. Tu as l'air de penser le contraire car tu ne sembles pas considérer, l'enfer étant pavé de bonnes intentions, qu'une cause juste peut se dénaturer profondément par des pratiques qui génèrent d'autres formes d'injustice que celles qu'elle combat. Les idées les plus généreuses peuvent engendrer les pires actions. C'est triste mais c'est comme ça. C'est d'ailleurs le cœur du débat à propos des nouvelles mouvances émancipatrices.
- niveau global: "...car tu ne sembles pas considérer, l'enfer étant pavé de bonnes intentions, qu'une cause juste peut se dénaturer profondément par des pratiques qui génèrent d'autres formes d'injustice que celles qu'elle combat. Les idées les plus généreuses peuvent engendrer les pires actions..."
Soit le constat actuel, avec un ancrage dans la réalité. Qu'est-ce qu'il en exactement, concrètement?
Que raconte Pierre Valentin dans le deuxième volume de son étude "L'idéologie woke"?



la riposte commence à surgir, et à s'organiser

(et pages suivantes)
En France, comme il a été de nombreuses fois signalé, la diffusion et l'infusion de ce mouvement produit son oeuvre, à petite échelle (un exemple: Véronique Rousseau, EELV. On pourrait passer outre, excepté que dans son cas, elle manifeste des prétentions de représentativité politique, suivie par une (petite) cohorte de sympathisants, pour qui on peut légitimement se poser la question d'une expression de l'esprit critique).
Ce n'est qu'un exemple, comme d'autres, encore heureusement circonscrit, mais qui agace.
https://www.marianne.net/politique/ecol ... redibilite