julien99 a écrit : 25 nov. 2021, 21:50 il y normal d'empêcher 15000 soignants de traivailler
Les deux tiers des soignants suspendus pour non vaccination se sont fait vacciner depuis. Il n'en resterai donc que 5000 (sur 2 000 000 de soignants en France). Pour le personnel hospitalier, il s'agit majoritairement d'assistants (brancardiers, entretien...). Pour les médecins libéraux, il s'agit essentiellement de médecins qui pratiquaient davantage l'homéopathie ou ce genre de choses, pas bien grave donc.
Ensuite, comme dans toutes les entreprises, les personnes ne respectant pas volontairement les règles de sécurité élémentaires ne sont pas autorisées à travailler (et en temps normal en entreprise, c'est un licenciement pour faute grave).
julien99 a écrit : 25 nov. 2021, 21:50Sachant que les soignants en activité peuvent transmettre le virus, est-il normal que ces derniers ne se testent pas ?
Ils sont vaccinés 2 ou 3 doses donc moins contagieux et pour de nombreux services des tests réguliers sont en place. De plus, les règles sanitaires sont très rigoureuses et les moyens pour éviter toute contagions, covid ou autres, sont en place (asepsie, EPI, aération, filtration et même des systèmes UV ...).
julien99 a écrit : 25 nov. 2021, 21:50sachant que le vaccins n'est supposé tenir que 4-6 mois
Le vaccins tient bien davantage avec une bonne sécurité pour les sujets non fragiles. Il aurait certes mieux valu vacciner à 2 doses les non vaccinés, mais une majorité des non vaccinés ne veut pas. Les doses étant disponibles, ce serait dommage de rester sur un bonne sécurité alors qu'il est possible d'avoir une très bonne sécurité. Comme les risques d'effets secondaires sont de plus inférieurs par rapport aux premières doses, il est plus simple et bien moins risqué de vacciner tout le monde que de le faire en fonction de la fragilité des personnes, fragilités difficiles à gérer comme critère de tri et de plus par toujours connues.
julien99 a écrit : 25 nov. 2021, 21:50combien de doses pensez-vous que notre espèce puisses supporter sans dégats ?
Aucune étude ne montre l'existence d'une limite au nombre de vaccination possible (logique puisque le système immunitaire n'a pas de limite dans ce sens). Ensuite, vu l'augmentation forte des anticorps après cette 3eme dose, il est probable que ces vaccins covid rejoignent les vaccins à 3 doses classiques (HPV, hépatites...) qui ne posent aucun problème.
julien99 a écrit : 25 nov. 2021, 21:50 Ce qui nous amène à la question à savoir où sont les études de toxicité quant à la troisème dose voire celles d'après, alors que lOMS avait en premier lieu déconseillé la piqouse de booster ?
Vous confirmer votre ignorance du fonctionnement des vaccins et du système immunitaire. Il n'y a pas d'effets secondaires au-delà de 2 à 4 mois (comme tous les vaccins). Pour les vaccins à ARNm, ces ARNm sont éliminés au bout de quelques jours et c'est le système immunitaire (naturel donc) qui fait son travail. Pas davantage de
toxicité effets secondaires que pour les premières doses et même moins selon les dernières études.
Sinon, l'OMS avait déconseillé la 3eme dose pour favoriser la primo vaccination dans les pays pauvres et non pas pour un quelconque risque de cette 3eme dose.