Aparté...
Quand j'utilise des références, je cite les sources et les auteurs, les dates de parution et/ou d'édition en ayant conscience des notions de propriété intellectuelle, droits d'auteur, droit de reproduction...
La démarche s'inscrit dans un processus de mise à disposition d'information, non d'usage frauduleux, avec intention de nuire, ou de faire commerce.
Ce dossier m'a suffisamment occupé par ailleurs, et il existe une hypocrisie monumentale à ce sujet, au niveau sociétal, avec des règles qui peuvent se contredire les unes et les autres. Les juristes spécialisés s'y perdent.
L'éducation nationale, par exemple, où on ne compte plus les détournements, utilisations non déclarées, non-respect de la propriété intellectuelle... c'en est devenu une histoire de fous.
Dans une autre existence, j'ai pu rencontrer la SACEM, grande spécialiste des dossiers opaques.
Histoire de se mettre en appétit, un fait historique... La partie émergée d'un iceberg...
https://www.leparisien.fr/faits-divers/ ... 611112.php
Ce n'est qu'un exemple de "fonctionnement".
Ceci pour évoquer une dérive institutionnelle courante parmi d'autres.
Internet est une autre machine folle qui ne respecte rien.
Revenons à l'époque de l'avènement du cd, du DVD, du développement des possibilités informatiques et numériques. Qui a commercialisé les lecteurs-enregistreurs-graveurs ainsi que les supports d'écriture ?
Qui a "offert" des possibilités inouïes à ce niveau ?
La maison Sony, par exemple, qui s'est tirée une belle balle dans le pied, comme d'autres.
Évidemment, les compagnies comme Sony se tortillent comme des mijaurées, contraintes d'inventer des dispositifs qui corrigent peu ou prou le tir.
En France, chaque appareil numérique comprend, dans son prix de vente, une taxe (clé USB, smartphone, cd vierge, ...). Ça en fait des sous, quotidiennement. Qui se soucie de la "juste" répartition du produit de cette taxe?
Igor rappelle qu'on pourrait pinailler sur les détails à l'infini et Loutre précise, outre son analyse, quelques règles d'usage raisonné, sur ce forum. Merci à tous les deux.
C'est bien beau de se poser des questions, légitimes, mais il ne faut pas vouloir trop jouer parallèlement les vierges effarouchées .
Rien que le fait de prendre connaissance d'un contenu litigieux pourrait être assimilé à un délit, au même titre que le recel.
On peut poursuivre longtemps ainsi et dérouler.
Continuons à essayer de faire le moins de casse possible à ce niveau. Rien n'est simple, ni binaire.
Quant à définir les responsabilités exactes des uns et des autres, il faudrait aussi se pencher sur les "irresponsabilités"...
Fin de l'aparté?...