Vraiment? ... Pourquoi places-tu les dérives chez les opposants? ...A propos du dioxyde de titane, les très officielles agences ANSES et EFSA évoquent la grande possibilité de génotoxicité du dioxyde de titane, colorant blanc présent partout dans l'alimentation, les médicaments, les dentifrices, des cosmétiques etc. Entre autre, les rats le supportent très mal. Et les nanos seraient à proscrire chez l'humain.Dominique18 a écrit : 05 déc. 2022, 14:25 L'Afis s'intéresse à l'information scientifique et non à la politique conduite par cette entreprise, qui repose sur des niveaux et structures autres que purement scientifiques.
Élise Lucet, avec son émission Envoyé Spécial sur le glyphosate, a à ce titre, produit un mélange des genres qui dérogeait aux règles d'éthique et de déontologie, ce que le CSA n'a pas manqué de lui faire remarquer. Arte peut produire des documentaires qui sont entachés de travers similaires.
Il ne s'agit pas de "vilains écolos", dont on n'a rien à faire d'ailleurs, mais de s'intéresser uniquement aux faits scientifiques, qui se passent de dérives idéologiques.
Et pourtant,
nous continuons à ingérer ou utiliser tous les jours du dioxyde de titane à cause du laxisme ambiant et du profit des industriels. Quant aux malades sous long traitement, personnes âgées, c'est tous les jours pendant des années qu'ils ingèrent ces médicaments tout blancs et dangereux.
De nouvelles études sont "en vue" depuis l'évocation du problème en 2015 (déjà 7 ans...), sur fournitures de données plus complètes de la part des industriels.(je sens qu'on va encore attendre longtemps...).
Quelle hypocrisie ambiante, c'est pathétique...
Alors oui, il faut qu'il y ait des acteurs sérieux qui continuent les combats à tous les niveaux, c'est important.
https://www.anses.fr/fr/content/dioxyde-de-titane
https://www.efsa.europa.eu/fr/news/tita ... d-additive
« En tenant compte de toutes les études et données scientifiques disponibles, le groupe a conclu que le dioxyde de titane ne peut plus être considéré comme un additif alimentaire sûr. Un élément critique pour arriver à cette conclusion est que nous n'avons pas pu exclure les problèmes de génotoxicité qui pourraient survenir suite à la consommation de particules de dioxyde de titane. Après une ingestion orale, l'absorption des particules de dioxyde de titane est faible, mais elles sont susceptibles de s'accumuler dans l'organisme ».