Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#51

Message par externo » 13 févr. 2023, 20:10

externo a écrit : 13 févr. 2023, 14:22en accord avec l'interprétation de Lorentz.
Lorentz n'a jamais prétendu que l'invariance de Lorentz était fausse.
Il a prétendu que l'invariance de Lorentz venait de ce que les horloges étaient mal synchronisées dans les référentiels en mouvement et qu'il existait un et un seul référentiel dans lesquels la lumière était réellement isotrope, ce qui signifie que les référentiels ne sont équivalents qu'en apparence et sont en réalité non équivalents. C'est justement cette absence d'équivalence qui a poussé Einstein à proposer sa propre interprétation. C'est justement ce qui fait la différence entre les deux.

Einstein définit que les référentiels inertiels sont ceux dans lesquels la vitesse de la lumière est isotrope. Mais que deviennent les autres référentiels inertiels qui contredisent cette définition ? Si vous les faites disparaître vous truquez le monde réel.

Si je postule que la pièce retombe toujours sur face et lorsqu'elle retombe sur pile je la retourne sur face en disant : voyez, l'invariance de face n'est jamais violée, vous en pensez quoi ?
Vous ne vous en rendez pas compte par un blocage mental qui m'échappe, mais l'interprétation d'Einstein c'est cela, à la différence que la pièce ne retombe jamais sur face et qu'il faut toujours l'y remettre à la main.

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ABC
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#52

Message par ABC » 13 févr. 2023, 20:32

ABC a écrit :Lorentz n'a jamais prétendu que l'invariance de Lorentz était fausse.
externo a écrit : 13 févr. 2023, 20:10Il a prétendu que l'invariance de Lorentz venait de ce que les horloges étaient mal synchronisées dans les référentiels en mouvement et qu'il existait un et un seul référentiel dans lesquels la lumière était réellement isotrope, ce qui signifie que les référentiels ne sont équivalents qu'en apparence et sont en réalité non équivalents.
Ouf !! Enfin une formulation correcte de ce qui distingue la RR de la relativité de Lorentz : une opinion (non vérifiable expérimentalement) de ce qu'est la réalité.

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richard
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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#53

Message par richard » 14 févr. 2023, 11:14

externo a écrit : 13 févr. 2023, 20:10Il a prétendu que l'invariance de Lorentz venait de ce que les horloges étaient mal synchronisées dans les référentiels en mouvement.
J’aimerais bien savoir ce qu’est un référentiel espace en mouvement.
:hello: A+

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#54

Message par externo » 18 févr. 2023, 21:49

https://web.archive.org/web/20120102214 ... riques.htm
"On a eu tort d'attribuer aux transformations de Lorentz des propriétés tout à fait hallucinantes et délirantes telles que la transformation de l'espace et du temps. On peut beaucoup plus facilement et raisonnablement invoquer une transformation de la longueur d'onde et de la période des ondes stationnaires de l'électron. Il est clair que si l'électron assemble les molécules selon un multiple d'une longueur d'onde bien définie, les proportions de la matière qui en résulte en sont affectées.

Il est tout aussi clair que si la fréquence de l'électron diminue, c'est toute la vitesse d'évolution de la matière qui ralentit. Par exemple, à grande vitesse, le temps de vie d'un muon ou d'un isotope radioactif en sera prolongé, et les horloges indiqueront des heures plus lentes. Bien évidemment, des horloges qui ralentissent n'ont pas le pouvoir de "dilater le temps" !

Alors on comprend que les transformations de Lorentz sont absolues. L'éther constitue non seulement un référentiel privilégié, mais c'est aussi le seul référentiel acceptable. Les transformations de Galilée étant inexactes, il ne peut exister de référentiels galiléens. Tout est là : l'unique référentiel que constitue l'éther est cartésien, et ses coordonnées sont absolues. Bien sûr, nous ne saurons peut-être jamais comment le repérer, mais ce n'est pas bien grave. Il suffit de considérer qu'il existe. On sait qu'Henri Poincaré a hélas ! mis l'existence de l'éther en doute, mais il a aussi écrit, avec beaucoup d'à propos :

« ...l'essentiel pour nous c'est que tout se passe comme s'il existait et que cette hypothèse est commode pour l'explication des phénomènes. »

La Relativité d'Albert Einstein, publiée en 1905, est désespérément illogique et dogmatique.

Au contraire, la Relativité que Lorentz a découverte vers 1904 et même avant est remarquablement cohérente. Depuis peu, elle présente un autre avantage, et il est immense : on peut désormais l'expliquer, grâce aux propriétés étonnantes des ondes stationnaires sphériques."

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#55

Message par externo » 18 févr. 2023, 22:49

https://web.archive.org/web/20090407023 ... orentz.htm

LA VERSION ABSOLUE DES TRANSFORMATIONS DE LORENTZ

"Poincaré a eu tort de mettre en avant son postulat de Relativité sans préserver le point de vue absolu, car ce postulat ne prévoit que les apparences. Ses talents de mathématicien étaient tout à fait remarquables, mais son penchant pour la philosophie l'a semble-t-il égaré. Pour y comprendre quelque chose en physique, il est essentiel de garder les deux pieds sur terre. Par exemple, il n'a pas hésité plus tard à recourir à la géométrie non-euclidienne.

Dans les faits, d'un point de vue absolu, le tempo des horloges qui se déplacent est réellement plus lent, et les horloges qui se suivent affichent des heures différentes qui deviennent donc inexactes. Les objets et les distances qui les séparent sont réellement contractés. Ces effets ne sont pas réversibles. Les occupants d'un référentiel qui se déplace sont tout simplement mystifiés, aussi bien en ce qui concerne leur propre référentiel que lorsqu'ils observent un référentiel au repos absolu.

On peut modifier les formules de Lorentz pour qu'elles correspondent à sa pensée. Lorentz croyait fermement que l'éther existe et que les faits sont absolus. Selon lui, un objet se contracte vraiment. Or ses formules reflètent plutôt la pensée d'Einstein. Elles prévoient plutôt une dilatation de l'espace, ce qui d'un point de vue mathématique revient au même et ne pose pas de problèmes.

Voici la version absolue de la transformation de l'espace : il a suffit de permuter les variables x et x'. Alors même les variables x' représentent des grandeurs absolues. Seul, le temps t' représente une grandeur auxiliaire, mais qui reflète le comportement réel des horloges. On cesse enfin de manipuler des variables selon deux systèmes de mesure simultanément. On peut alors simplifier :

x' = x g + t β
t' = t g – x θ
y' = y
z' = z

β = sin θ = v / c
g = cos θ = SQR(1 – β²).
Les grandeurs absolues x, y, et z sont exprimées en secondes lumière, et t en secondes. La grandeur t' représente l'heure inexacte que les horloges mobiles indiquent.
Et puisqu'on dispose d'un angle thêta θ qui permet de simplifier davantage les calculs, cela nous conduit à des équations d'une grande limpidité. En effet, elles montrent clairement qu'il faut d'abord évaluer la contraction de la matière selon : x cos θ (ou encore selon x g) avant d'y ajouter les effets de la translation selon : t sin θ, ou encore t θ, selon la transformation de Galilée : x ' = x + v t :

x' = x cos θ + t sin θ
t' = t cos θ – x sin θ
y' = y
z' = z

La simplicité, la symétrie et l'harmonie de ces équations reflètent à mon sens l'aspect grandiose des transformations de Lorentz. Elles constituent un hommage magnifique à ce personnage exceptionnel que fut Lorentz. Elles réfutent aussi le côté tordu (il faut bien le dire) des équations symétriques de Poincaré, qui a osé envisager, contre toute logique, une transformation de l'espace et du temps.

Il faut réaliser que les formules montrées ci-dessus rendent compte à la fois d'une contraction de la matière, d'un décalage horaire, d'un ralentissement des horloges et d'une translation dans un seul et même système de référence cartésien au repos absolu. Il y a là de quoi rester bouche bée.

Le concept de Lorentz était exact, mais il est clair que ses équations prêtaient à confusion. Lorentz s'est montré maladroit en gardant la forme adoptée par Voigt, car cette forme ne correspondait pas à sa pensée. Il fallait donc les présenter ici d'une manière plus correcte. Ceux qui sont capables de programmer des animations sur ordinateur constateront que cette mise au point était nécessaire. Ils admettront aussi qu'elle porte un coup fatal au concept erroné d'Albert Einstein. Qu'on se le dise, la Relativité est un leurre, une mystification. C'est bien ce que nous observons, mais ce n'est pas ce qui se déroule réellement. En effet, lorsqu'elles sont exprimées à la manière de Poincaré, ces nouvelles équations perdent leur belle et trompeuse symétrie :

x ' = g x + β t
x = (x ' – β t) / g

Tout ceci est élémentaire. C'est à croire que personne ne s'est jamais vraiment donné la peine d'analyser ce problème. L'explication de Lorentz était pourtant simple et facilement vérifiable. Les transformations qu'il a prévues se produisent vraiment et elles conduisent tout droit à la Relativité :
– Ces changements sont imperceptibles : leurs effets semblent nuls dans un même référentiel.
– Autrement, peu importe la vitesse absolue, ils ne sont perceptibles que selon la vitesse relative.
– En conséquence, chacun peut toujours considérer qu'il est au repos dans l’éther.

Dans ces conditions, même si les effets des transformations de Lorentz dépendent de la vitesse absolue comparativement à l'éther, il devient évident qu'ils sont plutôt perçus d'une manière relative. La version de Lorentz montre le point de vue absolu, alors que la Relativité d'Einstein montre le point de vue relatif. Ce sont les deux faces de la même médaille.

Il ne faut surtout pas en conclure que la vérité se situe uniquement du côté absolu des choses. Parce que son fonctionnement est mécanique et qu'il dépend des mêmes effets, la matière est victime des mêmes illusions que n'importe quel observateur. Son comportement en dépend. Il en ressort que notre univers est résolument relatif à la fois dans son apparence et dans son fonctionnement réel.

Même si Descartes l'a invalidé, le principe de Relativité de Galilée se trouve ainsi restauré virtuellement, même compte tenu des effets des transformations de Lorentz. Il s'agit d'une découverte majeure, et à mon sens elle doit être attribuée à Henri Poincaré."

Cet extrait est tiré de l'ancienne version (2009) de la page sur les transformations de Lorentz.
Dernière modification par externo le 19 févr. 2023, 00:07, modifié 3 fois.

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#56

Message par externo » 18 févr. 2023, 23:07

https://web.archive.org/web/20120203144 ... orentz.htm

"Ces nouvelles équations sont bien plus transparentes quant à leurs effets, d'autant plus qu'elles indiquent bel et bien ce que Lorentz avait à l'esprit lorsqu'il a présenté sa théorie dans son mémoire de 1904. Voyez plutôt:

x ' = g * x + bêta * t

1 – La matière se contracte selon : g * x. Supposons qu'on a : bêta = 0,5 et g = 0,866. Dans ce cas, la partie d'un objet au repos située à: x = 1 seconde-lumière de l'origine se situe plutôt à x' = 0,866 seconde-lumière à l'instant t = 0 seconde si l'objet se déplace à cette vitesse. Pour des raisons mécaniques, cette contraction s'applique également aux espaces vides d'un système matériel complexe. En particulier, c'est à cause d'elle que l'interféromètre de Michelson devient incapable de mesurer la vitesse de la Terre à travers l'éther.

2 – Après un délai d'une seconde, ce même point aura avancé de : + bêta * t = 0,5 seconde lumière pour se situer finalement à 0,866 + 0,5 = 1,366 seconde lumière de l'origine. Il s'agit tout simplement d'un mouvement de translation, mais il faut d'abord tenir compte de la contraction.

t ' = g * t – bêta * x

3 – Une horloge qui se déplace à la moitié de la vitesse de la lumière affiche des secondes plus lentes selon : t' = g * t comparativement aux secondes affichées par une horloge au repos. Pour éliminer tout risque d'erreur dû à l'effet Doppler, il faut bien sûr que la procédure de synchronisation des horloges soit effectuée à l'instant précis où la distance qui les sépare est nulle. Pour faire simple, ce devrait être au point x = x' = 0 et à l'instant t = t' = 0. Par la suite, à l'instant t = 1 seconde, l'horloge en mouvement affiche donc 0,866 seconde et elle a parcouru 0,5 seconde-lumière.

4 – Les horloges présentent un décalage horaire qui correspond à : – bêta * x. On se réfère ici à la position x d'une horloge immobile, qui se situe donc en permanence à cette distance de l'origine peu importe le temps écoulé. Si par exemple on a x = 1 seconde-lumière, l'horloge en mouvement équivalente se situera au point x' = g * x = 0,866 seconde-lumière à l'instant t = 0 seconde. Cette horloge accuse donc un retard de –bêta * x = –0,5 seconde sur une autre horloge en mouvement située au point x = x' = 0, puisque le propriétaire de celle-ci profite de cet instant pour effectuer la procédure de synchronisation. Si cela vous semble suspect, c'est que vous n'avez pas examiné la "procédure de réglage des horloges par signaux optiques" proposée par Henri Poincaré.

Henri Poincaré a donc proposé deux groupes d'équations dont l'un est le miroir de l'autre. Il parlait d'effectuer une rotation de 180° avant d'appliquer le deuxième groupe, mais cela équivaut plus simplement à revenir en arrière pour défaire les effets du premier groupe. Poincaré était persuadé qu'aucun de ces deux groupes n'avait préséance sur l'autre, ce qui était bien évidemment de nature à étayer son "postulat de Relativité".

Poincaré l'ignorait, mais il est maintenant bien évident que la partie symétrique figurant à droite ci-dessous a plus simplement pour effet d'annuler l'effet Doppler que celle de gauche a produit. Or, même après correction et inversion, les équations montrées ci-dessous ne laissent pas deviner cette nuance capitale à moins de préciser d'entrée de jeu que les variables x et t ont préséance sur les variables x' et t'. Ce qui est clair aujourd'hui, c'est qu'un système au repos a préséance sur un système en mouvement. Un système sans effet Doppler a donc préséance sur un autre qui en est affecté. Il s'agit du fameux "référentiel privilégié" qu'on invoque lorsqu'on parle de la Relativité selon Lorentz. La Relativité n'est donc pas réelle: elle ne peut être que le résultat d'une illusion attribuable à des mesures faussées à cause des transformations de Lorentz."

Extrait de la dernière version de la page sur les transformations de Lorentz. La page a été entièrement refaite et les deux versions sont complètement différentes.

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#57

Message par externo » 26 févr. 2023, 15:12

Je rajoute ici des liens vers les livres de Roger Ellmann :
http://www.the-origin.org/Books.htm
Son oeuvre principale : http://www.the-origin.org/download.htm
dont il a extrait 17 articles scientifiques publiés sur arxiv


---------------------------------------------------------------------

Et je rajoute encore une fois les articles fondamentaux de D. Shanahan qui corroborent la relativité de Lorentz et l'onde de Wolff-LaFrenière et qui montrent que l'équation de Schrodinger n'est qu'une distorsion de l'électron réel.
Cela invalide l'interprétztion actuelle de la mécanique quantique, mais également celle de l'onde pilote de DeBroglie-Bohm et valide l'interprétation Wolff-Lafrenière de l'électron.

https://arxiv.org/abs/1401.4534
https://arxiv.org/abs/1503.02534

"""L'équation de Schrödinger (la SE) est également basée sur la modulation plutôt que sur l'onde pleine, expliquant ainsi les difficultés rencontrées pour accorder une signification physique aux solutions de cette équation6. En construisant une équation d'onde qui aurait des solutions cohérentes avec les relations de Planck-Einstein et de Broglie (Eqns. (2) et (3) ci-dessus), Schrödinger a fait les substitutions, ....... Mais comme nous l'avons vu, Éqn. (2) et (3) définissent les caractéristiques d'onde, non pas de la forme d'onde complète, mais de l'onde de Broglie. Ainsi, les solutions au SE, qu'elles soient sous forme relativiste ou non relativiste, ne sont pas des ondes réelles mais des cartographies déformées d'une modulation. Ces solutions ne sont capables d'identifier les niveaux d'énergie autorisés que parce que chacune de ces solutions est homologue à un ensemble de conditions de quantification, la continuité impliquée par ces conditions étant en même temps la continuité requise pour des solutions physiquement réalistes du SE """ Traduit par Google

""The Schrödinger equation (the SE) is also based on the modulation rather than the full wave, thus explaining the difficulties that have been experienced in according physical significance to solutions of this equation6 . In constructing a wave equation that would have solutions consistent with the Planck-Einstein and de Broglie relations (Eqns. (2) and (3) above), Schrödinger made the substitutions, ....... But as we have seen, Eqns. (2) and (3) define the wave characteristics, not of the full waveform, but of the de Broglie wave. Thus solutions to the SE, whether in relativistic or non-relativistic form, are not actual waves but distorted mappings of a modulation. These solutions are able to identify allowed energy levels only because each such solution is homologous to a set of quantization conditions, the continuity implied by those conditions being at the same time the continuity required for physically realistic solutions of the SE""

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#58

Message par richard » 26 févr. 2023, 16:26

C’est aussi clair qu’un texte de psychanalyse !
:hello: A+

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#59

Message par externo » 26 févr. 2023, 18:50

Oui, et concernant LaFrenière il faut préciser que sa façon de travailler était expérimentale, un peu comme les expérience de Coudert et Fort, mais sur un médium virtuel informatique. C'est pour cette raison que même s'il ne maîtrisait pas à fond les équations et le modèle standard ses découvertes pourraient être vraies et mêmes supérieures à celles de la physique académique actuelle qui travaille essentiellement par calculs abstraits.

https://web.archive.org/web/20110126074 ... _large.jpg
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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#60

Message par spin-up » 26 févr. 2023, 19:09

externo a écrit : 26 févr. 2023, 18:50 Oui, et concernant LaFrenière il faut préciser que sa façon de travailler était expérimentale, un peu comme les expérience de Coudert et Fort, mais sur un médium virtuel informatique.
Ce n'est pas expérimental...

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#61

Message par externo » 09 mars 2023, 18:44

Une vidéo Youtube de Ray Tomes sur la nature ondulatoire de la matière, traduite en français :
https://www.youtube.com/watch?v=8BTcmuGdLCU
La matière est constituée d'ondes stationnaires sphériques. Une onde stationnaire est une onde qui peut être considérée comme deux ondes se déplaçant dans des directions opposées. Pour une particule, cela signifie une onde entrante convergeant vers le centre et une onde sortante sortant du centre, qui n'est que l'onde entrante après avoir traversé le centre.

Voir la matière comme des ondes réelles plutôt que comme de simples probabilités est cohérent avec la pensée de Schroedinger et de Broglie qui ont établi la formule importante pour le comportement des ondes de particules. Mes propres études sont cohérentes avec Milo Wolff, Yuri Ivanov et Gabriel La Freniere et conduisent aux formules de la relativité et de la mécanique quantique de manière réaliste sans aucun hocus pocus. Geof Hazelhurst et Karen Howie ont développé un important site Web à ce sujet.
Le site de Milo Wolff :
https://mwolff.tripod.com
Richard Feynman était un physicien mathématicien à Cal-Tech à Pasadena, en Californie, qui a écrit plusieurs livres sur les interactions des particules chargées. Il a inventé une manière astucieuse de dessiner simplement toutes les différentes façons possibles dont les photons et les particules, en particulier les électrons, peuvent interagir. Il a établi des règles pour interpréter les "diagrammes de Feynman" Les diagrammes étaient purement théoriques puisqu'à l'époque Feynman n'avait pas de modèle physique de l'électron. Mais ils étaient en accord avec les mesures de laboratoire et les calculs des interactions. Nous savions donc qu'ils avaient raison même si nous ne savions pas "pourquoi". Maintenant, la structure ondulatoire de l'électron, un modèle physique, nous montre ce qui arrive réellement aux électrons. Elle est conforme aux règles de Feynman.
M. Wolff
https://mwolff.tripod.com/feyn.html
On peut trouver de nombreuses observations pertinentes sur le site de M. Wolff, qui a aujourd'hui plus de 80 ans.
En particulier, il montre que l'électron, s'il est fait d'ondes stationnaires sphériques et concentriques, peut expliquer la matière. Le point important, c'est que malgré le fait que le centre de ce système soit localisé en un point précis de l'espace, il peut communiquer et échanger avec tout ce qui se trouve dans son voisinage à l'aide de ses ondes périphériques. Il a aussi affirmé que la matière gagne en masse à mesure qu'elle accélère à cause de l'effet Doppler. Hélas, il a toujours refusé d'admettre que l'effet Doppler appliqué à son électron stationnaire conduisait à mon électron mobile...
M. Wolff a bien vu qu'il se produisait une inversion de phase au centre de ce système, ce qui fait que le diamètre du noyau central mesure une onde entière et non la demi-onde habituelle des ondes stationnaires planes. Ce détail apparemment insignifiant, que j'ai corrigé en 2003, m'avait échappé tout d'abord. Il prend une importance considérable lorsque vient le temps d'étudier le comportement de la matière.
G. La Frenière
https://web.archive.org/web/20110126074 ... vertes.htm

Un entretien avec Milo Wolff :
https://www.youtube.com/watch?v=lRv6WYWyOYA

Le site de Geof Hazelhurst :
https://www.spaceandmotion.com

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#62

Message par externo » 10 mars 2023, 13:25

L'éther de LaFrenière est le vide quantique ou plus précisément le vaccum :
https://www.littre.org/recherche?mot=vaccum
La théorie quantique des champs stipule que tous les champs fondamentaux, tels que le champ électromagnétique, doivent être quantifiés à chaque point de l'espace. Un champ en physique peut être envisagé comme si l'espace était rempli de billes et de ressorts vibrants interconnectés, et la force du champ est comme le déplacement d'une balle de sa position de repos. La théorie nécessite des "vibrations" dans, ou plus précisément des changements dans la force d'un tel champ pour se propager selon l'équation d'onde appropriée pour le champ particulier en question. La deuxième quantification de la théorie quantique des champs exige que chacune de ces combinaisons boule-ressort soit quantifiée, c'est-à-dire que la force du champ soit quantifiée en chaque point de l'espace. Canoniquement, si le champ en chaque point de l'espace est un simple oscillateur harmonique, sa quantification place un oscillateur harmonique quantique en chaque point. Les excitations du champ correspondent aux particules élémentaires de la physique des particules. Ainsi, selon la théorie, même le vide a une structure extrêmement complexe et tous les calculs de la théorie quantique des champs doivent être effectués par rapport à ce modèle du vide.
https://en.wikipedia.org/wiki/Vacuum_energy

Jeff Yee a modélisé l'éther de LaFrenière sous forme d'oscillateurs harmoniques :
https://energywavetheory.com/spacetime/
Les excitations du champ correspondent aux particules élémentaires de la physique des particules.
Cela revient à dire que les particules sont des états d'excitation du vide quantique donc de l'éther. Dans la physique académique il existerait un champ par type de particule alors que pour LaFrenière toutes les particules sont composées d'électrons. On peut aussi imaginer qu'il existe diverses sortes d'ondes en plus de celle de l'électron. Les différents champs ne seraient que des modes de vibrations différents de l'éther.

Les fluctuations du vide quantique n'ont pas d'explication en physique académique.
Pour Wolff, LaFrenière et Yee l'éther est parcouru en permanence par des ondes planes. Ces ondes ne sont pas mesurables par des instruments car elles se compensent et leurs poussées s'annulent. Ce n'est qu'à très petite échelle que des fluctuations apparaissent. Ce sont les fluctuations du vide.
Ces ondes permettent à la matière de respirer. Elles font que toutes les particules de l'univers visible sont reliées entre elles. D'après Milo Wolff, cela explique le principe de Mach.

Dans un champ gravitationnel la symétrie est rompue, les ondes se propageant vers la masse sont légèrement plus puissantes que celles en sortant. La masse agit comme un espèce d'écran, c'est l'effet d'ombre. Du fait de cette dissymétrie, les corps sont poussés vers la masse par les ondes les plus fortes. Le champ gravitationnel est donc la manifestation de l'énergie du vide.

La physique académique refuse d'échafauder des hypothèses mécaniques pour des raisons idéologiques. Ce serait apparemment l'idéologie positiviste. Cette idéologie n'a rien à voir avec la science, car la science demande au contraire d'échafauder de telles hypothèses.

Au début du vingtième siècle beaucoup de scientifiques considéraient que l'électron et les atomes étaient des modifications de l'état de l'éther ou même des tourbillons d'éther (Gustave Lebon). Il n'y a donc aucune raison de considérer que le vide quantique actuel d'où émergent les particules n'est pas ni plus ni moins que l'éther de Lorentz : loin d'être considéré seulement comme le support de la lumière il était considéré aussi comme le constituant de la matière par les physiciens réalistes et mécanistes. En fait, si on avait su en 1900 que les transformations de Lorentz étaient les transformations subies par des ondes stationnaires en mouvement, on aurait aussitôt compris que l'électron était une onde stationnaire mobile dans l'éther et la physique aurait pris une direction bien différente.

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#63

Message par externo » 10 mars 2023, 23:54

Un document de Yuri Ivanov, écrit par lui en français en 2012, et qui a été retiré par lui de son site.
http://rhythmodynamics.com/index_en.htm
"In the nearest future it is planned closure of much of the information on the website. Cause: I don't see any sense to sell boats and fishing tackle those inhabitants of the earth who live in the wilderness and never saw the sea."

mais dont il se trouve UNE sauvegarde sur l'internet archive :
"L'expérience de Michelson et le retour de l’éther pour la science"

https://web.archive.org/web/20150912095 ... ace_fr.pdf
https://web.archive.org/web/20150912095 ... ion_fr.pdf

et dont la présentation par le Dr. Paul Meier se trouve toujours accessible depuis Internet (aujourd'hui en 2023) une fois que l'on connaît son adresse : https://rhythmodynamics.com/ru/tmp/preface_fr.pdf
Comme Ivanov, d'autres chercheurs ont remis en question les principes de la physique contemporaine, affirmant que "la matière est faite d'ondes", en suivant les principes de la mécanique ondulatoire de Louis de Broglie (Milo Wolff, Gabriel Lafrenière, Denys Lépinard). Chacun d'eux a apporté des points de vue particuliers importants. La Rythmodynamique d'Ivanov par contre approfondit et formule les principes les plus fondamentaux du mouvement, aussi bien du point de vue physique que du point de vue épistémologique.
Ce qui distingue la relativité d'Ivanov de celle d'Einstein, c'est la remise en question d'un consensus tacite selon lequel l'expérimentation est le critère final et absolu de vérité scientifique. Le principe de relativité d'Einstein, selon lequel les lois sont les mêmes pour tout référentiel galiléen, est attribuable à cette croyance. Il ignore l'existence d'un référentiel absolu dont dépendent les référentiels particuliers. La RR considère chaque observateur particulier comme indépendant et les observations réciproques de deux observateurs ne dépendent que de la vitesse relative entre eux, sans tenir compte d'une vitesse par rapport à un milieu commun ou absolu. Un avion pourrait-il être piloté et voler en tenant compte seulement de sa vitesse relative à un deuxième avion, et sans tenir compte de sa vitesse par rapport à l'air qui est pourtant le milieu commun qui le porte?
Le comportement des ondes électromagnétique ne peut pas être différent de celui des ondes mécaniques et phonétiques puisque, suivant les techniques acoustico-optiques, les ondes phonétiques dépendent elles mêmes des liaisons électromagnétiques entre les atomes. Par conséquent, la réduction de taille des ondes stationnaires a pour conséquence celle des corps et comme tout est proportionnel à l'intérieur du même système d'oscillateurs et d'ondes, cette réduction n'est pas mesurable à l'intérieur de ce système.
Cette conclusion inverse les rôles de l'observateur et du réel observé par rapport à la vitesse: ce n'est pas le référentiel de l'observateur qui reste constant et l'espace-temps qui se déforme comme dans la RR; c'est au contraire l'observateur et ses instruments qui se déforment et se contractent par rapport à l'espace stationnaire et au temps constant. Autrement dit, ce n'est pas l'homme qui détermine l'espace et le temps, c'est l'espace et le temps qui façonne la taille de l'homme.
CItations d'Ivanov :
Si en 24 ans (pour la période de 1881 à 1905), la communauté scientifique n'a pas réussi à répondre à la question:
«Pourquoi dans les expériences avec l'interféromètre de Michelson les résultats obtenus n’ont jamais été ceux prévus?" l'apparition de la RR d’Einstein peut être considérée comme une conséquence naturelle de l'absence de toute explication claire.
Les tentatives de Lorentz pour interpréter les résultats par une contraction effective des corps en mouvement ont échoué à cause d’hypothèses ne contenant pas de base physique. Lorentz a essayé de créer une théorie des interactions atomiques et ainsi d’expliquer le phénomène qui conduirait à une dépendance de la taille du corps de la vitesse, mais rien ne s'est passé. L'idée de contraction est restée en suspens.
Posons-nous une question: - Si Lorentz avait trouvé l'effet désiré, l'éther aurait-il eu des chances? La réponse évidente est - Oui!
Autre question: - Si une telle chose se produit à notre époque (2012), et compte tenu des explications claires sur les raisons de l'échec de l'interféromètre de Michelson pour détecter les mouvements dans l‘éther, alors que se passe-t-il?
Réponse: - Voyons donc, la communauté scientifique - face à l’importance de l'éthique en science, ou comme toujours - se conduit comme si rien d’important ne s'était passé, et peu à peu elle va moucharder l’idée?
Quelle est la solution? Si vous ne pouvez pas trouver de moyens de saisir votre propre mouvement dans l'environnement, alors:
1. Vous pouvez refuser l’éther et dire en public que cela ne pose pas de problème; ce canular est le résultat d’une faiblesse de l’intelligence. Ensuite, pour satisfaire l'opinion publique, créez un «modèle» mathématique, qui remplace le milieu d’éther, et - considérez-vous gagnant!
2. Ne pas refuser le milieu et identifier sa présence par la méthode inverse: les conséquences de l'hypothèse, et ensuite vérifier les effets. Si les prédictions sont confirmées et donnent accès à la pratique, ce qui est très appréciable, alors l'hypothèse obtient le statut de théorie.
Le choix est le vôtre ...
Autre document sur la Ryhtmodynamique par Paul Meier sur son propre site :
http://sys.theme.free.fr/RD.html
La mécanique quantique a révélé que l'espace n'est pas vide mais plein d'énergie. Il s'y passe des évènements, des "fluctuations" qui créent des particules. L'intrication ou inséparabilité quantique signifie que l'univers est un tout, ce qui exige un milieu ou référentiel commun. La relativité d'Einstein est incompatible avec les acquis de la mécanique quantique. De plus en plus de scientifiques critiquent la relativité restreinte qui ne peut plus être soutenue que par des arguments d'autorité.
À l'origine, la transformation de Lorentz était destinée à expliquer l'échec de l'interféromètre par une contraction des bras de l'interféromètre en fonction de la vitesse. Mais Lorentz n'avait aucun argument physique pour expliquer cette contraction. Ivanov par contre a découvert le mécanisme physique de cette contraction: La matière cristalline ou les molécules sont constitués par un réseau d'ondes stationnaires qui relient les atomes. Lorsqu'un corps matériel est en mouvement, il rétrécit globalement et proportionnellement à la contraction de son réseau d'ondes stationnaires constitutives.
Par conséquent l'interféromètre de Michelson rétrécit dans les mêmes proportions que les ondes qu'il est censé mesurer, en fonction de la vitesse de la Terre dans l'espace absolu; il ne peut donc pas mesurer cette vitesse.
La transformation de Lorentz est fondée simplement sur une moyenne géométrique entre les longueurs d'onde transformées par effet Doppler, rétrécies à l'avant et dilatées à l'arrière d'un oscillateur en mouvement.
Pour calculer les transformations relatives de deux oscillateurs qui sont tous deux en mouvement par rapport au milieu ou espace commun, comme dans le cas de deux avions, il faut utiliser une autre formule basée sur la moyenne harmonique, en y ajoutant une correction tenant compte de l'angle entre les directions des mouvements relatifs des deux observateurs. Ivanov obtient ainsi cette formule qui s'applique aux ondes stationnaires.
La relativité d'Ivanov ne réfute pas la relativité de Poincaré-Lorentz, utilisée par Einstein sur la base du référentiel de l'observateur. Elle la place dans un référentiel plus général, celui de l'espace physique absolu, milieu de propagation d'ondes, auquel le référentiel de l'observateur est subordonné.
Les conséquences sont importantes: Ce n'est pas l'espace-temps (modèle purement mathématique) qui se contracte. Espace et temps restent constants et absolus. C'est l'observateur, le physicien et son instrument, qui se contractent en fonction de leur vitesse par rapport au milieu d'ondes. En système fermé dans son référentiel galiléen contracté, le physicien n'est pas conscient de sa transformation et ne peut pas mesurer sa vitesse par rapport au milieu avec son interféromètre qui subit la même transformation.
L'homme n'est plus le référentiel absolu auquel espace et temps se plient. Il redevient un objet comme les autres, se pliant au référentiel cosmique absolu en fonction de son propre mouvement.
Pour la physique contemporaine, la matière et le mouvement font partie des propriétés fondamentales de la nature, des propriétés inhérentes, innées qui ne nécessitent pas d'explication; elles sont au-delà de la compréhension humaine. Mais il n'en est pas ainsi. Les phénomènes vibratoires révèlent non seulement la nature du mouvement mais aussi les manifestations qui l'accompagnent:, l'inertie, la force, l'auto-organisation.
Yuri N. Ivanov comme bien d'autres chercheurs contemporains, réclame le retour à un espace qui a une réalité physique et des propriétés physiques (comme cela est implicitement admis en mécanique quantique), principalement celle d'être le milieu de propagation d'ondes à la vitesse constante c de la lumière.
La Rythmodynamique reprend la mécanique ondulatoire là où l'a laissée Louis de Broglie dont les travaux ont été négligés suite aux interprétations relativistes de l'expérience de Michelson et à l'invention par Einstein du photon et des bosons qui devaient justifier la propagation de la lumière et de l'énergie dans l'espace considéré comme vide.
Comme d'autres théories alternatives semblables, la Rythmodynamique explique l'univers et la lumière sur la base d'ondes se propageant dans un milieu de propagation d'onde à la vitesse de la lumière. Elle réhabilite l'espace physique absolu que les anciens appelaient éther. Les théories ondulatoires ouvrent une nouvelle ère pour la physique.
Mais ce qui distingue la Rythmodynamique des autres théories, c'est d'abord la formulation claire d'un axiome de fondation et de trois postulats sur une base épistémologiques. Cette base et son application rigoureuse ont conduit à la découverte d'abord théorique puis expérimentale des ondes stationnaires et de leur comportement dont dépendent les propriétés de la matière et du mouvement. Cette base simple, fondée sur le principe d'unité cosmique, conduit tout naturellement à l'unification des domaines restés incompatibles de la relativité et de la mécanique quantique. Un seul algorithme de phase-fréquence a été créé dans le cadre duquel l'ensemble des phénomènes naturels considérés comme des faits reçoit une explication causale unique.
Il faut quand même préciser que Ivanov a découvert la compression des ondes stationnaire vers 1981, mais n'avait pas vu le phénomène de ralentissement de la fréquence lié au confinement de l'onde matérielle. Ses résultats n'étaient donc pas corrects.
Serge Cabala avait à peu près tout compris dès 1975 :
J'ai contacté de nombreuses publications et de nombreux spécialistes (tous en accord avec mes résultats), mais jamais je n'ai réussi à faire publier mon travail. Par contre on a vu apparaître vers le milieu des années 1980 une théorie absconse reprise par tous les journaux scientifiques et intitulée : La théorie des super cordes, théorie élaborée entre autres par un français ( disparu depuis) qui prétendait en avoir eu l'idée vers 1980, peut-être même en 1977.
Or : - Mon premier livre était classé aux archives du CNRS depuis 1977.
- J'avais mis un très grand nombre de spécialistes français et étrangers au courant de mes travaux, depuis au moins 1976.
- Au lieu de diffuser des résultats élémentaires fondamentaux accessibles à un très large public, et totalement incontestables, certains scientifiques ont favorisés (à grand renfort de publicité) la diffusion de travaux obscurs, dont le titre imite celui de mon premier livre.

Plutôt que d'admettre que la relativité n'est que de la mécanique classique des ondes, certains relativistes essayent de tout obscurcir en favorisant les idées fumeuses.
Bien avant les super cordes, une publication française m'avait répondu : "Les scientifiques sont très contents de la formulation actuelle de la relativité, il n'est donc nullement nécessaire de la réinterpréter à partir des cordes vibrantes dont on ne sait presque rien."
Autre exemple un peu plus récent : " Les travaux sont de bonne qualité, mais leurs publications ne s'impose pas compte tenu des réalités de la physique contemporaine." (conclusion du directeur du CNRS à la fin d'un rapport, un de plus, sur mes travaux.1988).
http://ondes-relativite.info/scabala25/alire.htm

externo
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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#64

Message par externo » 11 mars 2023, 15:44

Le site de Geoff Haselhurst

CItation du concepteur du site :
QED est fondé sur l'hypothèse que les particules chargées génèrent d'une manière ou d'une autre des ondes électromagnétiques sphériques (vectorielles) entrantes et sortantes (Feynman a utilisé les termes ondes «avancées» et «retardées» dans sa thèse de doctorat de 1945). Cela explique pourquoi Feynman a eu un tel succès et un tel échec en même temps, car il avait la bonne structure d'onde sphérique de la matière , mais il a continué avec deux autres erreurs, l'existence de la particule et l'utilisation d' ondes électromagnétiques vectorielles ( ondes mathématiques de force), plutôt que d'utiliser les ondes "quantiques" scalaires correctes. La solution à ces problèmes a été trouvée pour la première fois par Milo Wolff (1986) dans son travail de pionnier sur la structure ondulatoire de la matière..
Wolff s'est rendu compte qu'il n'y a pas de solutions pour les ondes électromagnétiques vectorielles sphériques, et il a eu la prévoyance d'essayer d'utiliser des ondes réelles, qui sont scalaires (décrites par une quantité, leur amplitude d'onde, telle que découverte par la théorie quantique ) . Il a ensuite découvert que lorsqu'une onde stationnaire sphérique se déplaçait par rapport à une autre, les décalages Doppler provoquaient À LA FOIS la longueur d'onde de Broglie de la théorie quantique ET l'augmentation de la masse (fréquence, où E = hf) de la relativité restreinte d'Einstein .. Ainsi, dans la seule équation, il avait déduit les deux phénomènes observés dus au mouvement relatif, qui trouvaient respectivement des parties centrales à la fois de la théorie quantique et de la théorie de la relativité restreinte d'Einstein. Cela l'a ensuite conduit à poursuivre ses travaux sur la structure d'onde sphérique de la matière et à son explication de nombreux problèmes de la physique moderne.
La théorie classique des ondes suggérait que la lumière pouvait avoir n'importe quelle longueur d'onde, car toute accélération de l'électron (pour produire de la lumière) était possible. On pensait donc qu'un électron finirait par absorber suffisamment d'énergie de ces ondes lumineuses continues, de sorte qu'il serait éjecté d'une plaque métallique. Ce n'est pas correct, comme l'a démontré l'effet photoélectrique.
La seule solution semblait être la proposition selon laquelle la lumière devait être une particule à énergie discrète ; et les relations mathématiques fondées sur cette idée se sont avérées vraies. Mais cela prouve-t-il que la lumière doit être une particule ? Ce ne est pas.
Feynman a déclaré qu'AUCUN modèle raisonnable ne pouvait expliquer ce fait. Bien que cela ait pu être vrai en 1985, ce n'est plus vrai une fois que nous avons compris la structure sphérique des ondes stationnaires de la matière.
Comme l'explique la structure ondulatoire de la matière, c'est cette fausse hypothèse selon laquelle la lumière doit être une "particule de photon", plutôt que d'être simplement un échange d'énergie discret entre des ondes stationnaires, qui conduit à une grande partie de l'étrangeté et de la contradiction de la théorie quantique moderne.
https://www.spaceandmotion.com/Physics- ... an-QED.htm
https://www-spaceandmotion-com.translat ... r_pto=wapp

Citation de Schrodinger :
Ce que nous observons en tant que corps et forces matériels ne sont rien d'autre que des formes et des variations dans la structure de l'espace. Les particules ne sont que des schaumkommen (apparences). ... Le monde ne m'est donné qu'une seule fois, non pas un existant et un perçu. Sujet et objet ne font qu'un. On ne peut pas dire que la barrière qui les séparait s'est effondrée à la suite de l'expérience récente des sciences physiques, car cette barrière n'existe pas. ... Permettez-moi de dire d'emblée que, dans ce discours, je m'oppose à pas mal de déclarations spéciales de la physique quantique tenues aujourd'hui (années 1950), je m'oppose pour ainsi dire à l'ensemble, je m'oppose à ses vues fondamentales qui ont été façonnés il y a 25 ans, lorsque Max Born a proposé son interprétation des probabilités, qui a été accepté par presque tout le monde. Je n'aime pas ça, et je suis désolé d'avoir eu quoi que ce soit à voir avec ça. ( Erwin Schrödinger , L'interprétation de la physique quantique.)
Citation de JA Wheeler :
Un jour, nous comprendrons tout cela comme une seule vision merveilleuse qui semblera si incroyablement simple et belle que nous pourrons nous dire; 'Oh, comment a-t-on pu être si stupide pendant si longtemps ? Comment aurait-il pu en être autrement ! (JA Wheeler)
https://www.spaceandmotion.com/Most-Sim ... eality.htm
https://www-spaceandmotion-com.translat ... r_pto=wapp

Citation de Paul Dirac :
Cette interprétation statistique est maintenant universellement acceptée comme la meilleure interprétation possible de la mécanique quantique, même si de nombreuses personnes en sont mécontentes. Les gens s'étaient habitués au déterminisme du siècle dernier, où le présent détermine complètement l'avenir, et ils doivent maintenant s'habituer à une situation différente dans laquelle le présent ne donne qu'une seule information de nature statistique sur l'avenir. Bon nombre de personnes trouvent cela désagréable; Einstein s'y est toujours opposé. Il l'exprimait ainsi : « Le bon Dieu ne joue pas aux dés ». Schroedinger n'aimait pas non plus l'interprétation statistique et a essayé pendant de nombreuses années de trouver une interprétation impliquant le déterminisme pour ses ondes. Mais cela n'a pas réussi en tant que méthode générale. Je dois dire que je n'aime pas non plus l'indéterminisme. Je dois l'accepter parce que c'est certainement le mieux que nous puissions faire avec nos connaissances actuelles. On peut toujours espérer qu'il y aura des développements futurs qui conduiront à une théorie radicalement différente de la mécanique quantique actuelle et pour laquelle il y aura peut-être un retour partiel du déterminisme. Cependant, tant qu'on s'en tient au formalisme actuel, il faut avoir cet indéterminisme.
https://www.spaceandmotion.com/physics-paul-dirac.htm
https://www-spaceandmotion-com.translat ... r_pto=wapp

Citation de Milo Wolff :
Qu'est-ce qu'un "photon" de lumière ?
Deux oscillateurs à ondes stationnaires sphériques (SSW) échangent de l'énergie un peu comme les oscillateurs couplés classiques, tels que les circuits électriques ou les pendules joints. Le couplage fourni par les centres non linéaires des résonances (densité d'énergie de masse élevée des centres d'ondes spatiaux) leur permet de décaler la fréquence selon la modulation des ondes entrantes et sortantes les unes des autres. Comme un couplage significatif ne peut se produire qu'entre deux oscillateurs qui possèdent les mêmes éléments résonnants, les changements de fréquence (énergie) sont égaux et opposés. C'est ce que nous observons comme la loi de conservation de l'énergie. Lorsque des changements opposés de fréquence (énergie ) ont lieu entre deux résonances, l'énergie semble être transportée du centre d'une résonance à l'autre. On observe une perte d'énergie là où la fréquence diminue et de l'énergie ajoutée là où elle augmente. L'échange semble se déplacer avec la vitesse des ondes entrantes de la résonance réceptrice qui est c, la vitesse de la lumière. Lorsqu'un grand nombre de changements se produisent ensemble, nous pouvons en échantillonner une partie et voir un faisceau de lumière (qui provoque les ondes électromagnétiques continues de la physique moderne). Lorsque des échanges uniques se produisent, nous voyons les « photons » comme des interactions d'ondes stationnaires discrètes. Ainsi les ondes modulées transitoires voyageant entre deux résonances créent l'illusion de la « particule photonique ».

Comment les corps solides se forment-ils à partir des ondes ?
Le réseau de cristaux solides est une matrice d'atomes maintenus de manière rigide dans l'espace. Comment les atomes sont-ils suspendus dans l'espace ? Nous devons conclure que la rigidité du cristal provient d'ondes stationnaires fixes se propageant dans un milieu d'onde rigide. Les calculs pour les diamants et la structure nucléaire donnent une énorme rigidité. C'est vraiment un argument distinct sur la rigidité de l'espace, qui est l'une de ses propriétés. (Milo Wolff, 1990)
Suite de la page :
Nous commençons par deux citations très célèbres de Newton sur l'espace et le temps absolus. Les commentaires de Newton sur l'espace absolu étant les fondements des mouvements relatifs de la matière dans l'espace sont corrects et très astucieux car Newton prédit efficacement l'évolution de la relativité (qu'il est plus facile de mesurer le mouvement de la matière par rapport à une autre matière, plutôt qu'à l'espace lui-même !)

L'Espace Absolu, dans sa nature propre, sans égard à rien d'extérieur, reste toujours semblable et immobile. L'espace relatif est une dimension mobile ou une mesure des espaces absolus ; que nos sens déterminent, par sa position par rapport aux corps ; et qu'on prend vulgairement pour un espace immobile. ...
Et ainsi au lieu de lieux et de mouvements absolus, nous utilisons des lieux relatifs; et cela sans aucun inconvénient dans les affaires communes ; mais dans les dissertations philosophiques, nous devons faire abstraction de nos sens, et considérer les choses elles-mêmes, distinctes de ce qui n'en est que des mesures sensibles. Car il se peut qu'il n'y ait pas de corps réellement en repos, auquel les places et les mouvements des autres puissent être rapportés. ...
Le temps absolu, vrai et mathématique, de lui-même et de sa propre nature, s'écoule équitablement sans égard à aucune chose extérieure, et sous un autre nom s'appelle la durée : le temps relatif, apparent et commun est un temps sensible et extérieur (qu'il soit exact ou inéquitable). ) mesure de la durée par le mouvement, qui est couramment utilisée à la place du temps vrai ; comme une heure, un jour, un mois, une année. ...
Car les jours naturels sont vraiment inégaux, bien qu'ils soient généralement considérés comme égaux et utilisés pour mesurer le temps : les astronomes corrigent cette inégalité pour leur déduction plus précise des mouvements célestes. Il se peut qu'il n'y ait pas de mouvement égal, par lequel le temps puisse être mesuré avec précision. Tous les mouvements peuvent être accélérés et retardés, mais le progrès vrai ou égal du temps absolu n'est susceptible d'aucun changement. La durée ou la persévérance de l'existence des choses reste la même, que les mouvements soient rapides ou lents, ou nuls.
(Newton, 1687)

Albert Einstein considérait la matière comme étendue dans l'espace (et représentée par des champs de force sphériques) et ne croyait donc pas à l'existence d'un espace ou d'un temps fondamental séparé de la matière. Comme avec Leibniz et Mach, Albert Einstein croyait que tout mouvement de la matière dans l'espace pouvait plutôt être compris comme un mouvement de la matière par rapport à une autre matière, ainsi le concept d'un espace absolu est devenu inutile.

En physique newtonienne, le concept théorique élémentaire sur lequel repose la description théorique des corps matériels est le point matériel, ou particule. Ainsi la matière est considérée a priori comme discontinue. Cela oblige à considérer l'action des points matériels les uns sur les autres comme une action à distance. Puisque ce dernier concept semble tout à fait contraire à l'expérience quotidienne, il est naturel que les contemporains de Newton - et même Newton lui-même - aient eu du mal à l'accepter. Cependant, grâce au succès presque miraculeux du système newtonien, les générations successives de physiciens se sont habituées à l'idée d'action à distance. Tout doute était enterré pour longtemps. (Albert Einstein, 1950)


La solution est cependant évidente une fois connue - rejeter la particule discrète dans l'espace et la remplacer par l'onde stationnaire sphérique (SSW) dans l'espace. Ensuite, l'action instantanée à distance entre des particules discrètes devient une action à distance entre les ondes entrantes et sortantes des «particules» des centres d'ondes dans l'espace. Cela conduit à une compréhension claire de la façon dont la matière interagit avec d'autres matières à distance dans l'espace, car c'est l'interaction des ondes entrantes et sortantes avec d'autres SSW (et en particulier leurs centres d'onde) qui explique toute la matière. aux interactions de la matière dans l'Espace. Ces interactions sont limitées par la vitesse des ondes entrantes et sortantes qui est la vitesse de la lumière c. Ainsi, les actions à distance ne sont pas instantanées comme Newton l'avait supposé, mais sont limitées par la vitesse des ondes entrantes (vitesse de la lumière c,

D'autre part, par rapport à un Espace absolu, c'est un des buts de cet article de montrer qu'en fait Newton avait raison, il existe un Espace physique fondamental qui existe en tant que médium ondulatoire et relie nécessairement toutes choses. L'erreur de Newton a été de supposer davantage l'existence du mouvement des particules matérielles dans cet espace, plutôt que le mouvement ondulatoire (sphérique) de l'espace lui-même.
[/i]

Nous réalisons maintenant que son erreur évidente a été d'introduire des « particules » discrètes avec le mouvement, plutôt que le mouvement (d'onde) de l'espace lui-même, c'est-à-dire le mouvement d'onde stationnaire sphérique, qui crée « l'effet de particules » à son centre d'onde.
Découverte par de Broglie des propriétés ondulatoires des électrons (1927)
L'étape suivante a été franchie par de Broglie. Il s'est demandé comment les états discrets pouvaient être appréhendés à l'aide des concepts actuels, et établir un parallèle avec les ondes stationnaires (stationnaires) , comme par exemple dans le cas des fréquences propres des tuyaux et des cordes d'orgue en acoustique. ( Albert Einstein , 1954)

C'est avec une certaine frustration que je lis maintenant ces citations, car il est évident, avec le recul, de leurs erreurs et de la simplicité avec laquelle elles peuvent maintenant être résolues ! La réalisation de de Broglie que les ondes stationnaires existent à des fréquences discrètes et donc des énergies est évidemment vraie et importante, mais il a continué avec l'erreur du concept de particule et a donc imaginé des particules se déplaçant d'une manière ondulatoire ! Néanmoins, comme il était proche de la vérité, il eut un succès considérable avec sa théorie, et ces propriétés ondulatoires prédites de la matière furent peu après confirmées par des expériences (Davisson et Germer, 1927) sur la diffusion des électrons à travers les cristaux (qui agissent comme des fentes de diffraction ). Comme le confirme Albert Einstein;

Des expériences sur les interférences faites avec des rayons de particules ont donné la preuve éclatante que le caractère ondulatoire des phénomènes de mouvement , tel qu'il est supposé par la théorie, correspond bien aux faits. ( Albert Einstein , 1954)

Ainsi, en 1927, les propriétés ondulatoires de la matière avaient été prédites théoriquement par de Broglie, puis confirmées par l'expérience. Mais malheureusement, ces scientifiques ont continué à croire en l'existence de particules discrètes et ont donc mal interprété cette découverte la plus importante des propriétés des ondes stationnaires de la matière.
De Broglie a supposé que parce que la lumière avait à la fois des propriétés de particules et d'ondes, cela pouvait également être vrai pour la matière. Ainsi, il ne recherchait pas réellement la structure ondulatoire de la matière. Au lieu de cela, comme la matière était déjà supposée être une particule, il cherchait des propriétés ondulatoires de la matière pour compléter les propriétés connues des particules. En conséquence de cette dualité particule/onde, de Broglie a imaginé que les ondes stationnaires étaient liées à des longueurs d'onde discrètes et des ondes stationnaires pour certaines orbites de la particule électronique autour du proton. (Plutôt que de considérer la structure réelle des ondes stationnaires de l'électron lui-même.)
https://www.spaceandmotion.com/Physics- ... tivity.htm
https://www-spaceandmotion-com.translat ... r_pto=wapp

Lire intégralement cette page sur les fondements de la théorie et sur la lumière qui complète avantageusement celle de LaFrenière. Elle corrige aussi une de ses erreurs fondamentales. Il pensait que les électrons étaient immobiles autour du noyau, il l'a répété souvent. Cependant, ses pages sur les quarks, le proton et l'atome ont été vidées de leur contenu en novembre 2011. Il s'agit apparemment de la dernière intervention de LaFrenière sur son site peu avant sa mort. Il devait alors considérer que ces pages devaient recéler de grosses erreurs. La page sur les quarks commençait ainsi :
Ce site comporte de nombreuses pages que je tiens pour certaines, par exemple celles qui parlent de l'électron, des transformations de Lorentz, de la Relativité de Lorentz ou de mon Scanner du Temps. Au contraire, je me risque ici à formuler une simple hypothèse qui me paraît vraisemblable, mais qui reste à vérifier. Il en sera de même des pages sur les protons et les atomes, puisqu'elles sont fondées sur la même hypothèse.
Il a donc préféré les supprimer, mais on les retrouve dans les pages archivées de l'Internet Archive.
La page qui suit, sur la chimie, a été conservée. Elle commence ainsi :
Des hypothèses seulement.

Cette page ne propose que des hypothèses. Elle est au sommet de la pyramide ; plus que toutes les autres, elle constitue l'aboutissement d'une longue série de déductions. Si l'une seule de ces déductions s'avérait erronée, toute sa logique s'écroulerait comme un château de cartes. Vous voilà donc prévenus.
Si je fais erreur, je m'en excuse. Devant l'inconnu, il faut imaginer des hypothèses qui concordent avec un certain nombre d'indices. Hélas, il arrive qu'on se méprenne, et c'est donc le lot des chercheurs de se tromper le plus souvent. Par contre, seuls les chercheurs finissent par avoir raison de temps à autre. Si cette approche de la chimie devait être la bonne, on devra reconnaître que tout le reste, sur lequel elle s'appuie, est vraisemblablement correct.
Il s'avère que les orbites stables de l'électron correspondent à des multiples entier de l'onde de phase de De Broglie, ce qui montre que l'électron possède cette onde de phase et donc qu'il est en mouvement orbital. Il est étrange que LaFrenière soit passé complètement à côté de cette information, d'autant plus qu'il connaissait le site de Haselhurst.

Fin de la page sur la lumière :
De Broglie a supposé que parce que la lumière avait à la fois des propriétés de particules et d'ondes, cela pouvait également être vrai pour la matière. Ainsi, il ne recherchait pas réellement la structure ondulatoire de la matière. Au lieu de cela, comme la matière était déjà supposée être une particule, il cherchait des propriétés ondulatoires de la matière pour compléter les propriétés connues des particules. En conséquence de cette dualité particule/onde, de Broglie a imaginé que les ondes stationnaires étaient liées à des longueurs d'onde discrètes et des ondes stationnaires pour certaines orbites de la particule électronique autour du proton. (Plutôt que de considérer la structure réelle des ondes stationnaires de l'électron lui-même.)

Du point de vue de de Broglie, et de la physique moderne de l'époque, cette solution avait un certain charme. Il maintenait la dualité particule - onde pour la lumière ET la matière, et en même temps expliquait pourquoi seules certaines orbites de l'électron (qui se rapportent à des nombres entiers d'ondes stationnaires) étaient autorisées, ce qui correspondait parfaitement au modèle Niels Bohr de l'atome. de Broglie explique plus en détail son raisonnement sur la dualité particule / onde de la matière dans son discours d'acceptation du prix Nobel de 1929;

D'une part la théorie quantique de la lumière ne peut être considérée comme satisfaisante puisqu'elle définit l'énergie d'une particule lumineuse (photon) par l'équation E=hf contenant la fréquence f. Or une théorie purement particulaire ne contient rien qui permette de définir une fréquence ; pour cette seule raison, nous sommes donc obligés, dans le cas de la lumière, d'introduire simultanément l'idée de particule et celle de fréquence. D'autre part, la détermination du mouvement stable des électrons dans l'atome introduit des nombres entiers, et jusqu'ici les seuls phénomènes impliquant des nombres entiers en physique étaient ceux des interférences et des modes normaux de vibration. Ce fait m'a suggéré l'idée que les électrons aussi ne pouvaient pas être considérés simplement comme des particules, mais que la fréquence (propriétés ondulatoires) devait aussi leur être attribuée. ( de Broglie, 1929)

La solution à leurs problèmes a été trouvée pour la première fois par Wolff (1986). Il a découvert deux choses (qui méritent toutes deux un prix Nobel à part entière);

Tout d'abord, à la lecture de la thèse de doctorat de Feynman (voir référence, Feynman et Wheeler, 1945), il était au courant de la conception de Feynman des particules chargées qui "d'une manière ou d'une autre '' généraient des ondes électromagnétiques sphériques d'entrée et de sortie (Feynman les appelait des ondes avancées et retardées), mais Wolff s'est rendu compte qu'il n'y a pas de solutions pour les ondes électromagnétiques vectorielles sphériques (qui sont des ondes mathématiques qui nécessitent à la fois une quantité de force et une direction de force, c'est-à-dire vectorielle). Wolff a eu la prévoyance d'essayer d'utiliser de vraies ondes, qui sont scalaires (définies uniquement par leur amplitude d'onde).
Et cela a ensuite conduit à une série de découvertes remarquables.

Il s'est rendu compte que les ondes entrantes et sortantes sphériques supprimaient le besoin d'une particule séparée, car le centre d'onde des ondes sphériques créait l'effet de particules.
Il a ensuite découvert que lorsqu'une onde stationnaire sphérique se déplaçait par rapport à une autre, les décalages Doppler provoquaient À LA FOIS la longueur d'onde de de Broglie ET l' augmentation de masse de la relativité d'Albert Einstein . (c'est-à-dire que Wolff a démontré que lorsque deux particules chargées (centres d'onde de deux SSW) se déplacent l'une par rapport à l'autre, elles donnent lieu à des battements d'interférence (causés par le décalage Doppler des ondes entrantes et sortantes en raison du mouvement relatif) qui ont été identifiés dans des expériences comme la longueur d'onde de Broglie y=h/mv, et a également donné lieu à des augmentations de fréquence et donc à des augmentations d'énergie/masse (comme E=hf =mc 2) de la Relativité Restreinte.

Ainsi, dans la seule équation, il avait déduit, avec une certitude mathématique, les deux phénomènes observés dus au mouvement relatif, qui trouvaient respectivement des parties centrales à la fois de la théorie quantique et de la relativité restreinte d'Albert Einstein. (Ainsi, pour la première fois, unissant ces deux théories à partir d'une base théorique commune !)
Cela a ensuite conduit à ses travaux supplémentaires sur le couplage résonnant qui ont finalement résolu le puzzle du « photon » et expliqué pourquoi l'énergie lumineuse n'est jamais émise et absorbée que de manière discrète. les montants.

Malheureusement pour la physique moderne, et finalement pour la connaissance humaine, cette solution évidente n'a jamais été envisagée par de Broglie, Albert Einstein, Bohr, Schrodinger, Heisenberg, Dirac, Born, Feynman, etc. etc. Ainsi, la solution maintenant évidente de réaliser que la matière était une onde stationnaire sphérique qui provoque l'effet de particule ponctuelle au centre d'onde est restée inconnue et ignorée, et à la place, le concept déroutant et paradoxal de la dualité particule/onde a été retenu.

Les équations d'ondes de Schrodinger / Interactions d'ondes stationnaires (1928)
La théorie quantique était donc essentiellement fondée sur les observations expérimentales de fréquence et de longueur d'onde pour la lumière et la matière. Ces faits empiriques sont évidemment cohérents avec la structure Spherical Standing Wave de la matière.
1. La découverte de Planck selon laquelle l'énergie est liée à la fréquence dans l'équation E=hf
2. L'équivalence de l'énergie, de la fréquence et de la masse E=hf=mc 2 , qui en déduit la longueur d'onde de Compton Y=h/mc
3. La longueur d'onde de de Broglie y =h/mv

C'est Erwin Schrodinger qui a découvert que lorsque la fréquence f et la longueur d'onde de de Broglie y ont été substituées dans les équations d'onde générales, il devient possible d'exprimer l'énergie E et l'impulsion mv (à partir des équations ci-dessus) sous forme de fonctions d'onde - donc une particule confinée (par exemple un électron dans un atome/molécule) avec des fonctions d'énergie et d'impulsion connues pourrait être décrit avec une certaine fonction d'onde.
À partir de là, il a en outre été découvert que seules certaines fonctions d'onde de fréquence, comme les fréquences sur les cordes musicales, étaient autorisées à exister. Ces fonctions autorisées et leurs fréquences dépendaient de la structure de confinement (atome ou molécule) à laquelle l'électron était lié (analogue à la façon dont les cordes sont liées à un violon, et ce n'est qu'alors qu'elles peuvent résonner à certaines fréquences).
De manière significative, ces fréquences autorisées correspondaient aux fréquences discrètes observées de la lumière émise et absorbée par les électrons liés dans les atomes/molécules. Cela a encore confirmé les propriétés d'ondes stationnaires de la matière, et donc que seules certaines fréquences d'ondes stationnaires pouvaient exister qui correspondaient à certains états d'énergie. L'accord des fréquences observées et des équations d'onde de Schrödinger a encore établi l'importance fondamentale de la théorie quantique et donc des propriétés ondulatoires de la lumière et de la matière.
Comme l'explique Albert Einstein;
Comment attribuer une succession discrète de valeurs d'énergie E à un système spécifié au sens de la mécanique classique (la fonction d'énergie est une fonction donnée des coordonnées x et des impulsions correspondantes mv) ? La constante de Planck h relie la fréquence f = E/h aux valeurs d'énergie E. Il suffit donc d'affecter au système une succession de valeurs discrètes de fréquence f. Cela nous rappelle le fait qu'en acoustique une série de valeurs de fréquence discrètes est coordonnée à une équation aux dérivées partielles linéaire (pour des conditions aux limites données) à savoir les solutions périodiques sinusoïdales. De manière correspondante, Schrödinger s'est donné pour tâche de coordonner une équation aux dérivées partielles pour une onde scalairefonction à la fonction énergétique donnée E (x, mv), où la position x et le temps t sont des variables indépendantes. ( Albert Einstein , 1936)
Et ici, nous avons une dernière pièce du puzzle dans un sens, car c'est Schrödinger qui a découvert que les ondes stationnaires sont des ondes scalaires plutôt que des ondes électromagnétiques vectorielles. C'est une différence des plus importantes. Les ondes électromagnétiques sont des ondes vectorielles - à chaque point de l'espace, les équations d'onde donnent une quantité vectorielle qui décrit à la fois une direction et une amplitude (taille de la force) de l'onde, et cela se rapporte à la construction originale du champ em par Faraday qui décrivait à la fois une force et une direction de la façon dont cette force a agi sur une autre matière.
Les mouvements ondulatoires sphériques de l'espace sont des ondes scalaires - à chaque point de l'espace, les équations d'onde produisent une quantité unique qui décrit simplement l'amplitude de l'onde (il n'y a pas de composante directionnelle). Par exemple, les ondes sonores sont des ondes scalaires où l'amplitude de l'onde décrit le mouvement (ou la compression) du milieu de l'onde (l'air). De même, l'espace est un milieu d'onde presque rigide qui propage des mouvements d'onde.
Avec l'introduction par de Broglie du concept d' ondes stationnaires pour expliquer les états d'énergie discrets des atomes et des molécules, et l'introduction des ondes scalaires par Schrödinger , ils avaient saisi intuitivement d'importantes vérités de la nature comme le confirme Albert Einstein ;
Des expériences sur les interférences faites avec des rayons de particules ont donné la preuve éclatante que le caractère ondulatoire des phénomènes de mouvement, tel qu'il est supposé par la théorie, correspond bien aux faits.
La méthode de Broglie-Schrödinger, qui a en un certain sens le caractère d'une théorie des champs, ne déduit en effet l'existence que d'états discrets, en accord surprenant avec les faits empiriques. Il le fait sur la base d'équations différentielles appliquant une sorte d' argument de résonance .
( Albert Einstein , 1927)
Alors expliquons maintenant plus en détail ce phénomène d'énergie lumineuse émise et absorbée en quantités discrètes (photons) en raison d'interactions d'ondes stationnaires résonnantes. Tout d'abord, nous devons comprendre le deuxième principe et réaliser que la vitesse des mouvements d'onde dans l'espace n'est pas constante et dépend en fait à la fois de l'amplitude d'onde et de la densité d'énergie de masse de l'espace (carré de l'amplitude d'onde). Ce sont simplement les propriétés de l'Espace en tant que médium Ondulatoire.
Sur le couplage résonant comme cause de la lumière
Ce que nous devons en outre réaliser, c'est que la lumière n'est émise et absorbée que par des électrons liés dans des atomes ou des molécules, et ces électrons ont un mouvement d'onde stationnaire répétitif complexe autour du noyau. Ainsi, les électrons se comportent comme des «résonateurs oscillants» et il est de notoriété publique pour les ingénieurs électriciens et les physiciens que deux résonateurs interconnectés peuvent subir un couplage résonnant, où un résonateur diminue en fréquence et l'autre augmente d'une quantité correspondante.
Ainsi, deux électrons résonnants liés (oscillateurs) échangent de l'énergie un peu comme des oscillateurs couplés classiques, tels que des circuits électriques ou des pendules joints.
Le couplage fourni par les centres non linéaires des résonances (centres d'onde à amplitude d'onde élevée où les vitesses d'onde changent) les fait changer de vitesse, de fréquence et de longueur d'onde, en raison de l'interaction (modulation) des ondes les unes des autres. Comme un couplage significatif ne peut se produire qu'entre deux oscillateurs qui possèdent les mêmes éléments résonnants, les changements de fréquence (énergie) sont égaux et opposés. C'est ce que nous observons comme la loi de conservation de l'énergie.
Lorsque des changements opposés de fréquence (énergie ) ont lieu entre deux résonances, l'énergie semble être transportée du centre d'une résonance à l'autre. On observe une perte d'énergie là où la fréquence diminue et de l'énergie ajoutée là où elle augmente. L'échange semble se déplacer avec la vitesse des ondes entrantes de la résonance réceptrice qui est c, la vitesse de la lumière. Lorsqu'un grand nombre de changements se produisent ensemble, afin que nous puissions en échantillonner une partie, nous voyons un faisceau de lumière. Lorsque des échanges uniques se produisent, nous voyons les photons comme des échanges d'énergie discrets. Les ondes modulées transitoires voyageant entre deux résonances (lorsque les électrons/centres d'onde se déplacent d'un modèle d'onde stationnaire à un autre) créent l'illusion du photon. Un échange peut nécessiter 10 8 à 10 15cycles à compléter, selon le degré de couplage et l'espèce de résonance.
Par exemple, si un oscillateur était un électron, sa fréquence mc 2 /h est d'environ 10 ^23 hertz, et si le temps de transition était de 10 ^-8 secondes, le changement de fréquence nécessite environ 10 ^15 cycles pour se terminer. Un si grand nombre de cycles implique, en argot d'ingénierie, une grande valeur Q, qui indique une grande précision des changements égaux et opposés de la fréquence de l'oscillateur, et la conservation de l'énergie.
Ainsi, nous réalisons que ces différents modèles d'ondes stationnaires provoquent une oscillation cyclique dans la forme des ondes entrantes et sortantes qui décrit une fonction d'onde qui est finalement la cause de la longueur d'onde et de la fréquence «électromagnétique» de la lumière. Comme seules certaines "orbites" discrètes (fonctions d'onde stationnaire) existent pour le centre d'onde de l'onde stationnaire sphérique, elle ne peut alors échanger des fréquences qu'à des niveaux discrets qui correspondent à des échanges d'énergie discrets de "photons" lumineux. c'est-à-dire E=hf où seules les fréquences discrètes (f) sont stables en résonance et donc "autorisées". (Il n'y a pas de "particules/photons" de lumière séparés ni de fonctions d'onde qui s'effondrent, les deux n'étant que des existants mathématiques !)
Plus important encore, ces interactions d'ondes stationnaires et ce couplage résonnant sont à l'origine des équations d'ondes stationnaires de Schrödinger et de leur succès évident à expliquer les états d'énergie autorisés pour les électrons dans les atomes, et donc l'effet photonique discret de la lumière lorsque ces électrons se déplacent d'une onde stationnaire résonnante. motif (état quantique) à un autre.
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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#65

Message par externo » 12 mars 2023, 17:20

La solution au problème de l'absence de solutions d'onde vectorielle des équations de Maxwell en coordonnées sphériques
Par Geoff Haselhurst (d'après les explications de Milo Wolff)

James Maxwell (1876) a utilisé les résultats expérimentaux (empiriques) de Faraday, Coulomb, etc. pour développer quatre équations, désormais célèbres, dont les solutions décrivaient une onde électromagnétique (em) qui en déduit correctement la vitesse de la lumière c. Maxwell avait raison de dire que la lumière est une onde se déplaçant avec une vitesse c - mais c'est une onde développée à partir de l'interaction des ondes IN et OUT de deux ondes stationnaires sphériques dont les centres d'onde sont liés par des modèles d'ondes stationnaires résonnantes. (C'est donc l'interaction de quatre ondes qui explique probablement pourquoi il y a quatre équations de Maxwell.)

Les équations de Maxwell (ME), qui décrivent la formation de champs électriques E par une distribution de charge q et des champs magnétiques changeants H, ainsi que la formation du champ H par une variation de E et des courants électriques i, ne peuvent pas décrire une onde électromagnétique sphérique ! C'est un fait mathématique qu'il n'y a pas de solutions ondulatoires des ME en coordonnées sphériques ! Seule l'équation d'onde « quantique » scalaire a des solutions d'onde sphériques. De même, il n'y a pas de solutions ME imaginables pour une «particule de photon». Il est clair que les ME ne sont pas fondamentales et que le photon n'est qu'une construction mathématique.

L'échec du ME en coordonnées sphériques peut être imaginé en disant, vous ne pouvez pas peigner les cheveux sur une balle de tennis. Cela signifie que si vous essayez de peigner un champ E (les cheveux représentant le vecteur électrique) partout à plat sur une balle de tennis (une surface sphérique), vous devez créer un "cowlick" quelque part sur la balle qui frustre votre tentative de le peigner .

Les questions se posent, pourquoi les théoriciens ont-ils continué à privilégier le champ em, le photon et ME pendant 70 ans malgré l'échec flagrant bien connu de la description mathématique à s'accorder avec l'observation ? Pourquoi n'a-t-on pas recherché d'autres descriptions de la nature ? Nous soupçonnons que la réponse est parce que cela a fonctionné une fois les erreurs supprimées avec un peu de mathématiques "hocus pocus" et l'aide de données empiriques.
Malheureusement, cette vision positiviste logique de conserver les champs de particules ponctuelles et de force vectorielle a été à l'origine des nombreux paradoxes et mystères entourant la théorie quantique. La confusion qui en résulte est de plus en plus exploitée dans la presse populaire. Au lieu de rechercher le simple comportement de la nature, la communauté des physiciens a découvert que la « dualité onde-particule » était une rampe de lancement passionnante pour des propositions plus complexes qui ont trouvé le soutien des agences de financement gouvernementales. La recherche de la vérité a été mise dans les limbes et la dualité onde-particule a régné.

Une fois que nous comprenons cependant que la théorie particulaire de la matière est une description mathématique (positiviste logique) de la nature, cela devient alors moins déroutant. Essentiellement, la particule est une construction mathématique pour décrire l'échange d'énergie. Il ne dit rien sur le mécanisme d'échange d'énergie et ne fait donc aucun commentaire sur la façon dont la particule existe, comment elle se déplace dans l'espace, de quoi est fait l'espace autour de la particule et comment les particules de matière "émettent" et "absorbent" les particules de photons avec d'autres particules de matière distantes dans l'Espace.

Considérons alors un argument fondamentalement important de Feynman selon lequel la lumière doit être une particule.

Pendant de nombreuses années après Newton, la réflexion partielle par deux surfaces a été heureusement expliquée par une théorie des ondes,* mais lorsque des expériences ont été faites avec des photomultiplicateurs frappant une lumière très faible, la théorie des ondes s'est effondrée : à mesure que la lumière devenait de plus en plus faible, les photomultiplicateurs continuaient à faire clics en taille réelle - il y en avait juste moins. La lumière se comporte comme des particules .
* Cette idée a utilisé le fait que les ondes peuvent se combiner ou s'annuler, et les calculs basés sur ce modèle correspondaient aux résultats des expériences de Newton, ainsi qu'à ceux effectués pendant des centaines d'années par la suite. Mais lorsque des expériences suffisamment sensibles pour détecter un seul photon ont été développées, la théorie des ondes a prédit que les clics d'un photomultiplicateur deviendraient de plus en plus doux, alors qu'ils restaient à pleine puissance - ils se produisaient simplement de moins en moins souvent. Aucun modèle raisonnable ne pourrait expliquer ce fait.
Cet état de confusion s'appelait la dualité onde-particule de la lumière.
( Feynman , 1985)

Feynman est cependant incorrect de deux manières;
Premièrement, il fait des hypothèses injustifiées au-delà de ce qui est observé. Il est vrai que l'énergie lumineuse est émise et absorbée en quantités discrètes entre deux électrons. Mais nous N'OBSERVONS AUCUNE 'Particule' - nous n'observons que des échanges d'énergie discrets !
Deuxièmement, la solution consiste à réaliser que la structure d'ondes stationnaires sphériques de la matière exige en fait que tous les échanges d'énergie pour la lumière soient de quantités discrètes, car c'est ce qui se produit pour le «couplage résonant» et pour les interactions d'ondes stationnaires en général.

Il est également intéressant de voir avec quelle simplicité Feynman résume QED;

Alors maintenant, je vous présente les trois actions de base, d'où découlent tous les phénomènes de lumière et d'électrons.
-Action #1 : Un photon va d'un endroit à l'autre.
-Action #2 : Un électron va d'un endroit à l'autre.
-Action #3 : Un électron émet ou absorbe un photon.


Cela peut maintenant être simplifié en deux actions avec le WSM ;
Action n° 1 : un électron, en tant que centre d'onde d'une onde stationnaire sphérique, va d'un endroit à l'autre dans l'espace (tel que déterminé par les ondes sphériques). Action n° 2 : un électron se couple en résonance avec un autre électron (émet
ou absorbe un photon)

Une fois que nous réalisons qu'il n'y a pas de particules d'électron ou de photon séparées, nous supprimons ainsi le problème de savoir comment une particule d'électron peut interagir avec une particule de photon séparée ! Ainsi, cette solution est en fait plus cohérente (et plus simple) que la QED de Feynman, en particulier si l'on considère l'explication supplémentaire de Feynman selon laquelle un positon est un électron qui recule dans le temps.

L'électron qui recule lorsqu'il est vu avec le temps qui avance apparaît comme un électron ordinaire, sauf qu'il est attiré par les électrons normaux - nous disons qu'il a une charge positive. Pour cette raison, on l'appelle un positron. Le positron est une particule sœur de l'électron et est un exemple d'antiparticule. ..Ce phénomène est général. Chaque particule dans la Nature a une amplitude pour reculer dans le temps, et a donc une anti-particule. ( Feynman , 1985)

Comme l'explique Wolff, il s'agit simplement d'une vérité mathématique causée par le fait qu'un temps négatif dans les équations d'onde modifie la phase des ondes stationnaires pour qu'elle soit égale et opposée, ce qui correspond à l'antimatière. (L'antimatière ne recule pas dans le temps !)
De plus, notez ce que Feynman dit à propos des photons, qui sont traités comme des particules dans QED, et donc selon la logique de Feynman, il devrait également y avoir des anti-photons, alors que le WSM est clair sur ce point - il y a des anti-électrons (positrons) qui sont des ondes stationnaires sphériques de phase opposée, mais il n'y a pas de particules de photons séparées, donc pas d'anti-photons !

Et qu'en est-il des photons ? Les photons se ressemblent exactement à tous égards lorsqu'ils remontent le temps, ils sont donc leurs propres antiparticules. Vous voyez comme nous sommes habiles à faire de l'exception une règle ! ( Feynman , 1985)

Bien que cela puisse être intelligent, ce n'est pas une bonne philosophie et cela a conduit à une physique moderne très confuse et absurde. Il est sûrement temps pour les physiciens de commencer à considérer les problèmes théoriques fondamentaux des théories existantes et de comprendre que la métaphysique de l'espace et du mouvement et la structure d'onde sphérique de la matière sont un moyen simple, sensé et évident de résoudre ces problèmes !
Enfin, expliquons comment nous pouvons confirmer expérimentalement la structure d'onde sphérique de la matière (ce qui serait évidemment très convaincant pour les sceptiques !)
1.7 Théorie quantique : explication par Wolff de l'expérience d'Einstein, Podolsky, Rosen (EPR) et autres prédictions
'The Ultimate Paradox - Bell's Theorem' de Milo Wolff, Exploration de la physique de l'univers inconnu, 1994

En 1935, Albert Einstein, Podolsky et Rosen (EPR) proposèrent une expérience de gedanken (pensée) dont ils pensaient que le résultat était certain de montrer qu'il existait des phénomènes naturels que la théorie quantique ne pouvait pas expliquer. L'expérience était basée sur le concept que deux événements ne peuvent pas s'influencer si la distance entre eux est supérieure à la distance que la lumière pourrait parcourir dans le temps disponible. En d'autres termes, seuls les événements locaux à l'intérieur de la sphère lumineuse peuvent s'influencer les uns les autres.
Leur concept expérimental a ensuite été utilisé par John Bell (1964) pour formuler un théorème qui a montré que soit les prédictions statistiques de la théorie quantique, soit le principe des événements locaux sont incorrects. Il n'a pas dit lequel était faux, mais seulement que les deux ne peuvent pas être vrais, bien qu'il soit clair qu'Albert Einstein s'attendait à ce que le Principe soit affirmé.

Lorsque des expériences ultérieures (Clauser & Freedman 1972 ; Aspect, Dalibard et Roger, 1982 ; et d'autres) ont confirmé que la théorie quantique était correcte, la conclusion a été surprenante. Le principe des événements locaux a échoué, nous forçant à reconnaître que le monde n'est pas tel qu'il apparaît. Quelle est alors la vraie nature de notre monde ?
L'impact important du théorème de Bell et des expériences est qu'ils ont clairement poussé, un dilemme philosophique autrefois unique de la théorie quantique, dans le monde réel. Ils montrent que les idées de la physique post-moderne sur le monde sont en quelque sorte profondément déficientes. Personne n'a compris ces résultats et seule une attention scientifique limitée leur a été accordée.
Wolff-EPR-1.jpg
Figure 1.7.1 Expérience pour tester le théorème de Bell Les photons polarisés sont émis au centre, traversent les filtres de polarisation réglables à gauche et à droite et entrent dans les détecteurs de chaque côté. Des coïncidences (détection simultanée) sont enregistrées et tracées en fonction de l'écart angulaire entre les deux réglages des filtres de polarisation.

L'essence du théorème de Bell
Son théorème se rapporte aux résultats d'une expérience comme celle montrée sur la figure 1.7.1 (voir ci-dessus) : Une source de deux photons appariés, obtenue à partir de la désintégration simultanée de deux états atomiques excités, est au centre. Aux côtés opposés, sont situés deux détecteurs de photons polarisés. Les filtres de polarisation de chaque détecteur peuvent être placés parallèlement les uns aux autres, ou selon un autre angle librement choisi. On sait que les polarisations des photons appariés sont toujours parallèles entre elles, mais aléatoires par rapport à leur environnement. Ainsi, si les filtres du détecteur sont mis en parallèle, les deux photons seront détectés simultanément. Si les filtres sont à angle droit, les deux photons ne seront jamais détectés ensemble. Le modèle de détection pour les réglages à des angles intermédiaires fait l'objet du théorème.

Bell (et Albert Einstein, Podolsky et Rosen) ont supposé que les photons arrivant sur chaque détecteur ne pouvaient avoir aucune connaissance du réglage de l'autre détecteur. En effet, ils ont supposé que ces informations devraient voyager plus vite que la vitesse de la lumière - interdite par la relativité restreinte d'Albert Einstein. Leur hypothèse reflète le principe des causes locales, c'est-à-dire que seuls les événements locaux à chaque détecteur peuvent affecter son comportement.
Sur la base de cette hypothèse, Bell a déduit que la relation entre la différence angulaire entre les réglages du détecteur et les coïncidences détectées des paires de photons était linéaire, comme la ligne L sur la figure 1.7.2. Sa déduction vient de la symétrie et de l'indépendance des deux détecteurs, comme suit : Une différence de réglage de X, à un détecteur a le même effet qu'une différence X, à l'autre détecteur. Par conséquent, si les deux sont déplacés X, la différence angulaire totale est de 2X et l'effet total est deux fois plus, ce qui est une relation linéaire.
Wolff-EPR-2.jpg
Figure 1.7.2 Le résultat d'une expérience pour tester le théorème de Bell Les points de données R des expériences sont représentés par des points noirs. Ils sont d'accord avec la raie QM, prédite par la mécanique quantique, et ne sont pas d'accord avec la raie L, prédite par le concept de causalité d'Albert Einstein.

Ce fut une grande surprise, car l'échec de la causalité suggère que la communication se déroule à des vitesses supérieures à la vitesse de la lumière.
La ligne courbe est le calcul obtenu à partir de la théorie quantique standard.
Bell, Albert Einstein, Podolsky et Rosen, ou quiconque ne croit pas aux vitesses supraluminiques, s'attendraient à trouver la ligne L.
En fait, les expériences ont donné des points R, qui correspondaient à la ligne QM. Les prédictions de la théorie quantique avaient détruit les hypothèses d'Albert Einstein, Podolsky et Rosen !
Les résultats de ces expériences ont été tellement incrédules qu'ils ont été répétés par d'autres personnes, en utilisant différentes sources de photons, ainsi que des particules à spins appariés. L'expérience la plus récente d'Aspect, Dalibard et Roger, a utilisé des commutateurs acousto-optiques à une fréquence de 50 MHz qui décalaient les réglages des polariseurs pendant le vol des photons, pour éliminer complètement toute possibilité d'effets locaux d'un détecteur sur l'autre. . Néanmoins, ils ont signalé que l'hypothèse EPR était violée de cinq écarts-types, alors que la théorie quantique était vérifiée dans l'erreur expérimentale (environ 2%).

Existe-t-il des influences non locales ?
Le théorème de Bell et les résultats expérimentaux impliquent que des parties de l'univers sont connectées de manière intime (c'est-à-dire pas évidentes pour nous) et ces connexions sont fondamentales (la théorie quantique est fondamentale). Comment pouvons-nous les comprendre ? Le problème a été analysé en profondeur (Wheeler & Zurek 1983, d'Espagnat 1983, Herbert 1985, Stapp 1982, Bohm & Hiley 1984, Pagels 1982, et autres) sans résolution. Ces auteurs ont tendance à s'accorder sur la description suivante des connexions non locales :
1. Ils relient des événements à des emplacements séparés sans champs ni matière connus.
2. Ils ne diminuent pas avec la distance ; un million de miles équivaut à un pouce.
3. Ils semblent agir avec une vitesse supérieure à la lumière.
De toute évidence, dans le cadre de la science, c'est un phénomène déroutant. D'une mystérieuse manière quantique, la communication semble avoir lieu plus vite que la lumière entre les deux détecteurs de l'appareil. Ces résultats ont montré que notre compréhension du monde physique est profondément déficiente.

Explication de la communication « instantanée » EPR-Bell
La structure ondulatoire sphérique de la matière, en particulier le comportement des ondes entrantes et sortantes, est capable de résoudre cette énigme afin que l'apparence d'une communication instantanée soit comprise et pourtant ni Albert Einstein ni QM n'ont besoin de se tromper. Pour le montrer, il est nécessaire d'examiner attentivement le processus détaillé d'échange d'énergie entre deux atomes, par l'action des ondes IN/OUT des deux atomes. Rappelez-vous que pour le couplage résonant, il est nécessaire que les ondes d'entrée et de sortie des deux électrons interagissent les unes avec les autres. Le passage des deux In-Waves (ondes entrantes) à travers les deux Wave-Centers (centres d'ondes) précède les décalages de fréquence réels de la source et du détecteur. Un moyen de détecter cet événement de premier passage n'est pas une capacité de l'appareil photo-détecteur habituel et reste totalement inaperçu. Mais les In-Waves sont des homologues symétriques des Out-Waves et transportent les informations de leur état de polarisation entre les parties de l'appareil expérimental avant que les Out-Waves (ondes sortantes) ne provoquent un événement de photon au départ. Les In-Waves en voyagent à la vitesse de la lumière, il n'y a donc pas de violation de la relativité.
À ce stade, vous pourriez être enclin à ne pas croire la réalité de l'In-Wave. Mais il y a d'autres preuves pour cela. Rappelez-vous, cela explique la longueur d'onde de Broglie et donc QM. Il est nécessaire d'expliquer l'augmentation de masse relativiste d'un objet en mouvement ou la symétrie dans sa direction de mouvement. Il est responsable de la force finie de l'électron SR en son centre. Tout cela est-il simplement une coïncidence ? Surtout, c'est la combinaison des In et Out Waves qui explique ces lois, pas seulement les In-Waves. Si vous croyez en l'un, vous êtes obligé de croire en l'autre.
(Note ajoutée par Haselhurst - En fait, sans In-Waves, il ne peut y avoir d'Out-Waves, car les Out-Waves sont simplement les In-Waves après qu'ils se sont propagés In et Out à travers le Wave-Center. Ainsi Wolff dit que les électrons de l'expérience sont déjà interconnectés les uns avec les autres, et sont donc déjà "conscients" de l'état de résonance et de la polarisation les uns des autres, avant que les photons appariés ne soient émis. C'est cette interconnexion subtile de la matière qui explique le conflit apparent de l'expérience EPR .)

Peut-on trouver la preuve des In-Waves ?
Pour que quelqu'un croie vraiment à une nouvelle théorie, une expérience démontrant l'existence de nouveaux phénomènes inconnus auparavant est des plus convaincantes. Prouver l'existence des In-Waves (et donc l'interconnexion préexistante des électrons avec le reste de l'appareil) serait une telle expérience critique. Cela peut probablement être accompli avec un appareil du type utilisé par Aspect, Dalibard et Rogers (1982) sauf qu'au lieu d'effectuer un réglage aléatoire du filtre pendant le temps de passage d'un photon, le réglage du filtre doit avoir lieu pendant la période de temps précédant le départ du photon .. Le but est de contrecarrer la communication par les In-Waves. Comme les In-Waves sont nécessaires au processus d'échange d'énergie, le résultat de l'expérience serait une relation linéaire entre la différence angulaire des deux filtres. Ce serait le résultat initialement attendu par Albert Einstein pour l'expérience EPR.
(Fin de section de Milo Wolff.)

La structure ondulatoire de la matière est une nouvelle façon profonde de voir comment la matière existe et interagit avec d'autres matières dans l'espace. Wolff a expliqué un changement très simple à une expérience très célèbre qui cause actuellement à la théorie quantique, et à la connaissance intellectuelle humaine en général, de profonds problèmes et paradoxes. Il nous semble donc absolument indispensable que cette expérience soit refaite comme suggéré ci-dessus. Nous espérons sincèrement que ce travail sur la métaphysique de l'espace et du mouvement et la structure ondulatoire sphérique de la matière conduira finalement à ce que ce nouveau "paradigme" soit pris au sérieux, et que cette expérience soit réalisée le plus tôt possible !

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#66

Message par externo » 12 mars 2023, 20:49

Geoff Haselhurst tire des conséquences hasardeuses de la nature ondulatoire de la matière : Espace infini, non existence du Big Bang...
Actuellement, la cosmologie est obscurcie par une croyance erronée dans le "Big Bang" - que l'univers est en expansion, et a donc eu un début à un moment donné dans le passé. Ce n'est pas correct, pour la simple raison que le redshift Hubble observé avec la distance n'est PAS causé par un décalage Doppler dû au recul du mouvement (un univers en expansion), mais plutôt par la diminution des interactions des ondes avec la distance.
Il semble aussi être sous la fausse idée que la cosmologie mainstream affirmerait que l'univers ne s'étend pas au delà de l'univers observable, idée qu'il conteste (et il a raison de la contester...)
Enfin, la cosmologie WSM prédit que le mouvement des galaxies lointaines se comportera comme s'il y avait de la matière tout autour d'elles, alors que dans la cosmologie du big bang, il n'y aurait de matière que d'un côté (l'intérieur, car il n'y a pas d'« extérieur »).
https://www-spaceandmotion-com.translat ... r_pto=wapp

Wolff a compris que l'électron subissait un effet Doppler qui augmentait sa masse et qui générait l'onde de phase de de Broglie, et il a correctement rattaché cela aux orbitales atomiques. Par contre, il n'a pas vu et n'a jamais voulu croire LaFrenière qui lui disait que l'effet Doppler impliquait aussi la contraction des longueurs, la dilatation du temps et le changement de simultanéité de la relativité, comme Cabala le savait depuis 1975.
Haselhurst de son côté ne mentionne jamais non plus la contraction des longueurs et la dilatation du temps mais reconnaît que Einstein s'est trompé et que Lorentz avait plus ou moins raison.

Il y a trois axes de découvertes plus une théorie aboutie mais hautement spéculative :
1-Cabala (mathématique)/Ivanov (dynamique) : les transformations de Lorentz sont les transformations éprouvées par des ondes mécaniques en mouvement, donc la matière doit être constituée de telles ondes (1975 et 1980).
2-Wolff : découverte de la structure de l'électron (1986).
3-La Frenière : tire profit de ces deux découvertes pour montrer que l'électron en mouvement se contracte comme l'avait prévu Lorentz et que la théorie d'Einstein est erronée, élabore la nouvelle mécanique basée sur les ondes ; par contre, ne fait bizarrement pas le lien entre orbitale atomique et onde de de Broglie et suppose l'électron immobile sur son orbitale.
4-Yee : reprend les travaux de Wolff, LaFrenière, Borg, Distinti, pour en faire une théorie aboutie ; rentre dans des détails mathématiques approfondis ; mais utilise beaucoup d'hypothèses invérifiables ; dans sa théorie, contrairement à celle de LaFrenière, l'électron n'est pas la seule particule et il existe un tableau périodique des particules.

Pages contenant d'autres références : https://web.archive.org/web/20180626055 ... orists.htm
Chris Hawkings aurait découvert la structure de l'électron dès 1978.

Par ailleurs, voici le site français de Denys Lépinard : https://web.archive.org/web/20120430050 ... ostat.com/
Il semble contenir des informations très intéressantes. Il a aussi publié un livre sur la nouvelle mécanique ondulatoire en 2019.

La gravité

Wolff et Haselhurst à sa suite prétendent que la densité de l'éther augmente autour des masses, ce qui engendre la gravité.
LaFrenière et Yee à sa suite prétendent que la gravité provient d'un effet d'ombre dans le sillage des théories historiques du type Lesage (Les deux donnent des causes différentes à cet effet d'ombre.) Lorentz et Poincaré ont essayé d'expliquer la gravité de cette façon aussi, mais le fait d'ignorer la nature ondulatoire de la matière ne pouvait que les faire échouer dans cette entreprise.
https://en.wikipedia.org/wiki/Le_Sage%2 ... ravitation
https://en-m-wikipedia-org.translate.go ... r_pto=wapp

Il est remarquable que Keller et Boisbaudran ont postulé vers 1860-70 une théorie très proche de celle de LaFrenière
Keller et Boisbaudran
En 1863, François Antoine Edouard et Em. Keller [31] a présenté une théorie en utilisant un mécanisme de type Le Sage en combinaison avec des ondes longitudinales de l'éther. Ils ont supposé que ces ondes se propagent dans toutes les directions et perdent une partie de leur élan après l'impact sur les corps, donc entre deux corps la pression exercée par les ondes est plus faible que la pression autour d'eux. En 1869, Paul-Emile Lecoq de Boisbaudran [32] présente le même modèle que Leray (incluant l'absorption et la production de chaleur etc.), mais comme Keller et Keller, il remplace les particules par des ondes longitudinales de l'éther.
Il faut juste corriger en disant que les ondes ne rebondissent pas sur les corps mais les traversent et ressortent avec un léger déficit en énergie.

Le problème de LaFrenière et Yee est qu'ils semblent ignorer les résultats de la RG et se contentent de la formule de Newton, c'est à dire qu'il ne prennent pas en compte la courbure de l'espace, qui est de toute façon bannie de leurs théories tridimentionnelles.

Les quaternions

Il se pourrait que Geoff Haselhurst ait mis le doigt sur quelque chose d'important.
On sait que les fluctuations du vide quantique peuvent s'interpréter comme des oscillations harmonique de billes (granules d'éther). Mais elles peuvent aussi s'interpréter comme des créations continues de particules-antiparticules.
Il semblerait que Geoff Haselhurst ait trouvé la raison à cette deuxième interprétation dans la manière dont interfèrent les ondes planes de l'éther quand elles se croisent.

https://www.spaceandmotion.com/physics- ... uation.htm
https://www-spaceandmotion-com.translat ... r_pto=wapp

https://forums.fqxi.org/d/1548-physical ... haselhurst

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#67

Message par externo » 13 mars 2023, 12:55

Deux points intéressants :

1-Les sites de Denis Lépynard (en ligne jusqu'en 2020) et Ray Tomes (encore en ligne en 2023).
Ces deux sites traitent des ondes et des cycles dans tous les phénomènes : la vie, l'évolution, l'économie... Ils sont bien liés aux autres car ils partagent la même conception de l'électron et de l'espace/éther. D'après Lépynard, ces ondes seraient des des vibrations de l'éther issues de vibrations inférieures remontant jusqu'aux particules élémentaires.
Le site de Lépynard a l'air agréable à lire et contenir des explications importantes. C'est un site à éplucher et à mettre à côté de ceux de Wolff, Cabala, LaFrenière, Yee, Haselhurst, Ivanov.
Mon projet, que j'expose dans ce site, est de montrer que tout ce qui se passe dans l’univers est le résultat de combinaisons et d’interférences entre systèmes d’ondes de différentes dimensions. Les longueurs d'ondes peuvent être très petites, avec de grandes fréquences, comme celles qui produisent l’électron, ou très grandes, à l’échelle de l’Univers, comme celles qui sont à l’origine de la répartition des masses, aussi bien des êtres vivants que des objets qui peuplent le cosmos, comme nous le verrons.
Voici une page qui parle de l'onde de phase et de l'atome d'hydrogène.
Guidé par l'onde de phase, l’électron se retrouve dans la même situation que s’il était en un mouvement rectiligne uniforme, il ne rayonne donc pas d’énergie.
Dans la page suivante on comprend que la série de Balmer s'explique par des interférence, mais cela n'empêche pas l'électron de décrire une orbite dont la vitesse est réglée de façon à ce que l'onde de phase "reprenne à chaque tour la même phase" et qu'il n'y ait pas de rayonnement.

2-La découverte par Chris Hawkings de la structure de l'électron.
Chris Hawkings a longtemps essayé de convaincre les scientifiques du bien fondé de sa découverte, mais sans succès.
https://www.spaceandmotion.com/chris-ha ... theory.htm
https://www-spaceandmotion-com.translat ... r_pto=wapp

https://www.spaceandmotion.com/chris-ha ... theory.htm
https://www-spaceandmotion-com.translat ... r_pto=wapp
Curieusement, Andrews a pris contact avec moi pour savoir pourquoi j'étais parti. Au cours de l'appel téléphonique, il a mentionné une conférence dont il venait de rentrer. Lors de la conférence, il m'avait acheté un livre du Dr Milo Wolff qui, pensait-il, couvrait le même sujet que celui que je développais. L'entendre parler me fit paniquer momentanément. Je me suis immédiatement demandé si le livre de Wolff avait effectivement publié ma découverte, mais je l'ai rejetée comme hautement improbable. Cette confiance a été de courte durée car je l'ai ramassé et lu. Cela a fait couler mon cœur. Mes idées, les idées sur lesquelles j'avais travaillé fébrilement pendant quatorze ou quinze ans, semblaient m'exploser au visage. C'était comme perdre un être cher. J'avais nourri et protégé ces idées pendant si longtemps pour me les faire voler en un instant. Pendant un certain temps, j'étais trop engourdi pour partager ce que je ressentais avec qui que ce soit, pas même avec ma famille. Je me demandais pourquoi j'avais pris la peine de poursuivre mon travail, pourquoi Dieu m'avait laissé aller aussi loin si je devais m'en arracher, pourquoi il ne m'avait pas donné les compétences ou ne m'avait pas ouvert de portes. C'était une période angoissante.

Malgré ma réaction initiale, j'ai commencé à comprendre au cours des semaines suivantes que la proposition de Wolff était une version plus simple et unidimensionnelle de mon analyse tridimensionnelle. La course dans ma tête ralentit un peu. Après tout, son livre avait été publié en 1990, six ans après ma session d'affiches au sixième congrès de l'AIP à Brisbane et douze ans après la découverte initiale que j'ai faite à Queanbeyan. Je craignais toujours de perdre mon unicité en tant que seul découvreur, mais j'étais suffisamment satisfait d'avoir devant un tribunal suffisamment de preuves pour montrer que j'étais la source originale de l'idée reliant les ondes de matière à l'interférence des ondes entrantes et sortantes. . Mon hypothèse que les ondes étaient de nature électromagnétique, constituait une distinction supplémentaire et significative entre nous.
On voit ici que Chris Hawkings est le précurseur de Milo Wolff, mais qu'il n'a pas trouvé la vraie structure de l'électron, puisqu'il croyait que les ondes étaient de nature électromagnétique. La compréhension de Milo Wolff a été plus profonde.
Je me trouvais maintenant dans la vallée de la décision. Comment dois-je faire face au livre de Wolff ? Dois-je l'ignorer et continuer comme s'il n'existait pas ? J'ai décidé de parler à un ami physicien, le Dr David Short, qui fréquentait l'église où ma famille et moi allions. Son conseil était qu'il était probablement plus sage de collaborer avec Wolff que de travailler de manière indépendante. Après une profonde introspection et quelques prières désespérées, j'ai opté pour les conseils de David.

Des deux lettres que j'ai écrites à Wolff, la première a été répondue par son fils, avec des nouvelles choquantes ; Wolff était hospitalisé pour un pontage. Le fils a expliqué qu'une lettre personnelle de Wolff serait envoyée dès que possible. La réponse finale de Wolff a exprimé son appréciation pour ma correspondance et sa compréhension du dilemme dans lequel je me trouvais, mais il a convenu que la collaboration entre nous était probablement la façon la plus intelligente de fonctionner. Il m'a également informé de deux autres personnes dans le monde qui, dans une certaine mesure, avaient travaillé dans le même domaine. Leurs coordonnées n'ont pas été transmises et je ne les ai jamais demandées, du moins pas jusqu'à présent. Ma deuxième lettre exprimait naturellement son inquiétude face à l'opération de Wolff. Il était accompagné de toutes les recherches qui se trouvent essentiellement dans le corps principal de ce livre. Je me sens toujours mal à l'aise d'avoir été si ouvert avec mon matériel, mais à ce jour, l'intégrité de Wolff est restée inébranlable, ce dont je suis reconnaissant. Aucun de nous n'a correspondu depuis sa réponse à ma deuxième lettre.

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#68

Message par externo » 13 mars 2023, 17:56

L'entretien de Geoff Haselhurst avec Milo Wolff (2000) :
https://www.youtube.com/watch?v=8r5zJH_ ... A51E69B0B4 (7 vidéos)
https://www.youtube.com/watch?v=lRv6WYWyOYA (les 3 dernières vidéos manquantes dans la série précédente)
https://www.spaceandmotion.com/physics- ... ff-wsm.htm (les 10 vidéos)

Chaîne Youtube de Geoff Haselhurst :
https://www.youtube.com/@physics1philosophy/videos

Wolff a reçu le prix 2010 de la Natural Philosophy Alliance (NPA)
https://wiki.naturalphilosophy.org/inde ... y_Alliance
La Natural Philosophy Alliance NPA) a été fondée en 1994 par le Dr John Chappell et d'autres afin de créer une organisation favorable à l'idée de critiquer la théorie de la relativité restreinte d'Einstein. Le premier président étant John Chappell de Californie qui a organisé des conférences et des débats, écrit des bulletins d'information et maintenu l'esprit de pensée critique vivant dans les années 1990 et 2000.
Après la mort de John Chappell en 2002, le NPA a continué sous divers présidents dont Francisco Muller et le Dr Eberely Spencer et a pu maintenir un effectif entre 40 et 60 personnes avec des réunions annuelles. En 2013, sous une nouvelle direction, les membres du NPA ont voté à une écrasante majorité pour que le président et le secrétaire se retirent. Compte tenu des statuts, les nouveaux administrateurs ont refusé de démissionner et 97% des membres sont partis et ont formé un nouveau groupe appelé John Chappell Natural Philosophy Society.
Après la scission, le NPA a tenu une conférence en 2014, mais avec une très faible participation et presque aucun membre, il a pratiquement cessé de fonctionner.
https://wiki.naturalphilosophy.org/inde ... hy_Society
La John Chappell Natural Philosophy Society (CNPS) est un groupe de réflexion mondial de penseurs critiques composé de professeurs, de docteurs, de scientifiques, d'ingénieurs et de profanes qui critiquent ouvertement la physique et la cosmologie traditionnelles et qui proposent des théories, des philosophies et des modèles alternatifs. . Les membres travaillent ensemble depuis plus de deux décennies en utilisant la pensée critique pour trouver les failles et les échecs de la science dominante et proposer de nouvelles orientations en philosophie naturelle.
Peter Fraser (1943-2012), directeur scientifique de NES Health, a récemment (2010) rencontré le physicien quantique Milo Wolff (1923-2015) et a enregistré cette courte interview informelle.
https://www.facebook.com/watch/?v=391696572876

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#69

Message par PhD Smith » 13 mars 2023, 18:04

Ces découvertes viennent-elles confirmer les brevets "ovni" de Salvatore Cezar Pais, qui travaille pour l'armée américaine ? En tout cas, dans les listes de diffusion ufologiques ça discute.
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#70

Message par externo » 13 mars 2023, 18:48

PhD Smith a écrit : 13 mars 2023, 18:04 Ces découvertes viennent-elles confirmer les brevets "ovni" de Salvatore Cezar Pais, qui travaille pour l'armée américaine ? En tout cas, dans les listes de diffusion ufologiques ça discute.
L'inertie d'un corps peut peut-être être réduite si on réduit la densité d'énergie de l'éther/vacuum autour de lui. On pourrait aussi le faire avancer gravitationnellement en rendant la densité d'énergie de l'éther/vacuum dissymétrique. Mais à mon avis c'est complètement impensable d'avoir ces technologies aujourd'hui. Il se pourrait même que ce soit impensable pour toujours car engloutissant plus d'énergie que ça n'en rend.
Dernière modification par externo le 13 mars 2023, 19:11, modifié 1 fois.

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#71

Message par PhD Smith » 13 mars 2023, 18:55

Ça tombe bien j'en parle ici: viewtopic.php?t=17002
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#72

Message par externo » 14 mars 2023, 23:41

L'univers de Shrodinger, 2008, par Milo Wolff, est disponible gratuitement :
https://archive.org/details/SchrdingersUniverse

Malgré les enseignements de la méthode scientifique, il semble que la plupart des scientifiques ne cherchent pas à comprendre. Au lieu de cela, leur satisfaction personnelle vient de mémoriser et respecter des règles qui ressemblent à la pratique de la religion. La plupart des scientifiques le nieront.
Il est tentant d'imaginer les scientifiques comme de nobles pionniers, quêtant pour le plus grand bien de l'humanité, et transpercés par les mystères merveilleux du monde. Cependant les scientifiques ne sont pas différents des autres. Un scientifique fait des choix en fonction de ses sentiments personnels sur ce qui est bon pour sa propre survie. Les scientifiques souffrent des mêmes peurs, incertitudes, avarice et hypocrisie que les autres personnes. Peu d'entre eux sont prêts à faire des sacrifices personnels au nom de la vérité. Du pain sur la table, une voiture dans le garage et déblayer la voie vers un poste de professeur sont généralement la première priorité de leur vie. Comme l'a écrit Winston Churchill : "La plupart d'entre nous rencontrons souvent la vérité, mais nous nous reprenons généralement et prétendons qu'elle n'est pas arrivée. "

L'ancienne physique est un ensemble de règles et de procédures auxquelles on obéit, comme une religion, sans se soucier de leurs origines. Par contraste, la Structure Ondulatoire de la Matière commence avec la simplicité de seulement deux principes d'ondes dans une seule substance - l'espace - dont tout le reste découle mathématiquement, simplement et logiquement. Philosophiquement, c'est très satisfaisant. Expérimentalement, c'est vrai. Les règles de l'ancienne physique ont produit de nombreux paradoxes à mâcher pour l'église de la science. Étonnamment, les paradoxes sont devenus une partie du dogme. Est-ce pour cela que les vieilles règles durent si longtemps ?
On voit qu'il cite Einstein dans les pionniers de sa théorie, bien qu'il soit précisément celui qui a barré la route à l'interprétation réaliste de la mécanique quantique par sa "plaisanterie" de 1905. Milo Wolff possède un biais en faveur d'Einstein, qui l'a apparemment empêché de reconnaître quand LaFrenière le lui a appris, que son électron subissait les transformations de Lorentz. D'un autre côté, Einstein occupe une place vraiment étrange, à la fois ange et démon, car il est vrai qu'il a collaboré pendant plusieurs années avec Schrodinger pour essayer de produire une interprétation déterministe de la physique quantique à travers la théorie des champs unifiés. LaFrenière, qui critiquait ouvertement Einstein sur son site, devait être regardé d'un mauvais oeil par Milo Wolff...
Il est aussi dit que c'est Geoff Haselhurst (philosophe) qui aurait trouvé l'origine de la gravité, ce qui nous permet de douter quelque peu de la validité de ce résultat... surtout que pas plus que chez LaFrenière ou Yee l'explication donnée n'est compatible avec les équations de la relativité générale...
La réponse en utilisant le WSM est si simple qu'au début, vous penserez que c'est trop facile ! La cause importante est la présence de l'espace quantique dans l'Univers. La densité de l'espace quantique est presque uniforme (donc la vitesse de la lumière est presque constante) partout parce que le nombre de corps dans l'Univers qui contribuent à la densité de l'espace est si grand. Mais près d'un corps massif comme le Soleil, les ondes supplémentaires du Soleil augmentent légèrement la densité autour de lui. En conséquence, les ondes sphériques vers l'intérieur visant un autre corps proche se déplacent légèrement plus rapidement, ce qui fait que leurs centres d'ondes se déplacent vers le Soleil. Nous interprétons ce mouvement comme dû à la force de gravité. Maintenant vous savez. Voilà! Les maths de la gravité sont au chapitre 15.
Il n'y a ni chapitre 14 ni chapitre 15. :lol: :lol:
Quelles ondes supplémentaires du Soleil ? il ne fait que réémettre ce qu'il reçoit et à la même fréquence.

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#73

Message par externo » 15 mars 2023, 16:37

Les travaux de Wolff et Cabala sont vraiment complémentaires. C'est étonnant.
Wolff découvre que la mise en mouvement de l'électron entraîne l'augmentation de la masse et la création de l'onde de phase de de Broglie, mais pas les transformations physiques subies par l'électron.
Cabala découvre les transformations physiques et temporelles subies par les ondes stationnaires mobiles, mais ne mentionne jamais l'onde de phase de de Broglie qui est pourtant la manifestation du changement de simultanéité, et de plus il ne veut pas entendre parler des électrons :
D'autres sites se sont développés depuis, reprenant et incorporant les idées de celui-ci, et imitant plus ou moins adroitement sa présentation et son contenu.
Je précise que je ne cautionne en rien les affirmations et extrapolations vagues qui y sont présentées, du genre : ceci est un photon, un proton, un électron, voici une onde dans l'éther, la gravité c'est..., et autres conjectures non justifiées.
Aucune des formes d'ondes obtenues par les programmes que je diffuse n'a la présomption d'être un élément de la physique atomique ou quantique.
Je tiens à rester dans un cadre mathématique des plus rigoureux, et éviter les extrapolations précipitées et naïves.
http://ondes-relativite.info/index.htm
LaFrenière est le premier à avoir fait la synthèse entre les deux approches, c'est à dire avoir réconcilié l'électron de Milo Wolff avec les ondes stationnaires mobiles de Cabala. Il a probablement rencontré de l'incompréhension venant des deux du fait de cette synthèse et c'est peut-être la raison pour laquelle sur son site il met surtout en avant Ivanov, qui devait être plus conciliant.

Wolff dans son livre prétend qu'à l'époque de la découverte de l'électron tout le monde pensait qu'il s'agissait d'une particule discrète de matière et que ce n'est qu'avec Schrodinger que cela a été remis en question (p. 80). C'est vraiment trompeur, car c'était le point de vue d'Einstein mais pas d'un grand nombre d'autres personnes, beaucoup considéraient dès le départ que l'électron était une modification de l'état de l'éther ou un tourbillon d'éther.

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#74

Message par externo » 16 mars 2023, 17:52

Deux sites supplémentaires à propos de la théorie de Milo Wolff.
http://wsminfo.org/index.htm
http://www.rwgrayprojects.com/WSM/WSM.html
On y trouve des articles scientifiques et l'appendice mathématique du premier livre de Milo Wolff :
http://wsminfo.org/articles/doppler_shift_2007_july.htm
http://redshift.vif.com/JournalFiles/V1 ... 3N2HAR.pdf

Je commence à me demander si l'explication de la gravitation par LaFrenière (effet d'ombre lié au fait que les ondes sortantes sont sphériques et ont un pouvoir de pression moins important que les ondes planes, ce qui fait que les objets à proximité sont poussés par les ondes planes) n'est pas compatible avec celle de l'école de Milo Wolff qui dit que la proximité de la matière augmente la densité de l'espace. Ce qui est appelé ondes à haute amplitudes serait la même chose que les ondes sphériques de LaFrenière.
http://wsminfo.org/faq.htm
Est-ce que cela entraîne une vitesse de la lumière augmentée vers la masse et réduite en sens inverse (ce qui est mon point de vue) ? On dirait que oui :
Finally, the changed medium density causes the in-wave to speed up going towards the nearby matter. We observe this speed-up as gravity force. Other forces are also produced by a similar change of medium density.
http://www.mysearch.org.uk/website1/pdf ... estion.pdf
Ce qui est en contradiction avec la RG, mais pas de beaucoup. Ca permet de supprimer la singularité sur l'horizon et ça demande un autre formalisme que le changement de la métrique d'Einstein, mais on doit retrouver exactement les mêmes lois de mouvement qu'avec le changement de la métrique.

Qui dit plus grande densité dit contraction de l'espace et donc compression des granules d'éther, ce qui doit pouvoir se formaliser comme une courbure de l'espace dans les zones de plus grande densité. Cette courbure est considérée par l'école de Wolff comme simplement mathématique, mais il est plus probable qu'elle est une réalité physique et représente une 4e dimension qui permet le mouvement dans les 3 autres. Il y a probablement aussi une réduction de la fréquence de la matière due à la densité. Le temps cosmologique serait piloté par la densité moyenne de l'espace plat.

Note : je me suis trompé plus haut sur l'orthographe de Denys Lépinard par inversion du i et du y.

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Re: Les travaux de LaFrenière sur la nature ondulatoire de la matière

#75

Message par externo » 16 mars 2023, 22:18

Sur le site physicsforums en 2004 on pouvait parler de Wolff, Ivanov et LaFrenière alors qu'aujourd'hui il est censuré par les gardiens de la science mainstream :
J'ai passé toute la matinée à me pencher sur le travail remarquable du Dr Wolff ! J'ai pris quelques notes et j'étudierai cela au cours des prochaines semaines car c'est sans aucun doute compatible avec le travail du Dr Ivanov.
La théorie du Dr Wolff sonne vrai !
Reference: https://www.physicsforums.com/threads/s ... dea.23251/
2005 : https://www.physicsforums.com/threads/a ... ost-684747

Mais la censure sévissait déjà en 2007 :
https://www.spaceandmotion.com/mathemat ... forums.htm
Je note que Geoff Haselhurst a été banni sans autre raison valable que de faire une réponse très raisonnable à certaines critiques sauvages de la théorie SSW qu'il soutient. Je trouve absolument risible qu'un « babillard électronique » scientifique qui se considère sans doute comme un parangon d'objectivité « scientifique » se comporte en réalité comme une escouade de délinquants dirigée par l'inquisition espagnole.
Reference: https://www.physicsforums.com/threads/g ... st.328851/
La théorie de Milo Wolff se trouvait sur Wikipedia en 2005 mais les articles ont été supprimés en 2006 :
https://en.wikipedia.org/wiki/Wikipedia ... _of_Matter

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