Non ! Ils émettent des infra-rouges. On peut faire des clichés IR détaillés d'animaux (c'est plus facile pour des animaux à sang chaud) dans le noir absolu.Jean-François a écrit :La question est valable aussi pour les insectes: pour qu'ils soient de tonalité aussi "chaude" (i.e., très blanche), il faut bien qu'il reflètent une source lumineuse.
Les défauts à la surface d'une lentille frontale (rayures, poussières ...) ou d'un filtre placé sur l'objectif ne sont pas visibles et donc enregistrés par le capteur. Tout au plus, ils diminuent, globalement, le contraste et/ou la définition du cliché. Dans le cas d'un défaut très étendu, à condition qu'il soit à une certaine distance de la lentille frontale (sur un filtre, par exemple) et que l'objectif soit un grand-angle de faible ouverture, ce défaut apparaitra comme une tache floue et noire, pas blanche.Si je comprends bien la remarque: sur la lentille ou une surface protectrice placée devant le capteur.
Les artefacts qu'on voit sur certains clichés pris à contre-jour (irisations, taches colorées circulaires ou elliptiques) sont dûs au flare dont l'origine est due à des réflexions parasites internes à l'objectif quand des rayons lumineux de fortes intensités frappent directement l'objectif. Rien de tels ici puisqu'aucune source lumineuse ne se situe devant l'objectif. De toute manière, leurs caractéristiques sont très éloignées de celles qu'on observe ici.