Je vois ça comme des poupées gigognes : Israël est dans un guêpier islamiste tout comme Gaza est dans un guêpier Israélien.Dominique18 a écrit : 18 mars 2024, 06:57Je suis d'accord, sur le plan "technique", le résultat des élections qui a favorisé Nétanyahou, qui est l'expression d'une partie de la "volonté" du peuple. Il existe cependant une opposition qui manifeste sa présence.jean7 a écrit : 18 mars 2024, 01:15C'est bien là que le bat blesse.Dominique18 a écrit : 17 mars 2024, 16:45 3 - Non. Ce n'est pas Israël, qui est encore une démocratie, mais le gouvernement d'Israël en place. Je l'ai déjà dit. Nétanyahou fatigue tout le monde.
Dans une démocratie, le peuple est souverain. Difficile de défausser le pays de ses responsabilités derrière un dirigeant. Nétanyahou est l'expression de la volonté du peuple Israélien.
... malheureusement![]()
Comme le rappelle jroche, Israël a défendu ses intérêts, et ça n'a jamais été facile dans une région où les dictatures islamistes avec un antisémitisme violent associé, séculaire, prédominent,
Toutes les tendances actuelles semblent jouer pour favoriser l'ancrage d'une "arriération" géopolitique et non d'une évolution positive, qui aboutirait à la seule solution viable, la création d'un état palestinien.
C'est toute une région, très vaste, qui devrait tendre vers des valeurs humanistes, et non rétrogrades, il est là le problème, avec la chape de plomb d'une religion instrumentalisée et dévoyée. Deux pays posent souci, sur l'échiquier géopolitique: Israël en raison de sa modernité occidentalisée, de ses valeurs, de sa démocratie, et l'Iran, seule dictature islamique chiite, alors que les autres sont sunnites. L'Iran, depuis 1979, arrivée de Khomeini au pouvoir, a exacerbé les tensions existantes entre le monde arabe et l'Occident. Historiquement, c'est un pays qui a porté le terrorisme à un point de nuisance inédit, rappelons-le.
Les USA sont parvenus un stade de délitement, sur le plan de la politique intérieure. Pour un arbitrage des conflits en cours, avec des interlocuteurs reconnus, crédibles, susceptibles d'être écoutés, c'est très mal parti.
Toutefois, la possibilité d'intervenir sur la politique de son pays n'existe qu'en Israël.
Le problème est d'arriver à trouver des raisons pour attribuer aux habitants de Gaza une responsabilité politique.
Ils sont tous traités comme des criminels. Pour quelle raison miraculeuse ne le deviendraient-ils pas avec ce qu'ils subissent ?
Que prévoit le plan Israélien contre ce problème ?