uno a écrit : 09 avr. 2024, 03:49
Les nazillons c'est peau de balle comparé à la pression des islamistes, à l'insécurité et à l'ensauvagement. Les professeurs n'ont pas peur des nazillons quand ils enseignent.
Circulez mon bon monsieur, il n'y a rien à voir!
https://www.jean-jaures.org/publication ... 1990-2022/
https://www.jean-jaures.org/wp-content/ ... RTV_FR.pdf
Dans notre série médiatique, "Faut pas rêver", nous avons, pages 42 et 43...
...Depuis la fin de l’année 2021, dans le contexte d’une polarisation croissante, la France a également assisté à la montée d’un nouveau candidat présidentiel d’extrême droite, Éric Zemmour. Bien qu’il soit plus un symptôme qu’une cause de la polarisation politique, Zemmour a démontré une relation ambivalente avec la violence et a promu un discours profondément nativiste. Non seulement il a été condamné à trois reprises pour incitation à la haine raciale ou religieuse, mais il a également utilisé un langage évasif lorsqu’il a été confronté à la violence de ses propres partisans. Par exemple, lorsque ces derniers ont violemment attaqué des militants de SOS Racisme, comme décrit ci-dessus, il a répondu comme suit : « Je condamne évidemment toute violence, mais ce sont des gens qui sont venus provoquer. Ils n’avaient rien à faire là ».
Pendant sa campagne, Zemmour a également accusé les médias audiovisuels publics d’être « au service d’une idéologie qui déteste la France » et de « cracher sur les Français » peu après une « blague » lors d’un salon international de la sécurité où il a pointé une arme sur des journalistes41. En ce qui concerne les minorités ethniques, Zemmour a, par exemple, qualifié les mineurs étrangers non accompagnés de « voleurs et de violeurs »
et déclaré que la France « doit les renvoyer » – un argument repris parles auteurs d’actes violents42. Bien que Zemmour n’appelle pas à l’action violente comme d’autres partis d’extrême droite l’ont fait ces dernières années (par exemple, Aube dorée en Grèce), ses déclarations ambiguës sur la violence et sa rhétorique extrême sur les migrants et les musulmans pourraient être l’une des raisons pour lesquelles la violence est
considérée comme une stratégie viable ou une forme d’action nécessaire par les acteurs de l’extrême droite organisée et non organisée. En effet, les événements récents de cette année, tels que la mobilisation militante à Lyon en novembre 2023, suggèrent que la menace violente de l’extrême droite est plus urgente en France qu’elle ne l’a été depuis longtemps. Ainsi, le cas français suggère que la relation entre la violence d’extrême droite et les stratégies électorales pourrait être plus complexe qu’on ne le pense généralement, et qu’elle dépend du discours promu par les acteurs qui se présentent aux élections.
Zemmour adore Vichy. Pas la ville, ni les fameuses pastilles, mais Pétain et toute sa clique.
Pour les fake news et la désinformation, avec une relecture biaisée de l'histoire, il est champion toutes catégories.
L'état de Vichy était au service de qui, déjà?