Il a toujours tenu des propos injurieux envers les femmes, ce qui hélas plait à un certain segment de la population, mâle comme femelle, qui considère que ce genre de langage est le signe propre du mâle "alpha". Il ne fait donc que répéter un comportement qui jusqu'à présent ne lui a pas porté tort.Aggée a écrit : 29 août 2024, 06:34 La démence semble évoluer à grand pas chez Donald Trump (attaque un peu « suicidaire », dans ses répercussions, par rapport à un électorat féminin élargi)
La différence récemment est qu'une part de l'électorat féminin non maga-fanatisé est moins enclin à rester indifférent face à ses propos. Je ne pense toutefois pas que cela soit suffisant pour oblitérer ses chances d'être élu.
La pente dangereuse a été mise en place bien avant qu'il ne montre des signes de panique et de détérioration cognitive: le parti républicain et ses sbires (cour suprême, instances électorales dans divers états clés, …) ont mis en place dès fin 2020 divers plans pour manipuler les élections de 2024, qu'il s'agisse du processus de vote ("gerrymandering", restrictions des possibilités de vote pour certaines populations, surveillance "orientée" des lieux de vote, …), du décompte des voix (installation d'une majorité d'assesseurs affiliés au GOP, chargés de contester les chiffres défavorables et de lancer des actions judiciaires sur allégations de fraudes …), d'actions d'intimidation autour des bureaux de votes et/ou des bâtiments officiels, etc.nikola a écrit : 29 août 2024, 10:22 Je crains qu’il se sait foutu et qu’il soit sur une pente dangereuse : fanatiser ses troupes et les inciter à faire pire qu’il y a quatre ans une fois la défaite validée.
Ah oui bien sûr, mais une pauvre victime innocente de la tricherie alléguée de ses adversaires ne peut pas être un perdant, n'est-ce-pas ?Je ne sais plus où j’avais lu que les Américains n’aimaient pas les perdants et qu’un président refusé ne se représentait jamais.
