Il tourne pas mal autour en tout cas, et il n'y a pas que Truth Social qui risque d'être acquis (les électeurs républicains aussi devraient venir avec cette transaction).Florence a écrit : 24 oct. 2024, 12:59Quant à Musk, il ne faut jamais sous-estimer l'outrecuidance d'un mégalomane narcissique …
Non. Vu l'état de ses affaires, il ne voit pas plus loin que les moyens d'éviter les ennuis financiers et judiciaires qui lui pendent au nez en se rattachant à Trump, lui-même un horrible businessman lui-même mais un maître dans l'art de ne jamais payer les conséquences de ses méfaits, et au parti républicain qui lui assure de pouvoir continuer à les commettre.Igor a écrit : 24 oct. 2024, 14:31
Il tourne pas mal autour en tout cas, et il n'y a pas que Truth Social qui risque d'être acquis (les électeurs républicains aussi devraient venir avec cette transaction).
Le gars voit loin, et il place ses pièces en fonction de ça.
Bon, je ne savais pas que l'homme le plus riche de la planète avait autant de difficultés en affaires...Florence a écrit : 24 oct. 2024, 15:22Non. Vu l'état de ses affaires, il ne voit pas plus loin que les moyens d'éviter les ennuis financiers et judiciaires qui lui pendent au nez en se rattachant à Trump, lui-même un horrible businessman...
À voir. Musk me semble un excellent bonimenteur avant tout. Il a de l'imagination et sait fédérer des gens autours d'une idée mais il ne semble pas très bon pour le côté pratique des choses. Par exemple, je doute fort qu'un excellent ingénieur aurait parié sur l'hyperloop.
un horrible businessmanFlorence a écrit : 24 oct. 2024, 15:22Non. Vu l'état de ses affaires, il ne voit pas plus loin que les moyens d'éviter les ennuis financiers et judiciaires qui lui pendent au nez en se rattachant à Trump, lui-même un horrible businessman lui-même mais un maître dans l'art de ne jamais payer les conséquences de ses méfaits, et au parti républicain qui lui assure de pouvoir continuer à les commettre.Igor a écrit : 24 oct. 2024, 14:31
Il tourne pas mal autour en tout cas, et il n'y a pas que Truth Social qui risque d'être acquis (les électeurs républicains aussi devraient venir avec cette transaction).
Le gars voit loin, et il place ses pièces en fonction de ça.
Vous n'avez pas encore compris comment cette planète fonctionne 
Ou plutôt une horrible caricature d'être humain dont toutes les entreprises ont foiré, sauf celle qui consiste à faire porter le chapeaux à d'autres … ce qui est hélas le fonctionnement courant de la "planète business"Spartakus a écrit : 25 oct. 2024, 01:16
un horrible businessman
Ses bagnoles et surtout ses fusées sont vraiment très bien foutues.Jean-Francois a écrit : 25 oct. 2024, 01:13 À voir. Musk me semble un excellent bonimenteur avant tout. Il a de l'imagination et sait fédérer des gens autours d'une idée mais il ne semble pas très bon pour le côté pratique des choses. Par exemple, je doute fort qu'un excellent ingénieur aurait parié sur l'hyperloop.
Je doute que son implication dans la conception de ces véhicules soit vraiment fondamentale. C'est plutôt des idées générales qu'il lance avec parfois un projet un peu plus étoffé (mais quand même superficiel), à d'autres de se démerder - sous sa gestion - pour les réaliser dans le détail. Et question gestion: depuis Paypal, les compagnies dans lesquelles il sévit vont généralement mieux quand elles arrivent à le tasser (idéalement sans lui verser les primes absurdes que sa mégalomanie réclame).nikola a écrit : 25 oct. 2024, 10:27Ses bagnoles et surtout ses fusées sont vraiment très bien foutuesJean-Francois a écrit : 25 oct. 2024, 01:13 À voir. Musk me semble un excellent bonimenteur avant tout. Il a de l'imagination et sait fédérer des gens autours d'une idée mais il ne semble pas très bon pour le côté pratique des choses. Par exemple, je doute fort qu'un excellent ingénieur aurait parié sur l'hyperloop
C'est surtout un entrepreneur et un excellent vendeur d'idées et de solutions. Sa force est d'avoir réussi à convaincre des investisseurs et des gouvernements à investir / subventionner ses idées.nikola a écrit : 24 oct. 2024, 18:34 Musk est un excellent ingénieur mais pour le reste, il est une buse.
VoilàJean-Francois a écrit : 25 oct. 2024, 01:13 À voir. Musk me semble un excellent bonimenteur avant tout. Il a de l'imagination et sait fédérer des gens autours d'une idée mais il ne semble pas très bon pour le côté pratique des choses. Par exemple, je doute fort qu'un excellent ingénieur aurait parié sur l'hyperloop.
Ses implications dans la politique et la géopolitique sont très inquiétantes. Du fait de sa richesse, du fait de ses collusions de plus en plus avérées (exemple ses contacts avec Poutine) et du fait de son implication dans des secteurs stratégiques aux US (SpaceX, X, Starlink...), secteurs qu'il a déjà utilisé suivant des intérêts contraires à ceux de son pays.Jean-Francois a écrit : 25 oct. 2024, 13:50 En plus, il est souvent socialement nocif comme le démontre son appui à Mononk et Poutine.
Bref, faire des USA un machin comme la Russie ou la Chine (si peu) communiste. J'ajouterais que le régime de Mononk encouragerait misogynie, racisme et autres haines "ordinaires"*. Sans compter son amour de l'arbitraire: il a promis de se venger de ceux (et celles) qui lui ont déplu et on sait qu'il se fout totalement de ce qui est factuel (ou pas). Ses mensonges sont déjà crus par de nombreux ignorants plus ou moins volontaires et ça ne s'améliorerait pas s'il était élu.Inso a écrit : 26 oct. 2024, 14:09Ce genre de développement (qui serait favorisé avec une présidence Trump) laisse envisager l'émergence d'une oligarchie prenant en charge (au profit des oligarques) l'avenir du monde. Jolie dystopie.
Autre exemple d'une grosse "hype" aussi gazeuse que muskée. Des véhicules poussifs qui circulent dans des conditions de mise en scène qui pourrait tenir de la programmation pour les faire rouler sur un circuit plus que d'une véritable automatisation des véhicules (un peu comme pour les robots "Tesla" qui sont en fait contrôlés par des personnes (voir vers 15'50''), ça ne donne pas l'impression qu'il y a là une technologie prometteuse.
Heureusement que tu ne parles pas de la colonisation de Mars, autreJean-Francois a écrit : 27 oct. 2024, 17:10 L'idée des taxis autonomes est peut-être amusante dans la fiction mais elle ne tient pas la route dans la réalité, et pas seulement pour des questions de faisabilité questionnable.
Effectivement, la police "Fraktur" est la police gothique allemande gothique. Elle est différente de la police gothique française. Elle est fournie dans la distribution Latex.Inso a écrit : 28 oct. 2024, 20:12On peut noter (photo dans l'article) la casquette de Musk, avec Make America Great Again écrit en police fraktur, celle utilisée par les nazis jusqu'en 1941. Coïncidence sans doute.
Et elle (et ses variantes) ont été interdites en 1941 par les autorités nazies :Le terme Fraktur est utilisé globalement pour désigner toutes les formes de « gothiques » allemandes, qui comprend outre la Fraktur elle-même, la Rotunda, la Schwabacher et autres variantes. Elle s'opposait à l’Antiqua, nom donné aux lettres latines telles que tracées et imprimées dans les autres pays d'Europe de l'Ouest, qui correspondent à nos lettres actuelles.
https://fr.wikipedia.org/wiki/FrakturPar une lettre circulaire datée du 3 janvier 1941, l'Allemagne adopta l'Antiqua pour tous les documents officiels (dont les noms de rue et les certificats de travail) et l'enseignement scolaire. Dans cette lettre, le substitut (Stellvertreter) du Führer écrivit « de la part du Führer » qu' « Il est faux de considérer l'écriture gothique comme étant allemande. En réalité cette soi-disant écriture gothique est constituée des lettres juives de Schwabach. » Les nazis déclarèrent que la typographie Schwabacher était l'invention d'imprimeurs juifs et qu'elle avait été répandue par des juifs vivant en Allemagne. À cette époque, quasiment tous les imprimés utilisaient l'écriture Schwabacher. Selon Yves Perrousseaux, déclarer l'alphabet Schwabacher comme étant juif n'était qu'un prétexte pour justifier que l'Allemagne change de police d'écriture ; selon lui, la police Schwabacher handicapait l'Allemagne dans tous les domaines internationaux, car cette écriture était « inexportable » et seuls les Allemands parvenaient à la lire. L'alphabet Schwabacher est une typographie radicalement différente de l'alphabet Fraktur. L'origine du nom de l'écriture Schwabacher est inconnue. Il est possible que la Schwabacher soit la version typographique de l'écriture manuscrite gothique bâtarde allemande
Harris cible les "swing states" tandis que Trump cible tous les états (entendus sur France Info). Trump a donc une stratégie différente de 2016 avec l'affaire "Cambridge Analytica".Le journal de Lutte ouvrière, le journal de toutes les luttes trotskistes a écrit :Cette crise de 1929 était une catastrophe sociale brutale pour la classe ouvrière et de vastes couches populaires. Le nombre de chômeurs officiellement recensés, négligeable en 1929, grimpa à près de 13 millions à la mi-1932, soit un taux de 25 %.
Les petits agriculteurs furent frappés, ces mêmes années, de calamités naturelles qui accélérèrent la chute de leurs revenus. Les dettes et hypothèques ne pouvant plus être payées, 400 000 fermes passèrent dans les mains des banques entre 1929 et 1932, et autant de familles de paysans furent expulsées de leurs terres.
Le nombre de travailleurs sans domicile fixe, que la bourgeoisie appelait vagabonds, qui traversaient le pays en passagers clandestins des trains de marchandises à la recherche d’un travail, bondit jusqu’à 300 000. Pourchassés et maltraités par la police et des milices payées par les compagnies ferroviaires, plus de 24 000 perdirent la vie sur le réseau de chemin de fer entre 1929 et 1939.
Faute de moyens, 2 600 écoles fermèrent, laissant 300 000 enfants sans éducation. Les soupes populaires se multiplièrent, servant souvent le seul repas quotidien de bien des chômeurs.
Parmi les anciens combattants de la Première Guerre mondiale, dont deux millions avaient été expédiés en Europe en 1917 et 1918, les conséquences de la crise se faisaient aussi sentir. En 1924, le gouvernement américain s’était opposé à ce qu’ils touchent immédiatement la prime de démobilisation qui leur avait été promise. Le président Coolidge eut ce mot : « Le patriotisme, s’il est acheté, n’est pas du patriotisme », argument qu’il ne servit jamais aux officiers de carrière, bien sûr. Tout au plus concéda-t-il un bonus qui ne pourrait être converti en dollars que vingt ans plus tard.
Au moment où le mécontentement des vétérans s’accroissait, des marches de chômeurs, marches de la faim, commencèrent à sillonner les États-Unis. En janvier 1932, 25 000 chômeurs de Pennsylvanie se rendirent à Washington – 500 kilomètres à pied – pour demander aux autorités de financer des travaux publics qui leur donneraient du travail, d’accorder des prêts d’urgence aux fermiers et d’augmenter l’impôt sur les successions. Les marcheurs étaient approuvés et nourris par les populations des villes qu’ils traversaient. Bien qu’elle fût surnommée Cox’s Army, d’après le nom du prêtre catholique qui en prit la tête, cette « armée » populaire ne menaça guère ni la bourgeoisie ni le pouvoir. Arrivé à Washington, et après avoir remis ses revendications au Congrès et au président Hoover, Cox fit faire demi-tour aux marcheurs, qui entreprirent le voyage retour.
Au printemps 1932, ce fut le tour des associations d’anciens combattants d’organiser la convergence de leurs membres au chômage sur la capitale. Une dizaine de milliers de protestataires, certains venus avec femme et enfants, construisirent un campement à Washington, à l’image de ces bidonvilles peuplés de pauvres, ironiquement appelés Hoovervilles, qui apparaissaient au cœur des grandes villes américaines.
Beaucoup d’organisations de vétérans avaient été fondées en 1919 avec l’aide du gouvernement et avaient servi de force de frappe contre la vague de grèves qui avait alors touché les États-Unis. Leurs dirigeants étaient anticommunistes et violemment hostiles aux syndicats. Dix ans plus tard, ils devaient tenir compte de la profonde détresse de leurs membres et revendiquaient le paiement immédiat du bonus, d’où le nom de Bonus Army. Mais ils voulaient s’y limiter, désireux d’éviter que d’autres revendications n’émergent, et surtout des revendications communes à l’ensemble des chômeurs ou de la classe ouvrière. Le combat des vétérans aurait pourtant pu rejoindre, en juillet 1932, celui des 15 000 peintres en bâtiment de New York ou des 15 000 ouvriers du textile de Caroline du Nord en grève contre des diminutions de salaire.
Le président Hoover n’en prit pas moins peur, voyant que son refus de céder ne faisait pas repartir cette « armée » qui campait juste de l’autre côté de la rivière, non loin de la Maison-Blanche. Au contraire, elle grossissait jusqu’à atteindre en juillet autour de 30 000 membres. Les protestataires furent accusés d’abriter des communistes. Il y en avait certainement, bien que les dirigeants du mouvement les aient chassés régulièrement du campement. Mais cela ne suffisait plus à effrayer les vétérans qui, en 1932, étaient bien plus touchés qu’en 1919 par la dénonciation d’un capitalisme désormais en faillite.
Le 15 juin, 6 000 vétérans manifestèrent devant le Capitole, au moment où le Sénat votait contre le paiement immédiat de leur bonus. Puis ils se mirent à manifester plus fréquemment devant des immeubles fédéraux du centre de la capitale, voire à les occuper, ne se contentant plus de camper à l’extérieur. Le pouvoir ne pouvait plus le tolérer.
Ceux qui étaient à la tête du mouvement continuaient cependant de supplier les élus et de faire des discours patriotiques, alors que les autorités préparaient manifestement la répression. La police venait de tirer sur 300 chômeurs qui réclamaient du travail sur le chantier d’une digue dans l’Illinois, faisant un mort et trente blessés. À Saint-Louis, dans le Missouri, elle avait attaqué une manifestation de milliers de travailleurs et leurs familles, qui demandaient des secours alimentaires à la municipalité, faisant un mort et trois blessés par balles.
Le 28 juillet, dans la capitale, la police entreprit de chasser les vétérans du centre-ville. Ils résistèrent aux gaz lacrymogènes et furent rejoints au cours de l’après-midi par leurs camarades du campement. L’action de la police était une provocation orchestrée par Hoover, qui avait par ailleurs mobilisé un millier de soldats et cavaliers, avec mitrailleuses et tanks, pour faire régner l’ordre à Washington. Dirigée par des officiers promis à tous les honneurs et à toutes les responsabilités, tel Mac Arthur, Eisenhower et Patton, l’armée tira. La cavalerie chargea en pleine ville pour repousser les manifestants vers leur campement. Puis l’infanterie, baïonnette au canon, sous les insultes de la foule qui se massait sur les trottoirs, incendia les tentes et abris pour disperser complètement le rassemblement installé depuis des semaines.
Hoover mit ainsi fin à la protestation, au prix de deux morts et de nombreux blessés. En novembre 1932, il allait payer le prix de sa politique répressive par une impopularité accrue, ce qui aida Roosevelt à le battre lors de l’élection à la présidence. Confronté à une nouvelle marche des vétérans en mai 1933, le nouveau président y mit fin en les enrôlant pour des grands travaux et en 1936, enfin, le Congrès leur accorda le paiement de leur bonus.
praedicator veridicus, inquisitor intrepidus, doctor egregius𝕸𝖊𝖗𝖈𝖎 𝖉𝖊 𝖑𝖆 𝖕𝖆𝖌𝖊 𝖉'𝖍𝖎𝖘𝖙𝖔𝖎𝖗𝖊PhD Smith a écrit : 28 oct. 2024, 21:20 Pour l'armée, ce ne serait pas la première fois qu'on la ferait intervenir. Les anciens combattants en 1932 ont été réprimés par l'armée car ils campaient à Washington et réclamaient le bonus de 1924. Pour une fois que je peux citer "Lutte ouvrière" : https://www.lutte-ouvriere.org/journal/ ... 84562.html
4 mai 1970Inso a écrit : 28 oct. 2024, 22:04𝕸𝖊𝖗𝖈𝖎 𝖉𝖊 𝖑𝖆 𝖕𝖆𝖌𝖊 𝖉'𝖍𝖎𝖘𝖙𝖔𝖎𝖗𝖊PhD Smith a écrit : 28 oct. 2024, 21:20 Pour l'armée, ce ne serait pas la première fois qu'on la ferait intervenir. Les anciens combattants en 1932 ont été réprimés par l'armée car ils campaient à Washington et réclamaient le bonus de 1924. Pour une fois que je peux citer "Lutte ouvrière" : https://www.lutte-ouvriere.org/journal/ ... 84562.html
Bon, c'était il y a 92 ans quand même, avec un contexte également bien différent me semble-t-il.
J'ai bien noté ce passage : "Dirigée par des officiers promis à tous les honneurs et à toutes les responsabilités, tel Mac Arthur, Eisenhower et Patton, l’armée tira."
Tin soldiers and Nixon coming
We're finally on our own
This summer I hear the drumming
Four dead in Ohio
Gotta get down to it, soldiers are cutting us down
Should have been gone long ago
What if you knew her and found her dead on the ground
How can you run when you know?
A+praedicator veridicus, inquisitor intrepidus, doctor egregiusJ'aimerais que ce soit le cas et qu'elles n'écoutent pas leurs conjoints comme l'ont demandé les démocrates. Malheureusement, cela devrait déjà se traduire dans les sondages qui eux aussi permettent de s'exprimer en secret.Aggée a écrit : 31 oct. 2024, 18:45 Concernant l’avortement, la surprise pourrait venir des mères et des grands-mères qui, dans le secret des isoloirs, rempliraient un bulletin défavorable à Trump, ces électrices, dont certaines on peut être déjà avorté secrètement, ne voudraient pas que leurs filles aient à présent moins de droit qu’elles jadis…
Pour un dossier aussi sensible et pointu que l’IVG, quand on est une femme, toute forme de restriction concernant leurs corps, et ou celui de leur fille, pourrait être perçu comme une régression insupportable et une atteinte intolérable a leurs droits reproductifs.
Effectivement (et ça va être intéressant à suivre). Mais rendu à ce stade-ci, j'pense que c'est surtout l'économie qui compte pour les indécis, l'avortement et l'immigration comptent déjà leurs partisans et cela se reflète déjà dans les sondages (y a pas matière à être indécis il me semble sur ces deux questions). C'est différent pour l'économie, parce que même si plusieurs trouvent que Trump est pas mal fou et qu'ils n'osent pas répondre qu'ils voteront pour lui, les gens se souviennent que l'économie allait bien avec lui et les démocrates ont malheureusement été aux prises avec ce problème de l'inflation (ce qui a affecté les gens comme s'il y avait eu récession et devrait inciter les indécis au changement même si les démocrates n'y sont pour rien, ils vont être pénalisés quand même).
Do son côté, Obama prétend que ces bibles sont fabriquées en Chine : https://fr.news.yahoo.com/obama-critiqu ... 13272.htmlCourrier international a écrit :Les autorités de l’Oklahoma ont lancé cette semaine un appel d’offres pour l’achat de 55 000 Bibles, destinées aux salles de classe de cet État républicain du Midwest. Mais la démarche fait tiquer la presse, qui note qu’une édition parrainée par Donald Trump est quasiment la seule à remplir les très stricts critères d’éligibilité.
Il y en a une, en revanche, qui convient “parfaitement” : il s’agit de la “God Bless the USA Bible”, parrainée par Donald Trump et “communément appelée la Bible Trump. Elle coûte 60 dollars en ligne, et Trump est rémunéré pour son parrainage”, note le site.
Selon The Guardian, qui se base sur des documents financiers publiés en août, “Trump a déclaré avoir gagné 300 000 dollars grâce aux ventes de la Bible”. On ignore combien il toucherait si sa Bible “préférée” était sélectionnée par l’Oklahoma.
Oklahoma Watch remarque qu’une autre édition, la “We the People Bible” – dont le titre reprend les premiers mots de la Constitution américaine, “Nous le peuple” – remplirait elle aussi les critères d’éligibilité. Elle coûte la coquette somme de 90 dollars et bénéficie du parrainage de… Donald Trump Jr.
La polémique n’a cessé d’enfler au cours de la semaine et samedi, un élu républicain de la Chambre des représentants de l’Oklahoma, Mark McBride, a saisi le ministre de la Justice de l’État pour lui demander d’étudier la légalité de la démarche.
The Associated Press reported in October 2024 that nearly 120,000 copies of the Bible were printed in Hangzhou, China, and shipped to the United States earlier in the year, at a cost of less than $3 per book.
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