La secte de Dieu
Re: La secte de Dieu
Bonjour,
Notez que ce sujet provient de la section « Évolution/Création ». Dans la critique des religions, nous cherchons à expliquer pourquoi les religions persistent malgré les atrocités promulguées par leurs livres sacrés et malgré leurs superstitions invraisemblables. Une multitude de raisons justifient ce fait.
Exemple, l’utilisation des drogues et de leurs effets de sevrages.
Le phénomène de sevrage joue un rôle important pour permettre la persistance de ces croyances. L’arnaque reliée aux drogues provient du fait que l’effet de sevrage peut survenir un certain temps après la prise d’une drogue et que cet aspect est maintenu en sourdine par les systèmes religieux, psychiatriques et médicaux. L’effet de sevrage pousse une personne dans le domaine de « l’incohérence » durant cette période.
Peut-on le détecter?
Les spécialistes ne retrouveront aucune trace de drogues dans le sang de la victime et ils ne peuvent savoir si elle est en manque sans connaitre son historique. Donc, la personne peut avoir été droguée antérieurement à son insu.
Nous avons commencé à dénoncer ce phénomène il y a plus de quinze ans parce que les spécialistes ne discutaient pas de cet effet de sevrage à long terme. Par ironie, nous avons créé le dieu « Eugord » (le mot drogue écrit à l’envers) pour nous moquer des religieux, des psychiatres et des autres médecins incompétents qui ne se questionnent pas à propos de l’origine d’une maladie mentale, surtout si cette dernière apparait soudainement.
Par exemple, si une personne se présentait avec un problème psychique soudain, les psychiatres ne chercheront pas à savoir si cette personne a été droguée à son insu, ils y verront un problème génétique dormant qui s’est réveillé et ils prescriront d’autres drogues, tout aussi dévastatrices. Les plus aliénés d’entre eux oseront croire que le diable a pris possession de l’esprit de la victime et que les symptômes symbolisent un manque de piété.
Quelles sont ces drogues?
Nous avons présenté dans le texte précédent deux catégories très différentes de drogues qui peuvent être utilisées avec des intentions criminelles;
1) l’oxycodone qui crée une grande dépendance infligeant des souffrances psychiques.
2) les pilules anticonceptionnelles données à de jeunes mâles pour modifier leurs hormones sans leurs consentements.
Et maintenant, citons l’alcool…
Pour continuer cette liste, citons l’alcool. Cette drogue est bien connue dans la population. Elle est présente, partout, dans nos sociétés. Évidemment, ce n’est pas tout le monde qui développe une dépendance maladive à cause de l’ingestion répétée de cette substance. En usage modéré, elle permet de libérer la parole et les pensées, par contre, un abus de cette dernière amène les adeptes dans des actions excessives, et même, les poussent quelques fois dans un coma. La consommation régulière de cette drogue peut développer une maladie, l’alcoolisme. Cette dernière se transforme en problème de dépendance qui fait le grand bonheur des gourous religieux.
Le bonheur des religieux?
Hey oui! Nommons en exemple le groupe des « alcooliques anonymes ». Ce groupe se dit indépendant des religions, mais on constate facilement que les religieux s’insèrent vicieusement dans leurs rangs. Pour aider à la difficulté de sortir de cette dépendance et de se libérer des effets de sevrage (qui sont extrêmement difficile à surmonter), les religieux jouent de manipulations en suggérant de faire des prières régulièrement qui demandent l’aide d’un dieu imaginaire, sous prétexte de bienveillance.
On doit le répéter, le comble de leurs hypocrisies vient du fait que leurs dirigeants nous baragouinent que leur mouvement n’est pas religieux. Aberrants!
Alors quel est le problème, si ce système fonctionne pour certains?
On se retrouve avec plusieurs incohérences religieuses qui nuisent aux soins médicaux qui seraient nécessaires.
1) Les effets de sevrages sont biologiques et hormonaux et ils n’ont pas de causes immatérielles. Ces effets biologiques et hormonaux sont souvent ostracisés dans les rencontres, dans les discours.
2) Les religieux n’expliqueront pas que l’on peut guérir de cette dépendance sans la croyance en leurs balivernes divines et en leurs prières.
3) Les religieux insisteront sur la fausse importance de la foi et de la prière à leur dieu imaginaire pour avoir une guérison durable.
4) Les religieux mettront en évidence leurs succès en remerciant leur dieu et son pouvoir rédempteur (ils illusionnent l’auditoire avec des fantasmes délirants).
5) Les religieux justifieront les multiples échecs et les multiples rechutes avec des termes obscurs de souffrances incontrôlées, insinuant un manque de foi ou le pouvoir incompréhensible d’un diable interne.
6) Les rechutes deviennent fréquentes. Si le patient découvre le mensonge de ces religieux, s’il comprend l’arnaque de leurs prières, alors, par la suite, il ne saura plus à qui se fier et il risque de récidiver de façon permanente.
7) Les psychiatres et les médecins fermeront les yeux (ou encourageront) sur ces pratiques de recrutement religieux parce qu’ils se libèrent, ainsi, d’une responsabilité.
8) Etc.
Une méthode profondément triste.
--------------------------------------===========================
Ironisons et revenons à la secte du dieu Eugord, le sujet initial de ce texte.
Eugord est un grand dieu qu’il faut prier pour être sauvé!
Les pilules d’Eugord et leur combinaison avec l’alcool permettent de démontrer toute la puissance derrière la croyance au Dieu Eugord. Cet être magnanime peut sauver qui il veut. Les psychiatres le vénèrent secrètement. Ces derniers font la promotion de la religion d’Eugord, ils sont des alliés. En retour, cette croyance leur permet de récolter des revenus faramineux et ils n’éprouvent aucun problème de conscience professionnelle. On nomme ces spécialistes, des prêtres lenimirc qui affichent avec fierté une bienveillance intouchable devant les médias. Ils commenteront avec un grand sourire leurs succès et vanteront les bienfaits incommensurables des pilules d’Eugord, sous prétexte de soigner les plus vulnérables.
Qu’en pensez-vous?
Notez que ce sujet provient de la section « Évolution/Création ». Dans la critique des religions, nous cherchons à expliquer pourquoi les religions persistent malgré les atrocités promulguées par leurs livres sacrés et malgré leurs superstitions invraisemblables. Une multitude de raisons justifient ce fait.
Exemple, l’utilisation des drogues et de leurs effets de sevrages.
Le phénomène de sevrage joue un rôle important pour permettre la persistance de ces croyances. L’arnaque reliée aux drogues provient du fait que l’effet de sevrage peut survenir un certain temps après la prise d’une drogue et que cet aspect est maintenu en sourdine par les systèmes religieux, psychiatriques et médicaux. L’effet de sevrage pousse une personne dans le domaine de « l’incohérence » durant cette période.
Peut-on le détecter?
Les spécialistes ne retrouveront aucune trace de drogues dans le sang de la victime et ils ne peuvent savoir si elle est en manque sans connaitre son historique. Donc, la personne peut avoir été droguée antérieurement à son insu.
Nous avons commencé à dénoncer ce phénomène il y a plus de quinze ans parce que les spécialistes ne discutaient pas de cet effet de sevrage à long terme. Par ironie, nous avons créé le dieu « Eugord » (le mot drogue écrit à l’envers) pour nous moquer des religieux, des psychiatres et des autres médecins incompétents qui ne se questionnent pas à propos de l’origine d’une maladie mentale, surtout si cette dernière apparait soudainement.
Par exemple, si une personne se présentait avec un problème psychique soudain, les psychiatres ne chercheront pas à savoir si cette personne a été droguée à son insu, ils y verront un problème génétique dormant qui s’est réveillé et ils prescriront d’autres drogues, tout aussi dévastatrices. Les plus aliénés d’entre eux oseront croire que le diable a pris possession de l’esprit de la victime et que les symptômes symbolisent un manque de piété.
Quelles sont ces drogues?
Nous avons présenté dans le texte précédent deux catégories très différentes de drogues qui peuvent être utilisées avec des intentions criminelles;
1) l’oxycodone qui crée une grande dépendance infligeant des souffrances psychiques.
2) les pilules anticonceptionnelles données à de jeunes mâles pour modifier leurs hormones sans leurs consentements.
Et maintenant, citons l’alcool…
Pour continuer cette liste, citons l’alcool. Cette drogue est bien connue dans la population. Elle est présente, partout, dans nos sociétés. Évidemment, ce n’est pas tout le monde qui développe une dépendance maladive à cause de l’ingestion répétée de cette substance. En usage modéré, elle permet de libérer la parole et les pensées, par contre, un abus de cette dernière amène les adeptes dans des actions excessives, et même, les poussent quelques fois dans un coma. La consommation régulière de cette drogue peut développer une maladie, l’alcoolisme. Cette dernière se transforme en problème de dépendance qui fait le grand bonheur des gourous religieux.
Le bonheur des religieux?
Hey oui! Nommons en exemple le groupe des « alcooliques anonymes ». Ce groupe se dit indépendant des religions, mais on constate facilement que les religieux s’insèrent vicieusement dans leurs rangs. Pour aider à la difficulté de sortir de cette dépendance et de se libérer des effets de sevrage (qui sont extrêmement difficile à surmonter), les religieux jouent de manipulations en suggérant de faire des prières régulièrement qui demandent l’aide d’un dieu imaginaire, sous prétexte de bienveillance.
On doit le répéter, le comble de leurs hypocrisies vient du fait que leurs dirigeants nous baragouinent que leur mouvement n’est pas religieux. Aberrants!
Alors quel est le problème, si ce système fonctionne pour certains?
On se retrouve avec plusieurs incohérences religieuses qui nuisent aux soins médicaux qui seraient nécessaires.
1) Les effets de sevrages sont biologiques et hormonaux et ils n’ont pas de causes immatérielles. Ces effets biologiques et hormonaux sont souvent ostracisés dans les rencontres, dans les discours.
2) Les religieux n’expliqueront pas que l’on peut guérir de cette dépendance sans la croyance en leurs balivernes divines et en leurs prières.
3) Les religieux insisteront sur la fausse importance de la foi et de la prière à leur dieu imaginaire pour avoir une guérison durable.
4) Les religieux mettront en évidence leurs succès en remerciant leur dieu et son pouvoir rédempteur (ils illusionnent l’auditoire avec des fantasmes délirants).
5) Les religieux justifieront les multiples échecs et les multiples rechutes avec des termes obscurs de souffrances incontrôlées, insinuant un manque de foi ou le pouvoir incompréhensible d’un diable interne.
6) Les rechutes deviennent fréquentes. Si le patient découvre le mensonge de ces religieux, s’il comprend l’arnaque de leurs prières, alors, par la suite, il ne saura plus à qui se fier et il risque de récidiver de façon permanente.
7) Les psychiatres et les médecins fermeront les yeux (ou encourageront) sur ces pratiques de recrutement religieux parce qu’ils se libèrent, ainsi, d’une responsabilité.
8) Etc.
Une méthode profondément triste.
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Ironisons et revenons à la secte du dieu Eugord, le sujet initial de ce texte.
Eugord est un grand dieu qu’il faut prier pour être sauvé!
Les pilules d’Eugord et leur combinaison avec l’alcool permettent de démontrer toute la puissance derrière la croyance au Dieu Eugord. Cet être magnanime peut sauver qui il veut. Les psychiatres le vénèrent secrètement. Ces derniers font la promotion de la religion d’Eugord, ils sont des alliés. En retour, cette croyance leur permet de récolter des revenus faramineux et ils n’éprouvent aucun problème de conscience professionnelle. On nomme ces spécialistes, des prêtres lenimirc qui affichent avec fierté une bienveillance intouchable devant les médias. Ils commenteront avec un grand sourire leurs succès et vanteront les bienfaits incommensurables des pilules d’Eugord, sous prétexte de soigner les plus vulnérables.
Qu’en pensez-vous?
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
Re: La secte de Dieu
je te réponds ici et je t'explique certaines choses.sami83g a écrit : 18 août 2023, 19:40 Ce que je dénonce? Ceux qui ont été drogués à leurs insus, ceux qui vivent dans une dépendance involontaire aux psychotropes, ceux qui ont perdu le pouvoir de choisir!
@Mirages. Tu as écrit; « Vu que je sais toujours pas comment agissent la majorité des psychiatres au Québec »
Je t’ai répondu plusieurs fois. On parle du mur de l’omerta du système médical!
Le nombre d’échecs en psychiatrie dépasse l’entendement. Les recherches sur les causes de suicides ou d’overdoses rencontrent le mur de l’omerta lorsque des psychiatres étaient impliqués antérieurement, et l'on nage dans la confusion, de textes freudiens, qui expliquent tout et son contraire.
Tu me resoumets régulièrement ce genre de questions. ----- Espères-tu que je dénonce des psychiatres en particulier ou que je mentionne les psychotropes qui créent de la schizophrénie pendant le sevrage ? Je ne le ferai pas, parce que ça ne servira à rien et cela risque de nuire énormément. Le problème se situe au niveau du système psychiatrique et des autres spécialistes soignant les troubles mentaux. Leurs drogues agissent comme des couteaux de chirurgiens; ils peuvent soigner, créer de la souffrance ou conduire à la mort.
Des psychiatres prétendent soigner l’âme avec des drogues et ils savent cacher leurs incompétences derrière des discours ésotériques. Devant leurs échecs, ils parleront du ‘’manque de foi ‘’ ou de son inexistence. Ce genre de charlatanisme tombe dans la fosse de la criminalité.
À l’avenir je te répondrai dans ce même sujet ‘’Secte de Dieu’’. Parce que tu dis régulièrement que je ne te réponds pas, ce qui est totalement faux!!!!
Je suis limité dans mes processus mentaux, la mémoire est dans un état catastrophique et la cognition est pas brillante, le reste de mon cerveau non plus d'ailleurs...

Ce qui donne: souvent je ne comprends pas ce que les gens écrivent si c'est pas très simple, souvent je ne comprends pas ce qu'ils veulent dire, si une idée est développée en détail je n'arriverai pas à la cerner, je laisse souvent tomber quand la complexité pointe son nez (par flemmardise aussi un peu) etc...
je ne me rappelle pas de ce que j'ai dit ou de ce que mes interlocuteurs ont dit, ou très vaguement.
[grand vide car je sais pas comment rattacher ce que je viens de dire à pourquoi je le dis par rapport à la quote de ton message]
Bref lol
Les soins forcés c'est sur que c'est juste la moins mauvaise des solutions. Et je vois bien chez les skizos qui y sont passés que ça les a pas mal marqués négativement.
Tu dis pas clairement que tu es skizo, mais je vais faire comme si:
- Le mieux est d'être demandeur dans les soins, ne jamais se laisser déborder en mettant en place un entourage au courant de la pathologie, de voir régulièrement des soignants qui seront à même de détecter les signes pathologiques et te le signaler.
- De prendre un traitement adapté à l'état mental au moment où il est pris (donc tout est variable, même l'arrêt des neuroleptiques si vraiment ça tient sans, mais normalement c'est à vie, en tout cas c'est le plus sûr).
Là je peux faire un lien (Alléluia): sois l'acteur principal de ton parcours de soin. Si tu es entouré de personnes qui sont comme tu les décris (admettons), ben change d'environnement. Choisis qui tu vois pour te soigner, tout simplement.
Si au Québec la situation sanitaire en psychiatrie est tellement catastrophique que tu ne peux rien faire de tout ça, repense y quand même, je connais pas ce pays mais il y a surement des solutions pour que la situation d'un skizo qui se prend en main de manière convaincue soit meilleure que celui qui subit sans se bouger un minimum.
Encore une fois je connais pas ton pays ni son système de soin psychiatrique, mais déjà tu parles de médocs dans un pays développé, donc à priori vous avez une bonne partie de ceux que l'on a en France. Ben essais, d'une maniéré ou d'une autre, d'avoir ceux qui te conviennent.
Et, même si c'est difficile, surtout ne pas laisser la rancune des soins subis de force prendre le pas sur tout et faire un blocage complet sur les soins en général.
Et je pense que tu noircies quand même un peu le tableau, car je viens de relire et tu parles de suicide ou d'overdose que des psychiatres auraient plus ou moins initié... mais encore une fois tu restes vague.
En restant dans le vague le "débat" ne décollera jamais, tu vas écrire tes diatribes habituelles et je tenterai en vain de te répondre clairement.
Je reprends ce que tu écris:
Alors de un si, ça sert déjà à pouvoir étudier sérieusement tes allégations pour faire la lumière sur pas mal de choses, et sérieusement il y en a besoin.Espères-tu que je dénonce des psychiatres en particulier ou que je mentionne les psychotropes qui créent de la schizophrénie pendant le sevrage ? Je ne le ferai pas, parce que ça ne servira à rien et cela risque de nuire énormément.
De deux "nuire sérieusement" ? à qui, quoi, comment, pourquoi ? Mais qu'est-ce que tu sous entends ? t'es sûr que tu te montes pas un peu la tête ?
Tu as employé un mot, et je pense qu'il résume bien l'ensemble: confusion.
Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
deus ex Machina
deus ex Machina
Re: La secte de Dieu
J'ai répondu avant de lire ce post, bingo et encore une fois alléluia ! enfin une identification claire et nette !sami83g a écrit : 21 juin 2024, 16:45
Quelles sont ces drogues?
Nous avons présenté dans le texte précédent deux catégories très différentes de drogues qui peuvent être utilisées avec des intentions criminelles;
1) l’oxycodone qui crée une grande dépendance infligeant des souffrances psychiques.
L'oxycodone, sur Google j'ai même pas cliqué sur les liens, car simplement je vois que c'est un opioïde (je connais pas, déjà entendu le nom mais c'est tout). Avec un opioïde, tu peux en faire des ravages, d'ailleurs c'est ce qu'il s'est passé aux USA. Et là oui, tu peux nous parler de sevrage, d'irresponsabilité des médecins, défaillance des institutions etc...
Et bim ton discours fleuve peut enfin s'articuler autour de ce petit rocher que tu as fini par nommer. Continue, balance !
En attendant d'autres révélation d'identité (rien de fou dans celle que tu viens de lâcher), Bonne nuit de mon petit bout de globe !

Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
deus ex Machina
deus ex Machina
Re: La secte de Dieu
Bonjour,
@Mirages. Tu as écrit; « L’oxycodone, sur Google j’ai même pas cliqué sur les liens, car simplement je vois que c’est un opioïde (je connais pas, déjà entendu le nom mais c’est tout)
… Et bim ton discours fleuve peut enfin s’articuler autour de ce petit rocher que tu as fini par nommer. Continue, balance! »
Tes commentaires partagés par le passé avaient soulevé, chez moi, des soucis, mais maintenant, je ne m’inquiète plus pour toi. Les problèmes humains reliés aux drogues sont tellement énormes que j’ironise sur ces atrocités avec mes textes racontant le diabolisme du dieu Eugord.
----------------------------------=======================
Avant d’ironiser avec le secret de la secte d’Eugord, regardons une situation actuelle.
Il existe un ostracisme éduqué (une omerta) à propos de la souffrance dû au sevrage, inséré dans la culture des psychiatres et des médecins, cette mentalité élitiste nuit énormément aux recherches de solutions à la toxicomanie. Les victimes qui se droguent, pour plusieurs cas, ne recherchent pas un plaisir intense comme le laissent entendre ces spécialistes ou les médias populaires, ces victimes désirent arrêter des souffrances intolérables.
Nous avons présenté dans les textes précédents des drogues qui entrainent un effet de dépendance induisant des souffrances psychiques.
1) L’oxycodone, un médicament utilisé hors de son cadre de validation, crée une grande dépendance en infligeant de grands malaises mentaux.
2) Les pilules anticonceptionnelles données à de jeunes mâles, pour modifier leurs hormones, nuisent à leurs développements. Ces médicaments peuvent être donnés sans le consentement des jeunes enfants par des mères criminelles.
3) L’alcool, en quantité légère, peut rehausser les partys de façon récréative. Par contre ce psychotrope altère la conscience et le comportement et il peut le faire de façon très négative.
Maintenant, laissez-moi te parler du fentanyl. Qu’en est-il du fentanyl?
Le fentanyl, une drogue très puissante, a gagné sa popularité rapidement parmi les substances psychotropes à cause de sa facilité de production et de son cout relativement bas. Ce composé dérivé des analgésiques se classe parmi les opioïdes synthétiques.
Ce produit trône parmi les causes des plus grands désastres humains de notre société! Nous avons tous entendu parler du taux d’overdose entrainant la mort, chez les accros aux fentanyl, et ce taux a augmenté de façon exponentielle.
Clarifions un point important. Le fentanyl sert à soulager la douleur psychologique, et paradoxalement, il induit une dépendance exécrable. La souffrance créée pendant son sevrage est tellement insupportable, que le moyen le plus efficace pour arrêter cette douleur psychique consiste à suggérer la reprise de fentanyl ou de drogues équivalentes.
Des psychiatres ou des médecins refusent d’expliquer ce cercle vicieux. Des mafiosos en cravate laissent entendre que ces drogués cherchent seulement à continuer leurs trips ou à retourner dans leur monde spirituel. Ils entrainent la culture populaire à croire que le problème est génétique. Alors, sous une apparence de grande bienveillance, ils installent des centres d’injections pour les toxicomanes un peu partout au Canada. En fait, ils maintiennent la dépendance sous prétexte de prodiguer des soins. Ils ne cherchent pas à régler le problème de la dépendance.
Quand finirons-nous par admettre que les psychiatres (ou des médecins) génèrent des troubles psychotiques avec leurs prescriptions de psychotrope à l’aveugle?
--------------------------------------===========================
Revenons à la secte du dieu Eugord, le dieu des mafiosos.
Les prêtres Lenimirc racontent que nos pilules d’Eugord élèvent les fidèles vers les plus hauts sommets du spiritualisme. Ces grands exégètes prononcent régulièrement des discours de bienveillance pour faire la promotion de nos pilules.
1…) Nous avons tous des secrets.
En fait, il ne faut pas le révéler, nos pilules créent une dépendance et nos gourous savent comment utiliser l’effet de sevrage. Ce dernier apparaitra fortement après deux ou trois jours suivant l’arrêt de notre médication. Ce laps de temps nous permet de protéger nos arrières en nous permettant d’avoir de bons alibis.
2…) La méthode secrète pour se venger contre ceux qui résistent.
Lorsqu’un de nos membres désirera quitter les rangs de notre secte, nous accepterons en affichant un sentiment de bienveillance, et pour le remercier de sa participation, nous organiserons un party, ou il y aura beaucoup d’alcool.
Avant la date du party, nous nous assurerons que l’hérétique consommera régulièrement des pilules, choisies d’Eugord, qui l’aideront à dormir. Ainsi ce dissident sera drogué sans le savoir avec la participation de sa conjointe, de nos psychiatres Lenimirc ou de certains fidèles. Trois jours avant la date fixée de son party, nous cesserons de lui faire ingurgiter les pilules choisies d’Eugord. La méthode consiste simplement à lui fournir des placebos ou à arrêter la médication.
Nous prévoyons donc qu’il ressentira les effets de sevrage. Ceux-ci se produiront fortement deux ou trois jours après sa dernière dose. Il suffit facilement de coordonner cet effet de sevrage avec la date de son party.
Pendant son party, sans comprendre ce qui lui arrive, notre hérétique boira, il fera des folies, il agressera des innocents, il tombera dans la violence.
3…) La bienveillance des gourous d’Eugord.
En bon citoyen, nos gourous appelleront la police vers la fin du party et ils témoigneront des actes commis par cet hérétique. Ils pourront raconter les faits, les méfaits, les agressions, les… Ils sauront expliquer brillamment qu’ils sont les victimes de cette histoire.
Notre hérétique sera mis en état d’arrestation à cause de ses actions violentes rapportées durant le « party ». Évidemment, les enquêteurs feront une prise de sang pour vérifier si l’on y détecte des drogues interdites. Ces enquêteurs ne trouveront que de l’alcool dans son sang, et ils n’observeront aucune autre substance externe. Puisqu’il était en sevrage depuis un certain temps, il n’y aura aucune trace des pilules d’Eugord, dans son sang.
4…) Utilisation des précédents, la justification préférée des psychiatres d’Eugord.
Ainsi, les effets de pilules d’Eugord seront invisibles aux enquêteurs, ces derniers ne peuvent pas supposer que la personne aurait été droguée à son insu et qu’elle était en sevrage.
Si les psychiatres Lenimirc sont impliqués dans une enquête, ils pourront continuer à prétendre que leurs pilules ne créent pas de dépendance et qu’elles ne créent pas de tels effets de violences. Les spécialistes d’Eugord auront répertorié dans leurs littératures scientifiques plusieurs évènements semblables et ils argumenteront que des personnes deviennent dangereusement agressives à cause de l’alcool, même si elles ont consommé de l’alcool une seule fois.
Nos psychiatres Lenimirc pourront faire croire que cette personne était alcoolique sans le savoir et que l’alcool est l’unique cause de son malheur.
Ils pourront professer aussi que la puissance du dieu Eugord lui a permis de bien vivre malgré sa maladie et qu’ainsi, la croyance en ce dieu est génétiquement nécessaire.
5…) Le bouc émissaire observable!
La secte d’Eugord nage dans l’euphorie. Elle continue à distribuer ses pilules en donnant une image de bienveillance. L’alcool devient une excuse, un bouc émissaire souverain permettant de cacher les effets de dépendance que créent les pilules de la secte. Les fidèles vénèrent Eugord et tous les psychiatres Lenimirc qui le servent.
Qu’en pensez-vous ?
@Mirages. Tu as écrit; « L’oxycodone, sur Google j’ai même pas cliqué sur les liens, car simplement je vois que c’est un opioïde (je connais pas, déjà entendu le nom mais c’est tout)
… Et bim ton discours fleuve peut enfin s’articuler autour de ce petit rocher que tu as fini par nommer. Continue, balance! »
Tes commentaires partagés par le passé avaient soulevé, chez moi, des soucis, mais maintenant, je ne m’inquiète plus pour toi. Les problèmes humains reliés aux drogues sont tellement énormes que j’ironise sur ces atrocités avec mes textes racontant le diabolisme du dieu Eugord.
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Avant d’ironiser avec le secret de la secte d’Eugord, regardons une situation actuelle.
Il existe un ostracisme éduqué (une omerta) à propos de la souffrance dû au sevrage, inséré dans la culture des psychiatres et des médecins, cette mentalité élitiste nuit énormément aux recherches de solutions à la toxicomanie. Les victimes qui se droguent, pour plusieurs cas, ne recherchent pas un plaisir intense comme le laissent entendre ces spécialistes ou les médias populaires, ces victimes désirent arrêter des souffrances intolérables.
Nous avons présenté dans les textes précédents des drogues qui entrainent un effet de dépendance induisant des souffrances psychiques.
1) L’oxycodone, un médicament utilisé hors de son cadre de validation, crée une grande dépendance en infligeant de grands malaises mentaux.
2) Les pilules anticonceptionnelles données à de jeunes mâles, pour modifier leurs hormones, nuisent à leurs développements. Ces médicaments peuvent être donnés sans le consentement des jeunes enfants par des mères criminelles.
3) L’alcool, en quantité légère, peut rehausser les partys de façon récréative. Par contre ce psychotrope altère la conscience et le comportement et il peut le faire de façon très négative.
Maintenant, laissez-moi te parler du fentanyl. Qu’en est-il du fentanyl?
Le fentanyl, une drogue très puissante, a gagné sa popularité rapidement parmi les substances psychotropes à cause de sa facilité de production et de son cout relativement bas. Ce composé dérivé des analgésiques se classe parmi les opioïdes synthétiques.
Ce produit trône parmi les causes des plus grands désastres humains de notre société! Nous avons tous entendu parler du taux d’overdose entrainant la mort, chez les accros aux fentanyl, et ce taux a augmenté de façon exponentielle.
Clarifions un point important. Le fentanyl sert à soulager la douleur psychologique, et paradoxalement, il induit une dépendance exécrable. La souffrance créée pendant son sevrage est tellement insupportable, que le moyen le plus efficace pour arrêter cette douleur psychique consiste à suggérer la reprise de fentanyl ou de drogues équivalentes.
Des psychiatres ou des médecins refusent d’expliquer ce cercle vicieux. Des mafiosos en cravate laissent entendre que ces drogués cherchent seulement à continuer leurs trips ou à retourner dans leur monde spirituel. Ils entrainent la culture populaire à croire que le problème est génétique. Alors, sous une apparence de grande bienveillance, ils installent des centres d’injections pour les toxicomanes un peu partout au Canada. En fait, ils maintiennent la dépendance sous prétexte de prodiguer des soins. Ils ne cherchent pas à régler le problème de la dépendance.
Quand finirons-nous par admettre que les psychiatres (ou des médecins) génèrent des troubles psychotiques avec leurs prescriptions de psychotrope à l’aveugle?
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Revenons à la secte du dieu Eugord, le dieu des mafiosos.
Les prêtres Lenimirc racontent que nos pilules d’Eugord élèvent les fidèles vers les plus hauts sommets du spiritualisme. Ces grands exégètes prononcent régulièrement des discours de bienveillance pour faire la promotion de nos pilules.
1…) Nous avons tous des secrets.
En fait, il ne faut pas le révéler, nos pilules créent une dépendance et nos gourous savent comment utiliser l’effet de sevrage. Ce dernier apparaitra fortement après deux ou trois jours suivant l’arrêt de notre médication. Ce laps de temps nous permet de protéger nos arrières en nous permettant d’avoir de bons alibis.
2…) La méthode secrète pour se venger contre ceux qui résistent.
Lorsqu’un de nos membres désirera quitter les rangs de notre secte, nous accepterons en affichant un sentiment de bienveillance, et pour le remercier de sa participation, nous organiserons un party, ou il y aura beaucoup d’alcool.
Avant la date du party, nous nous assurerons que l’hérétique consommera régulièrement des pilules, choisies d’Eugord, qui l’aideront à dormir. Ainsi ce dissident sera drogué sans le savoir avec la participation de sa conjointe, de nos psychiatres Lenimirc ou de certains fidèles. Trois jours avant la date fixée de son party, nous cesserons de lui faire ingurgiter les pilules choisies d’Eugord. La méthode consiste simplement à lui fournir des placebos ou à arrêter la médication.
Nous prévoyons donc qu’il ressentira les effets de sevrage. Ceux-ci se produiront fortement deux ou trois jours après sa dernière dose. Il suffit facilement de coordonner cet effet de sevrage avec la date de son party.
Pendant son party, sans comprendre ce qui lui arrive, notre hérétique boira, il fera des folies, il agressera des innocents, il tombera dans la violence.
3…) La bienveillance des gourous d’Eugord.
En bon citoyen, nos gourous appelleront la police vers la fin du party et ils témoigneront des actes commis par cet hérétique. Ils pourront raconter les faits, les méfaits, les agressions, les… Ils sauront expliquer brillamment qu’ils sont les victimes de cette histoire.
Notre hérétique sera mis en état d’arrestation à cause de ses actions violentes rapportées durant le « party ». Évidemment, les enquêteurs feront une prise de sang pour vérifier si l’on y détecte des drogues interdites. Ces enquêteurs ne trouveront que de l’alcool dans son sang, et ils n’observeront aucune autre substance externe. Puisqu’il était en sevrage depuis un certain temps, il n’y aura aucune trace des pilules d’Eugord, dans son sang.
4…) Utilisation des précédents, la justification préférée des psychiatres d’Eugord.
Ainsi, les effets de pilules d’Eugord seront invisibles aux enquêteurs, ces derniers ne peuvent pas supposer que la personne aurait été droguée à son insu et qu’elle était en sevrage.
Si les psychiatres Lenimirc sont impliqués dans une enquête, ils pourront continuer à prétendre que leurs pilules ne créent pas de dépendance et qu’elles ne créent pas de tels effets de violences. Les spécialistes d’Eugord auront répertorié dans leurs littératures scientifiques plusieurs évènements semblables et ils argumenteront que des personnes deviennent dangereusement agressives à cause de l’alcool, même si elles ont consommé de l’alcool une seule fois.
Nos psychiatres Lenimirc pourront faire croire que cette personne était alcoolique sans le savoir et que l’alcool est l’unique cause de son malheur.
Ils pourront professer aussi que la puissance du dieu Eugord lui a permis de bien vivre malgré sa maladie et qu’ainsi, la croyance en ce dieu est génétiquement nécessaire.
5…) Le bouc émissaire observable!
La secte d’Eugord nage dans l’euphorie. Elle continue à distribuer ses pilules en donnant une image de bienveillance. L’alcool devient une excuse, un bouc émissaire souverain permettant de cacher les effets de dépendance que créent les pilules de la secte. Les fidèles vénèrent Eugord et tous les psychiatres Lenimirc qui le servent.
Qu’en pensez-vous ?
.
.
Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
Re: La secte de Dieu
J'ai voulu faire une réponse détaillée, pas réussi désolé.
En gros tu commences à donner des noms de médocs, tu parles un peu moins dans le vide.
Le reste c'est chaud, tu passes du coq à l'âne, tu mélanges réalité et phantasme, psychiatrie et religion, tu peux avoir l'impression que ce que tu écris tient la route mais la structure est tordue et ya pas mal de nettoyage à faire.
Mais encore une fois tu cites des noms, une secte par exemple et d'autres identités. tu nommes quoi. Je vais aller voir sur le net de quoi tu parles, pour une fois que tu donnes des éléments tangibles... on va pas se priver !

En gros tu commences à donner des noms de médocs, tu parles un peu moins dans le vide.
Le reste c'est chaud, tu passes du coq à l'âne, tu mélanges réalité et phantasme, psychiatrie et religion, tu peux avoir l'impression que ce que tu écris tient la route mais la structure est tordue et ya pas mal de nettoyage à faire.
Mais encore une fois tu cites des noms, une secte par exemple et d'autres identités. tu nommes quoi. Je vais aller voir sur le net de quoi tu parles, pour une fois que tu donnes des éléments tangibles... on va pas se priver !
Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
deus ex Machina
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Re: La secte de Dieu
sami83g a écrit : 09 août 2024, 20:41 Les problèmes humains reliés aux drogues sont tellement énormes que j’ironise sur ces atrocités avec mes textes racontant le diabolisme du dieu Eugord.
Tu te fais plaisir à vagabonder dans ton imaginaire ? parce que t'as l'air de parler sérieux dans tous tes fils... ou alors tu t'offres un bol d'air salvateur sur celui-là ?sami83g a écrit : 09 août 2024, 20:41
La secte d’Eugord nage dans l’euphorie. Elle continue à distribuer ses pilules en donnant une image de bienveillance. L’alcool devient une excuse, un bouc émissaire souverain permettant de cacher les effets de dépendance que créent les pilules de la secte. Les fidèles vénèrent Eugord et tous les psychiatres Lenimirc qui le servent.
Qu’en pensez-vous ?
Ta secte elle vit dans une fiction fantasy
"Les psychiatres Lenimirc" ouais pas mal.
Tu fais du kilomètre à la demande sur deux thèmes. T'as un don, écris un roman. Je parle sérieux aussi, qu'est-ce que tu viens te perdre ici (et peut être ailleurs) avec des histoires Netflix...Les fidèles vénèrent Eugord et tous les psychiatres Lenimirc qui le servent
Dernière modification par Mirages le 10 août 2024, 16:22, modifié 1 fois.
Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
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Re: La secte de Dieu
Quand vous aurez fini de vous contempler le nombril avec insistance, vous vous renseignerez peut-être sur la réalité? Parce qu'il n'existe rien de tel. Les psychiatres et autres intervenants en toxicomanie sont parfaitement au courant des problèmes liés au sevrage (ex1, ex2, ex3).sami83g a écrit : 09 août 2024, 20:41Il existe un ostracisme éduqué (une omerta) à propos de la souffrance dû au sevrage
Si vous avez des problèmes, le mieux est de trouver un intervenant formé légalement (médecin ou non) qui vous donne confiance plutôt que de cracher sur un système dont vous vous êtes fait une vision déformée. Rien n'est parfait nulle part mais, en général dans les sociétés occidentales en tout cas, les systèmes sont bien moins imparfaits que vos textes fantasmés le laissent croire.
Référence: zéro. L'affirmation est allusive, car rien ne dit que ce sont les psychiatres qui l'utilisent en-dehors du cadre de validation... et ces derniers ne sont pas responsables du trafic de stupéfiants ni de la consommation illégale.1) L’oxycodone, un médicament utilisé hors de son cadre de validation, crée une grande dépendance en infligeant de grands malaises mentaux.
Référence: zéro. Gros mensonge à mon avis.2) Les pilules anticonceptionnelles données à de jeunes mâles, pour modifier leurs hormones, nuisent à leurs développements. Ces médicaments peuvent être donnés sans le consentement des jeunes enfants par des mères criminelles.
Qu'on aurait bien tort de voir dans vos textes autre chose que de la caricature forcée. Même s'il est vrai que, par exemple, la surprescription de médicaments est un problème, vos propos sont tellement neuneus qu'ils ne peuvent même pas servir de base à une discussion saine sur les véritables enjeux. La question des drogues est un sujet très complexe - qui touche à différents aspects sociaux - et ça n'est pas vos remarques bas du front qui permettent de mettre de la clarté dans le sujet.Qu’en pensez-vous ?
Si vous voulez vraiment aider à lutter contre les problèmes liés à la drogue: donnez un portrait juste de la situation, éduquez sur les moyens de se sortir de la toxicomanie*, etc. Mais tant que vous ferez des caricatures, vous n'agirez qu'en Drannoc.
Jean-François
* Et comme ses moyens sont mis au point entre autres par des chercheurs, des psychiatres, des intervenants sociaux, etc., et non par vous, il vous faut leur faire au minimum un peu confiance.
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
Re: La secte de Dieu
Bonjour
@Mirages. Tu as écrit; « Le reste c’est chaud, tu passes du coq à l’âne, tu mélanges réalité et phantasme, psychiatrie et religion,….. Tu te fais plaisir à vagabonder dans ton imaginaire? Tu fais du kilomètre à la demande sur deux thèmes. …. »
Tes commentaires révèlent un désir provocateur de créer un chaos ou, sinon, tu sembles confus sans te soucier de mes intentions. Malgré tout, il serait possible que ton attitude évolue, pourrais-tu fournir un genre de classification à tes élucubrations?
Je vais quand même essayer de répondre à tes remarques d’une façon globale. Les sujets de « La secte de Dieu », auxquels tu participes, sont souvent ironiques et farfelus. Ces récits, un peu à l’image des livres sacrés, mélangent les intentions malsaines venant de psychiatres avec celles des religieux. Ce vagabondage (comme tu le dis) dans le monde immatériel du dieu Eugord permet de dénoncer, avec un humour noir, le pouvoir des psychiatres qui prétendent soigner l’âme et qui laissent croire que la maladie mentale est uniquement génétique.
En fin de compte, le sujet « La secte de dieu » raconte l’histoire du dieu Eugord, cette entité immatérielle est plus puissante que le dieu des chrétiens, plus démonique que le dieu Yahvé, plus revendicateur que le dieu Allah, plus ascétique que le dieu Bouddha ou plus cruel que d’autres entités merveilleuses! Le dieu Eugord possède une armée de psychiatres Lenimirc qui manipulent leurs patients et la société, sans vergogne, pour prouver que l’âme existe et que la vénération d’Eugord est une nécessité biologique. Des prêtres, imans, rabbins, encouragent leurs disciples (des truands) à droguer ceux qui refusent de croire en leur monde immatériel, avec l’accord des psychiatres qui s’appliqueront à bien les soigner. Les grands fidèles, Hells Angels et autres adorent le dieu Eugord, le plus grand de tous les dieux.
Alors, est-ce que cela t’aide? Pourrais-tu, aussi, m’expliquer les deux thèmes que tu as observés?
-----------------------------------===================
@Jean-François. Vous avez écrit; « Quand vous aurez fini de vous contempler le nombril avec insistance, vous vous renseignerez peut-être sur la réalité? Parce qu’il n’existe rien de tel. Les psychiatres et autres intervenants en toxicomanie sont parfaitement au courant des problèmes liés au sevrage… »
@Jean-François. Vous avez écrit; « L’affirmation est allusive, car rien ne dit que ce sont les psychiatres qui l’utilisent en-dehors du cadre de validation... »
@Jean-François. Vous avez écrit; « Qu’on aurait bien tort de voir dans vos textes autre chose que de la caricature forcée…. Si vous voulez vraiment aider à lutter contre les problèmes liés à la drogue : donnez un portrait juste de la situation, éduquez sur les moyens de se sortir de la toxicomanie. »
Êtes-vous fâché? C’est une réaction normale, surtout si vous défendez un agnosticisme religieux. Je vais essayer de répondre à vos interrogations et à vos allégations. Donc, pour continuer ce texte-ci, la réponse que j’amènerai n’ironisera pas avec l’histoire d’Eugord et de ses psychiatres Lenimirc. À la fin de ce petit texte, je vais poser des questions parce que je suis un sceptique sur plusieurs sujets.
Sommes-nous d’accord pour dire que les questionnements, sur l’effet des drogues et de leurs sevrages, impliquent que l’on doit fournir des informations pertinentes lorsqu’ils deviennent sérieux?
J’ai cité trois drogues, très connues, dans les textes précédents (oxycodone, pilules contraceptives, alcools). Ces drogues peuvent produire des effets néfastes et destructeurs lorsqu’elles sont utilisées volontairement ou insidieusement pour contrôler des personnes.
Je vais présenter un quatrième exemple, pour faire réaliser, sans humour et sans ironie, ce qui se cache derrière l’omerta du système psychiatrique. L’objectif est simplement de mettre en évidence la possible destruction psychologique que peut engendrer la mauvaise utilisation de ces drogues. Je dénonce l’incompétence des psychiatres et des médecins qui les prescrivent sans se soucier de leurs effets de sevrage.
La logique de la preuve est simple et je n’apprendrai rien à personne. On peut faire un parallèle avec l’utilisation des couteaux; ce sont des outils de cuisines très utiles, mais ils peuvent servir à tuer. Les prescriptions de drogues ont cette caractéristique dualiste.
On retrouve des politiciens corrompus, des policiers mafieux, des prêtres violeurs, alors pourquoi refuser d’admettre qu’il y a des psychiatres criminels. Tous ces agresseurs survivent bien dans une omerta de professionnelles. Ces agresseurs sont particulièrement atroces parce que ces experts cachent facilement leurs vices derrière le paravent de la bienveillance.
-----------------------------------===================
Alors, regardons cette quatrième drogue, le SEROQUEL, pour vérifier ses caractéristiques et demandons-nous si elles peuvent être utilisées de façon malsaine.
Des études pharmacologiques sont disponibles pour cette drogue « Seroquel » qui se dénomme aussi « Quétiapine ». Toutes les informations que je citerai proviennent d’un document officiel que l’on retrouve facilement à la « Grande Bibliothèque de Montréal », et c’est du sérieux! Les informations proviennent de la référence suivante;
« Compendium des produits et spécialités pharmaceutiques ». Association des pharmaciens du Canada.
Je ne vais pas recopier tous les renseignements officiellement reconnus, je vais simplement citer les notes les plus pertinentes. Par la suite, si vous voulez, on pourra discuter du non-dit que l’on retrouve avec l’utilisation malsaine de cette drogue qu’est le Seroquel.
Alors, voici : ----------------------------------- ===================
Enseignement sommaire sur le produit : Seroquel.
Indications et usages cliniques : adultes
— Schizophrénie : Seroquel (fumarate de quétiapine à libération immédiate) est indiqué pour le traitement des manifestations de la schizophrénie. L’efficacité antipsychotique de Seroquel a été établie lors d’essais contrôlés de courte durée (six semaines) auprès de patients hospitalisés. L’efficacité à long terme de Seroquel, c’est-à-dire au-delà de six semaines, n’a pas été systématiquement évaluée dans les essais contrôlés menés auprès des patients présentant des manifestations de schizophrénie.
— Trouble bipolaire : Seroquel est indiqué en monothérapie pour : la prise en charge des épisodes maniaques aigus associés aux troubles bipolaires; la prise en charge des épisodes dépressifs aigus associés aux troubles bipolaires I et II. L’efficacité de Seroquel dans le traitement de la manie bipolaire a été établie lors de deux essais cliniques de 12 semaines auprès de patients souffrants de troubles bipolaires. L’innocuité et l’efficacité de Seroquel administré pendant des périodes prolongées ou à titre prophylactique dans le traitement de la manie bipolaire n’ont pas été évaluées.
-----------------------------------===================
Contre-indications : Seroquel est contre-indiqué chez les patients ayant une hyper sensibilité aux médicaments ou à l’un de ses ingrédients.
Mise en garde des précautions importantes :
mortalité accrue chez les patients âgés atteints de démence : le risque de décès chez les patients âgés atteints de démence et traiter avec des antipsychotiques atypiques est plus élevé que chez les patients recevant un placebo....
-----------------------------------===================
Dépendance-tolérance : des cas de mésusage, d’abus, de tolérance et/ou de dépendance physique à la quétiapine ont été signalés. Ces cas comprennent des patients adultes et adolescents utilisant de la quétiapine seule ou avec d’autres substances donnant lieu à un usage abusif. Il faut faire preuve de prudence lorsqu’on prescrit de la quétiapine à des patients qui présentent des antécédents d’abus d’alcool ou de drogue. On doit surveiller les patients étroitement pour détecter tous les mésusages ou les abus de Seroquel (par exemple apparition d’une tolérance, augmentation de la dose, comportement toxicomaniaque), surtout s’ils présentent des antécédents d’abus d’alcool ou de drogues.
-----------------------------------===================
Symptômes de sevrage aigus (arrêt du traitement) : des symptômes de sevrage aigus, comme l’insomnie, des maux de tête, de la diarrhée, des vomissements, des étourdissements et de l’irritabilité ont été décrits après l’arrêt brusque de la prise d’antipsychotique, y compris de la quétiapine. Un retrait graduel au cours d’une période d’au moins une ou deux semaines est recommandé. Ces symptômes disparaissent habituellement une semaine après l’arrêt du traitement.
Appareil cardiovasculaire : hypotension et syncope : comme pour les autres médicaments dont l’activité de blocage des récepteurs alpha1-adrénergiques est forte, la quétiapine peut provoquer de l’hypertension orthostatique, de la tachycardie, des étourdissements et parfois une syncope, en particulier durant la période initiale d’ajustement posologique. Ces troubles peuvent provoquer des chutes.
-----------------------------------===================
Système nerveux : syndrome malin des neuroleptiques (SMN) : le syndrome malin des neuroleptiques est un ensemble potentiellement mortel de symptômes qui a été observé avec l’emploi d’anti psychotique, dont la quétiapine. Les manifestations cliniques du SMN sont l’hyperthermie, la rigidité musculaire, l’altération de l’état mental ainsi que des signes d’instabilité neurovégétative (irrégularité du pouls ou de la tension artérielle, tachycardie, diaphorèse et disrythmie cardiaque. Les autres signes peuvent inclure une hausse de la créatine phosphokinase, une myoglobinurie et une insuffisance rénale aiguë.
-----------------------------------===================
Facultés mentales : suicide, idées suicidaires ou aggravation clinique : les épisodes dépressifs sont associés à des risques accrus d’idées suicidaires, d’automutilations et de suicide. Ce risque persiste jusqu’à une rémission significative de la dépression. Comme leur état ne s’s’améliorera peut-être pas au cours des premières semaines du traitement ou même au-delà, les patients doit faire l’objet d’une surveillance étroite jusqu’à ce qu’une amélioration se manifeste. D’après l’expérience clinique générale, le risque de suicide peut augmenter au cours des premiers stades du rétablissement. En plus des épisodes dépressifs liés au trouble bipolaire, la dépression peut apparaître en concomitance avec la schizophrénie.
La schizophrénie et les épisodes maniaques associés aux troubles bipolaires peuvent également être associés à un risque de manifestations liées au suicide. Les patients à risque élevé doivent donc faire l’objet d’une surveillance étroite et d’une prise en charge clinique appropriée en plus de leur traitement pharmacologique.
Les patients ayant des antécédents de manifestations liées au suicide présentent aussi un risque accru d’idées suicidaires ou de tentative de suicide : il faut donc les suivre de près pendant le traitement.
-----------------------------------===================
Effets indésirables; la fréquence de manifestations indésirables indiquées représente le pourcentage de personnes ayant éprouvé au moins une manifestation indésirable survenant au cours du traitement et appartenant à un des types énumérés....
Effets indésirables associés à l’arrêt du traitement : essais cliniques de courte durée contrôlée par placebo : schizophrénie : globalement, 3,9 % des patients traités par Seroquel ont dû arrêter leur traitement pour cause de manifestations indésirables contre 2,9 % des patients traités par placebo.
-----------------------------------===================
La somnolence responsable du plus grand nombre de retraits du traitement par la quétiapine, a provoqué le retrait des quatre patients du groupe quétiapine et d’aucun patient sous placebo.
Somnolence : une somnolence peut se produire, habituellement pendant les deux premières semaines de traitement, elle disparaît généralement avec la poursuite du traitement par la quétiapine.
Rêves anormaux et cauchemars : les cas de rêves anormaux et de cauchemars sont fréquents chez les patients sous quétiapine.
-----------------------------------===================
Irritabilité : les cas d’irritabilité sont fréquents chez les patients sous quétiapine.
Interactions médicamenteuses : interactions médicaments-médicaments : compte tenu des principaux effets de la quétiapine sur le système nerveux central, la prudence s’impose lorsque la dose est administrée en concomitance avec d’autres médicaments à action centrale.
Effet de Seroquel sur d’autres médicaments ou substances : alcool : Seroquel a potentialisé les effets sur les fonctions cognitives et motrices de l’alcool dans un essai clinique mené chez des sujets atteints de troubles psychotiques. Il est préférable de ne pas prendre des boissons alcoolisées avec la quétiapine.
Et voilà! ----------------------------------- ===================
Si vous vérifiez la référence qui a été citée, vous y découvrirez beaucoup plus d’informations à propos de « plusieurs, plusieurs » autres drogues.
À réfléchir.
Pourquoi prescrit-on cette drogue à des patients pendant des années alors qu’elle a seulement été vérifiée sur une courte période?
Pourquoi les psychiatres doivent-ils augmenter la dose de cette drogue avec la longueur du traitement?
Pourquoi des soignants renvoient-ils à l’hôpital psychiatrique des patients qui ont réussi leurs sevrages? Que se produit-il si un patient va expliquer que la maladie mentale a été produite par leurs prescriptions?
Le document relatif au Seroquel dit que le sevrage dure 12 jours, lorsque l’on prescrit cette drogue sur une période de 6 à 12 semaines. Alors, que se passe-t-il si l’on prescrit ce médicament pendant des années, devient-il sensé de prévoir que le sevrage durera plusieurs années?
Existe-t-il des essais où l’on donnerait des doses excessives à des volontaires qui ne sont pas schizophrènes? Que se passerait-il si ces volontaires arrêtaient cette drogue subitement?
Cette drogue peut-elle créer la maladie mentale qu’est la schizophrénie?
Finalement, au Québec les systèmes de l’assurance maladie et de l’assurance médicament permettraient-ils de vérifier s’il existe un lien entre les actes de violence [les suicides, les assassinats, les meurtres de masse] et les prescriptions pharmacologiques? Pourquoi ces données ne sont-elles pas accessibles aux journalistes, surtout si l’acte de violence a causé la mort d’individus?
Qu’en pensez-vous?
@Mirages. Tu as écrit; « Le reste c’est chaud, tu passes du coq à l’âne, tu mélanges réalité et phantasme, psychiatrie et religion,….. Tu te fais plaisir à vagabonder dans ton imaginaire? Tu fais du kilomètre à la demande sur deux thèmes. …. »
Tes commentaires révèlent un désir provocateur de créer un chaos ou, sinon, tu sembles confus sans te soucier de mes intentions. Malgré tout, il serait possible que ton attitude évolue, pourrais-tu fournir un genre de classification à tes élucubrations?
Je vais quand même essayer de répondre à tes remarques d’une façon globale. Les sujets de « La secte de Dieu », auxquels tu participes, sont souvent ironiques et farfelus. Ces récits, un peu à l’image des livres sacrés, mélangent les intentions malsaines venant de psychiatres avec celles des religieux. Ce vagabondage (comme tu le dis) dans le monde immatériel du dieu Eugord permet de dénoncer, avec un humour noir, le pouvoir des psychiatres qui prétendent soigner l’âme et qui laissent croire que la maladie mentale est uniquement génétique.
En fin de compte, le sujet « La secte de dieu » raconte l’histoire du dieu Eugord, cette entité immatérielle est plus puissante que le dieu des chrétiens, plus démonique que le dieu Yahvé, plus revendicateur que le dieu Allah, plus ascétique que le dieu Bouddha ou plus cruel que d’autres entités merveilleuses! Le dieu Eugord possède une armée de psychiatres Lenimirc qui manipulent leurs patients et la société, sans vergogne, pour prouver que l’âme existe et que la vénération d’Eugord est une nécessité biologique. Des prêtres, imans, rabbins, encouragent leurs disciples (des truands) à droguer ceux qui refusent de croire en leur monde immatériel, avec l’accord des psychiatres qui s’appliqueront à bien les soigner. Les grands fidèles, Hells Angels et autres adorent le dieu Eugord, le plus grand de tous les dieux.
Alors, est-ce que cela t’aide? Pourrais-tu, aussi, m’expliquer les deux thèmes que tu as observés?
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@Jean-François. Vous avez écrit; « Quand vous aurez fini de vous contempler le nombril avec insistance, vous vous renseignerez peut-être sur la réalité? Parce qu’il n’existe rien de tel. Les psychiatres et autres intervenants en toxicomanie sont parfaitement au courant des problèmes liés au sevrage… »
@Jean-François. Vous avez écrit; « L’affirmation est allusive, car rien ne dit que ce sont les psychiatres qui l’utilisent en-dehors du cadre de validation... »
@Jean-François. Vous avez écrit; « Qu’on aurait bien tort de voir dans vos textes autre chose que de la caricature forcée…. Si vous voulez vraiment aider à lutter contre les problèmes liés à la drogue : donnez un portrait juste de la situation, éduquez sur les moyens de se sortir de la toxicomanie. »
Êtes-vous fâché? C’est une réaction normale, surtout si vous défendez un agnosticisme religieux. Je vais essayer de répondre à vos interrogations et à vos allégations. Donc, pour continuer ce texte-ci, la réponse que j’amènerai n’ironisera pas avec l’histoire d’Eugord et de ses psychiatres Lenimirc. À la fin de ce petit texte, je vais poser des questions parce que je suis un sceptique sur plusieurs sujets.
Sommes-nous d’accord pour dire que les questionnements, sur l’effet des drogues et de leurs sevrages, impliquent que l’on doit fournir des informations pertinentes lorsqu’ils deviennent sérieux?
J’ai cité trois drogues, très connues, dans les textes précédents (oxycodone, pilules contraceptives, alcools). Ces drogues peuvent produire des effets néfastes et destructeurs lorsqu’elles sont utilisées volontairement ou insidieusement pour contrôler des personnes.
Je vais présenter un quatrième exemple, pour faire réaliser, sans humour et sans ironie, ce qui se cache derrière l’omerta du système psychiatrique. L’objectif est simplement de mettre en évidence la possible destruction psychologique que peut engendrer la mauvaise utilisation de ces drogues. Je dénonce l’incompétence des psychiatres et des médecins qui les prescrivent sans se soucier de leurs effets de sevrage.
La logique de la preuve est simple et je n’apprendrai rien à personne. On peut faire un parallèle avec l’utilisation des couteaux; ce sont des outils de cuisines très utiles, mais ils peuvent servir à tuer. Les prescriptions de drogues ont cette caractéristique dualiste.
On retrouve des politiciens corrompus, des policiers mafieux, des prêtres violeurs, alors pourquoi refuser d’admettre qu’il y a des psychiatres criminels. Tous ces agresseurs survivent bien dans une omerta de professionnelles. Ces agresseurs sont particulièrement atroces parce que ces experts cachent facilement leurs vices derrière le paravent de la bienveillance.
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Alors, regardons cette quatrième drogue, le SEROQUEL, pour vérifier ses caractéristiques et demandons-nous si elles peuvent être utilisées de façon malsaine.
Des études pharmacologiques sont disponibles pour cette drogue « Seroquel » qui se dénomme aussi « Quétiapine ». Toutes les informations que je citerai proviennent d’un document officiel que l’on retrouve facilement à la « Grande Bibliothèque de Montréal », et c’est du sérieux! Les informations proviennent de la référence suivante;
« Compendium des produits et spécialités pharmaceutiques ». Association des pharmaciens du Canada.
Je ne vais pas recopier tous les renseignements officiellement reconnus, je vais simplement citer les notes les plus pertinentes. Par la suite, si vous voulez, on pourra discuter du non-dit que l’on retrouve avec l’utilisation malsaine de cette drogue qu’est le Seroquel.
Alors, voici : ----------------------------------- ===================
Enseignement sommaire sur le produit : Seroquel.
Indications et usages cliniques : adultes
— Schizophrénie : Seroquel (fumarate de quétiapine à libération immédiate) est indiqué pour le traitement des manifestations de la schizophrénie. L’efficacité antipsychotique de Seroquel a été établie lors d’essais contrôlés de courte durée (six semaines) auprès de patients hospitalisés. L’efficacité à long terme de Seroquel, c’est-à-dire au-delà de six semaines, n’a pas été systématiquement évaluée dans les essais contrôlés menés auprès des patients présentant des manifestations de schizophrénie.
— Trouble bipolaire : Seroquel est indiqué en monothérapie pour : la prise en charge des épisodes maniaques aigus associés aux troubles bipolaires; la prise en charge des épisodes dépressifs aigus associés aux troubles bipolaires I et II. L’efficacité de Seroquel dans le traitement de la manie bipolaire a été établie lors de deux essais cliniques de 12 semaines auprès de patients souffrants de troubles bipolaires. L’innocuité et l’efficacité de Seroquel administré pendant des périodes prolongées ou à titre prophylactique dans le traitement de la manie bipolaire n’ont pas été évaluées.
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Contre-indications : Seroquel est contre-indiqué chez les patients ayant une hyper sensibilité aux médicaments ou à l’un de ses ingrédients.
Mise en garde des précautions importantes :
mortalité accrue chez les patients âgés atteints de démence : le risque de décès chez les patients âgés atteints de démence et traiter avec des antipsychotiques atypiques est plus élevé que chez les patients recevant un placebo....
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Dépendance-tolérance : des cas de mésusage, d’abus, de tolérance et/ou de dépendance physique à la quétiapine ont été signalés. Ces cas comprennent des patients adultes et adolescents utilisant de la quétiapine seule ou avec d’autres substances donnant lieu à un usage abusif. Il faut faire preuve de prudence lorsqu’on prescrit de la quétiapine à des patients qui présentent des antécédents d’abus d’alcool ou de drogue. On doit surveiller les patients étroitement pour détecter tous les mésusages ou les abus de Seroquel (par exemple apparition d’une tolérance, augmentation de la dose, comportement toxicomaniaque), surtout s’ils présentent des antécédents d’abus d’alcool ou de drogues.
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Symptômes de sevrage aigus (arrêt du traitement) : des symptômes de sevrage aigus, comme l’insomnie, des maux de tête, de la diarrhée, des vomissements, des étourdissements et de l’irritabilité ont été décrits après l’arrêt brusque de la prise d’antipsychotique, y compris de la quétiapine. Un retrait graduel au cours d’une période d’au moins une ou deux semaines est recommandé. Ces symptômes disparaissent habituellement une semaine après l’arrêt du traitement.
Appareil cardiovasculaire : hypotension et syncope : comme pour les autres médicaments dont l’activité de blocage des récepteurs alpha1-adrénergiques est forte, la quétiapine peut provoquer de l’hypertension orthostatique, de la tachycardie, des étourdissements et parfois une syncope, en particulier durant la période initiale d’ajustement posologique. Ces troubles peuvent provoquer des chutes.
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Système nerveux : syndrome malin des neuroleptiques (SMN) : le syndrome malin des neuroleptiques est un ensemble potentiellement mortel de symptômes qui a été observé avec l’emploi d’anti psychotique, dont la quétiapine. Les manifestations cliniques du SMN sont l’hyperthermie, la rigidité musculaire, l’altération de l’état mental ainsi que des signes d’instabilité neurovégétative (irrégularité du pouls ou de la tension artérielle, tachycardie, diaphorèse et disrythmie cardiaque. Les autres signes peuvent inclure une hausse de la créatine phosphokinase, une myoglobinurie et une insuffisance rénale aiguë.
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Facultés mentales : suicide, idées suicidaires ou aggravation clinique : les épisodes dépressifs sont associés à des risques accrus d’idées suicidaires, d’automutilations et de suicide. Ce risque persiste jusqu’à une rémission significative de la dépression. Comme leur état ne s’s’améliorera peut-être pas au cours des premières semaines du traitement ou même au-delà, les patients doit faire l’objet d’une surveillance étroite jusqu’à ce qu’une amélioration se manifeste. D’après l’expérience clinique générale, le risque de suicide peut augmenter au cours des premiers stades du rétablissement. En plus des épisodes dépressifs liés au trouble bipolaire, la dépression peut apparaître en concomitance avec la schizophrénie.
La schizophrénie et les épisodes maniaques associés aux troubles bipolaires peuvent également être associés à un risque de manifestations liées au suicide. Les patients à risque élevé doivent donc faire l’objet d’une surveillance étroite et d’une prise en charge clinique appropriée en plus de leur traitement pharmacologique.
Les patients ayant des antécédents de manifestations liées au suicide présentent aussi un risque accru d’idées suicidaires ou de tentative de suicide : il faut donc les suivre de près pendant le traitement.
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Effets indésirables; la fréquence de manifestations indésirables indiquées représente le pourcentage de personnes ayant éprouvé au moins une manifestation indésirable survenant au cours du traitement et appartenant à un des types énumérés....
Effets indésirables associés à l’arrêt du traitement : essais cliniques de courte durée contrôlée par placebo : schizophrénie : globalement, 3,9 % des patients traités par Seroquel ont dû arrêter leur traitement pour cause de manifestations indésirables contre 2,9 % des patients traités par placebo.
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La somnolence responsable du plus grand nombre de retraits du traitement par la quétiapine, a provoqué le retrait des quatre patients du groupe quétiapine et d’aucun patient sous placebo.
Somnolence : une somnolence peut se produire, habituellement pendant les deux premières semaines de traitement, elle disparaît généralement avec la poursuite du traitement par la quétiapine.
Rêves anormaux et cauchemars : les cas de rêves anormaux et de cauchemars sont fréquents chez les patients sous quétiapine.
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Irritabilité : les cas d’irritabilité sont fréquents chez les patients sous quétiapine.
Interactions médicamenteuses : interactions médicaments-médicaments : compte tenu des principaux effets de la quétiapine sur le système nerveux central, la prudence s’impose lorsque la dose est administrée en concomitance avec d’autres médicaments à action centrale.
Effet de Seroquel sur d’autres médicaments ou substances : alcool : Seroquel a potentialisé les effets sur les fonctions cognitives et motrices de l’alcool dans un essai clinique mené chez des sujets atteints de troubles psychotiques. Il est préférable de ne pas prendre des boissons alcoolisées avec la quétiapine.
Et voilà! ----------------------------------- ===================
Si vous vérifiez la référence qui a été citée, vous y découvrirez beaucoup plus d’informations à propos de « plusieurs, plusieurs » autres drogues.
À réfléchir.
Pourquoi prescrit-on cette drogue à des patients pendant des années alors qu’elle a seulement été vérifiée sur une courte période?
Pourquoi les psychiatres doivent-ils augmenter la dose de cette drogue avec la longueur du traitement?
Pourquoi des soignants renvoient-ils à l’hôpital psychiatrique des patients qui ont réussi leurs sevrages? Que se produit-il si un patient va expliquer que la maladie mentale a été produite par leurs prescriptions?
Le document relatif au Seroquel dit que le sevrage dure 12 jours, lorsque l’on prescrit cette drogue sur une période de 6 à 12 semaines. Alors, que se passe-t-il si l’on prescrit ce médicament pendant des années, devient-il sensé de prévoir que le sevrage durera plusieurs années?
Existe-t-il des essais où l’on donnerait des doses excessives à des volontaires qui ne sont pas schizophrènes? Que se passerait-il si ces volontaires arrêtaient cette drogue subitement?
Cette drogue peut-elle créer la maladie mentale qu’est la schizophrénie?
Finalement, au Québec les systèmes de l’assurance maladie et de l’assurance médicament permettraient-ils de vérifier s’il existe un lien entre les actes de violence [les suicides, les assassinats, les meurtres de masse] et les prescriptions pharmacologiques? Pourquoi ces données ne sont-elles pas accessibles aux journalistes, surtout si l’acte de violence a causé la mort d’individus?
Qu’en pensez-vous?
.
.
Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
.
Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
Re: La secte de Dieu
Je te répond en réitérant: tu mélanges réalité et phantasme, psychiatrie et religion. En rajoutant: propos qui se veulent sérieux et d'autres là pour délirer, le tout dans le même post.
Difficile de débattre dans ces conditions.
Difficile de débattre dans ces conditions.
Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
deus ex Machina
deus ex Machina
Re: La secte de Dieu
Bonjour,
@Mirages. Tu as écrit; « Je te réponds en réitérant : tu mélanges… psychiatrie et religion… Difficile de débattre dans ces conditions. »
Si tu prends le temps de te questionner à propos de ce lien « » psychiatrie-religion » », tu réaliseras que mes textes passés cherchaient à développer un sens critique visant l’aveuglement ou l’omerta du système médical. Le lien entre la psychiatrie et les religions permet tous les abus pharmacologiques. Les psychiatres, des soigneurs de l’âme, peuvent ainsi camoufler leurs incompétences ou leurs plus graves erreurs (suicides des patients) sous la couverture d’une volonté d’un dieu imaginaire ou d’une âme anémique. Le premier texte de ce sujet (qui a été écrit le 3 avril 2009, il y a plus de 15 ans) dénonce ironiquement les prescriptions abusives de drogues que font des psychiatres-religieux.
Comment ces spécialistes de l’âme auraient-ils réagi, en 2009, à des affirmations dénonçant explicitement les effets cachés du sevrage sur le long terme? Par exemple, j’ai été explicite à propos des suicides causés par des prescriptions psychiatriques douteuses, et certains m’ont automatiquement étiqueté avec un sobriquet directement extrait du DSM. Leur incompétence m’a amusée parce que l’on connaît l’arbitraire des thérapies basées sur le DSM.
A) Aurais-je pu commencer en écrivant que le système de psychiatrie nage dans une corruption pharmacologique? Pour preuve, leurs prescriptions négligent de traiter et de publiciser, à grande échelle pour le public, les effets de sevrage dû aux psychotropes ou aux opioïdes.
B) Aurais-je pu commencer en écrivant que l’effet de dépendance à leurs psychotropes peut durer plus de deux ans, contrairement à ce qu’ils enseignent à l’université? Ils prétendent faussement que l’effet de sevrage disparait entre dix jours et deux semaines.
C) Aurais-je pu commencer en écrivant que plusieurs psychiatres mentent en racontant que la schizophrénie est UNIQUEMENT génétique? Ces spécialistes des soins de l’âme refusaient de reconnaitre que les effets du jeu 'drogue-sevrage' peuvent être la cause d’une maladie mentale et changer, ainsi, la vie des individus.
D) Aurais-je pu commencer en écrivant qu’un jeu de 'drogue-sevrage' permet de faire croire n’importe quoi à n’importe qui? Les croyances religieuses voguent sur ce phénomène de toxicomanie. Les Jésuites (et autres sectes) ont facilement compris les problèmes cycliques de la toxicomanie, et ils prétendent soigner ces difficultés grâce aux prières à leur dieu imaginaire, au lieu d’expliquer les effets de sevrage. Au fond, ces arnaqueurs règlent simplement le problème de toxicomanie en pratiquant l’abstinence à long terme.
E) Aurais-je pu commencer en écrivant que les psychiatres, qui prétendent soigner une âme qui n’existe pas, participent à la détérioration de notre société avec leurs prescriptions abusives? Ces spécialistes, croyant soigner l’identité d’une âme immuable et anémique, se font grassement payer par la société. Leurs mensonges se sont retrouvés dans la multiplication de centres d’injection pour toxicomanes, au lieu de chercher à réduire les effets de dépendance. Ils nous embrument et ils justifient leurs propagandes avec la peur du suicide chez les toxicomanes. Sous couvert d’une fatalité génétique, ils refusent de dire que leurs drogues peuvent créer une maladie mentale chez n’importe qui.
F) Aurais-je pu commencer en écrivant que les religieux et les psychiatres fonctionnent en symbiose? Ces deux organisations tablent sur des croyances, en dieu ou en une âme immuable, pour voguer sur une mer d’abus.
Pour faire passer mon message à propos du phénomène 'drogue-sevrage', j’ai utilisé l’humour. La situation n’a pas tellement changé en 2025. J’ai cité des cas bien connus et malgré cela?
Dans les textes précédents, j’ai cité plusieurs substances;
Oxycodone ;; (Voir sur ce même sujet; 2023-11-06)
Abus contraceptifs ;; (Voir sur ce même sujet; 2023-11-06)
Alcools ;; (Voir sur ce même sujet; 2024-06-21)
Fentanyl ;; (Voir sur ce même sujet; 2024-08-09)
Seroquel ;; (Voir sur ce même sujet; 2024-09-16)
Je reconnais que les médias n’hésitent plus à commenter les abus de drogues issues d’un marché illégal ou des ventes dans la rue. Ils ont publicisé les effets de certaines drogues, comme le fentanyl. Cette dernière a entrainé une épidémie de dépendance et elle a poussé les toxicomanes vers des overdoses, vers la délinquance, vers l’itinérance, vers de multiples décès.
Pourtant, les médias ne nous disent pas que des drogues semblables étaient largement prescrites par les psychiatres ou par des médecins qui refusaient d’admettre qu’ils généraient eux-mêmes des maladies mentales en négligeant l’effet de sevrage. Ensuite, comme une cerise sur le gâteau, des docteurs prescrivent des opioïdes pour soigner les effets de dépendances aux opioïdes… Les patients tombent dans un cercle pharmaceutique à cause d’une maladie mentale infernale autogénérée. Le comble du vice provient de ceux qui claironnent; leur dieu, leur religion ou leur idéologie (comme la scientologie) soignent les toxicomanes. Ils manipulent leurs victimes en profitant des problèmes de dépendance et en cachant que l’abstinence est une bonne solution.
C’est dangereux. Je ne m’inquiète pas pour Mirages. Par contre, si d’autres personnes, sous médications, sous psychotrope, sous opioïdes, lisent mes notes, n’arrêtez jamais la prise de vos drogues, de vos prescriptions ou de vos médicaments sans en avoir discuté avec un médecin COMPÉTENT. N’agissez pas de façon isolée. Des médecins COMPÉTENTS existent, il faut savoir les reconnaitre, malheureusement je ne sais pas quels conseils donner à ce propos.
Il y a d’autres drogues qui peuvent produire des effets néfastes et destructeurs lorsqu’elles sont absorbées volontairement ou insidieusement. Je vais en citer d’autres et l’on en reparlera.
Qu’en pensez-vous?
@Mirages. Tu as écrit; « Je te réponds en réitérant : tu mélanges… psychiatrie et religion… Difficile de débattre dans ces conditions. »
Si tu prends le temps de te questionner à propos de ce lien « » psychiatrie-religion » », tu réaliseras que mes textes passés cherchaient à développer un sens critique visant l’aveuglement ou l’omerta du système médical. Le lien entre la psychiatrie et les religions permet tous les abus pharmacologiques. Les psychiatres, des soigneurs de l’âme, peuvent ainsi camoufler leurs incompétences ou leurs plus graves erreurs (suicides des patients) sous la couverture d’une volonté d’un dieu imaginaire ou d’une âme anémique. Le premier texte de ce sujet (qui a été écrit le 3 avril 2009, il y a plus de 15 ans) dénonce ironiquement les prescriptions abusives de drogues que font des psychiatres-religieux.
Comment ces spécialistes de l’âme auraient-ils réagi, en 2009, à des affirmations dénonçant explicitement les effets cachés du sevrage sur le long terme? Par exemple, j’ai été explicite à propos des suicides causés par des prescriptions psychiatriques douteuses, et certains m’ont automatiquement étiqueté avec un sobriquet directement extrait du DSM. Leur incompétence m’a amusée parce que l’on connaît l’arbitraire des thérapies basées sur le DSM.
A) Aurais-je pu commencer en écrivant que le système de psychiatrie nage dans une corruption pharmacologique? Pour preuve, leurs prescriptions négligent de traiter et de publiciser, à grande échelle pour le public, les effets de sevrage dû aux psychotropes ou aux opioïdes.
B) Aurais-je pu commencer en écrivant que l’effet de dépendance à leurs psychotropes peut durer plus de deux ans, contrairement à ce qu’ils enseignent à l’université? Ils prétendent faussement que l’effet de sevrage disparait entre dix jours et deux semaines.
C) Aurais-je pu commencer en écrivant que plusieurs psychiatres mentent en racontant que la schizophrénie est UNIQUEMENT génétique? Ces spécialistes des soins de l’âme refusaient de reconnaitre que les effets du jeu 'drogue-sevrage' peuvent être la cause d’une maladie mentale et changer, ainsi, la vie des individus.
D) Aurais-je pu commencer en écrivant qu’un jeu de 'drogue-sevrage' permet de faire croire n’importe quoi à n’importe qui? Les croyances religieuses voguent sur ce phénomène de toxicomanie. Les Jésuites (et autres sectes) ont facilement compris les problèmes cycliques de la toxicomanie, et ils prétendent soigner ces difficultés grâce aux prières à leur dieu imaginaire, au lieu d’expliquer les effets de sevrage. Au fond, ces arnaqueurs règlent simplement le problème de toxicomanie en pratiquant l’abstinence à long terme.
E) Aurais-je pu commencer en écrivant que les psychiatres, qui prétendent soigner une âme qui n’existe pas, participent à la détérioration de notre société avec leurs prescriptions abusives? Ces spécialistes, croyant soigner l’identité d’une âme immuable et anémique, se font grassement payer par la société. Leurs mensonges se sont retrouvés dans la multiplication de centres d’injection pour toxicomanes, au lieu de chercher à réduire les effets de dépendance. Ils nous embrument et ils justifient leurs propagandes avec la peur du suicide chez les toxicomanes. Sous couvert d’une fatalité génétique, ils refusent de dire que leurs drogues peuvent créer une maladie mentale chez n’importe qui.
F) Aurais-je pu commencer en écrivant que les religieux et les psychiatres fonctionnent en symbiose? Ces deux organisations tablent sur des croyances, en dieu ou en une âme immuable, pour voguer sur une mer d’abus.
Pour faire passer mon message à propos du phénomène 'drogue-sevrage', j’ai utilisé l’humour. La situation n’a pas tellement changé en 2025. J’ai cité des cas bien connus et malgré cela?
Dans les textes précédents, j’ai cité plusieurs substances;
Oxycodone ;; (Voir sur ce même sujet; 2023-11-06)
Abus contraceptifs ;; (Voir sur ce même sujet; 2023-11-06)
Alcools ;; (Voir sur ce même sujet; 2024-06-21)
Fentanyl ;; (Voir sur ce même sujet; 2024-08-09)
Seroquel ;; (Voir sur ce même sujet; 2024-09-16)
Je reconnais que les médias n’hésitent plus à commenter les abus de drogues issues d’un marché illégal ou des ventes dans la rue. Ils ont publicisé les effets de certaines drogues, comme le fentanyl. Cette dernière a entrainé une épidémie de dépendance et elle a poussé les toxicomanes vers des overdoses, vers la délinquance, vers l’itinérance, vers de multiples décès.
Pourtant, les médias ne nous disent pas que des drogues semblables étaient largement prescrites par les psychiatres ou par des médecins qui refusaient d’admettre qu’ils généraient eux-mêmes des maladies mentales en négligeant l’effet de sevrage. Ensuite, comme une cerise sur le gâteau, des docteurs prescrivent des opioïdes pour soigner les effets de dépendances aux opioïdes… Les patients tombent dans un cercle pharmaceutique à cause d’une maladie mentale infernale autogénérée. Le comble du vice provient de ceux qui claironnent; leur dieu, leur religion ou leur idéologie (comme la scientologie) soignent les toxicomanes. Ils manipulent leurs victimes en profitant des problèmes de dépendance et en cachant que l’abstinence est une bonne solution.
C’est dangereux. Je ne m’inquiète pas pour Mirages. Par contre, si d’autres personnes, sous médications, sous psychotrope, sous opioïdes, lisent mes notes, n’arrêtez jamais la prise de vos drogues, de vos prescriptions ou de vos médicaments sans en avoir discuté avec un médecin COMPÉTENT. N’agissez pas de façon isolée. Des médecins COMPÉTENTS existent, il faut savoir les reconnaitre, malheureusement je ne sais pas quels conseils donner à ce propos.
Il y a d’autres drogues qui peuvent produire des effets néfastes et destructeurs lorsqu’elles sont absorbées volontairement ou insidieusement. Je vais en citer d’autres et l’on en reparlera.
Qu’en pensez-vous?
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
Re: La secte de Dieu
En France les psychiatres ne parlent pas de religion à leurs patients (sauf exception, bien sûr). Viens te faire soigner ici si tu peux.sami83g a écrit : 30 janv. 2025, 21:40 Si tu prends le temps de te questionner à propos de ce lien « » psychiatrie-religion » », tu réaliseras que mes textes passés cherchaient à développer un sens critique visant l’aveuglement ou l’omerta du système médical. Le lien entre la psychiatrie et les religions permet tous les abus pharmacologiques. Les psychiatres, des soigneurs de l’âme, peuvent ainsi camoufler leurs incompétences ou leurs plus graves erreurs (suicides des patients) sous la couverture d’une volonté d’un dieu imaginaire ou d’une âme anémique. Le premier texte de ce sujet (qui a été écrit le 3 avril 2009, il y a plus de 15 ans) dénonce ironiquement les prescriptions abusives de drogues que font des psychiatres-religieux.
Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
deus ex Machina
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Re: La secte de Dieu
Bonjour,
@Mirages. Tu as écrit : « En France les psychiatres ne parlent pas de religion à leurs patients (sauf exception, bien sûr). »
Es-tu certain de cette affirmation? Il faudra définir ce que sont les « soigneurs de l’âme »? Certains psychiatres se vantent de soigner l’âme des gens! Ils parlent publiquement de spiritualité personnelle ou d’identité profonde de l’âme (et du genre). Devant le nombre croissant de toxicomanes ou de suicidés que ces spécialistes déclenchent avec leurs prescriptions de substances biochimiques, ces prosélytes de la pharmacomanie protègent leurs erreurs ou leurs méfaits avec la croyance de la volonté d’un dieu, bouche-trou, qui agit en sourdine dans certaines de leurs institutions.
De plus, cette note; « sauf exception », prouve mon point… Ce sont ces exceptions qui causent énormément de troubles. Des incompétents diplômés et criminels poussent les patients dans une dépendance destructrice (suicide). L’omerta de la communauté psychiatrique à propos de ces délinquants professionnels et de l’effet de sevrage de leurs pharmacologies me dégoute. Cette communauté d’élite évitera de mentionner les échecs associés aux abus de leurs prescriptions de substances psychotoxiques. Ces charlatans clameront que la cause de leurs insuccès était imprévisible, ils citeront la non-coopération du patient ou à la maladie génétique de ce dernier.
@Mirages. Tu as écrit : « Viens te faire soigner ici si tu peux. »
Ce commentaire affiche une belle clownerie, surtout quand on pense à ce qui se passe en France. J’en conclus que les psychiatres, qui soignent possiblement le Mirages, veulent recruter de futures victimes. Hihihihihi!
Ce conseil, proposant à ceux qui rejettent l’idéologie des agnostiques ou des religieux d’aller se faire « soigner », représente bien cette tendance suprémaciste observable chez plusieurs personnes s’imaginant connaitre la Grande Vérité.
On ne sera pas surpris d’apprendre que la France est la championne des prescriptions de psychotropes en Europe et que l’alcool a été reconnu comme étant la cause de plus de 41 000 décès en France en 2020.
-----------------===================
Parlons d’une autre substance psychédélique et de son utilisation.
J’ai lu un reportage qui vantait les mérites des drogues psychédéliques, entre autres le MDMA (ectasy ou méthylènedioxy-méthamphétamine). Le journaliste en question nous raconte son expérience de « voyage intérieur » ou de « méditation du cœur ». Il nous apprend qu’il s’est payé un guide spirituel, qu’il a participé à des séances de préparations, qu’il a vécu son « trip » au son de tambour indigène, qu’il était couché sur une peau de mouton, qu’il portait un masque...
En parallèle, il mentionna les risques de « bad trip » et pour cette raison, son guide venait souvent vérifier son état. Il se sentait en confiance malgré la possibilité de vivre une crise psychotique incontrôlée. Il nous avoua que le coût de son expérience a dépassé les milles Euros et que son « trip » a duré entre 15 et 20 heures.
Finalement, content de lui-même, il mentionna que les effets secondaires ont été amoindris, parce que durant les semaines suivantes il ingurgitait des pilules fournies par son guide (il ne précise pas la substance contenue dans les comprimés). Par la suite, il participa à des sessions d’intégration pour bien analyser son ressenti et pour en tirer des apprentissages positifs.
Bon, bon, ce journaliste « pro-drogue psychédélique » a agit librement pour assouvir son désir de vivre une expérience de dopage.
Alors, pourquoi critiquerais-je???
Hey! Ho! Que se passe-t-il lorsque l’on donne une bonne dose de MDMA à une personne qui ne s’y attendait pas, qui n’était pas préparée??? Cette victime risque fortement de vivre une psychose, et cet état pourrait durer sur plusieurs heures. Que se passera-t-il pendant ces heures? Quel sera l’effet de ce manque de contrôle psychique imprévu? Deviendra-t-il violent? Agressera-t-il des innocents?
Que feront les psychiatres qui reçoivent un tel cas où le patient est amené à l’hôpital en ambulance suivi par des policiers?
Ces charlatans de psychiatres constateront, évidemment, une psychose et ils tenteront de la soigner. Pour ces élites de la connaissance de l’âme, la victime sera un autre patient à médicamenter. Les psychiatres ne s’interrogeront pas à savoir s’il a été empoisonné à son insu, puisque l’INDIVIDU N’AURA AUCUNE EXPLICATION POUR SON COMPORTEMENT. Ils chercheront des causes, possiblement futiles, parmi les habitudes du patient en interrogeant les banalités de la vie.
A) Avez-vous vécu des moments, dans votre jeunesse, qui expliqueraient cette maladie?
B) Existe-t-il des membres de votre famille, proche de vous, ayant connu des troubles psychotiques?
C) Des émotions fortes circonstancielles auraient-elles pu réveiller votre maladie?
Prescriront-ils d’autres substances, peut-être dommageables pour la santé mentale? Vont-ils amplifier la psychose d’un patient en crise en l’attachant à une civière? Entraineront-ils leurs patients dans le monde de la toxicomanie?
Si leur analyse conclut que la victime possédait une maladie mentale génétique dormante, la communauté psychiatrique ne contredira pas ce diagnostic. Aucune de ces élites universitaires ne se questionnera sur la possibilité d’un empoisonnement vicieux préalable à la psychose,
Cette mentalité, tournant dans le cercle fermé de la psychiatrie, forme des dealers légaux soigneurs de l’âme. Cette philosophie médicale s’insère très bien avec celle des théologiens, des mythomanes sociaux qui désirent, aussi, soigner l’âme avec leur méthode métaphysique.
Avant de vous quitter, je répète une question. Que se passe-t-il lorsqu’une personne ingère une forte dose de psychotropes à son insu et que des psychiatres lui disent que la cause de sa psychose provient d’une maladie mentale dormante ?
Qu’en pensez-vous?
@Mirages. Tu as écrit : « En France les psychiatres ne parlent pas de religion à leurs patients (sauf exception, bien sûr). »
Es-tu certain de cette affirmation? Il faudra définir ce que sont les « soigneurs de l’âme »? Certains psychiatres se vantent de soigner l’âme des gens! Ils parlent publiquement de spiritualité personnelle ou d’identité profonde de l’âme (et du genre). Devant le nombre croissant de toxicomanes ou de suicidés que ces spécialistes déclenchent avec leurs prescriptions de substances biochimiques, ces prosélytes de la pharmacomanie protègent leurs erreurs ou leurs méfaits avec la croyance de la volonté d’un dieu, bouche-trou, qui agit en sourdine dans certaines de leurs institutions.
De plus, cette note; « sauf exception », prouve mon point… Ce sont ces exceptions qui causent énormément de troubles. Des incompétents diplômés et criminels poussent les patients dans une dépendance destructrice (suicide). L’omerta de la communauté psychiatrique à propos de ces délinquants professionnels et de l’effet de sevrage de leurs pharmacologies me dégoute. Cette communauté d’élite évitera de mentionner les échecs associés aux abus de leurs prescriptions de substances psychotoxiques. Ces charlatans clameront que la cause de leurs insuccès était imprévisible, ils citeront la non-coopération du patient ou à la maladie génétique de ce dernier.
@Mirages. Tu as écrit : « Viens te faire soigner ici si tu peux. »
Ce commentaire affiche une belle clownerie, surtout quand on pense à ce qui se passe en France. J’en conclus que les psychiatres, qui soignent possiblement le Mirages, veulent recruter de futures victimes. Hihihihihi!
Ce conseil, proposant à ceux qui rejettent l’idéologie des agnostiques ou des religieux d’aller se faire « soigner », représente bien cette tendance suprémaciste observable chez plusieurs personnes s’imaginant connaitre la Grande Vérité.
On ne sera pas surpris d’apprendre que la France est la championne des prescriptions de psychotropes en Europe et que l’alcool a été reconnu comme étant la cause de plus de 41 000 décès en France en 2020.
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Parlons d’une autre substance psychédélique et de son utilisation.
J’ai lu un reportage qui vantait les mérites des drogues psychédéliques, entre autres le MDMA (ectasy ou méthylènedioxy-méthamphétamine). Le journaliste en question nous raconte son expérience de « voyage intérieur » ou de « méditation du cœur ». Il nous apprend qu’il s’est payé un guide spirituel, qu’il a participé à des séances de préparations, qu’il a vécu son « trip » au son de tambour indigène, qu’il était couché sur une peau de mouton, qu’il portait un masque...
En parallèle, il mentionna les risques de « bad trip » et pour cette raison, son guide venait souvent vérifier son état. Il se sentait en confiance malgré la possibilité de vivre une crise psychotique incontrôlée. Il nous avoua que le coût de son expérience a dépassé les milles Euros et que son « trip » a duré entre 15 et 20 heures.
Finalement, content de lui-même, il mentionna que les effets secondaires ont été amoindris, parce que durant les semaines suivantes il ingurgitait des pilules fournies par son guide (il ne précise pas la substance contenue dans les comprimés). Par la suite, il participa à des sessions d’intégration pour bien analyser son ressenti et pour en tirer des apprentissages positifs.
Bon, bon, ce journaliste « pro-drogue psychédélique » a agit librement pour assouvir son désir de vivre une expérience de dopage.
Alors, pourquoi critiquerais-je???
Hey! Ho! Que se passe-t-il lorsque l’on donne une bonne dose de MDMA à une personne qui ne s’y attendait pas, qui n’était pas préparée??? Cette victime risque fortement de vivre une psychose, et cet état pourrait durer sur plusieurs heures. Que se passera-t-il pendant ces heures? Quel sera l’effet de ce manque de contrôle psychique imprévu? Deviendra-t-il violent? Agressera-t-il des innocents?
Que feront les psychiatres qui reçoivent un tel cas où le patient est amené à l’hôpital en ambulance suivi par des policiers?
Ces charlatans de psychiatres constateront, évidemment, une psychose et ils tenteront de la soigner. Pour ces élites de la connaissance de l’âme, la victime sera un autre patient à médicamenter. Les psychiatres ne s’interrogeront pas à savoir s’il a été empoisonné à son insu, puisque l’INDIVIDU N’AURA AUCUNE EXPLICATION POUR SON COMPORTEMENT. Ils chercheront des causes, possiblement futiles, parmi les habitudes du patient en interrogeant les banalités de la vie.
A) Avez-vous vécu des moments, dans votre jeunesse, qui expliqueraient cette maladie?
B) Existe-t-il des membres de votre famille, proche de vous, ayant connu des troubles psychotiques?
C) Des émotions fortes circonstancielles auraient-elles pu réveiller votre maladie?
Prescriront-ils d’autres substances, peut-être dommageables pour la santé mentale? Vont-ils amplifier la psychose d’un patient en crise en l’attachant à une civière? Entraineront-ils leurs patients dans le monde de la toxicomanie?
Si leur analyse conclut que la victime possédait une maladie mentale génétique dormante, la communauté psychiatrique ne contredira pas ce diagnostic. Aucune de ces élites universitaires ne se questionnera sur la possibilité d’un empoisonnement vicieux préalable à la psychose,
Cette mentalité, tournant dans le cercle fermé de la psychiatrie, forme des dealers légaux soigneurs de l’âme. Cette philosophie médicale s’insère très bien avec celle des théologiens, des mythomanes sociaux qui désirent, aussi, soigner l’âme avec leur méthode métaphysique.
Avant de vous quitter, je répète une question. Que se passe-t-il lorsqu’une personne ingère une forte dose de psychotropes à son insu et que des psychiatres lui disent que la cause de sa psychose provient d’une maladie mentale dormante ?
Qu’en pensez-vous?
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
Re: La secte de Dieu
Parce que tu connais la psychiatrie française ? tu délires complétement... et tu as tout faux.sami83g a écrit : 07 mai 2025, 18:22 Bonjour,
@Mirages. Tu as écrit : « En France les psychiatres ne parlent pas de religion à leurs patients (sauf exception, bien sûr). »
Es-tu certain de cette affirmation? Il faudra définir ce que sont les « soigneurs de l’âme »? Certains psychiatres se vantent de soigner l’âme des gens! Ils parlent publiquement de spiritualité personnelle ou d’identité profonde de l’âme (et du genre). Devant le nombre croissant de toxicomanes ou de suicidés que ces spécialistes déclenchent avec leurs prescriptions de substances biochimiques, ces prosélytes de la pharmacomanie protègent leurs erreurs ou leurs méfaits avec la croyance de la volonté d’un dieu, bouche-trou, qui agit en sourdine dans certaines de leurs institutions.
De plus, cette note; « sauf exception », prouve mon point… Ce sont ces exceptions qui causent énormément de troubles. Des incompétents diplômés et criminels poussent les patients dans une dépendance destructrice (suicide). L’omerta de la communauté psychiatrique à propos de ces délinquants professionnels et de l’effet de sevrage de leurs pharmacologies me dégoute. Cette communauté d’élite évitera de mentionner les échecs associés aux abus de leurs prescriptions de substances psychotoxiques. Ces charlatans clameront que la cause de leurs insuccès était imprévisible, ils citeront la non-coopération du patient ou à la maladie génétique de ce dernier.
@Mirages. Tu as écrit : « Viens te faire soigner ici si tu peux. »
Ce commentaire affiche une belle clownerie, surtout quand on pense à ce qui se passe en France. J’en conclus que les psychiatres, qui soignent possiblement le Mirages, veulent recruter de futures victimes. Hihihihihi!
Ce conseil, proposant à ceux qui rejettent l’idéologie des agnostiques ou des religieux d’aller se faire « soigner », représente bien cette tendance suprémaciste observable chez plusieurs personnes s’imaginant connaitre la Grande Vérité.
J'en vois passer des dégoutés des soins qui dénigrent la psychiatrie, mais toi tu es à un autre niveau.
Tes obsessions sont malsaines pour toi et pour ceux qui te lisent et qui pourraient être influençables.
Je vois rien dans ce que j'ai quotté de toi qui pourrait servir de point d'accroche à un éventuel débat. Tout est ubuesque.
Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
deus ex Machina
deus ex Machina
Re: La secte de Dieu
La maladie mentale dormante déclenchée par la prise de psychotropes (comme on le voit beaucoup) ? La suite logique est de se faire soigner, et si on part en live sans en avoir conscience: soins imposés.sami83g a écrit : 07 mai 2025, 18:22 Avant de vous quitter, je répète une question. Que se passe-t-il lorsqu’une personne ingère une forte dose de psychotropes à son insu et que des psychiatres lui disent que la cause de sa psychose provient d’une maladie mentale dormante ?
Parce que "le psychotrope", deux jours après c'est plus lui qui agit !



T'es plus fuyant qu'une anguille: s'il s'agit de toi, donne une synthèse explicite des faits qu'on puisse avancer, sinon laisse tomber tes interventions qui ne servent à rien, même pas à te défouler.
Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
deus ex Machina
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Re: La secte de Dieu
Bonjour,
@Mirages. Tu as écrit; « Parce que “le psychotrope”, deux jours après c'est plus lui qui agit. »
Tu répètes des slogans de vendeurs de drogues et tu sembles y croire! Les psychiatres et les compagnies pharmaceutiques transmettent les mêmes messages dans les médias, dans les universités, dans le système médical.
Des arguments tendancieux semblables ont largement été utilisés par d’autres organisations avides de profits!
Les vendeurs de cigarettes, les vendeurs d’alcool, les vendeurs de marijuana et autres producteurs entretiennent tous des propagandes semblables. Ces promoteurs refusent d’avouer que leurs drogues créent, chez certaines personnes, un problème de dépendance… Pourquoi reprends-tu leurs discours?
Leurs duperies proviennent du fait qu’ils négligent l’effet de sevrage. Leur produit affecte le système biologique, hormonal et neuronal, et lorsque la personne cesse l’ingestion d’une de ces substances psychoactives, elle tombe dans un processus de « manque » qui risque d’être insoutenable psychologiquement. Ces effets biopsychiques peuvent persister pendant plus de deux ans, après que la personne a abandonné sa consommation. On sous-entend l’existence de cycles répétitifs persistants.
La gravité de cette souffrance, psychologique et biologique, due à la dépendance varie beaucoup d’une personne à l’autre. Par exemple, pensons aux effets de l’alcool, certaines personnes ne développeront pas d’alcoolisme, par contre, d’autres individus plus vulnérables en deviendront dépendants.
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@Mirages. Tu as écrit; « La maladie mentale dormante déclenchée par la prise de psychotropes (comme on le voit beaucoup)? La suite logique est de se faire soigner, et si on part en live sans en avoir conscience : soins imposés. »
Ah Ouais? Imposer des soins à l’aveuglette! Amener les patients dans une autre dépendance!
La première étape, avant de prescrire des psychotropes et de créer un nouveau cycle de dépendance, serait de vérifier si la personne vit actuellement avec un « manque ».
Il est difficile de savoir si la psychose provient d’une maladie génétique ou d’un effet de sevrage, un « manque ». Ce dernier peut durer plusieurs mois après la prise d’une substance et pour cette simple raison, on ne sait pas si la cause provient d’une substance ou d’une maladie.
-- — Important et je répète; notez que pendant un sevrage, on ne peut pas détecter la présence de drogue dans le sang, puisque la personne vit un « manque ».
Les religieux aiment s’occuper des cas de toxicomanie à cause de cet effet de sevrage, cet inconnu biologique, ce « manque », qui leur permet de prétendre de pouvoir sauver des âmes. La victime se retrouve dans le royaume de l’hypocrisie, aberrant!
Qu’en pensez-vous?
@Mirages. Tu as écrit; « Parce que “le psychotrope”, deux jours après c'est plus lui qui agit. »
Tu répètes des slogans de vendeurs de drogues et tu sembles y croire! Les psychiatres et les compagnies pharmaceutiques transmettent les mêmes messages dans les médias, dans les universités, dans le système médical.
Des arguments tendancieux semblables ont largement été utilisés par d’autres organisations avides de profits!
Les vendeurs de cigarettes, les vendeurs d’alcool, les vendeurs de marijuana et autres producteurs entretiennent tous des propagandes semblables. Ces promoteurs refusent d’avouer que leurs drogues créent, chez certaines personnes, un problème de dépendance… Pourquoi reprends-tu leurs discours?
Leurs duperies proviennent du fait qu’ils négligent l’effet de sevrage. Leur produit affecte le système biologique, hormonal et neuronal, et lorsque la personne cesse l’ingestion d’une de ces substances psychoactives, elle tombe dans un processus de « manque » qui risque d’être insoutenable psychologiquement. Ces effets biopsychiques peuvent persister pendant plus de deux ans, après que la personne a abandonné sa consommation. On sous-entend l’existence de cycles répétitifs persistants.
La gravité de cette souffrance, psychologique et biologique, due à la dépendance varie beaucoup d’une personne à l’autre. Par exemple, pensons aux effets de l’alcool, certaines personnes ne développeront pas d’alcoolisme, par contre, d’autres individus plus vulnérables en deviendront dépendants.
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@Mirages. Tu as écrit; « La maladie mentale dormante déclenchée par la prise de psychotropes (comme on le voit beaucoup)? La suite logique est de se faire soigner, et si on part en live sans en avoir conscience : soins imposés. »
Ah Ouais? Imposer des soins à l’aveuglette! Amener les patients dans une autre dépendance!
La première étape, avant de prescrire des psychotropes et de créer un nouveau cycle de dépendance, serait de vérifier si la personne vit actuellement avec un « manque ».
Il est difficile de savoir si la psychose provient d’une maladie génétique ou d’un effet de sevrage, un « manque ». Ce dernier peut durer plusieurs mois après la prise d’une substance et pour cette simple raison, on ne sait pas si la cause provient d’une substance ou d’une maladie.
-- — Important et je répète; notez que pendant un sevrage, on ne peut pas détecter la présence de drogue dans le sang, puisque la personne vit un « manque ».
Les religieux aiment s’occuper des cas de toxicomanie à cause de cet effet de sevrage, cet inconnu biologique, ce « manque », qui leur permet de prétendre de pouvoir sauver des âmes. La victime se retrouve dans le royaume de l’hypocrisie, aberrant!
Qu’en pensez-vous?
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.
Re: La secte de Dieu
Je suis pas médecin, mais je me permets de répondre à ton histoire fictive et biaisée.sami83g a écrit : 13 août 2025, 17:45
@Mirages. Tu as écrit; « La maladie mentale dormante déclenchée par la prise de psychotropes (comme on le voit beaucoup)? La suite logique est de se faire soigner, et si on part en live sans en avoir conscience : soins imposés. »
Ah Ouais? Imposer des soins à l’aveuglette! Amener les patients dans une autre dépendance!
La première étape, avant de prescrire des psychotropes et de créer un nouveau cycle de dépendance, serait de vérifier si la personne vit actuellement avec un « manque ».
Il est difficile de savoir si la psychose provient d’une maladie génétique ou d’un effet de sevrage, un « manque ». Ce dernier peut durer plusieurs mois après la prise d’une substance et pour cette simple raison, on ne sait pas si la cause provient d’une substance ou d’une maladie.
je trouverais normal qu'un professionnel prescrive des psychotropes destinés à guérir une personne qui rentre sous sa responsabilités et qui montre des signes de troubles psychiatriques.
D'un coté on s'assure que son état ne se dégrade pas, mieux que ça on le soigne (comme pour toute affection), et de l'autre les remèdes n'ont pas trop d'effets secondaires dangereux, ou qui persisteraient après l'arrêt du traitement, donc aucun problème pour les donner à quelqu'un qui n'en aurait pas besoin.
Et ensuite ces mêmes professionnels sont capable de reconnaitre un mauvais diagnostique. Ou au contraire de le confirmer.
Donc ton histoire ne tient pas.
Le reste de ton post c'est aussi de la divagation. Tu marches dans les broussailles en te plaignant de la route goudronnée.
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