curieux a écrit :Jacques a écrit :curieux a écrit :...
La mécanique quantique a abandonné depuis longtemps l'idée que la matière n'était faite que d'ondes à cause des incohérences du modèle ondulatoire. Étudie un peu l'epistémologie et dépasse un peu l'époque de Lorentz tu comprendras mieux.
Le fait que le modèle ondulatoire n'est pas capable de rendre compte de la dilution des particules dans tout l'espace quand elles collisionnent est le genre d'incohérence qui font dire que la matière n'est ni une onde ni une particule. Pourquoi parle-t-on de réduction du paquet d'ondes à ton avis ?
...
Tu n'as toujours rien compris du tout. Rien de rien.
j'ai mal formulé une phrase:
Le fait que le modèle ondulatoire n'est pas capable de rendre compte de la dilution des particules dans tout l'espace..
à remplacer par:
Le fait que le modèle ondulatoire IMPLIQUE la dilution des particules dans tout l'espace...
Vraiment bouché à l'émeri, le "Curieux" qui ne lit jamais les articles qu'on lui passe en référence...
Oui, c'est bien l'argument qui avait mis Erwin Schrödinger à terre en 1927, et dont il ne s'est jamais relevé. Sauf que cet argument repose sur des postulats clandestins, qui sont indéfendables devant les faits expérimentaux.
http://lavaujac.club.fr/GEOMETRIE_infond.htm :
3 . Bavures sur le temps
Habitués à l’autosimilitude par l’analyse sur la droite R, nous avons aussi transporté sans méfiance cette présomption d’autosimilitude sur la dimension temps. Ainsi, nous nous sommes dispensés de toute espèce de preuve quant au transport du postulat d’irréversibilité du temps macroscopique, qui est d’origine statistique (et qui dans le domaine statistique, est bel et bien un théorème démontré), vers le temps individuel de chaque particule. C’est l’HM (hypothèse macroscopique) temporelle. Toutes les expériences démontrent le contraire, mais qu’importe ! Nous sommes obstinés; et aveugles à la demande.
Chez les mathématiciens, pas d’ambivalence : le formalisme est présumé avoir toujours raison contre les objections qui s’appuient sur des faiblesses dans les significations. Nous sommes même facilement outrecuidants à ce sujet, n’extrapolant que les success stories de l’histoire de l’algèbre.
Chez les physiciens, l’ambivalence se module selon les spécialités. En fait, la coupure historique vient de Dirac, de son équation pour l’électron (1928), de ses solutions à énergies négatives qui embarrassaient tout le monde, jusqu’à la découverte expérimentale du positron en 1932. Mais on a conservé complet, l’oubli des solutions à masses négatives, pourtant elles aussi présentes dès une réécriture selon les idées de Minkowski des équations de la Relativité restreinte de 1905 :
E2 = m2c4 + p2c2 .
J'ai cherché la date de cette réécriture conforme au théorème de Pythagore, mais ne l'ai pas trouvée. On jugeait absurde l'implication de cette écriture, autorisant les masses négatives et les énergies négatives. Seulement absurde si on regarde en macroscopique, soumis à la thermodynamique statistique. Mais certainement pas absurde si l’on se rappelle qu’à l’échelle d’une particule d’onde, d’une entité d’onde quantique en cours de propagation (fut-elle stationnaire), la causalité s’écoule simultanément depuis les deux réactions quantiques sommitales : la réaction de création, et la réaction d’annihilation. De nombreuses expériences (à commencer par celles d’Aspect & al. vers 1982) ont tranché : la réaction de création est inséparable de la réaction d’annihilation. Dire qu’un écran a reçu un électron de masse positive, est exactement la même chose que de dire qu’il a émis un antiélectron, de charge positive, d’énergie négative, et de masse négative, à rebours du temps macroscopique, et donc à fréquence négative. Les deux descriptions sont physiquement équivalentes. Mais seule la seconde description résout les paradoxes sur lesquels butait l’imaginaire de la quantique : l’onde électronique peut très bien se concentrer à sa réaction d’annihilation, tout en ayant été assez diluée dans l’espace, durant le trajet entre les deux réactions quantiques ; elle a donc pu se prêter à tous les phénomènes d’interférences constatés expérimentalement. Le principe de Fermat implique une certaine largeur des fuseaux de cohérence de phase, qui est facile à calculer. J’ai montré ailleurs[1] comment calculer la largeur des fuseaux de Fermat selon la longueur d’onde, et la longueur du trajet enjambé :
= (1 + + + ...). Où z est la flèche au milieu du fuseau, a est la demi-corde, ou demi-distance entre émetteur et récepteur considérés comme ponctuels, e est le quotient de la longueur d’onde par a.
Second exemple : dire qu’une molécule (grande de 5 Å environ) a absorbé un photon infrarouge un million de fois plus grand qu’elle, est la même chose que de dire qu’elle a émis un photon d’énergie négative, à rebrousse temps. Et vous avez résolu le problème de la convergence de cet immense photon sur cette minuscule molécule : au signe près, c’est le même que celui de la divergence de l’émission de l’antiphoton, d’énergie négative. En radioélectricité, le phénomène est bien connu : une antenne réceptrice concentre le champ dans son voisinage, et modifie l’impédance vue par l’émetteur. Mais l’orgueil corporatif est ainsi fait, que l’information ne percole pas des techniciens vers les théoriciens.
Oui, bien sûr, les physiciens avaient une seconde excuse pour oublier des choses aussi simples : il avaient peur qu’on les confonde avec les diseuses de bonne aventure, et être aussitôt exclus du club, s’ils osaient raisonner trop ouvertement et clairement sur la causalité microscopique à rebrousse temps. Mais si vous ne leur aviez pas martelé à ce point, dès l’enfance, le dogme de l’autosimilitude à toute échelle de la droite R, ils se seraient autorisés à distinguer l’échelle macroscopique de l’échelle particulaire, ce qu’ils ne savent toujours pas faire clairement. En particulier, ils sont à ce jour (1999) encore incapables de discerner entre l’échelle anthropocentrique, où l’on traite statistiquement des événements d’échelle quantique, et où l’on calcule des ondes d’ignorance statistique (à la dilution fulgurante), et l’échelle quantique, où aucune onde quantique individuelle ne diverge au hasard, mais a bien une destination définie. D’où leur malaise secret envers des concepts aussi pathologiques que la « réduction du paquet d’onde ». Concepts pathologiques, car issus de non-sens confusionnels. Là encore, non seulement on a cru que la topologie fine de la droite R, convenait pour décrire la partie temporelle de l’espace-temps, mais en plus, on a cru que ce temps est universellement partagé, « cinématiquement compatible » partout. Or, il n’y a rien de cinématiquement compatible entre les divers « grains » du temps. Voici l’exemple de grains d’espace-temps qui s’étalent sur une quinzaine de milliards de nos années macroscopiques : des photons du rayonnement fossile à 2,735 K, qui n’avaient plus interagi avec rien depuis que l’Univers leur est devenu transparent, arrivent maintenant dans nos radiotélescopes. Et pour eux, à temps propre nul, l’émission et la réception sont simultanées : c’est un seul et même grain de temps, individuel - au moins en l'état actuel de nos connaissances. Notre temps macroscopique, avec sa thermodynamique irréversible, n’est qu’une émergence statistique d’un immense réseau de granules tous discordants entre eux.
Vous eussiez dû rappeler aux physiciens qu’en théorie des graphes, tout arc joint deux sommets... car en diagrammes de Feynman, quatre arcs sur cinq n’ont qu’un seul sommet. La faute de logique est ouvertement dessinée, aux yeux de tous. Mais l’aveuglement de chapelle isolationniste, joue à plein.
Dans un diagramme de Feynman, la réaction quantique correspond aux apex du graphe. Deux apex sont reliés par un propagateur : propagation d'un photon, existence d'un électron, etc. Mais tout propagateur devrait relier deux apex, et on l’oublie.
La dissidence, fondée par Einstein, Schrödinger, Louis de Broglie, envers le camp majoritaire de la quantique, fondé par Born et Heisenberg, a entièrement échoué, car elle était totalement subjuguée par l’HM de leurs années de lycée, et croyait dur comme fer aux coordonnées, aux trajectoires, à la validité de l’espace-temps dans le domaine particulaire. Une opposition éclairée aurait, au contraire, reproché au camp majoritaire d’être resté au milieu du gué, de n’avoir PAS ASSEZ abandonné ces hallucinations intenables, s’obligeant alors à se les concilier par une hypothèse d’indéterminisme (or l’hypothèse d’indéterminisme repose sur la confusion entre le macroscopique et le microscopique). Alors se serait instituée une dialectique saine, produisant des progrès substantiels. Il n’en fut rien, hélas. Certes, les calculs progressèrent spectaculairement, laissant les conceptions dans une épaisse fumée. On s’en contenta. Le recrutement des physiciens se modela sur l’accommodement facile à cette fumée épaisse : Calculez ! Et ne demandez pas sur quoi ! Les recettes empiriques suffisent...
prétendument curieux a écrit :Autrement dit, le fait que les collisions entrainent des trajectoires prévisibles rend le modèle ondulatoire SEUL non pertinent.
En clair, les particules se comportent parfois comme une onde, parfois comme un particule ponctuelle.
Le modèle ondulatoire SEUL implique de devoir utiliser des fonctions d'ondes multidimentionnelles qui ne ressemblent en rien aux ondes electromagnétiques.
Si toi tu as compris autre chose, alors c'est forcément un modèle qui fusionne le modèle dual. Explique toi ou fournit un lien qui le fasse si c'est plus facile, et je te dirais si c'est moi qui n'ai rien compris.
Prière d'expliciter quoi donc au juste serait ton "
le modèle ondulatoire SEUL". Merci d'en indiquer la référence : quel serait l'article, quel serait l'auteur. Comme cela, on finira bien par percer un jour le mystère : avec qui controverses-tu, et sur quoi ?
Explique nous aussi quel est le mystère qui se cache sous tes termes idiosyncrasiques de "
modèle dual".
Tout pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument.
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Cartographier les dénis de réalité d'un petit chef, aboutit à cartographier ses noyaux psychotiques.
Dis Petit-chef, tu l'arrêtes quand, ta guéguerre stupide ?