GHOST:En passant, n'oublie pas de relire ce que j'ai écrit sur les timbres de voix. Plus que le timbre de la voix, c'est la personnalité de l'entité et ses propos qui confirment son identité. Mais, lorsque à la fois le timbre et la personnalité sont au rendez-vous, on peut dire que le contact est de bonnne qualité et qu'il est fiable.
EXTRAIT D'un site sudamericain:
PREMIER CAS D’IDENTIFICATION DE DÉCÉDÉ.
(avec rapport technique et fichier audio)
Sonia Rinaldi
(Traducion : Jean Paul Joarlette)
L’expérience acquise durant les 11 années de coordination de la ANT (Associação Nacional de Transcomunicadores) nous permet clairement d’apercevoir l’évolution obtenue. Tout le long de ce chemin, nous avons découvert l’importance de suivre, côte à côte, l’investigation scientifique, car uniquement celle-ci pouvait apporter toute la confiabilité nécessaire à notre travail.
Nous avons pu récemment prouver, avec des rapports scientifiques, la véracité des Voix à Revers (voir les revues numéros 40 et 41) et bien d’autres témoignages qui prouvaient cette vérité.
Mais, jusqu’à présent, nulle part ailleurs dans le monde on avait obtenu une identification certaine d’un transcontact et de son réel locuteur spirituel.
Précisons tout d’abord que, pour la Science, le simple enregistrement d’un nom dans un transcontact ne vaut pas grand chose. Une façon de le faire accepter serait a travers les calculs rigoureux d’une analyse technique de voix.
Et voilà le grand « cadeau »que nous avons reçu, la veille de la visite au Brésil de l’astronaute Edgar Mitchell, qui est venu chez moi.
Depuis le début des propositions de travail en coopération entre notre groupe international GAIT – Global Association for Instrumental Transcommunication – et le IONS _ Institute of Noetics Sciences (USA) – nous savions qu’il serait nécessaire d’imposer une rigueur absolue dans nos recherches, de sorte a pouvoir être considérés par les savants chercheurs.
Quant il a été annoncé que le Prof. Dr. Edgar Mitchell viendrait chez moi, nous avons entrepris de séparer des cas bien évidents en faveur de notre thèse de survivance de l’âme.
Le Prof. Dr. Edgar Mitchell a fondé le IONS dès le retours de son voyage à la Lune, ayant été le sixième homme a y marcher, lors de la mission Apolo 14. (D’autres détails seront publiés dans la revue numéro 42).
C’est exactement à cette époque qu’est survenu le cas de notre associée Mme. Zilda Monteiro, dont les transcontacts ont été envoyés au Dr. Alessandro Pecci pour analyse.
Si ce cas a été, ou non, encore une aide de nos Amis Communiquants, nous ne pouvons le savoir, mas il a permis de laisser l’astronaute très impressionné devant les chiffres et les graphiques.
Avant le rapport technique, rien de tel que connaître la description des faits par Zilda en personne. Les voici:
LE CAS (Zilda Monteiro)
NOTRE PASSÉ:
« J’ai été mariée avec Edson pendant 5 ans. Nous avions quelques problèmes dans nos relations, mais, malgré cela, nous estimions avoir une sorte de relation spirituelle.
La TCI est entrée dans nos vies au moment où nous prenions conscience de la survivance de l’esprit, et nous avons senti à ce moment là le besoin d’apprendre d’avantage sur ce sujet.
C’est avec grand intérêt que nous avons lu plusieurs livres sur la TCI et Edson, plus osé, commença tout de suite ses enregistrements. J’ai mis plus de temps à m’y mettre, car je ne me sentais pas très sure et voulait m’informer d’avantage.
Tout au début de ses expériences, il obtint des résultats, ce qui m’a surpris, puisque j’imaginais que les résultats ne viendraient qu’après un long temps de dédicacions.
Edson enregistrait deux fois par semaine et, pour chaque enregistrement, employait deux bandes magnétiques différentes pour comparer postérieurement les résultats.
Animée par son succès, j’ai donc décidé de commencer (1996) les enregistrements, ce que je poursuis jusqu’à présent.
Nous nous sommes séparés en 1997. Dès lors, Edson a interrompu ses enregistrements, mais a toujours gardé en tête l’envie de s’y remettre, quand cela aurait été possible.
Il quitta São Paulo et déménagea pour Rio de Janeiro (avril 1999).
L’INFARCTUS
Le 30 juin 99, Edson a un infarctus et est interné à l’hôpital des Laranjeiras, à Rio de Janeiro. Le 6 Juillet, il demanda a Claudia, alors sa nouvelle compagne, de m’appeler et m’informer de son état de santé, car il craignait que je n’allait pas vouloir lui parler. Au téléphone, j’ai remercier pour les informations et également souhaité de tout mon coeur son rapide rétablissement.
Après avoir raccrocher le téléphone, je me suis rendu compte de la gravité du problème, et m’aperçut que je n’avais pas son numéro de téléphone, ni comment le contacter. Je craignais que quelque chose de plus grave lui arrive et je n’aurais pas d’informations.
Grâce à d’autres personnes, finalement je suis tombée sur son numéro de téléphone le 7 juillet. Il était toujours à l’hôpital et nous avons parlé longuement.
J’ai noté qu’il était profondément ému. Il m'a dis que, malgré les sédatifs administrés, il ne pouvait pas dormir. Il lui semblait encore nourrir envers moi un sentiment d’amour et de respect.
Il me dit qu’il prétendait recommencer les expériences de TCI, mais qu’il craignait que les gens de son alentour actuel ne le comprendraient pas.
Aussi a-t-il mentionné son envie de revenir à la pratique de l’évangile à la Maison, comme nous faisions quand nous étions mariés. Tout cela lui faisait du bien dans l’âme. En dernier, il informa sur la réalisation d’examens le 8 juillet, et que les résultats indiqueraient le besoin soit d’une chirurgie, soit d’une angioplastie ou encore rien de tout cela. J’ai insisté pour qu’il m’appelle ce jour là même, le 8 juillet, dès qu’il aurait les résultats. Comme nous étions séparés depuis un certain temps, il m’a demandé si j’avais un téléphone portable (célulaire), et nota son numéro.
Le 8 juillet il téléphona et m’informa qu’à plusieurs reprises il était tombé sur la centrale de messages du portable. Les résultats des examens indiquaient la réalisation d’une angioplastie le lendemain ( 9 juillet), et il était très appréhensif.
Il fumait beaucoup, et les médecins lui avait dit qu’il devrait s’arrêter de fumer, et cela était dur pour lui d’accepter. J’ai essayé de le tranquilliser, en lui disant que l’angioplastie était un procédé relativement simple e je l’ai comparé à mon père qui, avec presque le double de son âge, avait déjà subit 4 opérations du coeur et se portait admirablement bien. Je lui ai suggéré de prier, et d’avoir confiance. Je lui est rappeler une expérience que nous avions eu , d’un parfum qui subitement avait envahi notre appartement (une odeur délicieuse et indescriptible), à 3 heures du matin, à ce qu’il m’a réveillée pour me le faire sentir, et une forte émotion nous domina.
J’ai également demandé qu’il pense mentalement à nos amis spirituels, les communiquants via TCI, qui certainement l’aideraient. Emu, il semblait se repentir un peu de certains faits du passé, et m’appela « mon amour » et à la fin, « une bise sur ton coeur ».
LA PROMESSE
Nous avons terminé la conversation sur ma demande qu’il me rappelle dès qu’il soit sorti de l’hôpital. Je ne sais s’il plaisantait ou non, mais il promit : « Si je n’appelle pas d’ici...ça sera de là-bas. »
EVOLUTION...ET DÉCÈS
Le 9 juillet 1999, au début de la réalisation de l’angioplastie, qui se déroulait unique sous sédatifs,, il subit un nouvel infarctus et a immédiatement été conduit au CTI (Centre de Traitement Intensif). Là il salua sa mère et sa compagne, Claudia, lui demandant de lui laisser le téléphone portable, car il voulait appeler quelqu’un. La demande a été refusée car l’hôpital ne permet pas l’emploi de portables dans le CTI). Toutes deux le laissèrent donc, et étaient très préoccupées. Dès qu’elles arrivèrent à la maison, un message pour qu’elles retournent immédiatement à l’hôpital les attendait.
Après ce jour, le 9 juillet, il n’a plus jamais repris conscience. Il respirait grâce aux appareils, et fut même soumis à une trachéotomie.
En accompagnant a distance le déroulement des événements, j’ai même demandé de l’aide au Centre Spirite que je fréquente, et mes amis de l’au-delà m’ont informé qu’il passait par un procès de décision, entre rentrer dans le monde spirituel ou rester, mais rester dans un état végétatif, se qu’il n’acceptait pas. Il demeura encore 39 jours au CTI, et décéda le 16 juillet 1999.
LE CONTACT.
Le 10 septembre au soir, en arrivant du travail, j’ai remis mon téléphone portable à recharger la batterie. J’ai ensuite remarqué qu’il y avait un message sur son répondeur automatique. En l’écoutant, une étrange sensation m’envahit. Une voix roque, comme fatiguée, mais très claire, disait : « EU TE AMO » (JE T’AIME), et ensuite un bruit avec une voix, mais très difficile à saisir.
Mon premier réflexe était d’effacer le message, car je pensais qu’il s’agissait simplement d’une erreur. Le 11 septembre, la nuit, j’ai appelé Sonia Rinaldi et lui raconta l’histoire. Curieusement, quelques jours auparavant quand je lui ai communiqué le décès de Edson, elle me répondit immédiatement : « il va se communiquer, attends ».
Serait-ce vraiment cela ???
Nous avons discuté le cas et conclus que les données que nous possédions étaient alors insuffisantes. Je n’avais de concret qu’une promesse d’Edson...et un simple message reçu par le portable.
Comme notre ligne d’action en Transcommunication est de toute impartialité et de rigueur scientifique, on s’est souvenues que j’avais avec moi plusieurs cassettes d’Edson, avec sa voix, des diverses expériences que nous faisions.
Comme je ne savais pas comment enregistrer le message contenu dans le répondeur du portable, j’ai donc demandé à Sonia de le faire, en lui fournissant les codes d’accès nécessaires.
UNE PREMIÈRE CONFIRMATION.
Suivant une orientation de Sonia, j’ai récupéré une boite dans laquelle Edson avait laissé une cinquantaine de cassettes. Comme j'étais très inquiète de la possibilité (ou non) d’il s’agir d’un message d’Edson, au moment où j’ai pris les bandes magnétiques, j’ai demandé mentalement une preuve que, si réellement il avait laissé ce message dans le portable, il me fasse un signe. Je n’avais aucune idée de COMMENT cela ce passerait.
Aléatoirement, j’ai pris une des cassettes parmi toutes celles de la boite, évidemment sana savoir ce qu’elle contenait. Quand je l’ai mise dans le magnétophone pour en faire une copie, j’ai été très surprise : je me suis rappelée que le message avait été laissé dans le portable le 10 septembre 99 et que la cassette prise au hasard parmi tant d’autres contenait les enregistrements réalisés par Edson le 10 septembre 1997 !
ENCORE DES CONFIRMATIONS...
À la demande de Sonia, j’ai réalisé le dimanche 12 septembre une expérience avec mon magnétophone, dans laquelle je demandais à Edson si le message laissé dans le portable était bien de lui-même.
J’ai envoyé la cassette de cette expérience, avec également la voix d’Edson encore vivant et j’ai attendu. Sonia l’a donc écoutée et transcrit les innombrables contacts rencontrés dans cette expérience, incluant la confirmation ; lorsque j’ai demandé « c’était toi, Edson ? » (foi você, Edson ?), une voix masculine répond immédiatement « bien sur que si » (claro que foi), et une voix féminine rajoute « il est ici » (ele está aqui).
Mais d’autres réponses étaient encore plus définitives. Sonia m’informa avoir écouté « Maman, prends soin de ma fille » (Mamãe cuida da minha filha). Or il s’agit que personne (ni Sonia), savait qu’Edson avait une fille en dehors de son mariage. Le mot « anniversaire »également apparut, et cela me frappa, car c’était le lendemain de mon anniversaire, et Edson n’avais jamais oublié cette date, même après notre séparation.
ET D’AVANTAGE...
Avec la cassette en main, Sonia en fit une copie numérique sur l’ordinateur, qui possède des ressources pour « nettoyer » les bruits de fond qui suivaient le message original. Et alors on pouvait entendre : j’ai prévenu » (avisei). Je pense que, selon son désir, il recommença les expériences, mais maintenant de l’Autre Côté, et cela est peut-être le cadeau d’anniversaire le plus émouvant que j'ai reçu, principalement du fait de pouvoir offrir aux chercheurs et scientifiques des informations si importantes, qui constituent le premier cas documenté d’identification d’identité d’un décédé.
L’ AUDIO
Voici le message enregistré dans le répondeur automatique du téléphone portable, qui dit, d’une voix roque (propre de qui avait une tracheostomie il y avait quelques jours), qui suggère un certain effort pour être prononcé. La voix dit : « EU TE AMO...AVISEI » (JE T’AIME, J’Á I AVERTI »
Fichier audio format .wav (174.576 kb)
Veuillez patienter pendant son chargement. Même fichier audio format .mp3 (47.647 kb)
Si vous ne disposez pas de logiciel pour la lecture des fichiers en *.mp3, le même peut être obtenu gratuitement sur le site:
http://www.musicmatch.com
Ayant toutes les données en main (voix d’Edson vivant, voix supposée d’Edson décédé et les données des expériences), celles-ci ont été envoyées au Dr. Alessandro Pecci, spécialiste dans l’étude des voix, diplômé par la USP (Université de São Paulo), qui prépara le rapport technique ci-dessous, rigoureusement dans tous les standards internationaux.
ANALYSE TECHNIQUE
Pièces examinées:
Le présent examen comporte quatre enregistrements, numérotés 1, 2 3 et 4, étant donné que l’enregistrement 1 a été réalisé sur bande magnétique cassette, l’enregistrement 2 provient d’un répondeur automatique de téléphone portable, passé sur bande magnétique cassette, et les enregistrements 3 et 4 réalisés numériquement sur un ordinateur type IBM-PC.
Tous les enregistrements ont étés par la suite enregistrés numériquement sur un ordinateur type IBM-PC par l’intermédiaire d’une plaque de son type Sound Blaster. La résolution employée est de 16 bits, avec un taux d’échantillonnage de 11025 hertz.
Objectif de l’examen:
Vérifier que la voix de 1, appelé dorénavant locuteur A, coïncide avec la voix de 2, appelé dorénavant locuteur B.
Le locuteur B est inconnu.
On considérera, pour motifs de comparaisons avec les locuteurs A et B, les voix des enregistrements 3 et 4, prononcée par les locuteurs C et D, respectivement. Les locuteurs C et D sont distincts entre eux, ainsi comme ils sont distinct de A et B.
Modèle de comparaison:
Quatre (4) échantillons d’enregistrements, en format wave (*.wav) constituent les pièces de l’examen, numérotés de la façon suivante:
1 échantillon d’approximativement 2,6 secondes de la voix de A, identifié comme tr1 (voix d’Edson vivant);
1 échantillon d’approximativement 1,4 secondes de la voix de B, identifié comme tst1 (voix enregistrée dans le répondeur du portable);
1 échantillons d’approximativement 2,6 secondes de la voix de C, identifié comme tst2 (voix d’un tiers juste pour comparaison) ;
1 échantillon d’approximativement 1,5 secondes de la voix de D, identifié comme tst3 (une autre voix de tiers juste pour comparaison);
Orientation des travaux:
Préparation des échantillons:
Les échantillons ont étés normalisés de façon à avoir tous le même niveau de signal et la même relation signal-bruit. Les intervalles sans voix ont étés supprimés, car ils ne caractérisent pas le locuteur. Des échantillons normalisés on a obtenu des coefficients du type MFCC (Mel-Frequency Cepstral Coefficients) utilisant des fenêtres de 23,2 ms avec des écarts entre fenêtres de 10 ms, 5 filtres par octave, résultants 16 coefficients par fenêtre.
Méthodes de comparaison:
Les coefficients de l’échantillon tr1 ont étés employés pour l’établissement d’un système automatique de reconnaissance de la voix du locuteur indépendamment du texte, basé sur les mélanges gaussiens (GMM - Gaussian Mixture Models), employant 16 mélanges pour représenter la voix du locuteur. L’algorithme de la vraisemblance (log-likehood) a été employé comme méthode de comparaison. Cette méthode a été choisie par sa robustesse, n’étant pas l’unique moyen disponible.
Résultats:
Les résultats obtenus sont rassemblés dans le tableau ci-dessous:
Echantillon Nombre de vecteurs Valeur de sortie Valeur de sortie normalisée
tst3 141 907,427714 6,435657546
tr1 205 1468,653789 7,164164824
tr1 205 1530,539859 7,466048093
tst1 133 1050,821937 7,90091682
tr1 205 1530,539859 7,466048093
tst2 246 2453,2977 9,972754878
Le nombre de vecteurs indique la quantité de fenêtres résultant de la préparation; la valeur de sortie correspond à la somme du logarithme de la probabilité du vecteur appartenir à la voix du locuteur analysé; la normalisation est obtenue en divisant la valeur de sortie par le nombre de vecteurs.
Conclusion:
D’après les résultats obtenus, nous concluons qu’il n’existe pas d’évidence que prouvent que les locuteurs tr1 et tst1 soient différents, étant donné la proximité des coefficients rencontrés. Comme nous pouvons observer sur le tableau ci-dessus, tr1 et tst1 sont certainement différents de tst2 et tst3, à cause de la grande disparité entre les coefficients de sortie normalisés, comme il était prévu.
Notre commentaire:
Ce cas s’avère être un des plus impressionnants car il s’agit de la première fois en TCI que nous prouvons, mathématiquement, que la voix obtenue en transcontact correspond à la voix de quelqu’un connu de son vivant.
Dans le but de vérifier toutes les possibilités pour éclairer ce cas, Zilda en personne contacta le 12 octobre 99 la compagnie BCP, responsable du service de téléphonie portable à São Paulo (par le numéro 5509-6955), leur demandant de vérifier tous ses contacts réalisés le 10 septembre 99. Elle a été alors informée par le responsable du secteur, Mme. Eunice, que cette information ne pouvait être délivré qu’avec un mandat judiciel, fourni par les autorités de police. Par contre elle informa que, si le téléphone avait été branché ce jour là, les coups de fils reçus n’auraient pas étés enregistrés par la centrale de messages, mais délivrés normalement à l’appareil.
Dommage de ne pas pouvoir compter sur ce renseignement supplémentaire, mais ce qui importe c’est que nous irons toujours à la recherche de la vérité.