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par MOSSAD » 17 mars 2007, 08:12
Il est désormais bien connu que George W. Bush et John Kerry, les candidats républicain et démocrate aux dernières présidentielles américaines, sont membres de l’ultime confrérie secrète de l’université de Yale : la loge franc-maçonnique Skull and Bones. Ce seul fait devrait nous amener à nous demander si le bipartisme politique américain ne serait pas en réalité qu’un leurre.
Les loges secrètes de l’Ouest, incluant les Skull and Bones, maîtrisent l’art de la dialectique hégelienne (thèse, antithèse, synthèse) par laquelle, en manipulant les deux camps opposés, par exemple gauche communiste contre droite capitaliste, libéralisme démocrate contre conservatisme républicain, etc., elles gardent le contrôle peu importe le parti au pouvoir. Prescott Bush, son fils George H. W. Bush et son petit fils l’actuel président étasunien George W. Bush - la nouvelle dynastie pharaonique - ont tous été Skull and Bones. Les richissimes Prescott Bush et Averell Harriman ont fondé deux firmes géantes de Wall Street, composées de douze partenaires, dont huit étaient Skull and Bones.
Hitler disait ne pas croire un mot de sa propagande anti-communiste mais que celle-ci était nécessaire pour obtenir l’appui des Allemands. Et sans le nazisme, l’appui international nécessaire à la création de l’État d’Israël aurait fait défaut. L’idéologue du sionisme Theodor Herzl ne croyait pas si bien dire : « l’antisémite est le meilleur ami de la cause sioniste ». L’histoire est remplie d’exemples de manipulations politiques utilisant un faux antagonisme, un ennemi utile, comme le croque-mitaine Ben Laden et le terrorisme musulman qui ressurgissent toujours lorsque les États-Unis entrent en période pré-électorale.
Les groupes financiers de l’Ouest
C’est un fait connu que Le Capital de Karl Marx était le livre de chevet des plus grands financiers au tournant du vingtième siècle. Il a par ailleurs été démontré par le respecté chercheur de l’Université Stanford Anthony Sutton en 1974 que les fonds de la Révolution venaient des hautes instances financières de l’Ouest, notamment la firme J.P. Morgan. Alors qu’à Londres, des Juifs nationalistes se convertissaient au sionisme et oeuvraient à promouvoir la création d’un État juif, du côté de la Russie, des Juifs internationalistes joignaient les hauts rangs des bolcheviks. Hitler était lui aussi financé par Wall Street, révèle Sutton en 1976. En somme, les grands financiers de l’Ouest ont été les instigateurs des trois grandes formes de socialisme : le bolchevisme, le national-socialisme et le New Deal de F. D. Roosevelt.
Ces mêmes groupes financiers ont établi la Réserve fédérale américaine (qui en réalité n’est pas fédérale mais possédée par des intérêts privés!), le Council on Foreign Relations (une initiative de David Rockefeller), la Commission Trilatérale, les Bilderbergers, les accords internationaux tels que le GATT, l’ALENA et la ZLÉA. Les organisations internationales telles que le Fond monétaire international (FMI), la Banque mondiale, le Club de Rome, le Royal Institute of International Affairs, ont été fondés dans la foulée de la Table ronde, par les initiatives de riches idéalistes à la fin du dix-neuvième siècle, au Royaume-Uni. C’est entouré de Lord Alfred Milner, Nathan Rothschild, Lord Esher (conseiller de la reine Victoria), Arthur James Balfour (qui signa La Déclaration Balfour de 1917, adressée à Lord W. Rothschild pour l’établissement d’un foyer national juif en Palestine), que Cecil Rhodes fonda la Table ronde. Il trouva ses plus fidèles partenaires en Lord Alfred Milner et Averell Harriman père et fils, tous trois Skull and Bones. Des dires de Rhodes - qui se prenait pour le nouveau Ignace de Loyola -, l’organisation de la Table ronde s’inspire de l’Ordre des Jésuites, de l’Église catholique et de la Franc-maçonnerie, pour servir ‘la mission du Saint Empire britannique’. Dans certains hauts lieux anglo-saxons, l’origine étymologique du terme ‘british’ indique que les Anglais descendent du Peuple de l’Alliance (B’rith signifiant alliance et ish - homme ou peuple). Mais le flambeau du Saint Empire passera aux mains des États-Unis en 1919, après que la puissante fédération du ‘British-Israël’, se posant en concurrent direct du sionisme, ait établi que le ‘véritable Israël’ est aux États-Unis, terre d’accueil des ‘tribus perdues d’Israël’.
Le clan Bush et les nazis
Le nazisme se présente comme une culmination du Mal au vingtième siècle : une alliance entre le jésuitisme, le racisme, le nationalisme et le socialisme. Tout comme le bolchevisme, le nazisme a littéralement ouvert les portes de l’enfer et sa furie contre l’Homme ne s’est pas restreinte au Juifs allemands, elle s’est étendue en Europe de l’Est, notamment en Pologne, où les Ustashis, des troupes SS/Jésuites ont perpétré des massacres à ce point abominables que les pires camps de concentrations allemands pâliraient en comparaison.
On sait maintenant que Prescott Bush était l’un des banquiers secrets de Hitler. La CIA a d’ailleurs été fondée sur le modèle des SS par George H.W. Bush, en collaboration avec des nazis, dans la foulée de l’Opération Paperclip, qui donna droit d’asile à des criminels de guerre nazis aux États-Unis et au Canada. Des recherches secrètes sur la dissociation de la personnalité par la torture, financées par la CIA, ont été menées par des médecins nazis tels qu’Allen Dulles au Allen Memorial Institute de l’Université McGill de Montréal, sous la direction du docteur Ewen Cameron. Le projet MK-Ultra a perfectionné ces techniques en créant des esclaves sous contrôle mental total, comme l’étaient les Assassins de l’Ordre des Thugs. On peut former non seulement des assassins et des espions indétectables mais aussi des groupuscules terroristes...
Derrière la tragédie du 11 septembre 2001 : les États-Unis et Israël?
L’histoire officielle révèle qu’Hitler et Goering eux-mêmes ont fait brûler le parlement allemand (Reichstag) pour blâmer les communistes, envahir la Pologne et déclencher la guerre. De la même façon, des éléments criminels du gouvernement américain sont incontestablement complices et bénéficiaires des attentats du 11 septembre. Le Reichstag et le 11 septembre sont des exemples d’opérations ‘False flag’, où la responsabilité d’une attaque est faussement attribuée à l’ennemi. En plus de justifier des politiques liberticides, la guerre en Afghanistan et l’invasion de l’Irak, la guerre au terrorisme a uni les États-Unis et Israël contre un ennemi commun, permettant aux États-Unis d’affermir leur contrôle sur le Moyen-Orient tout en servant les intérêts d’Israël en légitimant ses politiques d’apartheid et de génocide des Palestiniens.
Aux États-Unis, un réseau d’agents du Mossad qui se faisaient passer pour des étudiants en Arts a été démasqué. Des chercheurs indépendants ont démontré par la suite le rôle du Mossad, du MI6 et de la CIA dans le terrorisme international communément attribué à Al Qaida (groupe dont l’existence est fortement contestée) et dans les attaques revendiquées par le Hamas ou le Hezbollah au Proche-Orient. Des compagnies itinérantes, de déménagement et de messagerie instantanée (Odigo, Comverse), serviraient de couverture aux activités d’espionnage du Mossad. Comment expliquer que les vendeurs d’une compagnie itinérante du Mossad aient logé à Hollywood, en Floride, à un coin de rue de l’appartement de Mohammed Atta et de la supposée cellule terroriste du 11 septembre? Comment expliquer que sept des supposés terroristes soient toujours en vie? Comme Ben Laden, Atta clame son innocence. Il soutient qu’il s’agit d’un vol d’identité. Le FBI dit la même chose lorsqu’il relâche des présumés terroristes.
Le jour des attentats, cinq Israéliens ont été interceptés sautant de joie à la vue de l’effondrement des deux tours. Des passeports israéliens et des habits musulmans ont été découverts à bord de leur camion de déménagement. Au même moment, d’autres Israéliens sont arrêtés en train de filmer les attentats. Ils prétendirent avoir été envoyés là pour « documenter l’événement », ce qui implique une connaissance préalable. Une centaine d’Israéliens ont été arrêtés en sol américain, interrogés puis relâchés avant et après le 11 septembre, mais le sujet est classé ‘secret défense’.
Ce que révèlent l’effondrement des trois tours du WTC et l’attaque du Pentagone
Les tours du World Trade Center (WTC) ont-elles pu s’effondrer sous la chaleur du carburant inflammable? Non. Les puissantes explosions ne sont en aucun cas redevables au carburant, car celui-ci avait cessé de brûler depuis longtemps. Des photos montrent que des survivants se tenaient autour des cavités creusées par les avions, or comment auraient-ils pu se tenir là si, comme le veut la thèse officielle, la chaleur du feu était suffisamment intense pour que la structure en acier de la tour s’effondre?
Les images vidéo des effondrements montrent clairement les explosions synchronisées qui ont causé l’effondrement des deux tours à la vitesse de chute libre. D’autres images montrent du métal en fusion s’écoulant par le côté d’une des tours. Six jours plus tard, on trouva de l’acier en fusion sous les décombres. Le professeur Steven E. Jones a découvert que sa composition chimique présente des traces de thermite, un puissant explosif pouvant atteindre des températures assez élevées pour couper l’acier comme du beurre. Autre indice d’une démolition contrôlée : l’effondrement a créé un nuage ‘pyroclastique’ de poussière. Or pour installer les explosifs dans ces tours, il faut avoir déjoué la sécurité pendant une semaine au moins. Par un curieux hasard, la sécurité du WTC était assurée par la société Securacom de Marvin Bush, le frère du président.
Fait peu connu, de petits incendies ont été observés dans un troisième bâtiment, la tour 7 du WTC, avant que celui-ci s’écroule subitement sans raison apparente. Le propriétaire du WTC, Larry Silverstein, un riche Juif proche du magnat médiatique Rupert Murdoch et des sionistes Sharon et Netanyahu, a récolté sept milliards de dollars des assurances suite aux attentats. Il a avoué, lors d’une entrevue accordée à PBS, avoir lui-même donné l’ordre de faire démolir (‘pull it’) la tour 7. En jargon technique, ‘to pull’ signifie ‘démolition contrôlée’. Au contraire des deux tours, la démolition de la tour 7 fut bien contrôlée, sans explosion. Selon Eric Hufschmid, la tour 7 a servi de centre de commande pour la démolition contrôlée des deux autres tours.
Et le vol 93? Pas le moindre petit débris de cet avion n’a été retrouvé : qu’un gigantesque cratère, vraisemblablement créé par un quelconque missile. Et les appels des passagers du vol 93? Statistiquement, les chances qu’un téléphone cellulaire fonctionne à plus d’une dizaine de kilomètres d’altitude sont infimes. Toute l’histoire des vaillants passagers luttant contre les terroristes ne repose que sur ces appels dont l’authenticité est plus que douteuse. En revanche, des gens hauts placés ont reçu un téléphone (certains par messagerie Odigo) les avertissant de ne pas se rendre au WTC ce matin-là. Ce fait a été ignoré par la commission d’enquête.
Le FBI garde toujours jalousement les bandes vidéo, en date du 11 septembre, des caméras de surveillance des commerces voisins du Pentagone. Les quelques images révélées dans les médias permettent-elles de discerner un Boeing 757, le vol 77, percuter le Pentagone? On voit plutôt une traînée de fumée, identique à celle d’un missile, raser le sol, percuter le côté du bâtiment et exploser dans un flash. Par chance (?), l’aile touchée était vide, en rénovation. Le trou est minuscule, il n’y a aucune égratignure sur le gazon et les seuls débris trouvés sont des petits fragments de tôle légère ainsi qu’un réacteur quatre fois plus petit que celui d’un Boeing 757! Les chiens n’ont flairé aucun reste humain. Une chose est certaine : aucun Boeing ne s’est écrasé sur le Pentagone. L’hypothèse la plus vraisemblable concorde avec les descriptions des nombreux témoins: il ne peut s’agir que d’un missile ou d’un drone militaire téléguidé, peint aux couleurs d’un avion de ligne. De l’uranium appauvri entre dans la composition des drones et des missiles, ce qui expliquerait pourquoi des procédures de décontamination ont été suivies. La question demeure: qu’est-il arrivé au vol 77?
Le Pentagone est sans conteste le bâtiment le plus protégé d’Amérique du Nord. Si les procédures normales avaient été suivies, les chasseurs de la défense aérienne auraient intercepté et abattu tous les avions détournés. L’enquête révèle que la défense aérienne du NORAD n’est pas intervenue parce que des instances supérieures, suivant les ordres du vice-président Dick Cheney, ont insisté qu’il ne s’agissait que d’un ‘exercice’. Dans le cas du WTC, des chasseurs ont finit par prendre en chasse le second avion mais à très faible vitesse et seulement après avoir été envoyés en direction opposée, en pleine mer! C’était trop tard de toute façon.
Un précédent au Canada sous le mandat de Stephen Harper
Le 2 juin 2006, à Toronto, dix-sept jeunes présumés terroristes, dont cinq mineurs, ont été arrêtés en possession de sacs de nitrate d’ammonium destinés à faire exploser le Parlement canadien et assassiner le premier ministre Harper. C’est seulement après que les suspects aient accepté une livraison, par des policiers en civils, de trois tonnes de ce qu’ils croyaient être, selon les comptes rendus de presse, un engrais pouvant servir à la fabrication de bombes que la police a mené une descente pour « démanteler le complot terroriste ». Ainsi le Canada est justifié d’aller en guerre contre le terrorisme, c’est-à-dire de bombarder l’Afghanistan et l’Irak et d’investir dans le renseignement et l’armement. Qui sait si la prochaine grande attaque terroriste ne se soldera pas par l’instauration de la loi martiale, cette fois-ci à l’échelle de l’Union nord américaine?
L’anti-anglo-américanisme et l’anti-sionisme : Ordo ab Chao
La théorie du « terrorisme international musulman » est une construction médiatique idéale pour légitimer les politiques d’apartheid de l’État d’Israël en Palestine et l’hégémonie anglo-américaine au Moyen-Orient, soutient Jimmy Carter dans son récent ouvrage. Il n’est pas le seul : le président du Venezuela Hugo Chavez, qu’on associe à la voix de l’altermondialisme, ainsi que le président de l’Iran Ahmadinejad, passionnément anti-Israël et anti-sioniste, dénoncent vertement les crimes de guerre de l’alliance « anglo-américano-israélienne ». Chavez a traité Bush de ‘diable’ et de dictateur et soutient la théorie du complot intérieur du 11 septembre, selon laquelle le gouvernement américain a orchestré ou, à tout le moins, prêté le flanc hypocritement aux attaques terroristes du 11 septembre. Ahmadinejad dit la même chose mais va plus loin encore en remettant en question la légitimité de l’État d’Israël. Il a tenu le 10 décembre 2006 un congrès international sur l’Holocauste Juif, auquel étaient invités des néo-nazis et autres révisionnistes, c’est-à-dire des individus qui remettent en question l’ampleur du génocide juif, exagéré pour servir la cause de la fondation de l’État d’Israël. Il contribue à ce que les médias et le gouvernement d’Israël le dépeignent comme un nouveau Hitler, faisant de l’Iran l’ennemi suprême du bloc israélo-américain. Ainsi les chefs d’État anglo-américains parlent d’« islamofascisme » et stigmatisent le monde musulman, provoquant l’explosion des guerres raciales. Au final, le conflit s’envenime et finit par servir la dialectique du nouvel ordre mondial, Ordo Ab Chao. Bientôt, au nom de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, un interdit touchera jusqu’à la liberté de pensée elle-même, de sorte que toute critique à l’endroit d’Israël et toute remise en question de la théorie officielle du 9/11 sera jugée comme un crime haineux, au même tire que le déni de l’Holocauste.
La grande majorité des Juifs d’aujourd’hui n’ont rien de sémite, ils descendent en fait des Khazars caucasiens qui au Moyen-âge se convertirent au judaïsme. Les Palestiniens en revanche sont d’authentiques Sémites. Ironiquement, c’est au nom des idéaux « du sang et du sol du Peuple élu » - idéaux explicitement nazis - que l’État juif d’Israël justifie le génocide des Palestiniens - un nouvel Holocauste anti-sémite - ainsi que l’érection du mur entourant la Palestine tel un véritable camp de concentration. Car pour Israël et ses rabbins extrémistes, les Arabes et les Musulmans sont des êtres infrahumains, des animaux, une vermine à exterminer.
Le plan des loges de l’Ouest suit le scénario littéral de l’Apocalypse. Selon le sionisme chrétien appelé dispensationalisme, l’antéchrist va signer un traité de paix avec Israël et rebâtir le Temple, mais le Christ ne reviendra qu’après que les Juifs aient été réunis en Israël pour y être convertis. En fait, les sionistes rassemblent les Juifs en Israël pour les sacrifier dans un Armageddon nucléaire ! C’est dans cette optique que les médias rivent leur attention sur le Moyen-Orient (où se situe justement la fameuse vallée de Meggido, d’où origine le terme Armageddon désignant le combat final entre le Bien et le Mal) et pas seulement à cause du conflit israélo-palestinien ou du pétrole. Le monde bipolaire du ‘Clash des civilisations’, opposant l’Occident à un ‘Axe du Mal’ ‘anti-démocratique’ musulman ou communiste, est le cadre de référence géopolitique des sionistes chrétiens de la Maison Blanche orchestrant cette campagne de peur eschatologique. Menaçant d’éclater en conflit nucléaire, l’escalade des tensions entre ‘l’Ouest et le Reste’, reflet de la funeste division entre les religions du Livre, générera le sentiment de l’urgence d’un ‘dialogue sur une base commune’.
L’Apocalypse de Jean indique que la Grande Prostituée de Babylone est finalement anéantie par la Bête qui la porte. Puisque le nazisme doit être d’une certaine façon réhabilité, la mise à nu de la Prostituée, la révélation des rouages du nouvel ordre mondial et du lobby israélo-américain par les ‘conspirationnistes’, mènera le monde à envisager encore une fois la ‘solution finale du problème juif’. Ainsi des millions de Sémites Juifs et Musulmans seront sacrifiés sur l’autel d’Israël par les sionistes. La chute de la Prostituée (la Juiverie internationale inspirée par le talmud babylonien) concrétisera l’ultime exemple d'antagonisme factice, car la Bête qui la terrassera viendra ravivera un messianisme nazi et aplanir les voies d’un ‘Christ réincarné’ revenu instaurer une ère de mille ans de paix, un nouvel Age d’Or qui sera en réalité le véritable règne antéchristique.