http://www.ass-ahimsa.net/mythes.html

>>Nous pourrions plutôt dire que l’industrie pharmaceutique a à cœur la maladie des humains. Ce qu’elle désire avant tout, c’est faire des profits. Les ventes annuelles des compagnies pharmaceutiques canadiennes s’élèvent à plus de 4 milliards de dollars. En Amérique du Nord, les multinationales pharmaceutiques dépensent chaque année, 3,5 milliards de dollars en promotion et en publicité. Elles sont l’exemple parfait du pouvoir de l’argent. De plus, elles exercent un puissant lobbying auprès des gouvernements, des universités, des chercheurs, des médecins et des revues médicales.
Des 177 nouveaux médicaments introduits sur le marché canadien entre 1988 et 1990, seulement huit, soit 4,5% du total, pouvaient se ranger dans la catégorie très vague d’une «amélioration à la cure thérapeutique du patient ». Le reste des médicaments se rangeait dans le fourre-tout des variations sur un même thème à des fins de marketing et de positionnement de marché.
Même si les compagnies pharmaceutiques clament que l’expérimentation animale est primordiale pour protéger les humains, des médicaments testés sur les animaux et déclarés potentiellement dangereux sont tout de même commercialisés. L’AZT, un antiviral prescrit aux sidéens et fabriqué par Welcome, lorsque testé sur les rats est mutagène et cancérigène.
Le médicament Tomoxifen de la compagnie ICI est prescrit pour prévenir la récurrence du cancer du sein chez les femmes traitées pour cette maladie. En laboratoire, lorsqu’administré aux rongeurs, il donne le cancer des gonades chez la souris et le cancer du foie aux rats.
Omeprazole, un médicament prescrit pour les ulcères, s’avère cancérigène pour les rats.
Tretinoin, utilisé pour le traitement de l’acné, augmente chez la souris les tumeurs de la peau.<<
Au nom du bon sens je vous arretes