Dany a écrit :Montecristo :
Pour ce qui de la physique quantique, le chat de Schrodinger par exemple, qui peut se retrouver à l'extérieur de sa boîte s'en en sortir…
???
Jamais entendu ça. T’as vraiment aucune leçon a donner à Gatti, mon bonhomme. D’ailleurs, évite d’en donner à qui que ce soit, c’est mieux pour toi.
Il faut comencer par etudier les faits, ensuite on pourra discuterVoici le travail d'un autre oldpapy du paranormal PONTEVILLE
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- Cas observés
- Ces phénomènes existent depuis l’Antiquité et présentent une grande similitude, mais leur explication est récente, comme nous le verrons plus loin. Ils étaient attribués autrefois à des esprits ou à des manifestations diaboliques. Il est de fait qu’une intelligence semble être impliquée. Nous allons faire état de quelques cas significatifs.
- En 1851, dans le presbytère de Cideville, en Normandie, le père Tinel et sa gouvernante voient se déplacer et même voler autour d’eux, table, chaises, chandeliers... S’agissait-il d’une vengeance d’un sorcier guérisseur par l’intermédiaire d’un autre sorcier qui aurait agi sur deux jeunes garçons hébergés dans la cure ?
Est-ce seulement la présence de ces deux adolescents en période de puberté et probablement en conflit psychologique avec le curé ? Tout rentra dans l’ordre dès qu’ils quittèrent les lieux. Nous verrons qu’il y a bien là une explication que nous reprendrons plus loin.
- En 1925, à Talpa (Roumanie), Eleonora Zagun (12 ans), s’acheta des friandises avec de l’argent trouvé sur la route. Sa grand-mère, en l’apprenant, se mit en colère et l’accusa d’avoir utilisé de l’argent venant du diable ! Le lendemain, les objets se déplaçaient dans la maison qui était aussi bombardée par des pierres. Confiée à un monastère, puis à une comtesse viennoise, l’adolescente fut mordue et griffée par un " être invisible " pendant environ deux ans. A sa puberté, tout cessa et elle eut ensuite une vie normale. Ce cas fut suivi par H. Price (National Laboratory of Psychical Research - Londres).
- En 1946, Carola et Otto Shrazy (Lauter - Bavière - Allemagne) accueillirent successivement Irma 13 ans, orpheline de guerre, puis Edith 3 ans, autre orpheline de guerre, qu’ils adoptent, restant réticents pour Irma.
Les phénomènes paranormaux apparaissent alors : plumes et lames de rasoir brisées, livres déchirés, tapis tordu en torsade, messages sur la machine à écrire enfermée dans sa mallette, enfants " en transe "... H. Bender (Institut de psychologie - Fribourg) enquêtant sur place attribua les phénomènes à Irma, victime d’un profond ressentiment émotionnel. Tout rentra peu à peu dans l’ordre. Mais une action volontaire " frauduleuse " d’Irma n’est pas à écarter.
- En 1947, à Vlachendorf en Bavière (Allemagne), disparition de cartes, ampoules électriques dévissées, porte fermée à clé avec la clé accrochée dans une autre pièce, pierres volantes... Les époux Plach vivaient avec Mitzi, leur fille adoptive de 14 ans, dans une petite maison à une seule chambre. Les conclusions de H. Bender attribuèrent les phénomènes à Mitzi, en pleine puberté, qui traversait une crise d’instabilité psychologique. Tout cessa rapidement.
- En 1958 à Scaford (USA), dans la famille Herrmann, des bouteilles s’ouvrent toutes seules dans des pièces différentes, des objets volent (sucrier, statuette...) devant des policiers témoins, des meubles se reversent.
Il y a deux enfants en période de puberté : Lucile 13 ans et James 12 ans. Les parapsychologues attribuent ces phénomènes à James, agressif et perturbé, insatisfait et jaloux.
- En 1960, à Sanchie (Ecosse - Grande-Bretagne), Virginia Campbell, adolescente, dut habiter chez son frère aîné, sa femme, et leur fille Margaret 9 ans, pendant le déménagement de ses parents. Virginia partageait la même chambre que Margaret, elle était en période de puberté, avec des crises d’angoisse, réclamant son chien et sa meilleure amie, et se refusait à la cohabitation avec sa nièce. Phénomènes observés : déplacement du buffet, bruits répétés (comme une balle qui rebondit !), soulèvement d’un coffre., pupitre du bureau qui claque à l’école... Tout rentra dans l’ordre après le départ de Virginia.
- En 1967, à Rosenheim (Bavière, Allemagne) chez l’avocat S. Adam, une série de phénomènes anormaux : déréglage du téléphone (enregistrement de communications, presque toutes adressées à l’horloge parlante, jusqu’à 24 fois par jour et ceci sans emploi du téléphone celui-ci ayant été enfermé et mis sous cadenas), fusibles qui disjonctent, lampes grillées, allumages anarchiques,... Tout ceci se produisait toujours pendant les heures de bureau.
Les phénomènes furent étudiés par H. Bender (Université de Fribourg - Allemagne) qui en attribua la cause à l’employée de l’avocat, Anne-Marie, 19 ans, à sa personnalité instable très malheureuse. Il fut démontré que les voltmètres de contrôle réagissaient dès son arrivée, et que les circuits électriques devenaient " fous " quand elle passait. Après son départ, il ne se passa plus rien. Mais les phénomènes se manifestèrent là où elle vécut ensuite, jusqu’à ce qu’elle se marie et devienne mère.
- En 1969, à Southport (USA), sur un chantier, un ascenseur de quatre tonnes monta et descendit spontanément, alors que le courant était coupé. Il fut démontré que cela était lié à la présence d’un jeune membre de l’équipe de démolition.
- En novembre 1973, à la Machine, près de Decize (France),les parents d’un adolescent Dominique, entendent des coups dans la cloison les séparant du logement voisin. En fait le mur bruyant est celui de la chambre de leur fils qui " communique " avec le mur : celui-ci répond par un coup (oui) ou deux (non) aux questions, bat la mesure quand l’adolescent siffle ! Il fut établi que celui-ci était " étouffé " par sa mère et qu’il avait besoin de s’exprimer... une thérapie psychique remit tout en ordre.
- En 1979 à Bordeaux (France) un commis boucher de 17 ans, à l’enfance perturbée et malheureuse, probablement amoureux de sa patronne mais dans l’incapacité d’en faire état, fut à l’origine de poltergeists importants : incendies dans les caisses de sciure, trappe en ciment brisée, porte éclatée, déplacements divers (poids, valise, casseroles, table, chaises, morceaux de viandes, rames de papier...).
- Explication des phénomènes
- C’est la remarquable étude faite par le Commandant de Gendarmerie Tizané (France) qui a établi la relation entre ces phénomènes et la présence d’un être humain, qui en est cause, inconsciemment en général. Il s’agit généralement d’une personne gravement perturbée psychiquement, incapable de résoudre ses conflits intérieurs, ou atteints de troubles psychiatriques (crises épileptiformes, dissociation mentale...).
Il s’agit le plus souvent d’adolescents à la période de la puberté (particulièrement des filles) soumis à des contraintes psychologiques insurmontables, entraînant une agressivité qui ne peut s’extérioriser. Le stress, les tensions intérieures très puissantes et refoulées, les frustrations, l’impossibilité de réaliser ce que l’on souhaite entreprendre, joint à un tempérament émotif... tout cela peut conduire au déclenchement de phénomènes anormaux, incroyables, inexplicables... : coups, bruits, déplacements d’objets, et même passage de matière à travers la matière, comme les pluies de cailloux brûlants tombant dans une maison, à travers le toit, sans endommager celui-ci.
- Y. Lignon cite des cas, comme celui du garçon de 10 ans, confié provisoirement à sa grand-mère et très perturbé par son changement de domicile et d’école, auteur inconscient de déplacements d’objets ; tout revient en ordre dès sa réintégration dans son ancien cadre.
- Ces individus perturbés seraient porteurs d’une énorme énergie psychique, très mal connue, qu’ils pourraient transférer inconsciemment à l’extérieur.
- On peut rapprocher ces cas de celui de certains mystiques - tel le curé d’Ars, J.M. Vianney - On peut penser que les phénomènes qu’il attribuait au démon (meubles déplacés, bruits divers, traces de griffes sur le corps...) ne venaient que de lui-même, inconsciemment.
Le charron du village, A. Verchère, 28 ans, qui passa une fois la nuit dans la chambre du curé, attesta qu’on entendait des cris, des appels lugubres, des coups violents frappés sur les murs, et constata que les gros meubles étaient déplacés, les chaises retournées, le curé jeté violemment au bas de son lit...
Ces phénomènes furent attribué par l’Eglise à une action démoniaque. Est-ce l’action inconsciente du mystique ou y aurait-il une Entité extérieure à notre vie terrestre qui en serait la cause ? Chacun formulera sa réponse.
- Maisons hantées et poltergeists
L’existence de poltergeists dans les maisons hantées est quasi systématique. S’agirait-il d’un phénomène de même type ? On peut le supposer. Mais le problème des apparitions de fantômes semble indiquer que le problème des maisons hantées est plus complexe, et qu’il fait appel à plusieurs phénomènes paranormaux. Nous examinerons ce problème au paragraphe 255.
252-12 - Chutes de pierres brûlantes
- Un certain nombre de ces de jets de pierres, inexplicables, et même souvent de pierres brûlantes, a été recensé de façon indiscutable.
Les exemples sont nombreux et souvent très anciens : Bingen (Allemagne) en 856, Comté d’Oxford (Grande-Bretagne) en 1592, Paris (France) en 1846, Saint-Quentin (France) en 1859, Sumatra (Indes Néerlandaises) en 1903, Big Brear City (Californie - USA) en 1962...
- Il s’agit de pierres très souvent chaudes, avec des trajectoires peu inclinées, capables de traverser murs et plafonds (avec parfois bris de vitres, ce qui peut laisser supposer une action physique extérieure !), mais ne causant pas de blessures.
On estime souvent qu’il s’agit d’un cas particulier de poltergeists, auquel il n’est pas possible actuellement d’apporter une explication.