La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
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La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
J’ai fait un article très long, mais si vous lisez tout cet article et si vous comprenez la logique de ces articles, il est probable que cela va remettre en cause une partie de votre Univers mental et de votre représentation de l’Univers, et notamment de l’Univers animal.
L’église a décrété que l’Homme était à part dans la Création.
Dans les articles que je vous soumet, vous verrez qu’un certains nombre d’animaux sont très proches de l’Homme en terme d’intelligence, mais aussi par exemple en altruisme comme pour le chimpanzé, ce qui laisse supposer que la Chimpanzé a une représentation de l’Univers analogue à la nôtre, et qu’il a des qualités morales.
Et qu’il serait même peut-être humain…
Actuellement, des centaines de chimpanzés sont torturés à mort dans les laboratoires qui sont dirigés par les scientifiques.
Les scientifiques ont reproduit le schéma de l’Eglise, et font mieux que l’Eglise, puisque l’Eglise ne torturait pas les Chimpanzés.
Tout le monde sait que les chimpanzés sont torturés. Y compris les scientifiques.
Personne ne bouge.
Cela fait même sourire certains.
La Préhistoire a engendré la Religion.
La Religion a engendré la Science. Ou plutôt une certaine idée de la Science.
Cette transmission de la logique du dogme que l’Humain et l’animal sont différents a été acceptée implicitement par le système actuelle et par les scientifiques eux-mêmes, puisqu’ils pratiquent la torture sur les animaux tous les jours, ou s’ils ne le font pas, ne font rien pour l’empêcher, ce qui est encore pire…
J'explique que la Science actuelle et la Religion ont la même logique.
Et je peux le démontrer ;
Après ce sera à vous de vous faire votre propre idée.
La science et ses applications ont détruit en 300 ans 50 % du règne animal.
Les grandes forêts de la planète sont en phase de destruction rapide.
La stabilité du climat est gravement entamée, et cela va contribuer à accentuer la destruction de la Biosphère.
Jamais la dictature n’a été aussi présente et menaçante puisque près de cent nations sont dirigées par des dictateurs dont certains possèdent une grande capacité scientifique.
L’explosion démographique humaine fait prévoir des catastrophes humanitaires encore pires que le tiers et le quart monde qui est apparu dans les cinquante dernières années.
Jamais les scientifiques ne sont montés au créneau ensemble pour remettre en cause le système;
Car le système les salarie et même leur décerne des récompenses pour les stimuler.
Le système leur impose d'être neutre.
Le système impose un dogme qui consiste à penser que la Science doit être neutre.
Les scientifiques sont pieds et mains liés sur le plan économique au Système.
Donc le Système peut donc imposer son dogme.
La conception de la Science est une émanation directe de la Religion.
Car elle repose sur un dogme unique.
Et ce dogme suppose que tout doit être fait pour que l’Homme domine la Nature.
Cette logique de Domination exclue donc tout processus de remise en cause de la religion, ou de la Science et la Religion et la Science portent toutes deux la même logique intrinsèque : La Domination sur le vivant, au dépens du vivant.
Ce sont les scientifiques qui ont mis au point le programme de la Bombe atomique.
Ce sont les Scientifiques qui perpétuent le logique de la Religion en torturant les animaux ou en ne faisant rien pour s’y opposer.
Les Scientifiques ont une certaine idée de la Science.
Je travaille pour montrer qu'il y a une autre Science.
Car Science sans conscience, n’est que ruine de l’âme.
Les articles ci-dessous remettent en cause la représentation scientifique classique et morale du Vivant.
Quel sort les humains réservent-ils aux chimpanzés?
http://faunafoundation.org/ff/francais/ ... es_fr.html
On trouve des chimpanzés dans le monde du spectacle, dans des zoos, chez des particuliers et dans des laboratoires. Les chimpanzés employés dans le monde du spectacle portent des vêtements et sont forcés d'exécuter des tours d'adresse pour divertir les humains. De dures techniques de dressage et des punitions physiques, comme des chocs électriques, sont monnaie courante. De nombreux chimpanzés vivent dans des zoos où ils sont mis en étalage sous prétexte de faire œuvre d'éducation. Les zoos négligent souvent d'enrichir l'environnement dans lequel vivent les chimpanzés parce qu'ils veulent que leurs chimpanzés ressemblent à leurs congénères vivant en liberté. Encore aujourd'hui, certains particuliers acquièrent des chimpanzés, croyant qu'ils peuvent être de mignons « animaux de compagnie ». Or, les chimpanzés font rarement long feu comme « animaux domestiques » parce que, lorsqu'ils grandissent, ils deviennent trop forts pour être maîtrisés. Les chimpanzés sont aussi devenus les « éprouvettes à poil » de l'espèce humaine. Ils sont utilisés pour tout, des tests de vaccins aux études de toxicologie. Dans les laboratoires, ils vivent souvent seuls dans des cages exiguës.
Quel est le nombre de chimpanzés utilisés comme animaux de laboratoire, de compagnie, de zoo, de cirque, etc.?
Il y en a environ 2 000 seulement aux États-Unis. À peu près 1 700 se trouvent dans des laboratoires de recherche et les autres sont la propriété de zoos, de cirques et de particuliers. Environ 200 chimpanzés ont eu la chance d'être accueillis dans des sanctuaires en Amérique du Nord.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... geste.html
Le chimpanzé n’ignore pas la gratuité du geste
NOUVELOBS.COM | 26.06.2007 | 17:38
L’altruisme ne serait pas le propre de l’homme, selon une nouvelle étude. Les chimpanzés aussi seraient capables d’aider gratuitement leur prochain.
Contrairement à ce que l’on a longtemps pensé, les chimpanzés sont capables de se montrer altruistes, de venir en aide à d’autres sans attendre de récompense en retour, affirme une équipe de l’Institut d’anthropologie Max Planck de Leipzig (Allemagne). L’altruisme est généralement considéré comme une aptitude propre à l’homme. Felix Warneken et ses collègues ont cependant mené une nouvelle série d’expériences qui suggèrent que ce comportement existe aussi chez nos cousins primates.
L’équipe de Warneken a étudié les réactions de très jeunes enfants et de jeunes chimpanzés face à un être humain qui a besoin d’aide pour attraper un objet tombé hors de sa portée. Ces chercheurs avaient déjà mené ce type d’expérience avec les personnes habituées à s’occuper des singes (lire). Cette fois-ci, pour les humains comme pour les grands singes, ils ont choisi des personnes inconnues. Résultats : 16 enfants sur 18 et 12 chimpanzés sur 18 sont venus en aide à l’expérimentateur. Seule différence notable : les enfants réagissaient plus rapidement.
De précédentes expériences sur l’altruisme des chimpanzés avaient montré qu’ils n’étaient pas enclins à faire un geste gratuit pour leurs congénères (lire). Felix Warneken et ses collègues obtiennent des résultats différents. Ils ont placé un chimpanzé A dans une pièce avec une porte derrière laquelle se trouvait de la nourriture. Le singe A le savait mais ne pouvait pas ouvrir la porte sans l’aide d’un chimpanzé B, placé dans une pièce contiguë, qui pouvait le voir mais ignorait l’existence des victuailles. Huit chimpanzés sur neuf sont venus en aide au premier.
Pour les chercheurs, qui publient leurs travaux dans la revue PLoS Biology, il est clair que l’altruisme ne s’est pas développé ex nihilo chez l’être humain et qu’il prend racine chez nos lointains ancêtres. Cependant d’autres expériences seront nécessaires pour confirmer ces résultats et pour préciser l’influence de l’âge des chimpanzés (les jeunes sont-ils plus portés à l’altruisme que les adultes?) et l’impact de la semi-liberté sur les comportements désintéressés de ces grands singes.
C.D.
Sciences et Avenir.com
(26/06/07)
http://www.ethologie.info/revue/spip.php?article57
Le maniement d’outils chez le chimpanzé
par Agnès Lenoire
La Recherche vous propose un reportage d’éthologie dans sa rubrique "Portfolio". Le support soigné et travaillé des magnifiques photos n’est pas le seul atout de cet article. Il est assorti d’une étude sur les cultures des chimpanzés (Pan troglodytes verus, sous-espèce) en particulier sur la capacité à manier des outils. L’article est signé de la primatologue Emmanuelle Grundmann (Museum d’histoire naturelle).
Une expérience de laboratoire dans la nature
La primatologue fait état d’expériences menées par son confrère japonais Tetsuro Matsuzawa, de l’université de Kyoto, en République de Guinée, près du village de Bossou. Les habitants y considèrent les chimpanzés comme des animaux sacrés ; ils ignorent donc la peur du chasseur et se révèlent inventifs. L’article ne dit pas si le fait de ne pas être chassé et celui d’être inventif ont un rapport de cause à effet - mais il présente tout de même ces deux situations à la suite l’une de l’autre ! On peut en effet envisager une corrélation forte : que la sérénité des animaux ainsi acquise leur permette une disponibilité du cerveau et du temps libéré pour l’émergence de cultures. Mais revenons à l’étude de T. Matsuzawa. Depuis 1986, il mène une expérience de terrain dans un laboratoire naturel de Bossou, à raison d’une ou deux missions par an. Cette expérience consiste en l’aménagement d’une clairière dans la forêt pour ses observations, dans laquelle il dispose une cinquantaine de cailloux de tailles et masses variées, ainsi que des noix de palme, dont raffolent les chimpanzés. Les cailloux sont tous numérotés. Une palissade de végétation permet à plusieurs chercheurs de se camoufler et de pouvoir les observer et les filmer. Les chimpanzés ne se font pas prier : ils se mettent au travail en coordonnant les trois objets : marteau, enclume, noix. Ils cassent les noix pour en déguster l’amande. Seules trois communautés de chimpanzés sont capables de coordonner le maniement de trois objets, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, et en République de Guinée.
Le cassage de noix : culturel ou génétique ?
L’adulte enseigne-t-il à ses petits le cassage de noix ? À l’observation, il apparaît que la mère, quand elle opère avec son petit dans son giron, ne manifeste pas d’intention d’éduquer, si ce n’est par la liberté qu’elle lui accorde de toucher ou s’emparer d’une noix, lui laissant ainsi accès à son travail. Ce qui ressort de l’observation de ces chimpanzés, c’est surtout la grande attention des petits. Les photos montrent des jeunes penchés sur les outils et les noix, extrêmement intéressés, tournant et retournant les pierres qui ont servi aux chocs. On peut voir sur les photos un jeune de trois ans et demi s’essayer au cassage, sans y parvenir encore. Un chimpanzé parvient à maîtriser cette technique vers 5 ans. Les plus âgés acquièrent même la finesse du geste qui n’écrase pas l’amande à l’intérieur. Une seule observation dans le monde (parc national de Taï, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire) a montré une mère chimpanzé manifestant une volonté d’éduquer, en tendant volontairement un outil à son petit.
Une fenêtre ouverte entre 3 ans et demi et 5 ans
Toutefois, d’après l’auteure de l’article, l’éducation des jeunes par le seul mimétisme ne peut être déduite de ces observations. En effet, les petits ne sont pas forcément latéralisés comme leur mère, comme cela devrait être dans le cas d’une stricte imitation. L’auteure envisage plutôt un mariage d’imitation et de tâtonnements par essais et erreurs. Frans de Waal appelle cela "le désir d’être comme les autres". Comme nos petits à nous, finalement... même si nous, nous leur forçons bien plus la main dans les apprentissages !
Par ailleurs, T. Matsuzawa constate que les jeunes chimpanzés, s’ils n’ont pas appris la technique avant 5 ans, ne la réalisent plus ensuite. La prériode favorable se situe entre trois ans et demi et cinq ans. Ainsi une jeune femelle issue d’une communauté où le cassage de noix ne se pratiquait pas, et ayant migré à Bossou sur le tard, ne sait pas manier les cailloux, mais a des petits qui le font très bien, l’apprentissage s’étant fait pour eux au sein de la communauté de Bossou. Cela signifie que ces jeunes ont imité leur communauté, pas leur mère. La notion d’apprentissage social et de culture est donc pertinente.
http://www.webzinemaker.com/admi/m1/pag ... =4&id=9528
Un chimpanzé fort en maths
Un chimpanzé femelle japonais sait compter jusqu’à dix et peut mettre des chiffres en ordre numérique même s’ils ont été masqués. Une habileté qui équivaut à celle d’un enfant d’âge préscolaire. Les chimpanzés peuvent compter jusqu’à dix et mettre en ordre des chiffres dispersés au hasard sur un écran d’ordinateur. C’est ce que vient de révéler Ai, un chimpanzé femelle, dont le nom signifie Amour en japonais. Cette expérience, qui a été conduite par l’Institut de primatologie de l’Université de Kyoto, vient d’être décrite dans la revue Nature.
Ai, qui est âgée de 23 ans, a servi lors de nombreuses expériences. Elle sait compter de 0 à 9, reconnaît les lettres de l’alphabet latin et même certains idéogrammes japonais. Elle dessine et possède même son propre site web (lien dans la marge de cet article). Dans le passé, elle a réussi à mettre en ordre numérique des séquences de chiffres présentés de manière aléatoire.
Cette fois, les chercheurs japonais ont voulu aller plus loin. Il s’agissait toujours de mettre des chiffres en ordre numérique croissant, mais le hic, c’est que les chiffres (présentés sur un écran tactile) étaient masqués dès que l’on appuyait sur l’un d’eux. Le chimpanzé devait donc étudier et mémoriser la position de tous les chiffres avant de commencer son classement.
Ce qu’il faisait fort bien. Ai a correctement classé le quatrième chiffre 90% des fois et le cinquième, 65% du temps. Si elle avait appuyé sur les touches au hasard, elle ne serait tombée juste que 13 et 6% du temps, respectivement.
Au-delà du cinquième chiffre, la mémoire de l’animal semble flancher. Mais sa performance est identique à celle d’un enfant de niveau préscolaire et s’approche de celle d’un homme adulte, qui ne peut manipuler mentalement que sept chiffres à la fois. L’expérience démontre aussi que le chimpanzé peut faire le lien entre un symbole (le chiffre) et le nombre qu’il représente.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Washoe_(la_chimpanz%C3%A9)
Washoe (la chimpanzé)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, Rechercher
Washoe est une femelle chimpanzé qui vit actuellement à l’Institut de la Communication du Chimpanzé et de l’Humain (Chimpanzee and Human Communication Institute – CHCI) de l’Université Centrale de Washington, à Ellensburg, État de Washington. Washoe a été la première non-humaine à acquérir un langage humain (la langue des signes américaines), lors d’un projet de recherche très controversé sur l’acquisition du langage par l’animal. Le nom de Washoe provient du comté de Washoe, au Nevada, où l’animal a été élevée et « éduquée ».
Aujourd’hui, Washoe utilise environ 200 signes et pour que les scientifiques considèrent que la chimpanzé utilise véritablement un signe, il faut que celui-ci ait été observé par 3 observateurs différents à 3 occasions séparées et ce dans un contexte incontestablement approprié. Par la suite, le signe doit être observé 15 jours de suite pour qu’il soit ajouté à la liste des signes que Washoe utilise.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_animale
Intelligence animale
Plusieurs fois remise en cause, l'intelligence des animaux a néanmoins été démontrée par de nombreux tests. Plusieurs créatures se sont démarquées par leurs aptitudes intellectuelles. Les grands singes, les dauphins, les corbeaux, les porcs et les éléphants, qui peuvent se reconnaître dans un miroir, les chimpanzés qui fabriquent des outils comme les corvidés, les perroquets qui peuvent tenir une conversation structurée et comprendre la notion de zéro puis comprendre plus de 800 mots, les éléphants qui ont un comportement singulier face aux éléphants morts et les cétacés au langage si complexe. D'autres animaux tels les rats, les cochons et les pieuvres ont surpris les chercheurs par leur capacité de raisonnement.
Certains animaux sociaux comme les insectes sociaux, à l'intelligence individuelle limitée forment des sociétés capables d'adaptation intelligente dont aucun de ces membres seuls ne pourrait faire preuve. On parle dans ce cas d'Intelligence collective.
L'un des tests les plus usités pour vérifier l'intelligence d'un animal est le test du miroir, qui consiste à placer l'animal à tester seul devant un miroir pour voir s'il se "reconnaît", s'il a conscience de lui-même. Pour ce faire, on fait une marque de peinture sur l'animal à un endroit où il ne peut pas s'observer lui-même, par exemple sur le front pour un chimpanzé. Ensuite, on observe le comportement de l'animal : s'il attaque son reflet ou le fuit, c'est signe qu'il ne comprend pas que c'est lui qu'il voit dans le miroir et non pas un autre animal. Par contre, s'il tente de savoir ce qu'il y a derrière le miroir, s'il touche la marque de peinture avec insistance et s'il inspecte diverses autres parties de son corps qu'il ne peut observer par lui-même, c'est signe qu'il comprend que c'est lui qu'il voit dans le miroir, et donc cela prouve qu'il a conscience de lui-même. À ce jour, seuls les grands singes (à l'exception des gorilles, sauf Koko), le dauphin et l'éléphant ont passé avec succès le test du miroir. Les premiers tests faits avec les grands singes n'ont pas été concluants car les chercheurs plaçaient la caméra en face de l'animal. Or, les grands singes détestent se regarder dans les yeux. Ils détournaient donc le regard de l'écran. Si l'on place la caméra de côté, le grand singe se reconnaît aisément.
Corvidés [modifier]
Les corvidés peuvent éprouver de l'empathie et mentir, de plus ils peuvent se fabriquer des outils, contrairement à beaucoup d'autres animaux intelligents qui se contentent d'utiliser les ressources disponibles comme outils, sans chercher à les modifier[1](Par exemple, tordre une brindille pour en faire un crochet au lieu de perdre son temps à essayer d'en trouver une déjà tordue de la bonne manière...).
Perroquets [modifier]
L'intelligence du perroquet, son extrême sensibilité expliquent la gravité des souffrances qu'il endure lorsqu'il est capturé dans son habitat naturel pour être transporté des milliers de kilomètres plus loin dans des conditions souvent déplorables (les animaux ont souvent des séquelles et il y a une forte mortalité causée par la capture et le voyage) pour finalement être revendu à des particuliers dans des animaleries. Doué d'une excellente mémoire, il appelle par leur nom les différents membres d'une famille. C'est comme cela qu'en Inde un perroquet volé a pu être restitué à ses légitimes propriétaires qu'il avait reconnus.
Exemples de perroquets reconnus pour leur intelligence :
Alex le perroquet
N'kisi
2007 [modifier]
On découvre que le rat peut faire preuve de métacognition, au même titre que les singes, les dauphins et l'être humain.
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tacognition
Définition [modifier]
On appelle métacognition, à propos d'une personne, la composante de son savoir qui concerne les processus mêmes d'acquisition de ce savoir, en quelque sorte « sa façon d'apprendre ». La métacognition est la dimension intime de la maturité intellectuelle qui permet de relier et d'articuler les leçons de l'expérience, au-delà de l'assimilation des contenus de savoir : elle suppose donc une attention naturelle et relativement spontanée aux erreurs et autres traits apparemment négatifs.
Confucius affirmait déjà qu'il ne saurait y avoir de savoir sans une forme de récursivité du savoir : « Veux-tu que je t'enseigne le moyen d'arriver à la connaissance ? Ce qu'on sait, savoir qu'on le sait ; ce qu'on ne sait pas, savoir qu'on ne le sait pas : c'est savoir véritablement. »[
Animaux capables de métacognition [modifier]
Outre l'être humain, plusieurs espèces animales ont démontré qu'elles peuvent faire preuve de métacognition:
les singes
Les dauphins[5]
les rats (2007)
http://www.imaginascience.com/actualite ... s=1&id=257
Le rat qui en savait trop
On connaît le rat pour sa capacité à survivre dans le métro, à nager dans les égouts mais voilà qu'on lui reconnaît un talent bien plus stupéfiant : la capacité de penser à propos de la pensée : c'est la métacognition
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hans_le_malin
Hans le malin (en allemand der kluge Hans) est un cheval élevé en Allemagne qui, grâce à son intelligence, devint célèbre dans toute l'Europe au début du XXe siècle. L'intérêt que suscita son cas parmi les psychologues est à l'origine de ce que l'on appela plus tard le « phénomène Hans le Malin ».
Ce cheval, entraîné par M. von Osten, professeur de mathématiques et amateur de chevaux, était capable de répondre à des questions arithmétiques en tapant du sabot, et même de lire, d'épeler, d'identifier des notes de musique lorsque les questions étaient préalablement converties en nombres.
Le Chien plus intelligent que le singe ? Voir l’article sur le lien absolument
Témoin de notre évolution
Le chien est descendu de l'homme
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/paruti ... 28637.html
Toutes ces expériences, qui datent de moins d'une décennie, posent une double énigme : pourquoi le chien réussit-il ? Mais aussi à quoi est dû l'échec du chimpanzé ?
Le Plus intéressant : Le Chien est plus intelligent que les singe ? «Je pense, dit Tomasello, que l'homme a, au cours du processus de domestication, sélectionné chez le chien une aptitude à la communication humaine qui fait désormais partie du patrimoine héréditaire de l'espèce canine.»
«Ce n'est pas que le chimpanzé ne voie pas l'homme montrer la cachette du doigt, mais il ne comprend pas le sens du geste : il n'a pas l'idée qu'on puisse l'aider à trouver. Dans la vie sauvage, un chimpanzé ne pointe jamais du doigt un objet pour le montrer à un congénère : il pourrait le faire physiquement, mais il n'en voit pas l'intérêt. Les chiens sont sociaux et amicaux, les chimpanzés sont plus intelligents mais plus individualistes, plus portés sur la compétition que sur la coopération.»
http://www.genethique.org/revues/revues ... 0516.3.asp
Autriche : le chimpanzé serait-il une personne?
Pour permettre à un couple de singes de bénéficier d'une donation, une association veut leur faire obtenir le statut de personnes.
L'association Wiener Verein gegen Tierfabriken (VGT) milite contre les élevages industriels d'animaux. Elle a lancé un appel à donations individuelles pour faire face aux dépenses de deux grands singes vivants dans une réserve animalière de Vienne (5000 €/mois) et menacés d'être vendus au plus offrant.
Dans la loi autrichienne, seule une personne peut bénéficier de ce soutien financier. L'association VGT a engagé une procédure devant les tribunaux autrichiens pour attribuer aux deux singes le statut de "personne" et leur obtenir un tuteur qui veillera sur leurs intérêts. Le 18 avril, la justice autrichienne a rejeté en première instance la demande de mise sous tutelle, estimant que le couple ne répondait pas "aux deux critères-clés : l'existence d'un handicap mental ou d'une urgence".
Cette affaire ravive les débats autour de la jurisprudence sur les droits fondamentaux accordés aux plus évolués des grands singes. La Nouvelle-Zélande a adopté une loi reprenant "la déclaration sur les grands singes anthropoïdes", présentée en 1993 par les chercheurs américains Peter Singer et Paola Cavalieri qui "revendiquent en leur nom le droit à la vie, la protection de la liberté individuelle et la prohibition de la torture". Le Parlement espagnol s'apprête à suivre cette voie.
Sur ces questions, le récent livre de Jean-Marie Meyer et Patrice de Plunkett, Nous sommes des animaux mais on n'est pas des bêtes*, pointe du doigt les différences entre la bête et l'homme et montre l'urgence, pour l'homme, de se redécouvrir lui-même (cf Synthèse du 7/05/07).
NDLR : "Dans les universités, j'ai toujours vu des gens extrêmement savants faire des congrès pour se demander en hochant la tête si leurs enfants, quand ils étaient très jeunes, n'étaient pas des sortes d'animaux ; mais dans les jardins zoologiques, je n'ai jamais observé des congrès de chimpanzés se demandant si leurs enfants, quand ils seraient grands, ne deviendraient pas des universitaires !" (Professeur Jérôme Lejeune)
* Nous sommes des animaux mais on n'est pas des bêtes, Jean-Marie Meyer, Patrice de Plunkett, ed. Presses de la Renaissance, avril 2007.
J’ai fait un article très long, mais si vous lisez tout cet article et si vous comprenez la logique de ces articles, il est probable que cela va remettre en cause une partie de votre Univers mental et de votre représentation de l’Univers, et notamment de l’Univers animal.
L’église a décrété que l’Homme était à part dans la Création.
Dans les articles que je vous soumet, vous verrez qu’un certains nombre d’animaux sont très proches de l’Homme en terme d’intelligence, mais aussi par exemple en altruisme comme pour le chimpanzé, ce qui laisse supposer que la Chimpanzé a une représentation de l’Univers analogue à la nôtre, et qu’il a des qualités morales.
Et qu’il serait même peut-être humain…
Actuellement, des centaines de chimpanzés sont torturés à mort dans les laboratoires qui sont dirigés par les scientifiques.
Les scientifiques ont reproduit le schéma de l’Eglise, et font mieux que l’Eglise, puisque l’Eglise ne torturait pas les Chimpanzés.
Tout le monde sait que les chimpanzés sont torturés. Y compris les scientifiques.
Personne ne bouge.
Cela fait même sourire certains.
La Préhistoire a engendré la Religion.
La Religion a engendré la Science. Ou plutôt une certaine idée de la Science.
Cette transmission de la logique du dogme que l’Humain et l’animal sont différents a été acceptée implicitement par le système actuelle et par les scientifiques eux-mêmes, puisqu’ils pratiquent la torture sur les animaux tous les jours, ou s’ils ne le font pas, ne font rien pour l’empêcher, ce qui est encore pire…
J'explique que la Science actuelle et la Religion ont la même logique.
Et je peux le démontrer ;
Après ce sera à vous de vous faire votre propre idée.
La science et ses applications ont détruit en 300 ans 50 % du règne animal.
Les grandes forêts de la planète sont en phase de destruction rapide.
La stabilité du climat est gravement entamée, et cela va contribuer à accentuer la destruction de la Biosphère.
Jamais la dictature n’a été aussi présente et menaçante puisque près de cent nations sont dirigées par des dictateurs dont certains possèdent une grande capacité scientifique.
L’explosion démographique humaine fait prévoir des catastrophes humanitaires encore pires que le tiers et le quart monde qui est apparu dans les cinquante dernières années.
Jamais les scientifiques ne sont montés au créneau ensemble pour remettre en cause le système;
Car le système les salarie et même leur décerne des récompenses pour les stimuler.
Le système leur impose d'être neutre.
Le système impose un dogme qui consiste à penser que la Science doit être neutre.
Les scientifiques sont pieds et mains liés sur le plan économique au Système.
Donc le Système peut donc imposer son dogme.
La conception de la Science est une émanation directe de la Religion.
Car elle repose sur un dogme unique.
Et ce dogme suppose que tout doit être fait pour que l’Homme domine la Nature.
Cette logique de Domination exclue donc tout processus de remise en cause de la religion, ou de la Science et la Religion et la Science portent toutes deux la même logique intrinsèque : La Domination sur le vivant, au dépens du vivant.
Ce sont les scientifiques qui ont mis au point le programme de la Bombe atomique.
Ce sont les Scientifiques qui perpétuent le logique de la Religion en torturant les animaux ou en ne faisant rien pour s’y opposer.
Les Scientifiques ont une certaine idée de la Science.
Je travaille pour montrer qu'il y a une autre Science.
Car Science sans conscience, n’est que ruine de l’âme.
Les articles ci-dessous remettent en cause la représentation scientifique classique et morale du Vivant.
Quel sort les humains réservent-ils aux chimpanzés?
http://faunafoundation.org/ff/francais/ ... es_fr.html
On trouve des chimpanzés dans le monde du spectacle, dans des zoos, chez des particuliers et dans des laboratoires. Les chimpanzés employés dans le monde du spectacle portent des vêtements et sont forcés d'exécuter des tours d'adresse pour divertir les humains. De dures techniques de dressage et des punitions physiques, comme des chocs électriques, sont monnaie courante. De nombreux chimpanzés vivent dans des zoos où ils sont mis en étalage sous prétexte de faire œuvre d'éducation. Les zoos négligent souvent d'enrichir l'environnement dans lequel vivent les chimpanzés parce qu'ils veulent que leurs chimpanzés ressemblent à leurs congénères vivant en liberté. Encore aujourd'hui, certains particuliers acquièrent des chimpanzés, croyant qu'ils peuvent être de mignons « animaux de compagnie ». Or, les chimpanzés font rarement long feu comme « animaux domestiques » parce que, lorsqu'ils grandissent, ils deviennent trop forts pour être maîtrisés. Les chimpanzés sont aussi devenus les « éprouvettes à poil » de l'espèce humaine. Ils sont utilisés pour tout, des tests de vaccins aux études de toxicologie. Dans les laboratoires, ils vivent souvent seuls dans des cages exiguës.
Quel est le nombre de chimpanzés utilisés comme animaux de laboratoire, de compagnie, de zoo, de cirque, etc.?
Il y en a environ 2 000 seulement aux États-Unis. À peu près 1 700 se trouvent dans des laboratoires de recherche et les autres sont la propriété de zoos, de cirques et de particuliers. Environ 200 chimpanzés ont eu la chance d'être accueillis dans des sanctuaires en Amérique du Nord.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... geste.html
Le chimpanzé n’ignore pas la gratuité du geste
NOUVELOBS.COM | 26.06.2007 | 17:38
L’altruisme ne serait pas le propre de l’homme, selon une nouvelle étude. Les chimpanzés aussi seraient capables d’aider gratuitement leur prochain.
Contrairement à ce que l’on a longtemps pensé, les chimpanzés sont capables de se montrer altruistes, de venir en aide à d’autres sans attendre de récompense en retour, affirme une équipe de l’Institut d’anthropologie Max Planck de Leipzig (Allemagne). L’altruisme est généralement considéré comme une aptitude propre à l’homme. Felix Warneken et ses collègues ont cependant mené une nouvelle série d’expériences qui suggèrent que ce comportement existe aussi chez nos cousins primates.
L’équipe de Warneken a étudié les réactions de très jeunes enfants et de jeunes chimpanzés face à un être humain qui a besoin d’aide pour attraper un objet tombé hors de sa portée. Ces chercheurs avaient déjà mené ce type d’expérience avec les personnes habituées à s’occuper des singes (lire). Cette fois-ci, pour les humains comme pour les grands singes, ils ont choisi des personnes inconnues. Résultats : 16 enfants sur 18 et 12 chimpanzés sur 18 sont venus en aide à l’expérimentateur. Seule différence notable : les enfants réagissaient plus rapidement.
De précédentes expériences sur l’altruisme des chimpanzés avaient montré qu’ils n’étaient pas enclins à faire un geste gratuit pour leurs congénères (lire). Felix Warneken et ses collègues obtiennent des résultats différents. Ils ont placé un chimpanzé A dans une pièce avec une porte derrière laquelle se trouvait de la nourriture. Le singe A le savait mais ne pouvait pas ouvrir la porte sans l’aide d’un chimpanzé B, placé dans une pièce contiguë, qui pouvait le voir mais ignorait l’existence des victuailles. Huit chimpanzés sur neuf sont venus en aide au premier.
Pour les chercheurs, qui publient leurs travaux dans la revue PLoS Biology, il est clair que l’altruisme ne s’est pas développé ex nihilo chez l’être humain et qu’il prend racine chez nos lointains ancêtres. Cependant d’autres expériences seront nécessaires pour confirmer ces résultats et pour préciser l’influence de l’âge des chimpanzés (les jeunes sont-ils plus portés à l’altruisme que les adultes?) et l’impact de la semi-liberté sur les comportements désintéressés de ces grands singes.
C.D.
Sciences et Avenir.com
(26/06/07)
http://www.ethologie.info/revue/spip.php?article57
Le maniement d’outils chez le chimpanzé
par Agnès Lenoire
La Recherche vous propose un reportage d’éthologie dans sa rubrique "Portfolio". Le support soigné et travaillé des magnifiques photos n’est pas le seul atout de cet article. Il est assorti d’une étude sur les cultures des chimpanzés (Pan troglodytes verus, sous-espèce) en particulier sur la capacité à manier des outils. L’article est signé de la primatologue Emmanuelle Grundmann (Museum d’histoire naturelle).
Une expérience de laboratoire dans la nature
La primatologue fait état d’expériences menées par son confrère japonais Tetsuro Matsuzawa, de l’université de Kyoto, en République de Guinée, près du village de Bossou. Les habitants y considèrent les chimpanzés comme des animaux sacrés ; ils ignorent donc la peur du chasseur et se révèlent inventifs. L’article ne dit pas si le fait de ne pas être chassé et celui d’être inventif ont un rapport de cause à effet - mais il présente tout de même ces deux situations à la suite l’une de l’autre ! On peut en effet envisager une corrélation forte : que la sérénité des animaux ainsi acquise leur permette une disponibilité du cerveau et du temps libéré pour l’émergence de cultures. Mais revenons à l’étude de T. Matsuzawa. Depuis 1986, il mène une expérience de terrain dans un laboratoire naturel de Bossou, à raison d’une ou deux missions par an. Cette expérience consiste en l’aménagement d’une clairière dans la forêt pour ses observations, dans laquelle il dispose une cinquantaine de cailloux de tailles et masses variées, ainsi que des noix de palme, dont raffolent les chimpanzés. Les cailloux sont tous numérotés. Une palissade de végétation permet à plusieurs chercheurs de se camoufler et de pouvoir les observer et les filmer. Les chimpanzés ne se font pas prier : ils se mettent au travail en coordonnant les trois objets : marteau, enclume, noix. Ils cassent les noix pour en déguster l’amande. Seules trois communautés de chimpanzés sont capables de coordonner le maniement de trois objets, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, et en République de Guinée.
Le cassage de noix : culturel ou génétique ?
L’adulte enseigne-t-il à ses petits le cassage de noix ? À l’observation, il apparaît que la mère, quand elle opère avec son petit dans son giron, ne manifeste pas d’intention d’éduquer, si ce n’est par la liberté qu’elle lui accorde de toucher ou s’emparer d’une noix, lui laissant ainsi accès à son travail. Ce qui ressort de l’observation de ces chimpanzés, c’est surtout la grande attention des petits. Les photos montrent des jeunes penchés sur les outils et les noix, extrêmement intéressés, tournant et retournant les pierres qui ont servi aux chocs. On peut voir sur les photos un jeune de trois ans et demi s’essayer au cassage, sans y parvenir encore. Un chimpanzé parvient à maîtriser cette technique vers 5 ans. Les plus âgés acquièrent même la finesse du geste qui n’écrase pas l’amande à l’intérieur. Une seule observation dans le monde (parc national de Taï, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire) a montré une mère chimpanzé manifestant une volonté d’éduquer, en tendant volontairement un outil à son petit.
Une fenêtre ouverte entre 3 ans et demi et 5 ans
Toutefois, d’après l’auteure de l’article, l’éducation des jeunes par le seul mimétisme ne peut être déduite de ces observations. En effet, les petits ne sont pas forcément latéralisés comme leur mère, comme cela devrait être dans le cas d’une stricte imitation. L’auteure envisage plutôt un mariage d’imitation et de tâtonnements par essais et erreurs. Frans de Waal appelle cela "le désir d’être comme les autres". Comme nos petits à nous, finalement... même si nous, nous leur forçons bien plus la main dans les apprentissages !
Par ailleurs, T. Matsuzawa constate que les jeunes chimpanzés, s’ils n’ont pas appris la technique avant 5 ans, ne la réalisent plus ensuite. La prériode favorable se situe entre trois ans et demi et cinq ans. Ainsi une jeune femelle issue d’une communauté où le cassage de noix ne se pratiquait pas, et ayant migré à Bossou sur le tard, ne sait pas manier les cailloux, mais a des petits qui le font très bien, l’apprentissage s’étant fait pour eux au sein de la communauté de Bossou. Cela signifie que ces jeunes ont imité leur communauté, pas leur mère. La notion d’apprentissage social et de culture est donc pertinente.
http://www.webzinemaker.com/admi/m1/pag ... =4&id=9528
Un chimpanzé fort en maths
Un chimpanzé femelle japonais sait compter jusqu’à dix et peut mettre des chiffres en ordre numérique même s’ils ont été masqués. Une habileté qui équivaut à celle d’un enfant d’âge préscolaire. Les chimpanzés peuvent compter jusqu’à dix et mettre en ordre des chiffres dispersés au hasard sur un écran d’ordinateur. C’est ce que vient de révéler Ai, un chimpanzé femelle, dont le nom signifie Amour en japonais. Cette expérience, qui a été conduite par l’Institut de primatologie de l’Université de Kyoto, vient d’être décrite dans la revue Nature.
Ai, qui est âgée de 23 ans, a servi lors de nombreuses expériences. Elle sait compter de 0 à 9, reconnaît les lettres de l’alphabet latin et même certains idéogrammes japonais. Elle dessine et possède même son propre site web (lien dans la marge de cet article). Dans le passé, elle a réussi à mettre en ordre numérique des séquences de chiffres présentés de manière aléatoire.
Cette fois, les chercheurs japonais ont voulu aller plus loin. Il s’agissait toujours de mettre des chiffres en ordre numérique croissant, mais le hic, c’est que les chiffres (présentés sur un écran tactile) étaient masqués dès que l’on appuyait sur l’un d’eux. Le chimpanzé devait donc étudier et mémoriser la position de tous les chiffres avant de commencer son classement.
Ce qu’il faisait fort bien. Ai a correctement classé le quatrième chiffre 90% des fois et le cinquième, 65% du temps. Si elle avait appuyé sur les touches au hasard, elle ne serait tombée juste que 13 et 6% du temps, respectivement.
Au-delà du cinquième chiffre, la mémoire de l’animal semble flancher. Mais sa performance est identique à celle d’un enfant de niveau préscolaire et s’approche de celle d’un homme adulte, qui ne peut manipuler mentalement que sept chiffres à la fois. L’expérience démontre aussi que le chimpanzé peut faire le lien entre un symbole (le chiffre) et le nombre qu’il représente.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Washoe_(la_chimpanz%C3%A9)
Washoe (la chimpanzé)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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Washoe est une femelle chimpanzé qui vit actuellement à l’Institut de la Communication du Chimpanzé et de l’Humain (Chimpanzee and Human Communication Institute – CHCI) de l’Université Centrale de Washington, à Ellensburg, État de Washington. Washoe a été la première non-humaine à acquérir un langage humain (la langue des signes américaines), lors d’un projet de recherche très controversé sur l’acquisition du langage par l’animal. Le nom de Washoe provient du comté de Washoe, au Nevada, où l’animal a été élevée et « éduquée ».
Aujourd’hui, Washoe utilise environ 200 signes et pour que les scientifiques considèrent que la chimpanzé utilise véritablement un signe, il faut que celui-ci ait été observé par 3 observateurs différents à 3 occasions séparées et ce dans un contexte incontestablement approprié. Par la suite, le signe doit être observé 15 jours de suite pour qu’il soit ajouté à la liste des signes que Washoe utilise.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_animale
Intelligence animale
Plusieurs fois remise en cause, l'intelligence des animaux a néanmoins été démontrée par de nombreux tests. Plusieurs créatures se sont démarquées par leurs aptitudes intellectuelles. Les grands singes, les dauphins, les corbeaux, les porcs et les éléphants, qui peuvent se reconnaître dans un miroir, les chimpanzés qui fabriquent des outils comme les corvidés, les perroquets qui peuvent tenir une conversation structurée et comprendre la notion de zéro puis comprendre plus de 800 mots, les éléphants qui ont un comportement singulier face aux éléphants morts et les cétacés au langage si complexe. D'autres animaux tels les rats, les cochons et les pieuvres ont surpris les chercheurs par leur capacité de raisonnement.
Certains animaux sociaux comme les insectes sociaux, à l'intelligence individuelle limitée forment des sociétés capables d'adaptation intelligente dont aucun de ces membres seuls ne pourrait faire preuve. On parle dans ce cas d'Intelligence collective.
L'un des tests les plus usités pour vérifier l'intelligence d'un animal est le test du miroir, qui consiste à placer l'animal à tester seul devant un miroir pour voir s'il se "reconnaît", s'il a conscience de lui-même. Pour ce faire, on fait une marque de peinture sur l'animal à un endroit où il ne peut pas s'observer lui-même, par exemple sur le front pour un chimpanzé. Ensuite, on observe le comportement de l'animal : s'il attaque son reflet ou le fuit, c'est signe qu'il ne comprend pas que c'est lui qu'il voit dans le miroir et non pas un autre animal. Par contre, s'il tente de savoir ce qu'il y a derrière le miroir, s'il touche la marque de peinture avec insistance et s'il inspecte diverses autres parties de son corps qu'il ne peut observer par lui-même, c'est signe qu'il comprend que c'est lui qu'il voit dans le miroir, et donc cela prouve qu'il a conscience de lui-même. À ce jour, seuls les grands singes (à l'exception des gorilles, sauf Koko), le dauphin et l'éléphant ont passé avec succès le test du miroir. Les premiers tests faits avec les grands singes n'ont pas été concluants car les chercheurs plaçaient la caméra en face de l'animal. Or, les grands singes détestent se regarder dans les yeux. Ils détournaient donc le regard de l'écran. Si l'on place la caméra de côté, le grand singe se reconnaît aisément.
Corvidés [modifier]
Les corvidés peuvent éprouver de l'empathie et mentir, de plus ils peuvent se fabriquer des outils, contrairement à beaucoup d'autres animaux intelligents qui se contentent d'utiliser les ressources disponibles comme outils, sans chercher à les modifier[1](Par exemple, tordre une brindille pour en faire un crochet au lieu de perdre son temps à essayer d'en trouver une déjà tordue de la bonne manière...).
Perroquets [modifier]
L'intelligence du perroquet, son extrême sensibilité expliquent la gravité des souffrances qu'il endure lorsqu'il est capturé dans son habitat naturel pour être transporté des milliers de kilomètres plus loin dans des conditions souvent déplorables (les animaux ont souvent des séquelles et il y a une forte mortalité causée par la capture et le voyage) pour finalement être revendu à des particuliers dans des animaleries. Doué d'une excellente mémoire, il appelle par leur nom les différents membres d'une famille. C'est comme cela qu'en Inde un perroquet volé a pu être restitué à ses légitimes propriétaires qu'il avait reconnus.
Exemples de perroquets reconnus pour leur intelligence :
Alex le perroquet
N'kisi
2007 [modifier]
On découvre que le rat peut faire preuve de métacognition, au même titre que les singes, les dauphins et l'être humain.
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tacognition
Définition [modifier]
On appelle métacognition, à propos d'une personne, la composante de son savoir qui concerne les processus mêmes d'acquisition de ce savoir, en quelque sorte « sa façon d'apprendre ». La métacognition est la dimension intime de la maturité intellectuelle qui permet de relier et d'articuler les leçons de l'expérience, au-delà de l'assimilation des contenus de savoir : elle suppose donc une attention naturelle et relativement spontanée aux erreurs et autres traits apparemment négatifs.
Confucius affirmait déjà qu'il ne saurait y avoir de savoir sans une forme de récursivité du savoir : « Veux-tu que je t'enseigne le moyen d'arriver à la connaissance ? Ce qu'on sait, savoir qu'on le sait ; ce qu'on ne sait pas, savoir qu'on ne le sait pas : c'est savoir véritablement. »[
Animaux capables de métacognition [modifier]
Outre l'être humain, plusieurs espèces animales ont démontré qu'elles peuvent faire preuve de métacognition:
les singes
Les dauphins[5]
les rats (2007)
http://www.imaginascience.com/actualite ... s=1&id=257
Le rat qui en savait trop
On connaît le rat pour sa capacité à survivre dans le métro, à nager dans les égouts mais voilà qu'on lui reconnaît un talent bien plus stupéfiant : la capacité de penser à propos de la pensée : c'est la métacognition
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hans_le_malin
Hans le malin (en allemand der kluge Hans) est un cheval élevé en Allemagne qui, grâce à son intelligence, devint célèbre dans toute l'Europe au début du XXe siècle. L'intérêt que suscita son cas parmi les psychologues est à l'origine de ce que l'on appela plus tard le « phénomène Hans le Malin ».
Ce cheval, entraîné par M. von Osten, professeur de mathématiques et amateur de chevaux, était capable de répondre à des questions arithmétiques en tapant du sabot, et même de lire, d'épeler, d'identifier des notes de musique lorsque les questions étaient préalablement converties en nombres.
Le Chien plus intelligent que le singe ? Voir l’article sur le lien absolument
Témoin de notre évolution
Le chien est descendu de l'homme
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/paruti ... 28637.html
Toutes ces expériences, qui datent de moins d'une décennie, posent une double énigme : pourquoi le chien réussit-il ? Mais aussi à quoi est dû l'échec du chimpanzé ?
Le Plus intéressant : Le Chien est plus intelligent que les singe ? «Je pense, dit Tomasello, que l'homme a, au cours du processus de domestication, sélectionné chez le chien une aptitude à la communication humaine qui fait désormais partie du patrimoine héréditaire de l'espèce canine.»
«Ce n'est pas que le chimpanzé ne voie pas l'homme montrer la cachette du doigt, mais il ne comprend pas le sens du geste : il n'a pas l'idée qu'on puisse l'aider à trouver. Dans la vie sauvage, un chimpanzé ne pointe jamais du doigt un objet pour le montrer à un congénère : il pourrait le faire physiquement, mais il n'en voit pas l'intérêt. Les chiens sont sociaux et amicaux, les chimpanzés sont plus intelligents mais plus individualistes, plus portés sur la compétition que sur la coopération.»
http://www.genethique.org/revues/revues ... 0516.3.asp
Autriche : le chimpanzé serait-il une personne?
Pour permettre à un couple de singes de bénéficier d'une donation, une association veut leur faire obtenir le statut de personnes.
L'association Wiener Verein gegen Tierfabriken (VGT) milite contre les élevages industriels d'animaux. Elle a lancé un appel à donations individuelles pour faire face aux dépenses de deux grands singes vivants dans une réserve animalière de Vienne (5000 €/mois) et menacés d'être vendus au plus offrant.
Dans la loi autrichienne, seule une personne peut bénéficier de ce soutien financier. L'association VGT a engagé une procédure devant les tribunaux autrichiens pour attribuer aux deux singes le statut de "personne" et leur obtenir un tuteur qui veillera sur leurs intérêts. Le 18 avril, la justice autrichienne a rejeté en première instance la demande de mise sous tutelle, estimant que le couple ne répondait pas "aux deux critères-clés : l'existence d'un handicap mental ou d'une urgence".
Cette affaire ravive les débats autour de la jurisprudence sur les droits fondamentaux accordés aux plus évolués des grands singes. La Nouvelle-Zélande a adopté une loi reprenant "la déclaration sur les grands singes anthropoïdes", présentée en 1993 par les chercheurs américains Peter Singer et Paola Cavalieri qui "revendiquent en leur nom le droit à la vie, la protection de la liberté individuelle et la prohibition de la torture". Le Parlement espagnol s'apprête à suivre cette voie.
Sur ces questions, le récent livre de Jean-Marie Meyer et Patrice de Plunkett, Nous sommes des animaux mais on n'est pas des bêtes*, pointe du doigt les différences entre la bête et l'homme et montre l'urgence, pour l'homme, de se redécouvrir lui-même (cf Synthèse du 7/05/07).
NDLR : "Dans les universités, j'ai toujours vu des gens extrêmement savants faire des congrès pour se demander en hochant la tête si leurs enfants, quand ils étaient très jeunes, n'étaient pas des sortes d'animaux ; mais dans les jardins zoologiques, je n'ai jamais observé des congrès de chimpanzés se demandant si leurs enfants, quand ils seraient grands, ne deviendraient pas des universitaires !" (Professeur Jérôme Lejeune)
* Nous sommes des animaux mais on n'est pas des bêtes, Jean-Marie Meyer, Patrice de Plunkett, ed. Presses de la Renaissance, avril 2007.
La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
- Feel O'Zof
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Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
Bon j'ai pas lu tout ton article mais anyway j'ai déjà lu toutes informations plusieurs fois.
La science en elle-même démontre parfaitement qu'il n'y a pas de différence exclusive entre l'humain et tout le reste du règne animal. Oui nous sommes les plus rationnels, comme la baleine bleue est la plus grosse, comme le guépard est le plus rapide et comme l'éléphant a le plus long nez. Donc il n'existe aucune manière scientifique de nier l'animalité de l'humain.
Toutefois, un scientifique n'est pas nécessairement scientifique dans toutes les sphères de sa vie. C'est pourquoi il est possible que les scientifiques laissent leur esprit critique se faire corrompre par la religion ou l'appat du gain. Et, un dogme religieux ou culturel peut obscurcir le jugement et/ou le droit d'expression d'un scientifique. Par exemple, avant, les astronomes disaient que leurs observations confirmaient celle de Ptolémée... ce qui est impossible. Je ne pense pas que ce soit une raison pour mettre la science au bûcher pour autant.
Ensuite, tu démontres avec tes articles des cas où les animaux font preuve d'intelligence. Je trouve, personnellement, que tu aurais pu aller plus loin dans ton argumentation.
Vois-tu, un jour la culture occidentale s'est dite : «Désormais ce n'est plus la force qui fait le droit mais l'intelligence!» Depuis le fort ne peut plus opprimer le faible mais le génie peut opprimer l'imbécile. Donc les colons européens prétendaient que les peuples qu'ils colonisaient étaient "stupides" et les opprimaient donc en toute impunité.
Plus tard, on a voulu donner l'égalité à chaque être humain. Donc au premier dogme «l'intelligence fait le droit» on en a ajouté un deuxième «tous les humains sont exactement aussi intelligents» c'est pourquoi les tests de QI - surtout si on compare les QI moyens de plusieurs groupes - sont aussi contreversés : ils renverseraient le second dogme et permettrait aux intelligents d'opprimer les stupides.
Donc toi tu rajoutes un troisième dogmes : «les animaux aussi sont intelligents» alors qu'il serait plus simple et plus logique de renverser le premier.
Je te laisse sur cette citation que l'on attribut au philosophe Jeremy Bentham :
« [On a] déjà réalisé que la peau foncée n'est pas une raison pour abandonner sans recours un être humain aux caprices d'un persécuteur. Peut-être finira-t-[on] par s'apercevoir que le nombre de jambes, la pilosité de la peau ou l'extrémité de l'os sacrum sont des raisons tout aussi insuffisantes d'abandonner une créature sensible au même sort. La question n'est pas : "peuvent-ils raisonner ?" ni "peuvent-ils parler ?" Mais "peuvent-ils souffrir ?"»
L'humain est une espèce. Une espèce est un ensemble d'individus interféconds. Si le chimpanzée et l'humain ne peuvent s'accoupler pour engendrer une descendance viable et fertile, alors le chimpanzée n'est pas humain et l'humain n'est pas chimpanzée.Et qu’il serait même peut-être humain…
Je pense qu'il est important de ne pas confondre «la science» et «les scientifiques»Actuellement, des centaines de chimpanzés sont torturés à mort dans les laboratoires qui sont dirigés par les scientifiques.
[...]
La science et ses applications ont détruit en 300 ans 50 % du règne animal.
[...]
La conception de la Science est une émanation directe de la Religion.
Car elle repose sur un dogme unique.
Et ce dogme suppose que tout doit être fait pour que l’Homme domine la Nature.
La science en elle-même démontre parfaitement qu'il n'y a pas de différence exclusive entre l'humain et tout le reste du règne animal. Oui nous sommes les plus rationnels, comme la baleine bleue est la plus grosse, comme le guépard est le plus rapide et comme l'éléphant a le plus long nez. Donc il n'existe aucune manière scientifique de nier l'animalité de l'humain.
Toutefois, un scientifique n'est pas nécessairement scientifique dans toutes les sphères de sa vie. C'est pourquoi il est possible que les scientifiques laissent leur esprit critique se faire corrompre par la religion ou l'appat du gain. Et, un dogme religieux ou culturel peut obscurcir le jugement et/ou le droit d'expression d'un scientifique. Par exemple, avant, les astronomes disaient que leurs observations confirmaient celle de Ptolémée... ce qui est impossible. Je ne pense pas que ce soit une raison pour mettre la science au bûcher pour autant.
Ensuite, tu démontres avec tes articles des cas où les animaux font preuve d'intelligence. Je trouve, personnellement, que tu aurais pu aller plus loin dans ton argumentation.
Vois-tu, un jour la culture occidentale s'est dite : «Désormais ce n'est plus la force qui fait le droit mais l'intelligence!» Depuis le fort ne peut plus opprimer le faible mais le génie peut opprimer l'imbécile. Donc les colons européens prétendaient que les peuples qu'ils colonisaient étaient "stupides" et les opprimaient donc en toute impunité.
Plus tard, on a voulu donner l'égalité à chaque être humain. Donc au premier dogme «l'intelligence fait le droit» on en a ajouté un deuxième «tous les humains sont exactement aussi intelligents» c'est pourquoi les tests de QI - surtout si on compare les QI moyens de plusieurs groupes - sont aussi contreversés : ils renverseraient le second dogme et permettrait aux intelligents d'opprimer les stupides.
Donc toi tu rajoutes un troisième dogmes : «les animaux aussi sont intelligents» alors qu'il serait plus simple et plus logique de renverser le premier.
Je te laisse sur cette citation que l'on attribut au philosophe Jeremy Bentham :
« [On a] déjà réalisé que la peau foncée n'est pas une raison pour abandonner sans recours un être humain aux caprices d'un persécuteur. Peut-être finira-t-[on] par s'apercevoir que le nombre de jambes, la pilosité de la peau ou l'extrémité de l'os sacrum sont des raisons tout aussi insuffisantes d'abandonner une créature sensible au même sort. La question n'est pas : "peuvent-ils raisonner ?" ni "peuvent-ils parler ?" Mais "peuvent-ils souffrir ?"»
Pour plus de détails sur mes opinions, consultez mon blogue philosophique et laissez-y vos commentaires.
- Jonathan l
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- Inscription : 19 juil. 2007, 03:02
Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
Tes premises de dapart sont fausse.
L'humain est un animal, mais il reste different des autres animeaux. Très même et en sont les supérieur.
Les scientifiques tente de trouvez des facon de faire qui sont différentes en recherche pour evité d'utilisez les animaux.
L'église ne torturait pas les singes, mais les hommes oui.
Tu confond encore industrialisation, technologie et science. Donc encore une fois lorsque tu dit que la science a détruit 50% des espèces animales en 300 ans tu dit encore une betise. L'homme n'a pas détruit 50% des espèce depuis 300 ans. Arrête de dire de tel grosièreté, c'est pas crédible.
Tu parle des dictateur, sache qu'avant l'apparition des démocratie moderne, tout les systèmes de gouvernement était des dictatures, qu'elle soit théocratique ou monarchique. ALors c'était plus de dictateur qu'il n'en existe aujourd'hui. Et même aujourd'hui, sur les 200 quelques pays, moins que le quart sont des dictatures.
Ce n'est pas le "système" qui impose à la science la neutralité, mais la science elle même qui se l'impose.
La science n'impose pas le dogme que l'homme est supériur. La science n'impose aucun dogme. La science est absente de dogme. affirmer le contraire est un pauvre tentatives de ta part, et de tout les fervents zozo qui tente e la discrédité pour faire avaler n'importe quoi a son prochain.
Plus tu critique la science, plus tu te discrédite Preuve Ovni.
La religion n'a pas engendré la science, elle a plutôt tenté de détruire celle-ci.
La Préhistoire a engendré la Religion.
La Religion a engendré la Science. Ou plutôt une certaine idée de la Science.
Cette transmission de la logique du dogme que l’Humain et l’animal sont différents a été acceptée implicitement par le système actuelle et par les scientifiques eux-mêmes, puisqu’ils pratiquent la torture sur les animaux tous les jours, ou s’ils ne le font pas, ne font rien pour l’empêcher, ce qui est encore pire…
L'humain est un animal, mais il reste different des autres animeaux. Très même et en sont les supérieur.
Les scientifiques tente de trouvez des facon de faire qui sont différentes en recherche pour evité d'utilisez les animaux.
L'église ne torturait pas les singes, mais les hommes oui.
Tu confond encore industrialisation, technologie et science. Donc encore une fois lorsque tu dit que la science a détruit 50% des espèces animales en 300 ans tu dit encore une betise. L'homme n'a pas détruit 50% des espèce depuis 300 ans. Arrête de dire de tel grosièreté, c'est pas crédible.
Tu parle des dictateur, sache qu'avant l'apparition des démocratie moderne, tout les systèmes de gouvernement était des dictatures, qu'elle soit théocratique ou monarchique. ALors c'était plus de dictateur qu'il n'en existe aujourd'hui. Et même aujourd'hui, sur les 200 quelques pays, moins que le quart sont des dictatures.
Ce n'est pas le "système" qui impose à la science la neutralité, mais la science elle même qui se l'impose.
La science n'impose pas le dogme que l'homme est supériur. La science n'impose aucun dogme. La science est absente de dogme. affirmer le contraire est un pauvre tentatives de ta part, et de tout les fervents zozo qui tente e la discrédité pour faire avaler n'importe quoi a son prochain.
N'ets qu'une phrase toutes faites du genre que ma vielle tante célibataire pourrait sotir dnas le même genre que la beauté vient de l'intérieur...Car Science sans conscience, n’est que ruine de l’âme.
Plus tu critique la science, plus tu te discrédite Preuve Ovni.
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.
Ce qui compte, ce sont les noms des tortionnaires réels.
J'abrège, pour qu'il ne reste que l'essentiel :
Il y a en gros deux sortes de paranoïaques, différents par leur genèse et leur évolution :
les authentiques persécutés, et les authentiques aide-bourreaux et authentiques persécuteurs, qui redoutent d'être démasqués par des témoins gênants. Ta thématique indique sans nul doute, que tu appartiens à la première catégorie.
L'habillage sous lequel tu nous présentes tout ça, on s'en fout : ce n'est qu'un écran de fumée. Ce qui compte - ce qui compte réellement pour toi -, c'est l'identité réelle des personnes physiques et concrètes dont tu as eu, voire dont tu as encore à souffrir. Tu n'as pas besoin de divulguer des noms. L'essentiel est que toi, tu en aies une idée enfin claire.
Mais tu peux divulguer quelles représailles tu as à craindre si tu démasques tes tortionnaires. Ça oui, c'est une connaissance très utile à partager. Même pour toi.
J'ai extrait les passages réellement importants et significatifs dans ton message.PREUVE OVNI a écrit :...
Actuellement, des centaines de chimpanzés sont torturés à mort dans les laboratoires qui sont dirigés par les scientifiques.
...
Tout le monde sait que les chimpanzés sont torturés. Y compris les scientifiques.
Personne ne bouge.
... puisqu’ils pratiquent la torture sur les animaux tous les jours, ou s’ils ne le font pas, ne font rien pour l’empêcher, ce qui est encore pire…
...
Les grandes forêts de la planète sont en phase de destruction rapide.
... destruction de la Biosphère.
... dictature ... présente et menaçante
... elle repose sur un dogme unique.
...
Cette logique de Domination
... De dures techniques de dressage et des punitions physiques, comme des chocs électriques, sont monnaie courante...
...L'intelligence du perroquet, son extrême sensibilité expliquent la gravité des souffrances qu'il endure ...
Il y a en gros deux sortes de paranoïaques, différents par leur genèse et leur évolution :
les authentiques persécutés, et les authentiques aide-bourreaux et authentiques persécuteurs, qui redoutent d'être démasqués par des témoins gênants. Ta thématique indique sans nul doute, que tu appartiens à la première catégorie.
L'habillage sous lequel tu nous présentes tout ça, on s'en fout : ce n'est qu'un écran de fumée. Ce qui compte - ce qui compte réellement pour toi -, c'est l'identité réelle des personnes physiques et concrètes dont tu as eu, voire dont tu as encore à souffrir. Tu n'as pas besoin de divulguer des noms. L'essentiel est que toi, tu en aies une idée enfin claire.
Mais tu peux divulguer quelles représailles tu as à craindre si tu démasques tes tortionnaires. Ça oui, c'est une connaissance très utile à partager. Même pour toi.
Tout pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument.
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Cartographier les dénis de réalité d'un petit chef, aboutit à cartographier ses noyaux psychotiques.
Dis Petit-chef, tu l'arrêtes quand, ta guéguerre stupide ?
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Cartographier les dénis de réalité d'un petit chef, aboutit à cartographier ses noyaux psychotiques.
Dis Petit-chef, tu l'arrêtes quand, ta guéguerre stupide ?
Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
C'est sur que si on avait attendu que les religieux nous pondent une nouvelle source d'énergie...Ce sont les scientifiques qui ont mis au point le programme de la Bombe atomique.
A non c'est vrai tout est déja décrit dans le coran, il suffit de se servir.
- Jonathan l
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Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
viddal26 a écrit :C'est sur que si on avait attendu que les religieux nous pondent une nouvelle source d'énergie...Ce sont les scientifiques qui ont mis au point le programme de la Bombe atomique.
A non c'est vrai tout est déja décrit dans le coran, il suffit de se servir.
Au pire il reste l'arche de l'alliance qui pourrait aussi servir de batterie!
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.
Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
Cette phrase est dogmatique.Jonathan l a écrit : La science est absente de dogme.
- Jonathan l
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Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
Du grec δόγμα (dogma), « opinion », un dogme est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer. Historiquement, le dogme a été une formulation d'un article de foi, utilisée lorsque le critère de conformité à la foi[non neutre] devait être utilisé par le pouvoir judiciaire, lorsque le pouvoir temporel (historiquement, l'empire romain d'orient) sanctionnait pénalement les déviations par rapport à l'orthodoxie[non neutre][1].
A/ Dans son sens propre, le mot dogme (mot attesté en 1580, issu du latin ecclésiastique dogma, lui-même du grec δόγμα [dogma], « opinion ») appartient au vocabulaire philosophique et religieux. Le mot dogme est d'origine philosophique puis devient religieux avec le christianisme.
Pour la liste des dogmes catholiques, voir l'article Dogmes catholiques
B/ Certaines croyances non religieuses sont souvent appelées dogmes, notamment en politique ou en philosophie. Cet usage est en général péjoratif et sous-entend que les gens soutenant une telle croyance le font par conformisme et sans critique.
A/ Dans son sens propre, le mot dogme (mot attesté en 1580, issu du latin ecclésiastique dogma, lui-même du grec δόγμα [dogma], « opinion ») appartient au vocabulaire philosophique et religieux. Le mot dogme est d'origine philosophique puis devient religieux avec le christianisme.
Pour la liste des dogmes catholiques, voir l'article Dogmes catholiques
B/ Certaines croyances non religieuses sont souvent appelées dogmes, notamment en politique ou en philosophie. Cet usage est en général péjoratif et sous-entend que les gens soutenant une telle croyance le font par conformisme et sans critique.
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.
Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
Félicitation pour ta définition.Jonathan l a écrit :Du grec δόγμα (dogma), « opinion », un dogme est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer. Historiquement, le dogme a été une formulation d'un article de foi, utilisée lorsque le critère de conformité à la foi[non neutre] devait être utilisé par le pouvoir judiciaire, lorsque le pouvoir temporel (historiquement, l'empire romain d'orient) sanctionnait pénalement les déviations par rapport à l'orthodoxie[non neutre][1].
A/ Dans son sens propre, le mot dogme (mot attesté en 1580, issu du latin ecclésiastique dogma, lui-même du grec δόγμα [dogma], « opinion ») appartient au vocabulaire philosophique et religieux. Le mot dogme est d'origine philosophique puis devient religieux avec le christianisme.
Pour la liste des dogmes catholiques, voir l'article Dogmes catholiques
B/ Certaines croyances non religieuses sont souvent appelées dogmes, notamment en politique ou en philosophie. Cet usage est en général péjoratif et sous-entend que les gens soutenant une telle croyance le font par conformisme et sans critique.
Dans le même lien:
Tout est relatif. Sauf cette dernière phrase.Le dogmatisme est une philosophie de la connaissance qui considère que l'homme a la possibilité d'atteindre une vérité absolue au moyen de la raison, même dans les recherches métaphysiques. Avec des nuances importantes, elle fait le fond des doctrines de Platon, Aristote, des Stoïciens et des néo-platoniciens. Au contraire,les dogmes sont rejetés par des écoles philosophiques comme le rationalisme et le scepticisme.
Plus tard, elle se retrouve chez Descartes, Leibnitz et Spinoza. Dans l'histoire de la philosophie, il s'oppose d'ordinaire au scepticisme. Pourtant, dès l'antiquité, une solution intermédiaire qu'on appelle le probabilisme, a été proposée par Carnéade.
Le débat de la connaissance est encore entre le dogmatisme, le scepticisme et le probabilisme. Sous l'influence de la critique de Kant et du positivisme, bien des penseurs contestent effectivement la valeur absolue des métaphysiques "rationnelles", mais croient possible de réaliser une approximation croissante de la vérité, même dans la métaphysique.
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Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
Tu dis :
Plus tard, on a voulu donner l'égalité à chaque être humain. Donc au premier dogme «l'intelligence fait le droit» on en a ajouté un deuxième «tous les humains sont exactement aussi intelligents» c'est pourquoi les tests de QI - surtout si on compare les QI moyens de plusieurs groupes - sont aussi contreversés : ils renverseraient le second dogme et permettrait aux intelligents d'opprimer les stupides.
Moi :
L'intelligence ne se résume pas au QI et à la logique.
L'intelligence est très variée et regroupe TOUTES nos facultés.
Plus tard, on a voulu donner l'égalité à chaque être humain. Donc au premier dogme «l'intelligence fait le droit» on en a ajouté un deuxième «tous les humains sont exactement aussi intelligents» c'est pourquoi les tests de QI - surtout si on compare les QI moyens de plusieurs groupes - sont aussi contreversés : ils renverseraient le second dogme et permettrait aux intelligents d'opprimer les stupides.
Moi :
L'intelligence ne se résume pas au QI et à la logique.
L'intelligence est très variée et regroupe TOUTES nos facultés.
La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
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- Inscription : 04 août 2007, 21:55
Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
Tu dis :
J'ai extrait les passages réellement importants et significatifs dans ton message.
Il y a en gros deux sortes de paranoïaques, différents par leur genèse et leur évolution :
les authentiques persécutés, et les authentiques aide-bourreaux et authentiques persécuteurs, qui redoutent d'être démasqués par des témoins gênants. Ta thématique indique sans nul doute, que tu appartiens à la première catégorie.
Moi :
Je ne savais pas qu'être victime implique d'être paranoiaque. Tu as lu cela dans Pif Poche ?
Tu dis :
L'habillage sous lequel tu nous présentes tout ça, on s'en fout : ce n'est qu'un écran de fumée. Ce qui compte - ce qui compte réellement pour toi -, c'est l'identité réelle des personnes physiques et concrètes dont tu as eu, voire dont tu as encore à souffrir. Tu n'as pas besoin de divulguer des noms. L'essentiel est que toi, tu en aies une idée enfin claire.
Mais tu peux divulguer quelles représailles tu as à craindre si tu démasques tes tortionnaires. Ça oui, c'est une connaissance très utile à partager. Même pour toi.
Moi :
Les bourreaux étaient des enfants;
Difficile de les trainer en justice, non ?
J'ai extrait les passages réellement importants et significatifs dans ton message.
Il y a en gros deux sortes de paranoïaques, différents par leur genèse et leur évolution :
les authentiques persécutés, et les authentiques aide-bourreaux et authentiques persécuteurs, qui redoutent d'être démasqués par des témoins gênants. Ta thématique indique sans nul doute, que tu appartiens à la première catégorie.
Moi :
Je ne savais pas qu'être victime implique d'être paranoiaque. Tu as lu cela dans Pif Poche ?
Tu dis :
L'habillage sous lequel tu nous présentes tout ça, on s'en fout : ce n'est qu'un écran de fumée. Ce qui compte - ce qui compte réellement pour toi -, c'est l'identité réelle des personnes physiques et concrètes dont tu as eu, voire dont tu as encore à souffrir. Tu n'as pas besoin de divulguer des noms. L'essentiel est que toi, tu en aies une idée enfin claire.
Mais tu peux divulguer quelles représailles tu as à craindre si tu démasques tes tortionnaires. Ça oui, c'est une connaissance très utile à partager. Même pour toi.
Moi :
Les bourreaux étaient des enfants;
Difficile de les trainer en justice, non ?
La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
Re: La Science, les chimpanzés, et le Paradoxe de la Science
Merci d'avance nous citer l'endroit où j'aurais écrit une implication aussi farfelue.PREUVE OVNI a écrit :Je ne savais pas qu'être victime implique d'être paranoiaque.
Que tu sois présentement paranoïaque n'a rien de difficile à diagnostiquer.
Ce qui pose problème, c'est que tu puisses un jour sortir de cet état.
Ai-je parlé de les traîner en justice ?PREUVE OVNI a écrit :Les bourreaux étaient des enfants;
Difficile de les trainer en justice, non ?
Si tu as été maltraité, souhaites-tu que ça continue comme cela, parce que les victimes, soit se taisent, soit deviennent folles, et ne disent plus rien d'intelligible ?
Je préfèrerais que tu redeviennes intelligible et concret.
Que puis-je faire pour toi ?
Tout pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument.
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Cartographier les dénis de réalité d'un petit chef, aboutit à cartographier ses noyaux psychotiques.
Dis Petit-chef, tu l'arrêtes quand, ta guéguerre stupide ?
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Cartographier les dénis de réalité d'un petit chef, aboutit à cartographier ses noyaux psychotiques.
Dis Petit-chef, tu l'arrêtes quand, ta guéguerre stupide ?