Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
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90 % des Ufologues manquent de formation en Sciences
90 % des Ufologues manquent de formation en Sciences
Des prélevements de plantes sur les Crop Circles ont été fait par un laboratoire scientifique qui a prouvé que les plantes avaient des modifications intrinsèques inexplicables.
Mais il n’y a pas eu de prélèvements en double aveugle, c’est à dire qu’on a pas prélevé de plantes à l’extérieur des Crop Circle, ce qui annule scientifiquement toute théorie.
Donc les analayses faites ne prouvent rien.
Les Ufologues qui ont fait ce travail sont des crétins….non ?
Bref 90 % des Ufologues sont des rigolos en sciences et il faut le savoir, hélas.
Ce n'est pas les Sceptiques du Québec qui vont me contredire, non ? rires...
PREUVE OVNI a passé avec succès les tests scientifiques écrits de l’EUS, la plus grande organisation de scientifiques européenne d’études des OVNI eu Europe. Je suis donc maintenant convoqué pour un examen oral.
L’EUS a mis au point une station de détection d’OVNI équipé d’un spéctroscope et d’un télescope à suivi automatique par radar, en collaboration avec l’Observatoire astronomique de Kingsland, en Irlande.
PREUVE OVNI va s’équiper d’une de ces stations et va la compléter en l’équipant d’un suivi par détection de mouvement vidéo, car tous les OVNI ne sont pas détectables au radar, et va l’installer sur son bâtiment industriel qu’il a acheté à une hauteur de 12 mètres, et cette station va tourner 24 heures sur 24.
Deux des chercheurs de l’EUS ont fait partie de l’équipe des atronomes italiens qui ont travaillé sur les OVNI de Hessladen en Norvège avec une station de détection analogue.
Les chercheurs du GEIPAN ont établi une formule mathématique statistique mondiale pouvant prévoir statistiquement l’apparition d’un OVNI dans un rayon donné sur un temps donné.
Le seul endroit où cette formule n’est pas valable sont le site de Hessladen et les sites où il y a eu des vagues d’OVNI. Sur Hessladen il y a actuellement 10 OVNI par an.
Bref on en a marre nous des rigolos et cela va cartonner.
Il n’y a pas d’équivalent sur la planète au projet de l’EUS.
La mission de PREUVE OVNI à l’EUS sera outre de finaliser l’installation de la station de détection, d’analyser avec des logiciels spéciaux les photos et vidéos d’OVNI qui nous proviennent de toute l’Europe et notamment d’en faire des représentations en 3 dimensions, des représentations trichromiques RVB, des agrandissements poussés, et des tests pour savoir si nous avons affaire à des canulars.
C’est pourquoi l’EUS me fait passer des tests.
Car l’objectif de l’EUS est de mettre en place une équipe pour suppléer au GEIPAN du CNES en France dont on vient de diviser le budget par 10 suite au raapport COMETA des militaires français, rapport qui évoque la seule possibilité d’explication des OVNI observés par les militaires français comme étant d’origine extraterrestre.
En Effet, nous nous sommes rendus compte que les OVNI font peur aux politiques.
Car ils n’ont rien à dire sur le sujet, eux qui savent toujours tout…. Comme ils le prétendent…
Des prélevements de plantes sur les Crop Circles ont été fait par un laboratoire scientifique qui a prouvé que les plantes avaient des modifications intrinsèques inexplicables.
Mais il n’y a pas eu de prélèvements en double aveugle, c’est à dire qu’on a pas prélevé de plantes à l’extérieur des Crop Circle, ce qui annule scientifiquement toute théorie.
Donc les analayses faites ne prouvent rien.
Les Ufologues qui ont fait ce travail sont des crétins….non ?
Bref 90 % des Ufologues sont des rigolos en sciences et il faut le savoir, hélas.
Ce n'est pas les Sceptiques du Québec qui vont me contredire, non ? rires...
PREUVE OVNI a passé avec succès les tests scientifiques écrits de l’EUS, la plus grande organisation de scientifiques européenne d’études des OVNI eu Europe. Je suis donc maintenant convoqué pour un examen oral.
L’EUS a mis au point une station de détection d’OVNI équipé d’un spéctroscope et d’un télescope à suivi automatique par radar, en collaboration avec l’Observatoire astronomique de Kingsland, en Irlande.
PREUVE OVNI va s’équiper d’une de ces stations et va la compléter en l’équipant d’un suivi par détection de mouvement vidéo, car tous les OVNI ne sont pas détectables au radar, et va l’installer sur son bâtiment industriel qu’il a acheté à une hauteur de 12 mètres, et cette station va tourner 24 heures sur 24.
Deux des chercheurs de l’EUS ont fait partie de l’équipe des atronomes italiens qui ont travaillé sur les OVNI de Hessladen en Norvège avec une station de détection analogue.
Les chercheurs du GEIPAN ont établi une formule mathématique statistique mondiale pouvant prévoir statistiquement l’apparition d’un OVNI dans un rayon donné sur un temps donné.
Le seul endroit où cette formule n’est pas valable sont le site de Hessladen et les sites où il y a eu des vagues d’OVNI. Sur Hessladen il y a actuellement 10 OVNI par an.
Bref on en a marre nous des rigolos et cela va cartonner.
Il n’y a pas d’équivalent sur la planète au projet de l’EUS.
La mission de PREUVE OVNI à l’EUS sera outre de finaliser l’installation de la station de détection, d’analyser avec des logiciels spéciaux les photos et vidéos d’OVNI qui nous proviennent de toute l’Europe et notamment d’en faire des représentations en 3 dimensions, des représentations trichromiques RVB, des agrandissements poussés, et des tests pour savoir si nous avons affaire à des canulars.
C’est pourquoi l’EUS me fait passer des tests.
Car l’objectif de l’EUS est de mettre en place une équipe pour suppléer au GEIPAN du CNES en France dont on vient de diviser le budget par 10 suite au raapport COMETA des militaires français, rapport qui évoque la seule possibilité d’explication des OVNI observés par les militaires français comme étant d’origine extraterrestre.
En Effet, nous nous sommes rendus compte que les OVNI font peur aux politiques.
Car ils n’ont rien à dire sur le sujet, eux qui savent toujours tout…. Comme ils le prétendent…
La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
Re: 90 % des Ufologues manquent de formation en Sciences
SI je comprends bien, tu vas t'équiper d'un spectroscope et d'un télescope à suivi automatique par radar et installer le tout sur ton bâtiment industriel. Ensuite, tu vas modifier le télescope à suivi par radar pour qu'il soit suivi par "détection de mouvement vidéo". Qu'entends-tu par vidéo, ici ? Le terme "Video" réfère à l'action de traiter électroniquement un signal visuel (enregistrer, montrer) au moyen de plusieurs images électroniques à la seconde.PREUVE OVNI a écrit :L’EUS a mis au point une station de détection d’OVNI équipé d’un spéctroscope et d’un télescope à suivi automatique par radar, en collaboration avec l’Observatoire astronomique de Kingsland, en Irlande.
PREUVE OVNI va s’équiper d’une de ces stations et va la compléter en l’équipant d’un suivi par détection de mouvement vidéo, car tous les OVNI ne sont pas détectables au radar, et va l’installer sur son bâtiment industriel qu’il a acheté à une hauteur de 12 mètres, et cette station va tourner 24 heures sur 24.
Donc, tu vas te servir d'une caméra vidéo pour indiquer le mouvement à suivre à ton télescope? Mais le but d'un télescope est justement de voir des choses dans le spectre visible qu'on ne voit pas à l'oeil nu ni à la caméra vidéo (dont le pouvoir de magnification est relativement petit). Bref, je ne pense pas que ce soit une combinaison gagnante. Et qu'est-ce qui guidera ta caméra pendant 24 h ? Même si par hasard ta caméra vidéo voit un OVNI, comment feras-tu pour le détecter automatiquement en temps réel et permettre au télescope de le suivre?
L'intérêt du radar est qu'il détecte la présence d'objets dans une très large section, et les localise approximativement même si ceux-ci continuent à bouger. J'ai du mal à concevoir comment un système "vidéo" peut faire cela.
anybody in the creation/evolution debate area knows that this is basically a spiritual war. The root of the problem is not a question of what is science or what is truth. [Laurence Tisdall]
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Re: 90 % des Ufologues manquent de formation en Sciences
C'est bien que tu t'intéresses enfin à ce que je fais, Zorro.
Je crois que je vais t'embaucher comme Ufologue !
Le dispositif est équipé de 4 caméras en lumière visible qui couvrent 360 degrés
et qui fonctionne en continu et en boucle.
On retire le cache infrarouge des caméras pour qu'elles puissent aussi opérer
en infrarouge.
Un logiciel appelé tracker analyse les images vidéos et dès qu'un objet passe dans l'écran,
le système mobile qui supporte le spestroscope, le télescope et une caméra infrarouge
s'alignent sur l'objet en mouvement et la cible est suivie et filmée automatiquement
en spectroscopie, infrarouge et en télescope.
Un radar tournant double le tracker et peut suivre un objet situé par exemple plus
loin et donc invisible au 4 caméras de base.
Un logiciel informatique à faire détermine si c'est le tracker ou le radar qui doit commander
le suivi de l'objet.
Le radar doit pouvoir ensuite se comporter dans le suivi de l'objet comme un radar de poursuite,
ce qui est complexe à mettre au point.
L'idéal étant d'avoir deux radars, un radar tournant et un radar de poursuite.
Les avions militaires sont par exemple équipés de radars de poursuite.
L'ensemble est plus complexe à réaliser et à mettre au point que du matériel militaire haut
de gamme. Les militaires français et le Geipan n'ont pas ce type matériel.
J'estime le coût total à environ 100 000 à 200 000 dollars américains, à condition que ce soit nous
qui faisions les réglages et certains bricolages et qu'on utilise des avions de tourisme et des ULM
que l'on aura loué au préalable pour faire des essais.
Nous sommes une équipe scientifique pluridisciplinaire à travailler sur ce système, dont des astronomes
professionnels et des informaticiens.
La sation est déjà au point. Mais il faut y rajouter le tracker.
Je crois que je vais t'embaucher comme Ufologue !
Le dispositif est équipé de 4 caméras en lumière visible qui couvrent 360 degrés
et qui fonctionne en continu et en boucle.
On retire le cache infrarouge des caméras pour qu'elles puissent aussi opérer
en infrarouge.
Un logiciel appelé tracker analyse les images vidéos et dès qu'un objet passe dans l'écran,
le système mobile qui supporte le spestroscope, le télescope et une caméra infrarouge
s'alignent sur l'objet en mouvement et la cible est suivie et filmée automatiquement
en spectroscopie, infrarouge et en télescope.
Un radar tournant double le tracker et peut suivre un objet situé par exemple plus
loin et donc invisible au 4 caméras de base.
Un logiciel informatique à faire détermine si c'est le tracker ou le radar qui doit commander
le suivi de l'objet.
Le radar doit pouvoir ensuite se comporter dans le suivi de l'objet comme un radar de poursuite,
ce qui est complexe à mettre au point.
L'idéal étant d'avoir deux radars, un radar tournant et un radar de poursuite.
Les avions militaires sont par exemple équipés de radars de poursuite.
L'ensemble est plus complexe à réaliser et à mettre au point que du matériel militaire haut
de gamme. Les militaires français et le Geipan n'ont pas ce type matériel.
J'estime le coût total à environ 100 000 à 200 000 dollars américains, à condition que ce soit nous
qui faisions les réglages et certains bricolages et qu'on utilise des avions de tourisme et des ULM
que l'on aura loué au préalable pour faire des essais.
Nous sommes une équipe scientifique pluridisciplinaire à travailler sur ce système, dont des astronomes
professionnels et des informaticiens.
La sation est déjà au point. Mais il faut y rajouter le tracker.
La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
- Jonathan l
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Re: 90 % des Ufologues manquent de formation en Sciences
Le tout semble très intéressant. Par contre ce qui m'inquiète une peu car je ne connait ni d'eve ni d'adam est cette organisation. Est-elle vraiment scientifique?
Comme j'ai dit, je n'ai jamais entendu parlez avant de l'EUS. Pas parceque'il se déclare des scientifiques qu'ils le sont vraiment.
c'est comme The secret qui se reclame de la physique quantique
Si 90% des ufologues sont des pseudo-scientifique, cela ne veut-t'il pas dire que statistiquement, 90% des gens de l'EUS le sont aussi, et que donc 90% des chose dont ils parlent est aussi connes qu'une feuille de salade?PREUVE OVNI a passé avec succès les tests scientifiques écrits de l’EUS, la plus grande organisation de scientifiques européenne d’études des OVNI eu Europe. Je suis donc maintenant convoqué pour un examen oral.
Comme j'ai dit, je n'ai jamais entendu parlez avant de l'EUS. Pas parceque'il se déclare des scientifiques qu'ils le sont vraiment.
c'est comme The secret qui se reclame de la physique quantique
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.
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Le cas Mantell : Mort d'un militaire qui poursuit un OVNI
Incident de Mantell
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Le cas Mantell est un incident survenu en janvier 1948, très médiatisé à l'époque, où le capitaine de l'US Air Force Thomas F. Mantell trouva la mort après avoir poursuivi un ovni.
Sommaire [masquer]
1 Chronologie des événements
2 Thèse officielle
3 Arguments ufologiques
4 Voir aussi
4.1 Liens externes
Chronologie des événements [modifier]
Le 7 janvier 1948, vers 13h00, plusieurs dizaines de témoins signalent aux autorités locales la présence d'un objet rond, lumineux et de grande taille à la verticale de Madisonville (Kentucky) et se dirigeant lentement vers le sud.
À 13h45, le même objet survole la base aérienne de Godman (165e escadron de chasse de la Garde Nationale de l'Air du Kentucky), sa couleur passant régulièrement du rouge au blanc. Aussitôt, le commandant Guy F. Hix, responsable de la base, donne l'ordre à une escadrille de 3 chasseurs North American P-51 Mustang, déjà sortie pour un exercice, d'aller au contact de l'objet. L'escadrille, dirigée par le capitaine Thomas Mantell, prend l'objet en chasse.
À 14h45, le capitaine Mantell transmet à la tour de contrôle : "L'objet est directement en avant de moi et au-dessus de moi maintenant, se déplaçant à environ la moitié de ma vitesse."
À 15h15, le capitaine Mantell transmet un nouveau message à la tour de contrôle : "J'ai vu l'objet. Il est au-dessus de moi. Je vais essayer de m'en approcher pour mieux le voir... Il semble métallique... Il est terriblement grand... Environ 170 m de circonférence. Il prend de la hauteur ; il vole à la même vitesse que moi. Je vais le suivre jusqu'à 6 000 mètres.". Accélérant d'une manière inexplicable pour l'époque, l'objet disparaît dans un nuage. Les 2 autres pilotes (le lieutenant Clements et le lieutenant Hammond) décident d'abandonner la poursuite mais le capitaine Mantell décide de continuer. Dès lors, on perd le contact radio avec l'appareil du capitaine Mantell.
À 15h40, n'ayant toujours pas de contact avec le capitaine Mantell, le commandant Hix fait décoller deux appareils pour le rechercher.
Entre 16h00 et 16h30, le même objet lumineux sera observé par de nombreux témoins au-dessus de Madisonville, de Elizabethtown, et de Lexington, dans le Kentucky.
À 17h00, on retrouva à côté d'une ferme près de Franklin, à plus de 145 Km de la base de Godman, les restes de l'appareil du capitaine Mantell éparpillés sur plusieurs kilomètres-carrés. Son corps sera retrouvé au milieu des débris, sa montre arrêtée sur 15h18. D'après les instruments de bord, l'avion était monté jusqu'à une altitude de 9 000 mètres.
Thèse officielle [modifier]
L'enquête officielle qui suivit le crash conclut que le capitaine Mantell avait perdu conscience suite à un défaillance de son approvisionnement en oxygène à l'altitude de 7 500 mètres et que l'appareil était ensuite tombé en piqué jusqu'au point d'impact.
L'US Air Force affirma, tout d'abord, que les pilotes de l'escadrille ainsi que les nombreux témoins avait confondu la planète Vénus (effectivement visible en plein jour à cette période) avec un OVNI. Puis, les enquêteurs conclurent qu'il s'agissait d'un ballon Skyhook de la Marine lâché depuis Clinton dans l'Ohio. Ceci reste la thèse officielle.
Arguments ufologiques [modifier]
On explique mal comment le capitaine Mantell (un vétéran de la Seconde Guerre mondiale, décoré de la Distinguished Flying Cross) a pu confondre un ballon-sonde avec un objet "métallique", "terriblement grand" et d'"environ 170 m de circonférence".
On n'explique pas non plus comment trois chasseurs militaires équipés de moteurs de plus de 1 600 Ch ont pu se faire distancer par un ballon porté par le vent.
Enfin, le capitaine Duesler (l'un des trois enquêteurs de l'US Air force ayant analysé le site du crash) a toujours affirmé que l'état de l'appareil était incompatible avec un crash dû à un vol en piqué.
Voir aussi [modifier]
Liens externes [modifier]
(fr) Photo du capitaine Mantell
(fr) Photo des débris de l'appareil du capitaine Mantell
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Incident_de_Mantell »
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Le cas Mantell est un incident survenu en janvier 1948, très médiatisé à l'époque, où le capitaine de l'US Air Force Thomas F. Mantell trouva la mort après avoir poursuivi un ovni.
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1 Chronologie des événements
2 Thèse officielle
3 Arguments ufologiques
4 Voir aussi
4.1 Liens externes
Chronologie des événements [modifier]
Le 7 janvier 1948, vers 13h00, plusieurs dizaines de témoins signalent aux autorités locales la présence d'un objet rond, lumineux et de grande taille à la verticale de Madisonville (Kentucky) et se dirigeant lentement vers le sud.
À 13h45, le même objet survole la base aérienne de Godman (165e escadron de chasse de la Garde Nationale de l'Air du Kentucky), sa couleur passant régulièrement du rouge au blanc. Aussitôt, le commandant Guy F. Hix, responsable de la base, donne l'ordre à une escadrille de 3 chasseurs North American P-51 Mustang, déjà sortie pour un exercice, d'aller au contact de l'objet. L'escadrille, dirigée par le capitaine Thomas Mantell, prend l'objet en chasse.
À 14h45, le capitaine Mantell transmet à la tour de contrôle : "L'objet est directement en avant de moi et au-dessus de moi maintenant, se déplaçant à environ la moitié de ma vitesse."
À 15h15, le capitaine Mantell transmet un nouveau message à la tour de contrôle : "J'ai vu l'objet. Il est au-dessus de moi. Je vais essayer de m'en approcher pour mieux le voir... Il semble métallique... Il est terriblement grand... Environ 170 m de circonférence. Il prend de la hauteur ; il vole à la même vitesse que moi. Je vais le suivre jusqu'à 6 000 mètres.". Accélérant d'une manière inexplicable pour l'époque, l'objet disparaît dans un nuage. Les 2 autres pilotes (le lieutenant Clements et le lieutenant Hammond) décident d'abandonner la poursuite mais le capitaine Mantell décide de continuer. Dès lors, on perd le contact radio avec l'appareil du capitaine Mantell.
À 15h40, n'ayant toujours pas de contact avec le capitaine Mantell, le commandant Hix fait décoller deux appareils pour le rechercher.
Entre 16h00 et 16h30, le même objet lumineux sera observé par de nombreux témoins au-dessus de Madisonville, de Elizabethtown, et de Lexington, dans le Kentucky.
À 17h00, on retrouva à côté d'une ferme près de Franklin, à plus de 145 Km de la base de Godman, les restes de l'appareil du capitaine Mantell éparpillés sur plusieurs kilomètres-carrés. Son corps sera retrouvé au milieu des débris, sa montre arrêtée sur 15h18. D'après les instruments de bord, l'avion était monté jusqu'à une altitude de 9 000 mètres.
Thèse officielle [modifier]
L'enquête officielle qui suivit le crash conclut que le capitaine Mantell avait perdu conscience suite à un défaillance de son approvisionnement en oxygène à l'altitude de 7 500 mètres et que l'appareil était ensuite tombé en piqué jusqu'au point d'impact.
L'US Air Force affirma, tout d'abord, que les pilotes de l'escadrille ainsi que les nombreux témoins avait confondu la planète Vénus (effectivement visible en plein jour à cette période) avec un OVNI. Puis, les enquêteurs conclurent qu'il s'agissait d'un ballon Skyhook de la Marine lâché depuis Clinton dans l'Ohio. Ceci reste la thèse officielle.
Arguments ufologiques [modifier]
On explique mal comment le capitaine Mantell (un vétéran de la Seconde Guerre mondiale, décoré de la Distinguished Flying Cross) a pu confondre un ballon-sonde avec un objet "métallique", "terriblement grand" et d'"environ 170 m de circonférence".
On n'explique pas non plus comment trois chasseurs militaires équipés de moteurs de plus de 1 600 Ch ont pu se faire distancer par un ballon porté par le vent.
Enfin, le capitaine Duesler (l'un des trois enquêteurs de l'US Air force ayant analysé le site du crash) a toujours affirmé que l'état de l'appareil était incompatible avec un crash dû à un vol en piqué.
Voir aussi [modifier]
Liens externes [modifier]
(fr) Photo du capitaine Mantell
(fr) Photo des débris de l'appareil du capitaine Mantell
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La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
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Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Rapport COMETA
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Le rapport COMETA est un document semi-officiel français remis en 1999 à Jacques Chirac et Lionel Jospin traitant du phénomène OVNI. Il a été rédigé par l'association française COMETA pour sensibiliser les pouvoirs publics français aux OVNI et n'a — semble-t-il — pas atteint son but, sans doute parce qu'il a été publié par le magazine grand public VSD, ce qui a pu ternir son image.
Sommaire [masquer]
1 L'association COMETA
2 Le rapport COMETA
3 Un "faux" rapport officiel
4 Structure du rapport
4.1 Conclusions du rapport
5 Les différentes éditions du rapport
6 Informations critiques sur le prétendu rapport officiel
7 Voir aussi
8 Liens externes
8.1 Notes et références
L'association COMETA [modifier]
L'association COMETA (COMité d'ÉTudes Approfondies) est une association à but non lucratif de type loi de 1901. Elle a été déclarée le 24 Février 1999, mais est en activité depuis 1996. Son président est le général de l'armée française Denis Letty.
L'association a pour but de sensibiliser les pouvoirs publics au phénomène OVNI, et d'étudier les conséquences que peut avoir ce phénomène dans le domaine de la défense nationale. Elle est composée d'anciens membres de l'IHEDN parmi lesquels :
M. Michel Algrin, docteur d'état en sciences politiques, avocat à la cour
M. Pierre Bescon, ingénieur général de l'armement
M. Denis Blancher, commissaire principal de la police nationale au ministère de l'intérieur
M. Jean Dunglas, docteur-ingénieur, ingénieur général honoraire du Génie rural et des eaux et forêts
M. Bruno Le Moine, général de l'armée de l'air
Mme Françoise Lépine, de la Fondation pour les études de défense
M. Christian Marchal, ingénieur en chef des Mines, directeur de recherches à l'ONERA
M. Marc Merlo, vice-amiral d’escadre
M. Alain Orszag, docteur d'état en sciences physiques, ingénieur général de l'armement
Le rapport COMETA [modifier]
Intitulé "Les OVNIs et la Défense. À quoi doit-on se préparer ?" et appelé plus couramment « rapport COMETA », il a été remis au Président de la République Jacques Chirac et au Premier Ministre Lionel Jospin en 1999. Plus tard, le 16 juillet, il a fait l'objet d'un hors série du magazine VSD, un tabloïd français, ce qui a décrédibilisé son image auprès du public et des sceptiques. Par ailleurs, côté politique, il est apparemment resté lettre morte puisqu'aucune conséquence visible n'a été rapportée suite à sa publication.
C'est cependant un travail sérieux et rigoureux, qui tire un bilan de 60 ans d'observations d'OVNI. Avec la collaboration de Jean-Jacques Velasco (membre du CNES, ex-directeur du GEPAN et du SEPRA), le rapport bénéficie du travail des études françaises depuis 1977. D'autres personnalités du monde aéronautique et militaire français ont par ailleurs collaboré au rapport COMETA : entre autre, le général Domange de l'Armée de l'Air, Edmond Campagnac, ancien directeur technique d'Air France (et témoin de la célèbre observation de Tananarive en 1954), ainsi que de nombreux pilotes militaires et civils. Par ailleurs, le préambule du rapport à été écrit par le professeur André Lebeau, ancien directeur du CNES, et sa préface par le général Norlain, ancien directeur de l'IHEDN.
Un "faux" rapport officiel [modifier]
L'association française COMETA a envoyé par la poste son Rapport COMETA en 2000 à l'Elysée. Claude Maugé écrit à ce propos: By letter dated 23 February General Bastien, of the Special Staff of the President of the Republic, wrote: “To answer your question, this ‘report’ compiled by members of an association organized under the law of 1901 (ruling most non-commercial private associations in France) did not respond to any official request and does not have any special status.[1]. Le rapport COMETA fut rédigé par des membres de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) et préfacée par le général Norlain, ancien directeur de l'IHEDN. L'IHEDN a cependant clairement expliqué qu'elle n'avait rien à voir avec ce rapport. Toujours dans son article, Claude Maugé précise cependant: According to Lieutenant-Colonel Pierre Bayle, head of the Communication Service of IHEDN, “The Institute for Advanced Studies in National Defense wishes to make it clear that statements made by these individuals only engage them, and them alone, and are in no way a reflection of the thoughts of IHEDN, which has no special element of information on this topic.”[2]. Le rapport COMETA n'a donc rien d'officiel, et n'engage que les membres de l'asbl qui l'a rédigée.
Structure du rapport [modifier]
Préambule du professeur André Lebeau : « Dépouiller le Phénomène OVNI de sa gangue irrationnelle »
Préface du général Norlain : « Des problèmes concrets se posent, qui appellent une réponse en termes d'action »
Avant-propos du général Letty : « Envisager toutes les hypothèses »
Introduction
Première partie Faits et témoignages : cette partie décrit quinze cas d'OVNI sérieux et non-indentifiés après une enquête officielle et rigoureuse. Elle présente aussi 2 contre-exemples d'OVNI finalement identifiés et expliqués scientifiquement.
Seconde partie Le point des connaissances : cette partie fait le point sur tout ce que nous savons du phénomène OVNI. Elle parle des enquêtes françaises et étrangères, des recherches du GEPAN et du SEPRA, ainsi que des différentes hypothèse quant à la nature du phénomène OVNI.
Troisième partie Les OVNI et la défense : cette partie est la plus importante et polémique. Elle traite des conséquences militaires, politiques, scientifiques, religieuses, culturelles et sociologiques qu'aurait le phénomène OVNI si l'hypothèse extra-terrestre était confirmée. Elle parle aussi des mesures à prendre, en particuliers au niveau de la formation du personnel travaillant dans des secteurs concernés par le phénomène (militaires, policiers, gendarmes, ingénieurs aéronautiques et pilotes, etc.)
Conclusions du rapport et recommandations des membres de COMETA.
Suivent des annexes sur des sujets aussi variés que la détection radar des OVNI, l'exobiologie ou les cas d'OVNI possibles d'avant 1947 (incident de Roswell), jusqu'en Antiquité. Le rapport finit sur une bibliographie et un glossaire.
Conclusions du rapport [modifier]
Considérant tout ce que nous avons appris sur les OVNI depuis 1947, le rapport conclut à « la réalité physique quasi certaine d'objets volants totalement inconnus ». Il conclut par ailleurs qu'au vu des prouesses que manifestent les OVNI, l'hypothèse extra-terrestre est la plus probable pour expliquer le phénomène OVNI : « Une seule hypothèse rend suffisamment compte des faits et ne fait appel, pour l'essentiel, qu'à la science d'aujourd'hui ; c'est celle de visiteurs extraterrestres ».
Enfin, le rapport prend position en faveur d'une meilleure étude scientifique du phénomène.
Les différentes éditions du rapport [modifier]
Le rapport COMETA, qui n'est pas libre de droits, est considéré comme une référence pour quiconque veut étudier le phénomène OVNI d'une manière rigoureuse et scientifique. Après sa publication initiale par le magazine VSD, il a fait l'objet de plusieurs éditions au format livre :
VSD Hors série n°9907 H (ISSN 1278-916X)
COMETA, Les OVNI et la Défense — À quoi doit-on se préparer ?, Éditions du Rocher, Paris, 2003 (ISBN 2-268-04592-7)
COMETA, Les OVNI et la Défense — Le rapport COMETA, J'ai lu, Paris, 2006 (ISBN 2-290-35000-1)
Informations critiques sur le prétendu rapport officiel [modifier]
Commentary on COMETA de Claude Maugé
Voir aussi [modifier]
Liens externes [modifier]
(fr) Le rapport cometa
(fr) Structure du rapport COMETA
(fr) L'association COMETA sur RRO.org
(fr) Résumé commenté du rapport
(fr) Présentation du rapport COMETA
Notes et références [modifier]
↑ http://www.nidsci.org/pdf/cometa_commentary.pdf
↑ http://www.nidsci.org/pdf/cometa_commentary.pdf
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Rapport_COMETA »
Catégorie : Ufologie
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Le rapport COMETA est un document semi-officiel français remis en 1999 à Jacques Chirac et Lionel Jospin traitant du phénomène OVNI. Il a été rédigé par l'association française COMETA pour sensibiliser les pouvoirs publics français aux OVNI et n'a — semble-t-il — pas atteint son but, sans doute parce qu'il a été publié par le magazine grand public VSD, ce qui a pu ternir son image.
Sommaire [masquer]
1 L'association COMETA
2 Le rapport COMETA
3 Un "faux" rapport officiel
4 Structure du rapport
4.1 Conclusions du rapport
5 Les différentes éditions du rapport
6 Informations critiques sur le prétendu rapport officiel
7 Voir aussi
8 Liens externes
8.1 Notes et références
L'association COMETA [modifier]
L'association COMETA (COMité d'ÉTudes Approfondies) est une association à but non lucratif de type loi de 1901. Elle a été déclarée le 24 Février 1999, mais est en activité depuis 1996. Son président est le général de l'armée française Denis Letty.
L'association a pour but de sensibiliser les pouvoirs publics au phénomène OVNI, et d'étudier les conséquences que peut avoir ce phénomène dans le domaine de la défense nationale. Elle est composée d'anciens membres de l'IHEDN parmi lesquels :
M. Michel Algrin, docteur d'état en sciences politiques, avocat à la cour
M. Pierre Bescon, ingénieur général de l'armement
M. Denis Blancher, commissaire principal de la police nationale au ministère de l'intérieur
M. Jean Dunglas, docteur-ingénieur, ingénieur général honoraire du Génie rural et des eaux et forêts
M. Bruno Le Moine, général de l'armée de l'air
Mme Françoise Lépine, de la Fondation pour les études de défense
M. Christian Marchal, ingénieur en chef des Mines, directeur de recherches à l'ONERA
M. Marc Merlo, vice-amiral d’escadre
M. Alain Orszag, docteur d'état en sciences physiques, ingénieur général de l'armement
Le rapport COMETA [modifier]
Intitulé "Les OVNIs et la Défense. À quoi doit-on se préparer ?" et appelé plus couramment « rapport COMETA », il a été remis au Président de la République Jacques Chirac et au Premier Ministre Lionel Jospin en 1999. Plus tard, le 16 juillet, il a fait l'objet d'un hors série du magazine VSD, un tabloïd français, ce qui a décrédibilisé son image auprès du public et des sceptiques. Par ailleurs, côté politique, il est apparemment resté lettre morte puisqu'aucune conséquence visible n'a été rapportée suite à sa publication.
C'est cependant un travail sérieux et rigoureux, qui tire un bilan de 60 ans d'observations d'OVNI. Avec la collaboration de Jean-Jacques Velasco (membre du CNES, ex-directeur du GEPAN et du SEPRA), le rapport bénéficie du travail des études françaises depuis 1977. D'autres personnalités du monde aéronautique et militaire français ont par ailleurs collaboré au rapport COMETA : entre autre, le général Domange de l'Armée de l'Air, Edmond Campagnac, ancien directeur technique d'Air France (et témoin de la célèbre observation de Tananarive en 1954), ainsi que de nombreux pilotes militaires et civils. Par ailleurs, le préambule du rapport à été écrit par le professeur André Lebeau, ancien directeur du CNES, et sa préface par le général Norlain, ancien directeur de l'IHEDN.
Un "faux" rapport officiel [modifier]
L'association française COMETA a envoyé par la poste son Rapport COMETA en 2000 à l'Elysée. Claude Maugé écrit à ce propos: By letter dated 23 February General Bastien, of the Special Staff of the President of the Republic, wrote: “To answer your question, this ‘report’ compiled by members of an association organized under the law of 1901 (ruling most non-commercial private associations in France) did not respond to any official request and does not have any special status.[1]. Le rapport COMETA fut rédigé par des membres de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) et préfacée par le général Norlain, ancien directeur de l'IHEDN. L'IHEDN a cependant clairement expliqué qu'elle n'avait rien à voir avec ce rapport. Toujours dans son article, Claude Maugé précise cependant: According to Lieutenant-Colonel Pierre Bayle, head of the Communication Service of IHEDN, “The Institute for Advanced Studies in National Defense wishes to make it clear that statements made by these individuals only engage them, and them alone, and are in no way a reflection of the thoughts of IHEDN, which has no special element of information on this topic.”[2]. Le rapport COMETA n'a donc rien d'officiel, et n'engage que les membres de l'asbl qui l'a rédigée.
Structure du rapport [modifier]
Préambule du professeur André Lebeau : « Dépouiller le Phénomène OVNI de sa gangue irrationnelle »
Préface du général Norlain : « Des problèmes concrets se posent, qui appellent une réponse en termes d'action »
Avant-propos du général Letty : « Envisager toutes les hypothèses »
Introduction
Première partie Faits et témoignages : cette partie décrit quinze cas d'OVNI sérieux et non-indentifiés après une enquête officielle et rigoureuse. Elle présente aussi 2 contre-exemples d'OVNI finalement identifiés et expliqués scientifiquement.
Seconde partie Le point des connaissances : cette partie fait le point sur tout ce que nous savons du phénomène OVNI. Elle parle des enquêtes françaises et étrangères, des recherches du GEPAN et du SEPRA, ainsi que des différentes hypothèse quant à la nature du phénomène OVNI.
Troisième partie Les OVNI et la défense : cette partie est la plus importante et polémique. Elle traite des conséquences militaires, politiques, scientifiques, religieuses, culturelles et sociologiques qu'aurait le phénomène OVNI si l'hypothèse extra-terrestre était confirmée. Elle parle aussi des mesures à prendre, en particuliers au niveau de la formation du personnel travaillant dans des secteurs concernés par le phénomène (militaires, policiers, gendarmes, ingénieurs aéronautiques et pilotes, etc.)
Conclusions du rapport et recommandations des membres de COMETA.
Suivent des annexes sur des sujets aussi variés que la détection radar des OVNI, l'exobiologie ou les cas d'OVNI possibles d'avant 1947 (incident de Roswell), jusqu'en Antiquité. Le rapport finit sur une bibliographie et un glossaire.
Conclusions du rapport [modifier]
Considérant tout ce que nous avons appris sur les OVNI depuis 1947, le rapport conclut à « la réalité physique quasi certaine d'objets volants totalement inconnus ». Il conclut par ailleurs qu'au vu des prouesses que manifestent les OVNI, l'hypothèse extra-terrestre est la plus probable pour expliquer le phénomène OVNI : « Une seule hypothèse rend suffisamment compte des faits et ne fait appel, pour l'essentiel, qu'à la science d'aujourd'hui ; c'est celle de visiteurs extraterrestres ».
Enfin, le rapport prend position en faveur d'une meilleure étude scientifique du phénomène.
Les différentes éditions du rapport [modifier]
Le rapport COMETA, qui n'est pas libre de droits, est considéré comme une référence pour quiconque veut étudier le phénomène OVNI d'une manière rigoureuse et scientifique. Après sa publication initiale par le magazine VSD, il a fait l'objet de plusieurs éditions au format livre :
VSD Hors série n°9907 H (ISSN 1278-916X)
COMETA, Les OVNI et la Défense — À quoi doit-on se préparer ?, Éditions du Rocher, Paris, 2003 (ISBN 2-268-04592-7)
COMETA, Les OVNI et la Défense — Le rapport COMETA, J'ai lu, Paris, 2006 (ISBN 2-290-35000-1)
Informations critiques sur le prétendu rapport officiel [modifier]
Commentary on COMETA de Claude Maugé
Voir aussi [modifier]
Liens externes [modifier]
(fr) Le rapport cometa
(fr) Structure du rapport COMETA
(fr) L'association COMETA sur RRO.org
(fr) Résumé commenté du rapport
(fr) Présentation du rapport COMETA
Notes et références [modifier]
↑ http://www.nidsci.org/pdf/cometa_commentary.pdf
↑ http://www.nidsci.org/pdf/cometa_commentary.pdf
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Rapport_COMETA »
Catégorie : Ufologie
La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
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Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Rapport COMETA
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Le rapport COMETA est un document semi-officiel français remis en 1999 à Jacques Chirac et Lionel Jospin traitant du phénomène OVNI. Il a été rédigé par l'association française COMETA pour sensibiliser les pouvoirs publics français aux OVNI et n'a — semble-t-il — pas atteint son but, sans doute parce qu'il a été publié par le magazine grand public VSD, ce qui a pu ternir son image.
Sommaire [masquer]
1 L'association COMETA
2 Le rapport COMETA
3 Un "faux" rapport officiel
4 Structure du rapport
4.1 Conclusions du rapport
5 Les différentes éditions du rapport
6 Informations critiques sur le prétendu rapport officiel
7 Voir aussi
8 Liens externes
8.1 Notes et références
L'association COMETA [modifier]
L'association COMETA (COMité d'ÉTudes Approfondies) est une association à but non lucratif de type loi de 1901. Elle a été déclarée le 24 Février 1999, mais est en activité depuis 1996. Son président est le général de l'armée française Denis Letty.
L'association a pour but de sensibiliser les pouvoirs publics au phénomène OVNI, et d'étudier les conséquences que peut avoir ce phénomène dans le domaine de la défense nationale. Elle est composée d'anciens membres de l'IHEDN parmi lesquels :
M. Michel Algrin, docteur d'état en sciences politiques, avocat à la cour
M. Pierre Bescon, ingénieur général de l'armement
M. Denis Blancher, commissaire principal de la police nationale au ministère de l'intérieur
M. Jean Dunglas, docteur-ingénieur, ingénieur général honoraire du Génie rural et des eaux et forêts
M. Bruno Le Moine, général de l'armée de l'air
Mme Françoise Lépine, de la Fondation pour les études de défense
M. Christian Marchal, ingénieur en chef des Mines, directeur de recherches à l'ONERA
M. Marc Merlo, vice-amiral d’escadre
M. Alain Orszag, docteur d'état en sciences physiques, ingénieur général de l'armement
Le rapport COMETA [modifier]
Intitulé "Les OVNIs et la Défense. À quoi doit-on se préparer ?" et appelé plus couramment « rapport COMETA », il a été remis au Président de la République Jacques Chirac et au Premier Ministre Lionel Jospin en 1999. Plus tard, le 16 juillet, il a fait l'objet d'un hors série du magazine VSD, un tabloïd français, ce qui a décrédibilisé son image auprès du public et des sceptiques. Par ailleurs, côté politique, il est apparemment resté lettre morte puisqu'aucune conséquence visible n'a été rapportée suite à sa publication.
C'est cependant un travail sérieux et rigoureux, qui tire un bilan de 60 ans d'observations d'OVNI. Avec la collaboration de Jean-Jacques Velasco (membre du CNES, ex-directeur du GEPAN et du SEPRA), le rapport bénéficie du travail des études françaises depuis 1977. D'autres personnalités du monde aéronautique et militaire français ont par ailleurs collaboré au rapport COMETA : entre autre, le général Domange de l'Armée de l'Air, Edmond Campagnac, ancien directeur technique d'Air France (et témoin de la célèbre observation de Tananarive en 1954), ainsi que de nombreux pilotes militaires et civils. Par ailleurs, le préambule du rapport à été écrit par le professeur André Lebeau, ancien directeur du CNES, et sa préface par le général Norlain, ancien directeur de l'IHEDN.
Un "faux" rapport officiel [modifier]
L'association française COMETA a envoyé par la poste son Rapport COMETA en 2000 à l'Elysée. Claude Maugé écrit à ce propos: By letter dated 23 February General Bastien, of the Special Staff of the President of the Republic, wrote: “To answer your question, this ‘report’ compiled by members of an association organized under the law of 1901 (ruling most non-commercial private associations in France) did not respond to any official request and does not have any special status.[1]. Le rapport COMETA fut rédigé par des membres de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) et préfacée par le général Norlain, ancien directeur de l'IHEDN. L'IHEDN a cependant clairement expliqué qu'elle n'avait rien à voir avec ce rapport. Toujours dans son article, Claude Maugé précise cependant: According to Lieutenant-Colonel Pierre Bayle, head of the Communication Service of IHEDN, “The Institute for Advanced Studies in National Defense wishes to make it clear that statements made by these individuals only engage them, and them alone, and are in no way a reflection of the thoughts of IHEDN, which has no special element of information on this topic.”[2]. Le rapport COMETA n'a donc rien d'officiel, et n'engage que les membres de l'asbl qui l'a rédigée.
Structure du rapport [modifier]
Préambule du professeur André Lebeau : « Dépouiller le Phénomène OVNI de sa gangue irrationnelle »
Préface du général Norlain : « Des problèmes concrets se posent, qui appellent une réponse en termes d'action »
Avant-propos du général Letty : « Envisager toutes les hypothèses »
Introduction
Première partie Faits et témoignages : cette partie décrit quinze cas d'OVNI sérieux et non-indentifiés après une enquête officielle et rigoureuse. Elle présente aussi 2 contre-exemples d'OVNI finalement identifiés et expliqués scientifiquement.
Seconde partie Le point des connaissances : cette partie fait le point sur tout ce que nous savons du phénomène OVNI. Elle parle des enquêtes françaises et étrangères, des recherches du GEPAN et du SEPRA, ainsi que des différentes hypothèse quant à la nature du phénomène OVNI.
Troisième partie Les OVNI et la défense : cette partie est la plus importante et polémique. Elle traite des conséquences militaires, politiques, scientifiques, religieuses, culturelles et sociologiques qu'aurait le phénomène OVNI si l'hypothèse extra-terrestre était confirmée. Elle parle aussi des mesures à prendre, en particuliers au niveau de la formation du personnel travaillant dans des secteurs concernés par le phénomène (militaires, policiers, gendarmes, ingénieurs aéronautiques et pilotes, etc.)
Conclusions du rapport et recommandations des membres de COMETA.
Suivent des annexes sur des sujets aussi variés que la détection radar des OVNI, l'exobiologie ou les cas d'OVNI possibles d'avant 1947 (incident de Roswell), jusqu'en Antiquité. Le rapport finit sur une bibliographie et un glossaire.
Conclusions du rapport [modifier]
Considérant tout ce que nous avons appris sur les OVNI depuis 1947, le rapport conclut à « la réalité physique quasi certaine d'objets volants totalement inconnus ». Il conclut par ailleurs qu'au vu des prouesses que manifestent les OVNI, l'hypothèse extra-terrestre est la plus probable pour expliquer le phénomène OVNI : « Une seule hypothèse rend suffisamment compte des faits et ne fait appel, pour l'essentiel, qu'à la science d'aujourd'hui ; c'est celle de visiteurs extraterrestres ».
Enfin, le rapport prend position en faveur d'une meilleure étude scientifique du phénomène.
Les différentes éditions du rapport [modifier]
Le rapport COMETA, qui n'est pas libre de droits, est considéré comme une référence pour quiconque veut étudier le phénomène OVNI d'une manière rigoureuse et scientifique. Après sa publication initiale par le magazine VSD, il a fait l'objet de plusieurs éditions au format livre :
VSD Hors série n°9907 H (ISSN 1278-916X)
COMETA, Les OVNI et la Défense — À quoi doit-on se préparer ?, Éditions du Rocher, Paris, 2003 (ISBN 2-268-04592-7)
COMETA, Les OVNI et la Défense — Le rapport COMETA, J'ai lu, Paris, 2006 (ISBN 2-290-35000-1)
Informations critiques sur le prétendu rapport officiel [modifier]
Commentary on COMETA de Claude Maugé
Voir aussi [modifier]
Liens externes [modifier]
(fr) Le rapport cometa
(fr) Structure du rapport COMETA
(fr) L'association COMETA sur RRO.org
(fr) Résumé commenté du rapport
(fr) Présentation du rapport COMETA
Notes et références [modifier]
↑ http://www.nidsci.org/pdf/cometa_commentary.pdf
↑ http://www.nidsci.org/pdf/cometa_commentary.pdf
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Le rapport COMETA est un document semi-officiel français remis en 1999 à Jacques Chirac et Lionel Jospin traitant du phénomène OVNI. Il a été rédigé par l'association française COMETA pour sensibiliser les pouvoirs publics français aux OVNI et n'a — semble-t-il — pas atteint son but, sans doute parce qu'il a été publié par le magazine grand public VSD, ce qui a pu ternir son image.
Sommaire [masquer]
1 L'association COMETA
2 Le rapport COMETA
3 Un "faux" rapport officiel
4 Structure du rapport
4.1 Conclusions du rapport
5 Les différentes éditions du rapport
6 Informations critiques sur le prétendu rapport officiel
7 Voir aussi
8 Liens externes
8.1 Notes et références
L'association COMETA [modifier]
L'association COMETA (COMité d'ÉTudes Approfondies) est une association à but non lucratif de type loi de 1901. Elle a été déclarée le 24 Février 1999, mais est en activité depuis 1996. Son président est le général de l'armée française Denis Letty.
L'association a pour but de sensibiliser les pouvoirs publics au phénomène OVNI, et d'étudier les conséquences que peut avoir ce phénomène dans le domaine de la défense nationale. Elle est composée d'anciens membres de l'IHEDN parmi lesquels :
M. Michel Algrin, docteur d'état en sciences politiques, avocat à la cour
M. Pierre Bescon, ingénieur général de l'armement
M. Denis Blancher, commissaire principal de la police nationale au ministère de l'intérieur
M. Jean Dunglas, docteur-ingénieur, ingénieur général honoraire du Génie rural et des eaux et forêts
M. Bruno Le Moine, général de l'armée de l'air
Mme Françoise Lépine, de la Fondation pour les études de défense
M. Christian Marchal, ingénieur en chef des Mines, directeur de recherches à l'ONERA
M. Marc Merlo, vice-amiral d’escadre
M. Alain Orszag, docteur d'état en sciences physiques, ingénieur général de l'armement
Le rapport COMETA [modifier]
Intitulé "Les OVNIs et la Défense. À quoi doit-on se préparer ?" et appelé plus couramment « rapport COMETA », il a été remis au Président de la République Jacques Chirac et au Premier Ministre Lionel Jospin en 1999. Plus tard, le 16 juillet, il a fait l'objet d'un hors série du magazine VSD, un tabloïd français, ce qui a décrédibilisé son image auprès du public et des sceptiques. Par ailleurs, côté politique, il est apparemment resté lettre morte puisqu'aucune conséquence visible n'a été rapportée suite à sa publication.
C'est cependant un travail sérieux et rigoureux, qui tire un bilan de 60 ans d'observations d'OVNI. Avec la collaboration de Jean-Jacques Velasco (membre du CNES, ex-directeur du GEPAN et du SEPRA), le rapport bénéficie du travail des études françaises depuis 1977. D'autres personnalités du monde aéronautique et militaire français ont par ailleurs collaboré au rapport COMETA : entre autre, le général Domange de l'Armée de l'Air, Edmond Campagnac, ancien directeur technique d'Air France (et témoin de la célèbre observation de Tananarive en 1954), ainsi que de nombreux pilotes militaires et civils. Par ailleurs, le préambule du rapport à été écrit par le professeur André Lebeau, ancien directeur du CNES, et sa préface par le général Norlain, ancien directeur de l'IHEDN.
Un "faux" rapport officiel [modifier]
L'association française COMETA a envoyé par la poste son Rapport COMETA en 2000 à l'Elysée. Claude Maugé écrit à ce propos: By letter dated 23 February General Bastien, of the Special Staff of the President of the Republic, wrote: “To answer your question, this ‘report’ compiled by members of an association organized under the law of 1901 (ruling most non-commercial private associations in France) did not respond to any official request and does not have any special status.[1]. Le rapport COMETA fut rédigé par des membres de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) et préfacée par le général Norlain, ancien directeur de l'IHEDN. L'IHEDN a cependant clairement expliqué qu'elle n'avait rien à voir avec ce rapport. Toujours dans son article, Claude Maugé précise cependant: According to Lieutenant-Colonel Pierre Bayle, head of the Communication Service of IHEDN, “The Institute for Advanced Studies in National Defense wishes to make it clear that statements made by these individuals only engage them, and them alone, and are in no way a reflection of the thoughts of IHEDN, which has no special element of information on this topic.”[2]. Le rapport COMETA n'a donc rien d'officiel, et n'engage que les membres de l'asbl qui l'a rédigée.
Structure du rapport [modifier]
Préambule du professeur André Lebeau : « Dépouiller le Phénomène OVNI de sa gangue irrationnelle »
Préface du général Norlain : « Des problèmes concrets se posent, qui appellent une réponse en termes d'action »
Avant-propos du général Letty : « Envisager toutes les hypothèses »
Introduction
Première partie Faits et témoignages : cette partie décrit quinze cas d'OVNI sérieux et non-indentifiés après une enquête officielle et rigoureuse. Elle présente aussi 2 contre-exemples d'OVNI finalement identifiés et expliqués scientifiquement.
Seconde partie Le point des connaissances : cette partie fait le point sur tout ce que nous savons du phénomène OVNI. Elle parle des enquêtes françaises et étrangères, des recherches du GEPAN et du SEPRA, ainsi que des différentes hypothèse quant à la nature du phénomène OVNI.
Troisième partie Les OVNI et la défense : cette partie est la plus importante et polémique. Elle traite des conséquences militaires, politiques, scientifiques, religieuses, culturelles et sociologiques qu'aurait le phénomène OVNI si l'hypothèse extra-terrestre était confirmée. Elle parle aussi des mesures à prendre, en particuliers au niveau de la formation du personnel travaillant dans des secteurs concernés par le phénomène (militaires, policiers, gendarmes, ingénieurs aéronautiques et pilotes, etc.)
Conclusions du rapport et recommandations des membres de COMETA.
Suivent des annexes sur des sujets aussi variés que la détection radar des OVNI, l'exobiologie ou les cas d'OVNI possibles d'avant 1947 (incident de Roswell), jusqu'en Antiquité. Le rapport finit sur une bibliographie et un glossaire.
Conclusions du rapport [modifier]
Considérant tout ce que nous avons appris sur les OVNI depuis 1947, le rapport conclut à « la réalité physique quasi certaine d'objets volants totalement inconnus ». Il conclut par ailleurs qu'au vu des prouesses que manifestent les OVNI, l'hypothèse extra-terrestre est la plus probable pour expliquer le phénomène OVNI : « Une seule hypothèse rend suffisamment compte des faits et ne fait appel, pour l'essentiel, qu'à la science d'aujourd'hui ; c'est celle de visiteurs extraterrestres ».
Enfin, le rapport prend position en faveur d'une meilleure étude scientifique du phénomène.
Les différentes éditions du rapport [modifier]
Le rapport COMETA, qui n'est pas libre de droits, est considéré comme une référence pour quiconque veut étudier le phénomène OVNI d'une manière rigoureuse et scientifique. Après sa publication initiale par le magazine VSD, il a fait l'objet de plusieurs éditions au format livre :
VSD Hors série n°9907 H (ISSN 1278-916X)
COMETA, Les OVNI et la Défense — À quoi doit-on se préparer ?, Éditions du Rocher, Paris, 2003 (ISBN 2-268-04592-7)
COMETA, Les OVNI et la Défense — Le rapport COMETA, J'ai lu, Paris, 2006 (ISBN 2-290-35000-1)
Informations critiques sur le prétendu rapport officiel [modifier]
Commentary on COMETA de Claude Maugé
Voir aussi [modifier]
Liens externes [modifier]
(fr) Le rapport cometa
(fr) Structure du rapport COMETA
(fr) L'association COMETA sur RRO.org
(fr) Résumé commenté du rapport
(fr) Présentation du rapport COMETA
Notes et références [modifier]
↑ http://www.nidsci.org/pdf/cometa_commentary.pdf
↑ http://www.nidsci.org/pdf/cometa_commentary.pdf
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Un OVNI Certain : Incident de Téhéran
Un OVNI Certain : Incident de Téhéran
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L’incident de Téhéran a eu lieu dans la nuit du 18 au 19 Septembre 1976, en Iran. Il s'agit d'un des plus célèbre cas de poursuite avion de chasse/OVNI. Aucune explication sérieuse n'a pu être fournie pour l'instant, d'autant plus que cet incident a aussi été confirmé par radar. L'affaire a par ailleurs donné lieu à un rapport secret puis déclassifié de la DIA, organisation de renseignement militaire du Pentagone.
Sommaire
[masquer]
1 Les faits
2 Rapport de la DIA
3 Suites de l'affaire
4 Liens externes
Les faits [modifier]
Vers minuit trente, le 19 septembre 1976, le PC de l'armée de l'air iranienne reçoit plusieurs appels téléphoniques de personnes ayant aperçus des objets lumineux dans le ciel, au nord de Téhéran dans le quartier de Shamiran. Les militaires réalisant qu'aucun hélicoptère ou avion n'en est la cause, ils préviennent le général Yousefi. Le général n'en croit pas un mot et dit à ses subordonnés qu'il doit s'agir d'une simple étoile. Mais après avoir parlé avec le personnel de la tour de contrôle de l'aéroport de Mehrabad, il va voir par lui même et peut observer un grand OVNI lumineux et constater qu'il ne s'agit pas d'une étoile. A 1h30 du matin il envoie un chasseur F-4 Phantom pour éclaircir la situation. Le pilote de l'avion de chasse et son navigateur voient eux aussi l'OVNI, mais arrivé à 45 km de l'objet, les instruments de communications se bloquent. Ils croient à une panne et font demi-tour. Mais une fois reparti à plus de 45 kilomètres de l'OVNI, ils constatent que leurs instruments remarchent.
Peu après, un second F-4 est envoyé, avec la même mission. Le copilote voit l'objet sur son radar, qui a la même signature qu'un Boeing 707. Cependant, en visuel, l'objet émet une lumière éblouissante même à des dizaines de kilomètres, de plusieurs couleurs, ce n'est donc pas un avion de ligne. Les pilotes constatent eux aussi cette même panne des communications à moins de 45 km, tandis que l'objet semble vouloir garder une "distance de sécurité". C'est alors qu'un objet plus petit se "détache" de l'OVNI fonçant à plusieurs fois la vitesse du son sur le F-4. Le pilote tente de tirer un missile AIM-9 Sidewinder pour se défendre mais les commandes d'armements ne marchent plus non plus. L'avion entame alors une manœuvre de fuite, toujours poursuivit par le petit OVNI qui finit par le dépasser, lui couper la route pour enfin faire demi-tour et rejoindre l'OVNI principal. Une fois plus loin, l'avion retrouva l'usage de toutes ses commandes. Peu après, un petit objet quitta à nouveau l'OVNI pour se poser au sol, illuminant durant quelques instants une zone de plusieurs kilomètres, éblouissant les deux pilotes du F-4 qui durent attendre de s'être réaccoutumé à l'obscurité pour atterrir enfin à Mehrabad. Juste avant d'atterrir, le F-4 remarqua un autre OVNI lumineux, cylindrique celui-là.
Par ailleurs, un avion de ligne souffrit des mêmes défaillances de ses appareils de communications une fois à moins de 45 km de l'objet, alors qu'il allait atterrir à Mehrabad. Peu après, le gros OVNI s'éloigna vers l'Ouest pour disparaitre derrière l'horizon.
Une fois le jour levé, des recherches furent entreprises à l'endroit ou le petit OVNI avait peut-être atterri (une sorte de lac asséché) mais on ne trouva rien. Cependant, des gens habitants près de là dirent avoir vu une forte lumière durant cette nuit et entendu un fort bruit.
Rapport de la DIA [modifier]
À l'époque, l'Iran étant un allié des États-Unis, la DIA put accéder aux informations de l'Armée de l'Air iranienne. Ce rapport déclara :
"Un rapport exceptionnel. Ce cas est un classique qui rassemble tous les critères nécessaires pour une étude valide du phénomène d'UFO :
L'objet a été vu par de nombreux témoins de différents endroits (c’est-à-dire, Shamiran, Mehrabad, et le lit sec du lac) et de points de vue (au sol et dans les airs).
La crédibilité de plusieurs des témoins était haute (un général de l'Armée de l'Air, des équipages qualifiés, le personnel de la tour de contrôle).
La présence de l'OVNI a été confirmée par le radar.
Des effets électromagnétiques semblables ont été rapportés par trois avions différents
Il y avait des effets physiologiques similaires sur plusieurs pilotes (c.-à-d., perte de vision de nuit due à l'éclat de l'objet).
l'OVNI à fait preuve d'une manœuvrabilité impressionnante"
Cependant, aucune preuve ne permet d'indiquer l'origine de ces OVNI.
Suites de l'affaire [modifier]
25 minutes après les faits, un objet similaire fut aperçu au dessus de la Méditerranée par un pilote de chasse égyptien, puis plus tard, au dessus du Portugal par l'équipage et les passagers d'un avion de ligne de la compagnie KLM. Vers 5h du matin, de nombreuses personnes ont signalés avoir aperçus un OVNI au dessus du Maroc, volant vers le Sud-Ouest, et dont la description concorde encore avec l'OVNI de Téhéran. On peut donc penser que dans les quatre cas il s'agit du même OVNI, qui aurait volé de l'Iran au Portugal en passant au dessus de la Méditerranée, avant de bifurquer au Sud-Ouest vers le Maroc pour ensuite aller au-dessus de l'Atlantique. A-t-il été vu par des navires au-dessus de l'Atlantique sud, ou alors en Amérique du Sud ? Si observations il y a eu, elles n'ont pas été rapportées, il est donc impossible de le savoir.
Parmi les protagonistes de l'affaire et les témoins, tous décriront les mêmes choses, sans contradictions. Certains défendront à titre personnel l'idée qu'il s'agit d'un engin d'origine extra-terrestre, mais il s'agit de présomptions qu'aucune preuve ne vient appuyer (ni infirmer).
Le debunkeur Philip Klass expliquera cet incident par une conjonction entre la confusion avec un astre (Jupiter selon lui), des problèmes techniques sur les avions et même l'incompétence des pilotes. Cependant, il n'explique pas les observations du pilote égyptien, des passagers de la KLM et des civils marocains peu après. Il n'explique pas non plus comment la brillance de Jupiter aurait pu éblouir des pilotes de chasse au point de retarder leur atterrissage, et comment un astre même brillant aurait pu brouiller les commandes de vol de différents avions de chasse et même poursuivre l'un d'eux. Cette interprétation est donc contestée par les témoins de l'incident ainsi que par les ufologues.
Aujourd'hui, aucun élément nouveau n'a été avancé et l'affaire a été classée. Au vu des performances de l'OVNI en question, ce cas est l'un des favoris des ufologues partisans de l'hypothèse extra-terrestre.
Liens externes [modifier]
(fr) L'observation de Téhéran
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(en) http://www.nicap.org/tehran1.htm
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L'observation de Téhéran (1976)
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Le 19 septembre 1976 à 0 h 30 à Téhéran (Iran), plusieurs personnes voient des ovnis, et alertent les autorités par téléphone.
A 1 h 30, alertée par plusieurs appels de civils signalant une grosse étoile très lumineuse, et 2 contrôleurs de l'aéroport détectant un objet non identifié, (l'armée américaine ?) dépêche sur place un avion F-4 Phantom à sa rencontre, qui décole de la base de l'Imperial Iranian Air Force (IIAF) de Shahrokhi, près de Hamandan. Le pilote confirme l'existence de l'ovni, de forme ronde. Lorsqu'il s'approche, celui-ci accélère de plusieurs fois la vitesse du son, puis, effectuant une brusque volte-face, il se met à poursuivre son chasseur pendant quelques minutes. Lorsque le pilote veut faire feu, les commandes ne répondent pas : tous les instruments, y compris la radio, refusent de fonctionner dans un rayon de 5 km autour de l'objet. Il doit retourner à la base.
A 1 h 40, un 2nd F-4 est envoyé en reconnaissance. Arrivé en vue de l'objectif, son radar lui révèle que l'ovni est de la taille d'un Boeing 707. L'objet émêt des lumières clignotantes et colorées, comme un stroboscope, en triangle. Lorsque le F-4 est à moins de 40 km de l'ovni, l'objet s'éloigne très vite, pour ensuite maintenir une certaine distance entre eux 2. Un second objet sort ensuite de l'ovni, se dirigeant à vive allure vers ke F-4, comme un missile. Le pilote tente de tirer un missile AIM-9 mais son système de contrôle de l'armement ainsi que sa radio cessent de fonctionner. Il plonge pour tenter d'échapper au missile. L'objet s'arrête net et retourne immédiatement se fondre dans l'ovni, qui largue vers le sol un nouvel objet plus petit. Celui se pose et illumine les environs. Le F-4 descend pour observer la zone puis se rend à l'aéroport de Mehrabad. Comme il va y atterrir, un autre ovni, cylindrique, passe au-dessus de lui et est observé par les aiguilleurs de Mehrabad.
Le 22 septembre le major Roland B. Evans, analyste de capacité militaire pour l'USAF, émet le Rapport d'évaluation d'information (IR) de défense n° 6846013976 pour la DIA :
Département de la Défense
Chefs d'Etat-Majors Interarmées
Centre de messages
VEG MAY864ILN118
MULT
ACTION
DIA1
Distribution :
CJG8 (01) DJ8 (03) J3 (14) J5 (02) NMCC DecDef (07) DPSecDef
NNIC SecDef : ASD : ISA (10) : DIA (15)
Sécretariat d'Etat Washington DC - CIA - NSA Washington DC
Maison Blanche DC - CMC
CSAF Washington DC
CNO Washington DC
CSA Washington DC
Fichier (1)
(053)
Transit/230630Z/230810Z/001140TOR2670S04
DE RUQMHRA #9575 2670615
ZNY CCCCC
P 230630Z SEP 76
FM USDAO Téhéran
à RUEKJCS/DIA EASHDC
Info RUEKJCS/SECDEF DepSecDef Washington DC
RUFRBAA/CoMideEastFor
RUDOECA/CINCUSAFE LINDSEY AS GE/INCF
RHFRAAB/CINCUSAFE Ramstein AB GE/INOCN
RUSNAAA/EUDAC VAIHINGGEN GER
RUSNAAA/USCINCEUR VAIHINGEN GER/ECJ-2
BT
Confidentiel 1235 Sep76
Ceci est IR 6 846 0139 76
(U) Iran
Observation d'ovni signalée (U)
(U) NA
(U) 19 & 20 septembre 1976
(U) Téhéran, Iran; 20 septembre 1976
(U) F-6
(U) 6 846 0008 (Notez commentaires RO)
(U) 6 846 0139 76
(U) 22 sep 76
(U) NA
(U) "Initiate" IPSP PT-1440
Page 2 du document d'origine
(U) USDAD, Téhéran (Iran)
(U) Frank B, McKenzie, COL, USAF, SATT
(U) NA
*** Ce rapport transmet les informations concernant l'observation d'un ovni en Iran le 19 septembre 1976.
Vers 0 h 30 environ le 19 septembre 1976 le xxxxxxxx reçut 4 appels téléphoniques de citoyens vivant dans la région de Shemiran de Téhéran indiquant qu'ils avaient vu des objets étranges dans le ciel. Certains signalaient une sorte d'objet semblable à un oiseau tandis que d'autres signalèrent un hélicoptère avec un feu allumé. Il n'y avait pas d'hélicoptère en vol à ce moment. Après avoir dit aux citoyens qu'il s'agissait seulement d'étoiles et avoir parlé à la Tour de Mehrabad il décida de voir par lui-même. Il remarqua un objet dans le ciel ressemblant à une étoile, plus grand et plus lumineux. Il décida d'envoyer un F-4 depuis la base aérienne de Shahrokhi pour enquêter.
A 1 h 30 le 19 le F-4 décolla et et procéda en un point à environ 40 miles nautiques au Nord de Téhéran. En raison de sa brillance l'objet était facilement visible à 70 miles de distance. Alors que le F-4 approchait à une portée de 25 miles nautiques il perdit toute son instrumentation et ses communications (UHF et intercom). Il rompit l'interception et retourna à Shahrokhi. Lorsque le F-4 fit un virage pour s'éloigner de l'objet et n'était apparemment plus une menace pour lui l'appareil récupéra l'ensemble de son instrumentation et de ses communications. A 1 h 40 un 2nd F-4 fut envoyé. Le pilote à l'arrière acquit un verrouillage radar à 27 miles nautiques, à la position 12 h avec un VD (rythme de rapprochement) de 150 miles nautiques/h. Alors que la distance diminuait à 25 miles nautiques l'objet s'éloigna à une vitesse qui fut visible sur l'écran radar et resta à 25 miles nautiques.
La taille du retour radar était comparable à celle d'un tanker 707. La taille visuelle de l'objet était difficile à discerner en raison de son extrême brillance. La lumière qu'il émanait était celle de lumières stromboscopiques clignotantes arrangées selon un motif rectangulaire et alternant couleurs bleu, vert, rouge et orange. La séquence des lumières était si rapide que l'ensemble des couleurs pouvait être vu d'un coup. L'objet et le F-4 poursuivant continuèrent sur une trajectoire vers le Sud de Téhéran lorsqu'un autre objet illuminé, estimé à 1/2 ou 1/3 de la taille apparente de la Lune, sortit de l'objet d'origine. Ce 2nd objet partit droit vers le F-4 avec une accélération très rapide. Le pilote tenta de tirer un missile AIM-9 sur l'objet mais à cet instant son panneau de contrôle de l'armement s'éteignit et il perdit toutes les communications (UHF et interphone). A ce moment le pilote initia un virage et une plongée à G négatif pour partir. Alors qu'il virait l'objet tomba dans son sillage à ce qui sembla être 3 à 4 miles nautiques alors qu'il continuait dans son virage au loin depuis l'objet principal le 2nd objet partit à l'intérieur de son virage puis revint à l'objet principal pour le rejoindre parfaitement.
Page 3 du document d'origine
Peu après le que 2nd objet ait rejoint l'objet principal un autre objet apparut sortir de l'autre côté de l'objet principal et partir droit vers le bas avec une grande accélération. L'équipage du F-4 avait récupéré ses communications et le panneau de contrôle des armes et regardait l'objet approcher le sol anticipant une grande explosion. Cet objet parut arriver pour reposer doucement sur terre et projeter une lumière très brillante sur une zone de 2 à 3 km environ. L'équipage descendit de son altitude de 25 miles nautiques à 15 miles nautiques et continua à observer et marquer la position de l'objet. Ils avaient quelque difficulté à ajuster leur visibilité de nuit pour atterrir et donc après avoir fait quelques tours autour de Mehrabad ils partirent pour un atterrissage direct. Il y avait beaucoup d'interférences sur l'UHF et chaque fois qu'ils passaient à travers [a mag. bearing] de 150 ° depuis Fhrarad ils perdirent leurs communications (UHF et interphone) et les instruments fluctuèrent de 30 ° à 50 °. Le seul avion de ligne civil qui approchait Mehrabad durant cette même période firent l'expérience de pannes de communications dans la même région (KILO ZULU) mais ne signalèrent pas avoir vu quoi que ce soit. Alors que le F-4 était sur une longue approche finale l'équipage remarqua un autre objet de forme cylindrique a peu près de la taille d'un T-bord à 10M (10000 pieds) avec des lumières fixes brillantes sur chaque extrêmité et un clignotant au milieu. Interrogée, la tour indiqua qu'il n'y avait aucun autre traffic connu dans la zone. Durant le moment où l'objet passa au-dessus du F-4 la tour ne le repéra pas visuellement mais le repérèrent après que le pilote leur ai dit de regarder entre la montagne et la rafinerie.
Pendant la journée l'équipage du F-4 fut emené dans un hélicoptère vers la zone où l'objet avait apparemment atterri. Rien ne fut remarqué sur le lieu où ils pensaient que l'objet avait atterri (le lit d'un lac asseché) mais alors qu'ils faisaient des cercles au large à l'Ouest de la zone ils repérèrent un signal beeper très remarquable. Au point où le retour était le plus fort se trouvait une petite maison avec un jardin. Ils atterrirent et demandèrent aux gens à l'intérieur s'ils avaient remarqué quelque chose d'étrange la nuit dernière. Les gens parlèrent d'un fort bruit et d'une lumière très vive comme un éclair. L'appareil et la zone où l'objet est supposé avoir atterri sont examiné pour des radiations possibles.
Page 4 du document d'origine
Commentaires RO : *** Les informations effectives contenues dans ce rapport ont été obtenues d'une source en conversation avec une sous-source, et le pilote IIAF de l'un des F-4S.
Plus d'informations seront transmises à mesure quelles seront disponibles.
BT
#9575
ANNOTES
JEP 117
La DIA aurait qualifié de télétype de rapport exceptionnel. Ce cas est un classique qui rencontre tous les critères nécessaires pour une étude valide du phénomène ovni. L'analyse qualifie la performance de l'ovni d'impressionnante, notant que les objets ont montré une quantité excessive de manoeuvrabilité.
Confirmation jumelle ?
A noter que le jour de l'observation, à 4 ou 5 h du matin, un ovni a été vu au Maroc, volant à peu près parallèlement à la côte Atlantique. Pendant 1 h à partir de 1 h du matin heure locale, un ovni brillant a été observé laissant des étincelles dans son sillage, volant lentement à une altitude estimée à 1000 m, survolant le pays du sud au nord. Des rapports émanent d'Agadir, de Kalaa Sraghna, d'Essaouira, de Casablanca, de Rabat et de Fez. L'ovni vu de loin ressemblait à un disque et de plus près à un cylindre.
Références :
Journal de Téhéran, 20 septembre 1976
IUR, Janvier 1978, pp. 6-7
Greenwood, B. et Fawcett, L., Clear Intent, 82-85, 1984
Maccabee, B. "Iranian Jet Case" [PDF, 1 Mo], 2006
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L’incident de Téhéran a eu lieu dans la nuit du 18 au 19 Septembre 1976, en Iran. Il s'agit d'un des plus célèbre cas de poursuite avion de chasse/OVNI. Aucune explication sérieuse n'a pu être fournie pour l'instant, d'autant plus que cet incident a aussi été confirmé par radar. L'affaire a par ailleurs donné lieu à un rapport secret puis déclassifié de la DIA, organisation de renseignement militaire du Pentagone.
Sommaire
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1 Les faits
2 Rapport de la DIA
3 Suites de l'affaire
4 Liens externes
Les faits [modifier]
Vers minuit trente, le 19 septembre 1976, le PC de l'armée de l'air iranienne reçoit plusieurs appels téléphoniques de personnes ayant aperçus des objets lumineux dans le ciel, au nord de Téhéran dans le quartier de Shamiran. Les militaires réalisant qu'aucun hélicoptère ou avion n'en est la cause, ils préviennent le général Yousefi. Le général n'en croit pas un mot et dit à ses subordonnés qu'il doit s'agir d'une simple étoile. Mais après avoir parlé avec le personnel de la tour de contrôle de l'aéroport de Mehrabad, il va voir par lui même et peut observer un grand OVNI lumineux et constater qu'il ne s'agit pas d'une étoile. A 1h30 du matin il envoie un chasseur F-4 Phantom pour éclaircir la situation. Le pilote de l'avion de chasse et son navigateur voient eux aussi l'OVNI, mais arrivé à 45 km de l'objet, les instruments de communications se bloquent. Ils croient à une panne et font demi-tour. Mais une fois reparti à plus de 45 kilomètres de l'OVNI, ils constatent que leurs instruments remarchent.
Peu après, un second F-4 est envoyé, avec la même mission. Le copilote voit l'objet sur son radar, qui a la même signature qu'un Boeing 707. Cependant, en visuel, l'objet émet une lumière éblouissante même à des dizaines de kilomètres, de plusieurs couleurs, ce n'est donc pas un avion de ligne. Les pilotes constatent eux aussi cette même panne des communications à moins de 45 km, tandis que l'objet semble vouloir garder une "distance de sécurité". C'est alors qu'un objet plus petit se "détache" de l'OVNI fonçant à plusieurs fois la vitesse du son sur le F-4. Le pilote tente de tirer un missile AIM-9 Sidewinder pour se défendre mais les commandes d'armements ne marchent plus non plus. L'avion entame alors une manœuvre de fuite, toujours poursuivit par le petit OVNI qui finit par le dépasser, lui couper la route pour enfin faire demi-tour et rejoindre l'OVNI principal. Une fois plus loin, l'avion retrouva l'usage de toutes ses commandes. Peu après, un petit objet quitta à nouveau l'OVNI pour se poser au sol, illuminant durant quelques instants une zone de plusieurs kilomètres, éblouissant les deux pilotes du F-4 qui durent attendre de s'être réaccoutumé à l'obscurité pour atterrir enfin à Mehrabad. Juste avant d'atterrir, le F-4 remarqua un autre OVNI lumineux, cylindrique celui-là.
Par ailleurs, un avion de ligne souffrit des mêmes défaillances de ses appareils de communications une fois à moins de 45 km de l'objet, alors qu'il allait atterrir à Mehrabad. Peu après, le gros OVNI s'éloigna vers l'Ouest pour disparaitre derrière l'horizon.
Une fois le jour levé, des recherches furent entreprises à l'endroit ou le petit OVNI avait peut-être atterri (une sorte de lac asséché) mais on ne trouva rien. Cependant, des gens habitants près de là dirent avoir vu une forte lumière durant cette nuit et entendu un fort bruit.
Rapport de la DIA [modifier]
À l'époque, l'Iran étant un allié des États-Unis, la DIA put accéder aux informations de l'Armée de l'Air iranienne. Ce rapport déclara :
"Un rapport exceptionnel. Ce cas est un classique qui rassemble tous les critères nécessaires pour une étude valide du phénomène d'UFO :
L'objet a été vu par de nombreux témoins de différents endroits (c’est-à-dire, Shamiran, Mehrabad, et le lit sec du lac) et de points de vue (au sol et dans les airs).
La crédibilité de plusieurs des témoins était haute (un général de l'Armée de l'Air, des équipages qualifiés, le personnel de la tour de contrôle).
La présence de l'OVNI a été confirmée par le radar.
Des effets électromagnétiques semblables ont été rapportés par trois avions différents
Il y avait des effets physiologiques similaires sur plusieurs pilotes (c.-à-d., perte de vision de nuit due à l'éclat de l'objet).
l'OVNI à fait preuve d'une manœuvrabilité impressionnante"
Cependant, aucune preuve ne permet d'indiquer l'origine de ces OVNI.
Suites de l'affaire [modifier]
25 minutes après les faits, un objet similaire fut aperçu au dessus de la Méditerranée par un pilote de chasse égyptien, puis plus tard, au dessus du Portugal par l'équipage et les passagers d'un avion de ligne de la compagnie KLM. Vers 5h du matin, de nombreuses personnes ont signalés avoir aperçus un OVNI au dessus du Maroc, volant vers le Sud-Ouest, et dont la description concorde encore avec l'OVNI de Téhéran. On peut donc penser que dans les quatre cas il s'agit du même OVNI, qui aurait volé de l'Iran au Portugal en passant au dessus de la Méditerranée, avant de bifurquer au Sud-Ouest vers le Maroc pour ensuite aller au-dessus de l'Atlantique. A-t-il été vu par des navires au-dessus de l'Atlantique sud, ou alors en Amérique du Sud ? Si observations il y a eu, elles n'ont pas été rapportées, il est donc impossible de le savoir.
Parmi les protagonistes de l'affaire et les témoins, tous décriront les mêmes choses, sans contradictions. Certains défendront à titre personnel l'idée qu'il s'agit d'un engin d'origine extra-terrestre, mais il s'agit de présomptions qu'aucune preuve ne vient appuyer (ni infirmer).
Le debunkeur Philip Klass expliquera cet incident par une conjonction entre la confusion avec un astre (Jupiter selon lui), des problèmes techniques sur les avions et même l'incompétence des pilotes. Cependant, il n'explique pas les observations du pilote égyptien, des passagers de la KLM et des civils marocains peu après. Il n'explique pas non plus comment la brillance de Jupiter aurait pu éblouir des pilotes de chasse au point de retarder leur atterrissage, et comment un astre même brillant aurait pu brouiller les commandes de vol de différents avions de chasse et même poursuivre l'un d'eux. Cette interprétation est donc contestée par les témoins de l'incident ainsi que par les ufologues.
Aujourd'hui, aucun élément nouveau n'a été avancé et l'affaire a été classée. Au vu des performances de l'OVNI en question, ce cas est l'un des favoris des ufologues partisans de l'hypothèse extra-terrestre.
Liens externes [modifier]
(fr) L'observation de Téhéran
(en) [1]
(en) http://www.nicap.org/tehran1.htm
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L'observation de Téhéran (1976)
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Le 19 septembre 1976 à 0 h 30 à Téhéran (Iran), plusieurs personnes voient des ovnis, et alertent les autorités par téléphone.
A 1 h 30, alertée par plusieurs appels de civils signalant une grosse étoile très lumineuse, et 2 contrôleurs de l'aéroport détectant un objet non identifié, (l'armée américaine ?) dépêche sur place un avion F-4 Phantom à sa rencontre, qui décole de la base de l'Imperial Iranian Air Force (IIAF) de Shahrokhi, près de Hamandan. Le pilote confirme l'existence de l'ovni, de forme ronde. Lorsqu'il s'approche, celui-ci accélère de plusieurs fois la vitesse du son, puis, effectuant une brusque volte-face, il se met à poursuivre son chasseur pendant quelques minutes. Lorsque le pilote veut faire feu, les commandes ne répondent pas : tous les instruments, y compris la radio, refusent de fonctionner dans un rayon de 5 km autour de l'objet. Il doit retourner à la base.
A 1 h 40, un 2nd F-4 est envoyé en reconnaissance. Arrivé en vue de l'objectif, son radar lui révèle que l'ovni est de la taille d'un Boeing 707. L'objet émêt des lumières clignotantes et colorées, comme un stroboscope, en triangle. Lorsque le F-4 est à moins de 40 km de l'ovni, l'objet s'éloigne très vite, pour ensuite maintenir une certaine distance entre eux 2. Un second objet sort ensuite de l'ovni, se dirigeant à vive allure vers ke F-4, comme un missile. Le pilote tente de tirer un missile AIM-9 mais son système de contrôle de l'armement ainsi que sa radio cessent de fonctionner. Il plonge pour tenter d'échapper au missile. L'objet s'arrête net et retourne immédiatement se fondre dans l'ovni, qui largue vers le sol un nouvel objet plus petit. Celui se pose et illumine les environs. Le F-4 descend pour observer la zone puis se rend à l'aéroport de Mehrabad. Comme il va y atterrir, un autre ovni, cylindrique, passe au-dessus de lui et est observé par les aiguilleurs de Mehrabad.
Le 22 septembre le major Roland B. Evans, analyste de capacité militaire pour l'USAF, émet le Rapport d'évaluation d'information (IR) de défense n° 6846013976 pour la DIA :
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ACTION
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(U) Iran
Observation d'ovni signalée (U)
(U) NA
(U) 19 & 20 septembre 1976
(U) Téhéran, Iran; 20 septembre 1976
(U) F-6
(U) 6 846 0008 (Notez commentaires RO)
(U) 6 846 0139 76
(U) 22 sep 76
(U) NA
(U) "Initiate" IPSP PT-1440
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(U) USDAD, Téhéran (Iran)
(U) Frank B, McKenzie, COL, USAF, SATT
(U) NA
*** Ce rapport transmet les informations concernant l'observation d'un ovni en Iran le 19 septembre 1976.
Vers 0 h 30 environ le 19 septembre 1976 le xxxxxxxx reçut 4 appels téléphoniques de citoyens vivant dans la région de Shemiran de Téhéran indiquant qu'ils avaient vu des objets étranges dans le ciel. Certains signalaient une sorte d'objet semblable à un oiseau tandis que d'autres signalèrent un hélicoptère avec un feu allumé. Il n'y avait pas d'hélicoptère en vol à ce moment. Après avoir dit aux citoyens qu'il s'agissait seulement d'étoiles et avoir parlé à la Tour de Mehrabad il décida de voir par lui-même. Il remarqua un objet dans le ciel ressemblant à une étoile, plus grand et plus lumineux. Il décida d'envoyer un F-4 depuis la base aérienne de Shahrokhi pour enquêter.
A 1 h 30 le 19 le F-4 décolla et et procéda en un point à environ 40 miles nautiques au Nord de Téhéran. En raison de sa brillance l'objet était facilement visible à 70 miles de distance. Alors que le F-4 approchait à une portée de 25 miles nautiques il perdit toute son instrumentation et ses communications (UHF et intercom). Il rompit l'interception et retourna à Shahrokhi. Lorsque le F-4 fit un virage pour s'éloigner de l'objet et n'était apparemment plus une menace pour lui l'appareil récupéra l'ensemble de son instrumentation et de ses communications. A 1 h 40 un 2nd F-4 fut envoyé. Le pilote à l'arrière acquit un verrouillage radar à 27 miles nautiques, à la position 12 h avec un VD (rythme de rapprochement) de 150 miles nautiques/h. Alors que la distance diminuait à 25 miles nautiques l'objet s'éloigna à une vitesse qui fut visible sur l'écran radar et resta à 25 miles nautiques.
La taille du retour radar était comparable à celle d'un tanker 707. La taille visuelle de l'objet était difficile à discerner en raison de son extrême brillance. La lumière qu'il émanait était celle de lumières stromboscopiques clignotantes arrangées selon un motif rectangulaire et alternant couleurs bleu, vert, rouge et orange. La séquence des lumières était si rapide que l'ensemble des couleurs pouvait être vu d'un coup. L'objet et le F-4 poursuivant continuèrent sur une trajectoire vers le Sud de Téhéran lorsqu'un autre objet illuminé, estimé à 1/2 ou 1/3 de la taille apparente de la Lune, sortit de l'objet d'origine. Ce 2nd objet partit droit vers le F-4 avec une accélération très rapide. Le pilote tenta de tirer un missile AIM-9 sur l'objet mais à cet instant son panneau de contrôle de l'armement s'éteignit et il perdit toutes les communications (UHF et interphone). A ce moment le pilote initia un virage et une plongée à G négatif pour partir. Alors qu'il virait l'objet tomba dans son sillage à ce qui sembla être 3 à 4 miles nautiques alors qu'il continuait dans son virage au loin depuis l'objet principal le 2nd objet partit à l'intérieur de son virage puis revint à l'objet principal pour le rejoindre parfaitement.
Page 3 du document d'origine
Peu après le que 2nd objet ait rejoint l'objet principal un autre objet apparut sortir de l'autre côté de l'objet principal et partir droit vers le bas avec une grande accélération. L'équipage du F-4 avait récupéré ses communications et le panneau de contrôle des armes et regardait l'objet approcher le sol anticipant une grande explosion. Cet objet parut arriver pour reposer doucement sur terre et projeter une lumière très brillante sur une zone de 2 à 3 km environ. L'équipage descendit de son altitude de 25 miles nautiques à 15 miles nautiques et continua à observer et marquer la position de l'objet. Ils avaient quelque difficulté à ajuster leur visibilité de nuit pour atterrir et donc après avoir fait quelques tours autour de Mehrabad ils partirent pour un atterrissage direct. Il y avait beaucoup d'interférences sur l'UHF et chaque fois qu'ils passaient à travers [a mag. bearing] de 150 ° depuis Fhrarad ils perdirent leurs communications (UHF et interphone) et les instruments fluctuèrent de 30 ° à 50 °. Le seul avion de ligne civil qui approchait Mehrabad durant cette même période firent l'expérience de pannes de communications dans la même région (KILO ZULU) mais ne signalèrent pas avoir vu quoi que ce soit. Alors que le F-4 était sur une longue approche finale l'équipage remarqua un autre objet de forme cylindrique a peu près de la taille d'un T-bord à 10M (10000 pieds) avec des lumières fixes brillantes sur chaque extrêmité et un clignotant au milieu. Interrogée, la tour indiqua qu'il n'y avait aucun autre traffic connu dans la zone. Durant le moment où l'objet passa au-dessus du F-4 la tour ne le repéra pas visuellement mais le repérèrent après que le pilote leur ai dit de regarder entre la montagne et la rafinerie.
Pendant la journée l'équipage du F-4 fut emené dans un hélicoptère vers la zone où l'objet avait apparemment atterri. Rien ne fut remarqué sur le lieu où ils pensaient que l'objet avait atterri (le lit d'un lac asseché) mais alors qu'ils faisaient des cercles au large à l'Ouest de la zone ils repérèrent un signal beeper très remarquable. Au point où le retour était le plus fort se trouvait une petite maison avec un jardin. Ils atterrirent et demandèrent aux gens à l'intérieur s'ils avaient remarqué quelque chose d'étrange la nuit dernière. Les gens parlèrent d'un fort bruit et d'une lumière très vive comme un éclair. L'appareil et la zone où l'objet est supposé avoir atterri sont examiné pour des radiations possibles.
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Commentaires RO : *** Les informations effectives contenues dans ce rapport ont été obtenues d'une source en conversation avec une sous-source, et le pilote IIAF de l'un des F-4S.
Plus d'informations seront transmises à mesure quelles seront disponibles.
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JEP 117
La DIA aurait qualifié de télétype de rapport exceptionnel. Ce cas est un classique qui rencontre tous les critères nécessaires pour une étude valide du phénomène ovni. L'analyse qualifie la performance de l'ovni d'impressionnante, notant que les objets ont montré une quantité excessive de manoeuvrabilité.
Confirmation jumelle ?
A noter que le jour de l'observation, à 4 ou 5 h du matin, un ovni a été vu au Maroc, volant à peu près parallèlement à la côte Atlantique. Pendant 1 h à partir de 1 h du matin heure locale, un ovni brillant a été observé laissant des étincelles dans son sillage, volant lentement à une altitude estimée à 1000 m, survolant le pays du sud au nord. Des rapports émanent d'Agadir, de Kalaa Sraghna, d'Essaouira, de Casablanca, de Rabat et de Fez. L'ovni vu de loin ressemblait à un disque et de plus près à un cylindre.
Références :
Journal de Téhéran, 20 septembre 1976
IUR, Janvier 1978, pp. 6-7
Greenwood, B. et Fawcett, L., Clear Intent, 82-85, 1984
Maccabee, B. "Iranian Jet Case" [PDF, 1 Mo], 2006
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La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Salut PO !
Ahhhhh, ça fait du bien de se lâcher un peu, heing ? Ca faisait longtemps que tu n'avais pas floodé de la sorte.
La photocopieuse semble avoir été réparée.
Ahhhhh, ça fait du bien de se lâcher un peu, heing ? Ca faisait longtemps que tu n'avais pas floodé de la sorte.

La photocopieuse semble avoir été réparée.

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- Messages : 308
- Inscription : 04 août 2007, 21:55
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
BOINC BOINC, je me demande ce que tu viens faire sur le forum OVNI.....
Tu devrais plutôt aller au bistrot du coin car j'ai la sensation que tu aimes bien
bavarder pour ne rien dire, non ?
Tu bosses dans quel domaine ?
Tu devrais plutôt aller au bistrot du coin car j'ai la sensation que tu aimes bien
bavarder pour ne rien dire, non ?
Tu bosses dans quel domaine ?
La science a les limites des connaissances de son propre temps. L'imagination n'a et n'aura jamais de limites...
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Salut PO...
tu dis :
)
tu dis :
Non, pas vraiment.PREUVE OVNI a écrit : Tu devrais plutôt aller au bistrot du coin car j'ai la sensation que tu aimes bien
bavarder pour ne rien dire, non ?
Si ça t'intéresse vraiment, je suis étudiant en Fac de sciences. (je ne vois pas en quoi ça va t'avancer sur quoi que ce soitPREUVE OVNI a écrit : Tu bosses dans quel domaine ?

- Jonathan l
- Messages : 2332
- Inscription : 19 juil. 2007, 03:02
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
ben c'est ce que je disais.M. Michel Algrin, docteur d'état en sciences politiques, avocat à la cour
M. Pierre Bescon, ingénieur général de l'armement
M. Denis Blancher, commissaire principal de la police nationale au ministère de l'intérieur
M. Jean Dunglas, docteur-ingénieur, ingénieur général honoraire du Génie rural et des eaux et forêts
M. Bruno Le Moine, général de l'armée de l'air
Mme Françoise Lépine, de la Fondation pour les études de défense
M. Christian Marchal, ingénieur en chef des Mines, directeur de recherches à l'ONERA
M. Marc Merlo, vice-amiral d’escadre
M. Alain Orszag, docteur d'état en sciences physiques, ingénieur général de l'armement
Aucun d'eux (Sauf le dernier) n'a de formation dans une science pertinente. Certain n'ont pas de formations scientifque. Pas parceque tu as un doctorat en science politique ou genie rural des eaux que tu peut te dire un scientifique et parlez des ovnis. Le dernier est le seul qui semble avoir la bonne formation. Et encore un doctorat en science phyique c'est encore un peu large.
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Salut,
Sommes-nous supposés être plus convaincu par une avalanche pareille? Qui l'a lu?
Santé EPO!
Beaucoup d'infos, peu d'analyse...Alexandre a écrit :Salut PO !
Ahhhhh, ça fait du bien de se lâcher un peu, heing ? Ca faisait longtemps que tu n'avais pas floodé de la sorte.
La photocopieuse semble avoir été réparée.
Sommes-nous supposés être plus convaincu par une avalanche pareille? Qui l'a lu?

Santé EPO!
Mike Godwin a écrit :Je m'inquiète pour le jour où, dans 10 ou 15 ans, ma fille me demandera : "Papa, tu faisais quoi quand ils ont censuré la liberté de la presse sur Internet ?
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Ah bon? On est supposé lire?El Kabong a écrit :Salut,Beaucoup d'infos, peu d'analyse...Alexandre a écrit :Salut PO !
Ahhhhh, ça fait du bien de se lâcher un peu, heing ? Ca faisait longtemps que tu n'avais pas floodé de la sorte.
La photocopieuse semble avoir été réparée.
Sommes-nous supposés être plus convaincu par une avalanche pareille? Qui l'a lu?
![]()
Santé EPO!

J'ai pas vu une photocopieuse si énergique depuis les anti-juiveries de MOSSAD et les zozoteries de Ti-Pol.

Tiens je propose un concour: Trouvons un avatar à PO.
Voici ma proposition.

.....

"If you're easily offended you can also be easily manipulated."
---
---
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Pas mal...Red Pill a écrit : Tiens je propose un concour: Trouvons un avatar à PO.
Voici ma proposition.
.....
Je propose celle-ci :


Si Dieu existait, il faudrait s'en débarrasser. (Michel Bakounine)
Mon blog : critique de l’idéologie dominante et promotion de la philosophie libertaire
Mon blog : critique de l’idéologie dominante et promotion de la philosophie libertaire
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Le rapport Cometa ?
Une simple association 1901 qui, entre autre, cite le fameux cas Duboc ou le ballon de Fartek (ballon d'enfant) ?
Nous parlons bien du même non ?
Une simple association 1901 qui, entre autre, cite le fameux cas Duboc ou le ballon de Fartek (ballon d'enfant) ?
Nous parlons bien du même non ?

- Hallucigenia
- Modérateur
- Messages : 5193
- Inscription : 02 févr. 2006, 10:24
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Salut Patrice,
Bienvenue sur le forum. Tu réponds ici à un message assez ancien.
Et comme il est indiqué sur son profil, PREUVE OVNI n'est pas passé sur le forum depuis le 8 mai 2008. Je doute donc qu'il réponde un jour à ton message.
Ceci dit, PREUVE OVNI était un mythomane déjanté, son départ est plutôt une bonne chose
Amicalement,
Hallucigenia
Bienvenue sur le forum. Tu réponds ici à un message assez ancien.
Et comme il est indiqué sur son profil, PREUVE OVNI n'est pas passé sur le forum depuis le 8 mai 2008. Je doute donc qu'il réponde un jour à ton message.
Ceci dit, PREUVE OVNI était un mythomane déjanté, son départ est plutôt une bonne chose

Amicalement,
Hallucigenia
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Vi, mais je découvre le forum.
Et le titre était alléchant.
Donc, cher et sublime modo * nous n'aurons plus de Preuve d'Ovni ? Mince alors ! Voila trente cinq ans que j'en cherche en vain...
* D'entrèe de jeu il faut bien se faire voir d'un modo...
Patrice

Et le titre était alléchant.
Donc, cher et sublime modo * nous n'aurons plus de Preuve d'Ovni ? Mince alors ! Voila trente cinq ans que j'en cherche en vain...

* D'entrèe de jeu il faut bien se faire voir d'un modo...
Patrice
Re: Rapport COMETA sur WIKIPEDIA : travail sérieux et rigoureux
Yo patrice !
En relisant je me posé la question : il est pas de chez nous ce preuve ovni ?
Il me rappelle fort un benzemaz en gestation ...

En relisant je me posé la question : il est pas de chez nous ce preuve ovni ?
Il me rappelle fort un benzemaz en gestation ...

NEMROD34 S.A.R.L de démolition minutieuse de foutaises.
Siret : 123456789
Capital 3 millions de brouzoufs
Certifié sans chat.
Militant du: " MITCH S'en Fout "= Milite pour Images, Trucs à la Con, Humour, Sur le Forum.
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