Pardalis a écrit : Une personne qui sera responsable, et disponible. Une personne qui est la « bonne », qui est compatible avec soi.
Ça n'existe que dans les conte de fée pour moi.
Parfois les gens changent, très doucement, ou rapidement.
Si avant on pensait que nos grand parent était fait l'un pour l'autre, c'est qu'il avait moins peur de tomber, pour certains, dans une forme de dépendance affective.
Et pourquoi "disponible" ?
Une personne responsable à forcement besoin d'une cellule familiale passé l'age adulte ?
La question centrale n'est donc pas cela Pardalis.
Mais c'est
l'enfant. L'enfant lui n'a pas le choix d’être dépendant. A tout les niveaux.
Mais le but est bien de faire en sorte qu'il le deviennent ensuite le moins possible, du moins financièrement, mais aussi un excès de dépendance affective fait de gros ravages...il doit être capable, si besoin, de se séparer d'une famille si il n'y est plus heureux au-bout de plusieurs années.
Non ?
Comment un enfant réagit avec des parents en conflits ?
Alors qu'avant, l'autre était "la bonne personne" (les parents, entre-eux) ?
Enfin...c'est une opinion, j'ai pas fait d’études à ce sujet hein
Et ce n'est pas le lot seulement des familles pauvres, un père absent peut être aussi un père bien nanti, mais ses enfants en souffriront toute leur vie, et la pauvreté et la criminalité est une conséquence fréquente.
Je n'en suis pas certain.
Certains pères ferait mieux d’être plus absent que d'autre.
Aussi, les générations actuelles supportent bien mieux l'absence d'un parent par rapport au fait que c'est socialement bcp moins rare.
Donc d'autre liens sociaux se créer, et des miroirs (pour le développement personnel) aussi, en grand nombre.
Puis ça dépend de l'enfant.
Vraiment, sans parler de probleme cognitifs majeur ou de psychopathologie.
Par exemple, des amis de mes parents on divorcés. L'un à bcp souffert en apparence, il est devenue géologue. Il sais ce qu'il veut.
L'autre moins en apparence, il est un peu perdu (enfin c'est relatif), il travail pas. Mais il est bcp plus calme (il s’énerve pas, par exemple, ou alors avec bcp de retenue).
Une collègue à eu un père "absent" (un gros travailleur et PDG, et avec plusieurs passions...donc très absent... mais pas de divorce, sauf actuellement, alors qu'elle avait 27 ans, donc c'est bcp moins grave).
Elle ne semble pas en avoir souffert et m'assure que ça à tjr été une fierté de s’être débrouillé seule très jeune et d’être devenue débrouillarde ainsi.
Elle aime c'est parents, mais elle à aussi pris c'est ailes très vite (elle à un attachement peut-être moindre que certains).
Par-contre, si on étudie le probleme avec des études sociologiques, je suis prêt à admettre que votre vision est plus proche de la réalité générale.
Tenez, la tendance généralisatrice vient possiblement à votre avantage.
Mais comme dit, je doute que notre vision de la structure familiale soit la seule viable.
Qu'elle soit la plus viable dans nos sociétés
en cour de modernisation. Ok.
Quelle soit la seule viable (donc structure familiale ultra-solide), je ne sais pas.
Il est peut-être temps de sortir des études la (mais bon, je me connais, je vais relativiser, la sociologie est une science molle)
Edit : pour être honnête, j'ai conscience de rationaliser bcp sur ce sujet.
Puisque je suis un peu concerné (dans le mauvais rôle, je ne suis plus un enfant, du moins légalement

), que c'est trop tard, et que j'ai pas envie de "perde du temps" et de l’énergie avec des souffrances inutiles.
Comme ça vous pourrez aussi relativiser ce que je dit
