Re: Mythes sur la physique quantique
Publié : 13 avr. 2019, 14:17
Je note! Merci pour les précisions, jeune échalote. (LoutredeMer a écrit : 13 avr. 2019, 11:00 On est plutot dans l'emploi fautif et l'erreur de syntaxe, jeune ananas () [...]

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Dans mon dico Antidote (celui que j'utilise couplé avec Word), « malgré que » est synonyme de « nonobstant » et tous deux ont le sent de :
« sans tenir compte de » « bien que », etc.
La raison pourquoi, à l'école, j'avais toujours des 98% en compréhension de texte, mais des 58% en orthographe/grammaire, c'est tout simplement que j'ai perdu tout intérêt lorsque que j'avais réalisé qu'il y avait plein d'arbitraires aux dépens de la logique. Et quand, en plus, je constatais que ceux qui avaient de bons scores en orthographe n'étaient pas les plus doué en compréhensions, je me suis probablement dit à l'époque qu'il valait mieux comprendre le fond qu'exceller dans la forme sans trop piger. Bon, ok, c'était un faux dilemme et, à l'époque, ça m'a servi de justification pour ne pas m'appliquer à bien écrire, mais même aujourd'hui, je trouve certaines règles emmerdantes. Une langue, ça se définit beaucoup plus par ce à quoi les mots réfèrent inter-subjectivement dans son usage par le plus grand nombre que par ce que décident arbitrairement certains individus membres d'une académie.
Ce qui m'intéresse surtout dans la langue, c'est surtout la pragmatique (qui est une discipline scientifique à ne pas confondre avec l'emploi du même mot au sens de « pragmatisme ») qui traite de l'analyse des échanges langagiers et des phénomènes intervenant dans l'interprétation des énoncés, mais que ni la syntaxe (la forme) ni la sémantique (le sens de chaque mot coupé du reste) ne traitent. Je focalise donc essentiellement sur le contexte et sur ce qui « émerge » de l'ensemble d'un texte (aux dépens de la forme) quand je lis les autres et, malheureusement, quand j'écris.
Mais bon, ça pourrait faire l'objet d'un tout autre sujet. Ceci dit, je prends quand même tout conseil et remarque concernant l'orthographe puisque j'ai quand même fini par saisir l'intérêt d'écrire un minimum correctement.
« sans tenir compte de » « bien que », etc.
La raison pourquoi, à l'école, j'avais toujours des 98% en compréhension de texte, mais des 58% en orthographe/grammaire, c'est tout simplement que j'ai perdu tout intérêt lorsque que j'avais réalisé qu'il y avait plein d'arbitraires aux dépens de la logique. Et quand, en plus, je constatais que ceux qui avaient de bons scores en orthographe n'étaient pas les plus doué en compréhensions, je me suis probablement dit à l'époque qu'il valait mieux comprendre le fond qu'exceller dans la forme sans trop piger. Bon, ok, c'était un faux dilemme et, à l'époque, ça m'a servi de justification pour ne pas m'appliquer à bien écrire, mais même aujourd'hui, je trouve certaines règles emmerdantes. Une langue, ça se définit beaucoup plus par ce à quoi les mots réfèrent inter-subjectivement dans son usage par le plus grand nombre que par ce que décident arbitrairement certains individus membres d'une académie.
Ce qui m'intéresse surtout dans la langue, c'est surtout la pragmatique (qui est une discipline scientifique à ne pas confondre avec l'emploi du même mot au sens de « pragmatisme ») qui traite de l'analyse des échanges langagiers et des phénomènes intervenant dans l'interprétation des énoncés, mais que ni la syntaxe (la forme) ni la sémantique (le sens de chaque mot coupé du reste) ne traitent. Je focalise donc essentiellement sur le contexte et sur ce qui « émerge » de l'ensemble d'un texte (aux dépens de la forme) quand je lis les autres et, malheureusement, quand j'écris.
Mais bon, ça pourrait faire l'objet d'un tout autre sujet. Ceci dit, je prends quand même tout conseil et remarque concernant l'orthographe puisque j'ai quand même fini par saisir l'intérêt d'écrire un minimum correctement.
