Le problème c'est que ces raisons véritables sont subjectives. Ceux qui ont besoin de pouvoir et de richesses matérielles se foutent totalement de ce que vous vous considérez comme vos raisons véritables. Pourriez-vous me dire que risque un athée à mal se comporter s'il le fait de manière à se soustraire à toute justice humaine? Vous ne comprenez pas la stupidité fondamentale de votre discours?Jean-Francois a écrit :Pour exactement les mêmes raisons véritables qu'un croyant devrait bien se comporter. Essentiellement pour lui.Ghost a écrit :Pourquoi devrait-il forcément bien se comporter?
Nième rappel:
Un croyant qui se comporte mal sait ou croit qu'il devra affronter une justice divine dans cette vie, dans une autre ou dans l'au-delà. Un athée qui se comporte mal et qui le fait intelligemment peut tout à fait se soustraire à toute justice. Entre un mauvais croyant et un mauvais athée il vous est si difficile de comprendre que le mauvais athée N'A AUCUNE RAISON DE BIEN SE COMPORTER? Etes-vous réellement bouché à ce point?
Vous mélangez tout, mon pôv' vieux. Vous confondez les droits que l'on établit par la réflexion sur l'homme et la capacité réelle qu'on les êtres humains à respecter ces droits. C'est un problème de justice et de punition. La menace d'une punition divine (sous la forme d'un karma, d'un jugement divin ou de notre propre conscience) vous poursuit où que vous puissiez aller ou vous cacher. Il est impossible d'y réchapper. Ce n'est pas le cas pour un mauvais athée qui se contre-fout de la morale et qui possède un très bas niveau de conscience.Jean-Francois a écrit : ...A l'inverse, je retiens que la liste des avancées sociales que le même lilshao présente comme caractéristiques d'une évolution sociale humaine sont des progrès qui n'ont strictement rien à voir avec la religion. Et ça, c'est ce que plusieurs d'entre nous vous ont déjà signalé: les droits de l'homme commence par une réflexion sur l'homme et non par l'adhésion à un pseudo-message divin/spirituel.
Ben non, ce n'est pas pareil pour un croyant.Jean-Francois a écrit :Pareil pour les croyants...L'important c'est qu'il soit heureux, même si souvent c'est au détriment d'autruis

Par contre, le mauvais athée qui abuse d'autrui n'a aucune raison de se créer un scrupule particulier. Violer et assassiner tranquillement une fillette dans un bois et penser ne devoir rendre compte qu'à une justice humaine facilite le passer à l'acte. Donc, l'athéisme encourage bel et bien l'immoralité à partir du moment ou le niveau de conscience est bas et que l'on peut facilement se soustraire à la justice humaine (c'est pas grave, ça fait seulement une vingtaine de fois que je le réécris

Tss rss tss, on parle évidemment des religions et des doctrines connues pour leur haute qualité de leurs enseignements spirituels (bouddhisme et diverses doctrines spirites et new-âge). Est-ce que je m'amuse à contester ce que la science savait il y a 2000 ans? non! Alors à quoi ça sert de nous brasser continuellement avec de vieux arguments et la connerie humaine passée? Quand allez-vous vous décider de sortir la tête de votre trou?Jean-Francois a écrit :Pas besoin de contraindre par la force un athée plus qu'un croyant à aimer autrui. Si vous sortiez de vos fantasmes et étiez capable de constater que les religions sont des supports irrationnels supplémentaires à la haine entre les êtres, vous auriez une vision plus juste des chose.Parce que la morale est une notion qui se valide empiriquement vous allez peut-etre contraindre par la force un athée à aimer, tolérer et respecter autruis?
Pas besoin de beaucoup fumer pour comprendre que s'il existe un Dieu infini on ne peut que connaître des lois relatives mais pouvant se classer d'une façon hiérarchique.Jean-Francois a écrit :Ben voyonsLes bases ont une origine divine relative et non absolueEn fait, vous seriez bien incapable de justifier votrre "évidence" autrement que de manière fumeuse.
Toujours votre totale incompréhension du discours. J'ai déjà suffisamment répondu à cet argument. Contrairement au mauvais athée, le mauvais religieux qui adhère au message essentiel aura forcément des remords de conscience, sinon il ne peut être croyant. Ce n'est pas le cas pour l'athée qui aura des remords selon son niveau de conscience.Jean-Francois a écrit :C'est de la foutaise! qui ne tient, enfin pour vous, que parce que vous posez le problème pour avoir forcément raison ("pile je gagne, face vous perdez"). Vous ne considérez que comme vrai/bon religieux que ceux qui, selon vous, adhère au "message essentiel".Un notion qui se valide empiriquement n'est pas forcément une notion à laquelle on adhère, sieur jF, alors que lorsqu'on adhère à une religion on adhère forcément aux principes qu'elle enseigne
Dites-moi, ducon, pouvez-vous me citer les passages ou saint Bricmont enseigne quoique ce soit de moral? Il se borne à une analyse très personnelle du lien qu'il peut y avoir entre la science et la foi/religion. Vous n'avez même pas lu votre propre lien espèce de clown (ou alors il y a très longtemps). D'autre part, pauvre niais, je vous ai déjà précisé que l'éthique athée fait partie intégrante de l'enseignement spirituel. Mais ce n'est qu'une infime partie.Jean-Francois a écrit :Comme quoi, pour vous, si une éthique ne repose pas sur des bases spirituelles (surtout pseudo-spirituelles) elle n'est pas bonne, peut importe les arguments sur lesquels elle repose et les conséquences qu'elle a. C'est gentil de votre part de montrer à quel point vous êtes un con borné.l'enseignement spirituel de saint Bricmont est remarquable
Ghost