Certes, mais je ne pense pas que cela soit un vrais probleme, peut-être au yeux d'Agée, parce qu’il à l'esprit fort endoctriné, mais il existe des problèmes d'autres ordres que purement symbolique et religieu dans ce qu'il propose.
"L'explosion" (la fragilisation et l'évolution, en fait) de la cellule familiale est un sujet palpable. Qui peut poser probleme.
Pour qu'une cellule familiale existe une chose factuelle s'impose ceci-dit : il n'y aucunement besoin du mariage mais individus, qui désirs vivres ensemble.
Mais il y à besoin d'une certaines vision du couple (ou la fidélité charnelle n'est pas obligatoire par ailleurs) et de l'axe que celui-ci prend à la naissance d'un enfant.
Les couples actuels se séparent plus et plus vite, laissant souvent, au milieu, un enfant qui rêve d'autre chose que de voir ses parents de séparer et d’être trimbalé entre les deux en différents lieux. Cela, amha, ne participe pas au bien être de l'enfant.
Ceci-dit, il me parait évident aussi que la séparation, dans certains cas, et plus positive qu'une ambiance exécrable d'on l'enfant est souvent témoins.
Il y à aussi le fait que, passer un certain age, l'enfant qui est devenu adulte n'a plus autant besoin du couple formé par ses parents. Dans ce cas de figure, une séparation est bien moins grave.
Mais, il est indéniable qu'une séparation des parents à toute les chances d'apporter une souffrance et un style de vie que l'enfant n’appréciera guère et qui, en tout cas, lui fait peur.
Bcp d'enfant on très peur de voir leurs parents se séparer. C'est pas une niaiserie ou une sensiblerie que de dire cela.
Que le phénomène de l’éclatement familiale soit un probleme ne devrait pas être tabou sous prétexte que les religieux prennent en otage ce sujet.
Après bon...on oublie aussi que l'enfant se forme dans une société, il construit son identité face à une situation vécus et face à celles des autres.
On peut imaginer que dans une société ou les enfants voient leurs parents se séparer de plus en plus, il pourra tout de même trouver un support et de l'aide chez ses camarades qui vivent la même chose.
La question n'est donc pas seulement au niveau du mariage (la vraie question, pas celle que nous impose les religieux), mais bien au niveaux des mœurs sociaux et des valeurs "plus assumées de nos jours" (qui place les volontés de l'individu en couple au centre de lui et de moins en moins au centre du groupe) qui apportent leurs lots de positifs et de négatifs.
Par positif, j'entend la liberté de se séparer facilement et sans entraves religieuses sociales et communautaires, qui permet aux gens de ne pas s'embourber dans une vie de couple malheureuse par exemple, et d’être vue un paria irresponsable.
Par négatif, j'entend la séparation facile qui survient à cause d'une incapacité à gérer les frustrations qui peuvent exister dans la vie de couple, et les conséquences que la séparation à indéniablement sur un enfant et donc sur la société à partir du moment ou cela devient massif.
Et c'est pas en discutant avec Agée que ce débat mènera quelque part. Puisqu'il semble qu'il utilise les problèmes cités comme excuse à la défense d'une chose optionnelle : le mariage selon sont livre de chevet. Alors que le mariage n'est pas la garantie d'un couple fonctionnel. Que la cellule familiale n'a pas nécessairement besoin du mariage. Mais à besoin d'un cadre...
Sans nier que la religion, évidement, porte dans ces valeurs la capacité à solidifier la structure familiale et apporter un cadre. Mais la rendre heureuse ? Pas plus que n'importe quel livre de conseils et de morale.
Aussi, le mariage permet de protéger l'enfant ou la personne la plus lésé durant une séparation. Mais dans ce cas, on à inventé le mariage civile pouvant jouer ce rôle juridique et sociale. A la limite, on pourrait obliger le mariage civile, imposer les même chose que le mariage religieux, mais sans la fable qui va avec.
C'est pas ce que je souhaite pour les générations à venir pour autant. C'est juste un exemple pour dire qu'Agée nous embarque dans SA manière de débattre du probleme malgré nos armes lourdes, on le voit, on réagit car SA manière c'est SA doctrine qu'on aime pas, mais en réalité le probleme est bien réel.
En gros : il nous prend par la main, et plus on tir dans le sens inverse de sa direction, plus il en profite pour dire que ça prouve qu'on est pas dans le droit chemin...
Pour calmer sa logorrhée. Il faut admettre que le chemin qu'il nous montre met en perspective un vrais sujet de société.
Que la religion fut un liant pratique, et qu'elle peut l’être encore (si on part du principe que certaines pratiques et croyances concernant la place de la femme, ne se reproduirait pas dans une religion déjà fortement réformée, relativisé et personnifié, par nombre de croyants).
Mais que maintenant on à envie de trouver de trouver des solutions sans avoir à gober toutes les conneries qui vont avec l'Ancestrale Manuel et si possible en trouvant un compromis plus moderne entre les aspirations individualistes et la solidarité envers le groupe.
Mais on ne peut pas mettre de coter le probleme de la fragilisation de la cellule familiale et de l'impact que cela à sur les gamins sous prétexte qu'on à un bigot à abattre. D'ailleurs j'ose penser que le sujet nous intéresse autant par les problèmes posés et par l’intérêt du sujet de fond, que parce qu’il y à un bigot à massacré intellectuellement
Pourtant, il suffit de voir le temps perdu à lui répondre, pour un changement égale à : 0