En général on présuppose un libre-arbitre. Par exemple, lors d’un crime, les experts-psychiatres déterminent si le suspect avait toute sa lucidité au moment des faits. Amha, il est donc question de responsabilité, donc de conscience et par là-même de libre-arbitre, amha. Par contre d’après Freud le moi n’est pas maître dans sa propre maison.jroche a écrit : 22 juin 2022, 09:52 Je pose la question des conséquences respectives d'une acceptation et d'un refus de considérer qu'il y en a un, ou qu'il pourrait y en avoir un.
Puisque Jean-Francois m’a cordialement invité à participer, je participe au débat.