Re: Études féministes
Publié : 26 oct. 2010, 12:58
Moi ce qui m'irrite c'est le gaspillage de fonds public et le contrôle ponctuel des fonds de recherche en science social.Jonathan l a écrit :Moi je dirais que c'est encore trop.Heureusement leur influence se limite à certains ministères, organismes gouvernementaux et certains milieux.
Je ne suis pas surpris. Le «plafond de verre» qui limite l'entré de femmes dans certaines professions et certains milieux est bien plus souvent dans la tête des candidates potentielles que dans la structure ou les préjugés des hommes du milieu en question. Ce que je remarque c'est une différence de valeurs. On parle souvent du compromis entre la carrière et la vie de famille, mais j'observe que le problème est plus large car même les femmes sans famille renoncent aussi à se présenter à certains postes. Les valeurs des femmes les incitent plus souvent à privilégier la «qualité de la vie» au détriment du plan de carrière.Jonathan l a écrit : Son travail consistait à facilité l'entrée des femmes à son niveau de gouvernement, ainsi qu'a les encouragés à le faire. Le ton sur lequel elle m'a dit cela, m'a immédiatement allumé plein de signal. C'est juste si elle ne s'est pas mise à pleuré. Elle faisait ce travail depuis plus de 15 ans, et elle me disait être hyper désabusé de son travail depuis longtemps, car si il y a moins de femme en politique, ce n'est pas la fautes des hommes, mais la fautes des femmes qui ne s'y intéresse pas. Alors quand on lui demande des quotas de femmes, elle veut tout quitter, car elle sait qu'elle ne trouvera pas assez de femmes pour les remplir et que ces "soeurs" féministe allait encore critiqué, et chialer. Elle disait que les hommes était prêt à aider les femmes, qu'il y avait son poste pour les aider, plus de bénéfices marginaux pour les femmes (elle m'a pas dit lesquels on a été interrompu à ce moment) mais que même avec ça, les femmes ne s'intéresse pas à la politique.