Je ne comprends pas le sens de ton affirmation et le lien avec mes propos. Au pire, on peut penser que la licorne rose (pas invisible, sinon il y aurait contradiction) pourrait, disons, exister dans un univers parallèle (si le tout génère tous les « possibles » raisonnables), mais ça demeure une croyance évidemment. En quoi l'idée du « il y a toujours quelque chose » implique que la licorne rose doit exister (dans notre univers ou pas)? D'ailleurs, il peut exister une infinité de chose ou d'état d'être tout en ayant une infinité de choses qui n'existent pas réellement. Enfin, si tu peux être plus précis, j'aimerais bien ça.Pepejul a écrit :Cette posture « philosophique » du « quelque chose plutôt que rien » marche aussi bien pour l'âme que pour la vie après la mort, la licorne rose invisible, le dragon pisseur de pastis, les fées, les fantômes... etc.
Elle a juste exprimé le fait qu'elle comprenait, à sa façon, mon discours, et non le fait qu'elle le trouvait forcément limpide ou logique. En plus, ce genre de commentaire peut laisser penser que la personne en question n'est pas saine d'esprit. Au lieu d'abuser de notre liberté d'expression, il me semble beaucoup plus approprié de montrer quelles idées spécifiques nous paraissent absurdes et laisser le bénéfice du doute à cette personne concernant son intelligence en général. On peut très bien faire une faute logique dans un sujet tout en étant parfaitement cohérent dans un autre sujet. Gare aux généralisations abusives et aux sous-entendus (parfois blessants).Qu'Emmanuelle trouve « limpide » votre discours n'est pas forcément bon signe si je puis me permettre.... vu le contenu de nos échanges avec elle à propos des EMI.
Je n'ai pas suivi tous les échanges sur le sujet des EMI, mais elle ne me semble pas, à priori, une personne inintelligente. Comme tu le dis, ce n'est pas nécessairement bon signe, mais ce n'est pas nécessairement mauvais signe. Ma simple réponse envers elle n'était qu'une reconnaissance normale ouvrant peut-être un dialogue. Merci de me mettre en garde, mais, étant un grand garçon, je n'ai évidemment pas interprété sa petite attention comme l'indice que mon discours avait plus de chance d'être cohérent. Et même si Einstein ou Villani trouvait mon discours limpide et logique, je ne m'appuierais pas sur ces flatteries pour évaluer la logique et la pertinence de mes propos.
J'essaie de voir, grâce à votre aide, s'il y a une contradiction grave dans ma façon d'aborder certaines problématiques. Pour l'instant, malgré les remarques de Jean-François, je n'en vois pas. Je ne comprends pas très bien ses arguments et là où il veut en arriver. C'est peut-être moi qui n'ai pas cette intelligence de ne pas bien saisir ce qu'il essaie de me dire, j'en conviens et je l'accepte, mais je doute tout de même du sérieux de ses efforts pour me comprendre. Évidemment, il n'est pas obligé de se forcer à comprendre un discours qui lui semble totalement abscons. C'est simplement que la communication se passe très mal. Ça arrive parfois, ce n'est rien de grave. On laisse tomber et l'on passe à autre chose dans ce temps-là.