Re: Gilets jaunes - Let's debate.
Publié : 16 déc. 2018, 14:53
Les éditions Syllepse donne un recueil de textes.
Débattons sans nous battre !
https://forum-sceptique.com/
Mais de quoi parle t'on exactement ?Florence a écrit : 16 déc. 2018, 14:01ABC a écrit : 16 déc. 2018, 10:10 Pour ma part, je ne crois pas qu'il y ait d'explication simple et unique aux problèmes de fond à l'origine de l'ampleur du mouvement des gilets jaune, encore moins un coupable unique, bien identifié, qu'il suffirait de chasser pour résoudre tous les problèmes.
[...]
...Encore faut-il que cette efficacité ne consiste pas en une vision à court terme, acceptant de détruire toujours plus de tout en nous disant : si untel possède ceci ou cela, peut faire ceci ou cela, pourquoi n'y aurais-je pas droit moi aussi ? Qu'importent les conséquences de cette fuite en avant pour moi-même et surtout pour mes enfants ? Seul compte le présent, le résultat immédiat que je souhaite.[/list]![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Il ne faut pas être niais dans l'autre sens, qu'attendons nous des multimillionnaires ? Ce ne sont pas eux, avec leurs très faibles nombres, qui vont ni ne peuvent faire tourner une économie et un modèle sociale.LePsy a écrit :Que le multimillionnaire vienne aussi dans les assemblées constituantes et réunions citoyennes.
Se contenter de peu n'est en rien un problème...La plupart de ces gens se contentent de très peu et c'est bien ça le problème selon moi, c'est d'être trop sur le fil...
C'est plus compliqué que cela. Les pays qui ne sont pas endettés en Europe sont souvent ceux qui pratiquent une fiscalité avantageuse pour les entreprises (de toutes tailles). Ça ne me plais pas nécessairement de dire cela, c'est juste un fait.Commençons sur les GAFA et les Mrds couleront...
La niaiserie est de réduire pareillement les propos de ABC (et mon approbation) à la critique des "prolos".Nicolas78 a écrit : 17 déc. 2018, 01:03
C'est ça les solutions ? Donner des leçons de morales à des prolos sous prétexte qu'il veulent consommer un peu plus...et faire autre chose qu'acheter à manger pour leurs mioches sagement en bossant, pouvoir acheter une maison... Et en plus ils ne pensent pas à leurs enfants ces ingrats...
Et tout ira mieux pour la nature ?
Ne sommes nous pas en pleine niaiserie la ?
Tu oubliés justes les frais de fonctionnement nécessaires, un paradis fiscal peut se permettre d'attirer un grand nombre de boîtes aux lettres commerciales en y appliquant une fiscalité basse, parce que sa taille réduite lui permet peu de frais de maintien de réseaux routiers, un nombre de fonctionnaires limités étant donné le peu d'habitants, pratiquer des niveaux de loyers qui empêchent les bas salaires de vivre sur place et donc de venir des pays frontaliers, ce qui évite de devoir pratiquer des politiques sociales. Sans compter que les pseudo États tels que Monaco, Andorre bénéficient des impôts des français pour le premier, des français et espagnols pour le second concernant leurs frais de fonctionnementNicolas78 a écrit : 17 déc. 2018, 10:52
C'est plus compliqué que cela. Les pays qui ne sont pas endettés en Europe sont souvent ceux qui pratiquent une fiscalité avantageuse pour les entreprises (de toutes tailles). Ça ne me plais pas nécessairement de dire cela, c'est juste un fait.
Non seulement ça, mais les pays dont la politique fiscale se veut très avantageuse pour les (grosses) entreprises ont en grande partie une politique sociale épouvantable, qu'ils cachent derrière la richesse de leurs établissements financiers, les maux (vrais et supposés) de l'immigration et l'abominable politique de l'UE, cf. la Grande-Bretagne, dont la politique depuis la charmante Mme Thatcher a enrichi la City et ruiné le reste du pays ...unptitgab a écrit : 17 déc. 2018, 12:17 Tu oubliés justes les frais de fonctionnement nécessaires, un paradis fiscal peut se permettre d'attirer un grand nombre de boîtes aux lettres commerciales en y appliquant une fiscalité basse, parce que sa taille réduite lui permet peu de frais de maintien de réseaux routiers, un nombre de fonctionnaires limités étant donné le peu d'habitants, pratiquer des niveaux de loyers qui empêchent les bas salaires de vivre sur place et donc de venir des pays frontaliers, ce qui évite de devoir pratiquer des politiques sociales. Sans compter que les pseudo États tels que Monaco, Andorre bénéficient des impôts des français pour le premier, des français et espagnols pour le second concernant leurs frais de fonctionnement
C'est ce que laisse entendre son résumé.Florence a écrit :La niaiserie est de réduire pareillement les propos de ABC (et mon approbation) à la critique des "prolos".
Je suis d'accord à 100% !Il y a des "prolos" * en France qui ont désespérément besoin de voir leur sort s'améliorer, par une meilleure politique fiscale, salariale, de répartition de l'emploi et de la redistribution du capital/des richesses. Il y a aussi, en France comme dans la majeure partie des pays industrialisés, des gens, "prolos" ou mieux nantis, ou riches, ou très, très riches, qui sont incapables de voir ce dont ils sont riches et se posent en victimes dès qu'on parle de leur nécessaire participation à l'effort collectif pour améliorer la situation, qui implique non seulement la réalisation de tout ce dont ils bénéficient et donc des coûts induits mais une réflexion sur la politique générale et personnelle du "toujours plus de tout, tout le temps, ad vitam aeternam, pour moi et les miens, et après moi le déluge".
Qu'ils croient en cela est ridicule. Si ils y croient.Les gens qui croient que faire plier un gouvernement sur telle ou telle mesure en brûlant des palettes aux rond-points et en clamant "Machin, Démission !" est une glorieuse étape qui va amener la victoire finale ne réfléchissent pas bien loin et ont en effet besoin de leçons
Ca c'est tout à fait indiscutable. Je disait juste que faire payer les riches entreprises, ça suffit pas à remettre le train sur les rails.Florence a écrit : 17 déc. 2018, 12:24Non seulement ça, mais les pays dont la politique fiscale se veut très avantageuse pour les (grosses) entreprises ont en grande partie une politique sociale épouvantable, qu'ils cachent derrière la richesse de leurs établissements financiers, les maux (vrais et supposés) de l'immigration et l'abominable politique de l'UE, cf. la Grande-Bretagne, dont la politique depuis la charmante Mme Thatcher a enrichi la City et ruiné le reste du pays ...unptitgab a écrit : 17 déc. 2018, 12:17 Tu oubliés justes les frais de fonctionnement nécessaires, un paradis fiscal peut se permettre d'attirer un grand nombre de boîtes aux lettres commerciales en y appliquant une fiscalité basse, parce que sa taille réduite lui permet peu de frais de maintien de réseaux routiers, un nombre de fonctionnaires limités étant donné le peu d'habitants, pratiquer des niveaux de loyers qui empêchent les bas salaires de vivre sur place et donc de venir des pays frontaliers, ce qui évite de devoir pratiquer des politiques sociales. Sans compter que les pseudo États tels que Monaco, Andorre bénéficient des impôts des français pour le premier, des français et espagnols pour le second concernant leurs frais de fonctionnement
Les référentiels varient, même pour une seule personne ou une seule situation. Il est parfaitement légitime de réclamer pour tout le monde un revenu minimum qui assure les besoins normaux sans avoir à s'inquiéter pour ses lendemains (donc y compris les déplacements indispensables, des loisirs qui soient autre chose qu'une absence oisive d'un travail n'étant qu'une corvée, l'accès aux moyens de communication contemporains - internet, phone, une protection contre les risques d'accidents de la vie, ...). Il est tout aussi légitime de réclamer une bonne situation lorsqu'on a fait l'effort de s'instruire et se former, d'investir, etc.Nicolas78 a écrit : 17 déc. 2018, 13:30 Mais de qui parle t'on ? Et sur quel référentiels ?
A partir de quel salaire, de quelles richesses, de quel train de vie, une personne n'a "plus la légitimité" de vouloir plus (ou de se plaindre) ?
Bien sûr qu'ils y croient, sinon des LePen et Mélenchon ne se donneraient pas tant de mal pour noyauter les protestations. Et rien ne prouve que "le gouvernement" n'écoute pas la détresse, même s'il n'y remédie pas aussi bien ni aussi vite que souhaité (non, je ne délivre pas un satisfecit au gouvernement, je ne suis pas naïve). Et comme tu dis, les protestations violentes sont quasiment toujours contre-productives. Parce qu'elles portent au pouvoir des gens généralement encore plus nocifs et incompétents que ceux qu'ils remplacent et que, relevant de l'émotion non réfléchie, elles ne tiennent pas compte des problèmes de fond, du contexte ni du temps nécessaire à résoudre des problématiques complexes.Qu'ils croient en cela est ridicule. Si ils y croient.
Et que propose tu ? Qu'il défile bien sagement et n'obtiennent donc rien ?
Si le gouvernement plis face à la violence et n’écoute pas la détresse avant qu'elle n'explose, ça empirera pour les prochaines crises...
Car malheureusement, la violence mène à l'horreur, et à bien peu ensuite, mais elle mène à plus que le silence.
C'est très intéressant, car si on est d'accord qu'un "marqueur" objectif de légitimité existe, c'est bien celui d'assurer les besoins "normaux", de base.Florence a écrit :Les référentiels varient, même pour une seule personne ou une seule situation. Il est parfaitement légitime de réclamer pour tout le monde un revenu minimum qui assure les besoins normaux sans avoir à s'inquiéter pour ses lendemains (donc y compris les déplacements indispensables, des loisirs qui soient autre chose qu'une absence oisive d'un travail n'étant qu'une corvée, l'accès aux moyens de communication contemporains - internet, phone, une protection contre les risques d'accidents de la vie, ...).
La plus part des gens achètent des ordinateurs, smartphones, voitures, frigo, machine à laver, etc...mais pas tout les ans, ni même tout les deux ans...(et heureusement !). Parfois, ça va très loin en age (réparation) selon la qualité du produit.Par contre, j'ai de la peine à m'apitoyer sur la partie des difficultés due à la façon imbécile de revendiquer le droit de dépenser une part non négligeable de ses revenus sur des postes futiles voire nocifs (du tabac au yacht démesuré*, du dernier smartphone au dernier modèle de SUV chaque trimestre) tout en exigeant que "les autres" - le gouvernement, la Chine, la finance, l'industrie, les illuminatis, ... - prennent en charge les coûts que cela implique.
Le tabac n'est pas un caprice, c'est une addiction. Et la magique force de volonté ne suffit pas pour l’arrêter (même si elle est, évidement, obligatoire...c'est de l'ordre de l'évidence). La volonté est aussi une question de force de caractère que tout le monde n'a pas, et je doute fortement que de ne pas l'avoir se résume à la notion de caprice...* c'est fait exprès, les caprices des riches sont tout aussi insupportables que ceux des pauvres.
Généralisation abusive ?Bien sûr qu'ils y croient, sinon des LePen et Mélenchon ne se donneraient pas tant de mal pour noyauter les protestations.
Plus exactement, j'ai dit qu'elles sont contre-productives, mais qu'elles produisent plus que les manifestation consistant à défiler dans endroits prédisposés, que le gouvernement ignorera... La preuve, la violence à permis probablement l'augmentation du SMIC pour les travailleurs les plus dans le besoin...Et comme tu dis, les protestations violentes sont quasiment toujours contre-productives.
Malheureusement, la violence est non seulement un outil de manipulation, mais aussi, elle est elle même instrumentalisée.Parce qu'elles portent au pouvoir des gens généralement encore plus nocifs et incompétents que ceux qu'ils remplacent et que, relevant de l'émotion non réfléchie, elles ne tiennent pas compte des problèmes de fond, du contexte ni du temps nécessaire à résoudre des problématiques complexes.
Qu'ils partagent leurs richesses matérielles. Leurs biens se fait sur les dos des "petits" travailleurs. C'est pyramidal ce genre d'économie. L'OS (1 ou 2) de Peugeot ou d'Apple (chez Foxconn) a autant de mérite selon moi que le PDG ou Mister Jobs. Selon moi il ne devrait pas y avoir de système pyramidal ni de hiérarchie verticale. L'OS permet au PDG de sortir son Porsche Cayenne du garage... La valeur du travail est la même au taux horaire à mes yeux.Nicolas78 a écrit : 17 déc. 2018, 10:52
Il ne faut pas être niais dans l'autre sens, qu'attendons nous des multimillionnaires ? Ce ne sont pas eux, avec leurs très faibles nombres, qui vont ni ne peuvent faire tourner une économie et un modèle sociale.
Meme si taxer un peu plus les transactions financière serait un plus par exemple. Mais taxer cela ce n'est pas prendre de l'argent qui s’évade.
Insupportables dans les deux cas, oui mais l'intensité de l'insupportabilité est plus grande chez les riches de par leur conséquences socio-économiques et écologiques.Florence a écrit : 17 déc. 2018, 14:13
* c'est fait exprès, les caprices des riches sont tout aussi insupportables que ceux des pauvres.
Pourquoi ? Tu veut un yacht ?LePsy a écrit :Qu'ils partagent leurs richesses matérielles. Leurs biens se fait sur les dos des "petits" travailleurs.
Oui et ?C'est pyramidal ce genre d'économie. L'OS (1 ou 2) de Peugeot ou d'Apple (chez Foxconn) a autant de mérite selon moi que le PDG ou Mister Jobs.
Je pense pas, je sais pas vraiment en tout cas. Certains créent plus de richesses et/ou de valeurs ajoutées et/ou de choses positives que d'autre (ou prennent plus de risques financiers, voir physiques !).La valeur du travail est la même au taux horaire à mes yeux.
Ce qui n’empêche que même en les taxant comme des malades, ça rapporte pas suffisamment.Faibles nombres... la puissance et le pouvoir qu'ils peuvent avoir sont bien plus forts. Ils tirent la couverture sur eux.
Oui. Pas loin de chez moi, un vielle dame à légué toute sa fortune (colossale), à des associations.T'as déjà vu un millionnaire généreux? Non, car pour être ultra-riches... il faut bien partir avec une survalorisation de ton travail ou de tes bien vis-à-vis de l'autre au détriment de la valeur de l'échange qui elle ne se chiffre pas.
Ontologiquement je suis d'accord à 3000%...la valeur de l'échange qui elle ne se chiffre pas
Ici, d'accord à 100%. Ya un peut de thune laTaxer les lourdes transactions issus de bénéfices indécents... ou d'augmentation arbitraire... OK.
Et la politique de répression des évadés du FISC?
Faut savoir ce que tu veutLa peur que ces Dieux quittent le navire? L'absolue mésestime porté à l'encontre des petites gens qui ne pourraient tenir une économie nationale sans eux? La soumission? Ou parce que ceux qui décident perdraient leur luxe quotidien?
Parceque tu crois que les pauvres sont incapables de se projeter dans un SUV Audi ? (bha si, et autant que les riches, parfois plus [car inaccessible])LePsychoSophe a écrit : 18 déc. 2018, 11:59Insupportables dans les deux cas, oui mais l'intensité de l'insupportabilité est plus grande chez les riches de par leur conséquences socio-économiques et écologiques.Florence a écrit : 17 déc. 2018, 14:13
* c'est fait exprès, les caprices des riches sont tout aussi insupportables que ceux des pauvres.
Avoir un 4° SUV pour Noël et avoir un smartphone dernier cri... n'est pas tout à fait similaire. Le pauvre mendiant son smartphone ou son AR à la mer n'a pas la même fonction d’acceptation normative (globale, sociale, nationale et culturelle) que le riche tremblotant devant le dernier SUV Merco' ou Audi ou la croisière sur le Nil...
Une manif' ou grève a le loisir de déranger l'ensemble du système. En psychothérapie, pour une amélioration significative de l'état du patient, il en va de même (à une échelle bien plus modeste). On ne peut pas modifier un élément sans modifier le système rattaché. Ce qui me fait valoriser (avec beaucoup de dégoût mais bon...) la violence comme étant utile malheureusement à tout changement. Violence = ici à souffrance sur des victimes collatérales.Lambert85 a écrit : 18 déc. 2018, 16:49 Les gilets jaunes ont laissé passer des automobilistes aux péages sans payer ? Comme tout était filmé, ils recevront une facture du concessionnaire des péages.
Pire, celui-ci justifie ses hausses de tarifs en 2019, par le coût de remplacement des portes de péages incendiés par des gilets jaunes.
De nombreux radars fixes ont été détruits aussi, qui va payer leur remplacement sinon le contribuable.
On peut aussi faire l'économie de leur remplacement et de leur entretient si on a pas les sous et que ça coute cher.Lambert85 a écrit : 18 déc. 2018, 16:49 De nombreux radars fixes ont été détruits aussi, qui va payer leur remplacement sinon le contribuable.
Epargnez-nous vos larmes de crocodile, regardez-vous dans un miroir et admettez que les "dégâts collatéraux" ne vous dérangent pas tant qu'ils ne vous touchent pas personnellement.LePsychoSophe a écrit : 18 déc. 2018, 16:59
Une manif' ou grève a le loisir de déranger l'ensemble du système. En psychothérapie, pour une amélioration significative de l'état du patient, il en va de même (à une échelle bien plus modeste). On ne peut pas modifier un élément sans modifier le système rattaché. Ce qui me fait valoriser (avec beaucoup de dégoût mais bon...) la violence comme étant utile malheureusement à tout changement. Violence = ici à souffrance sur des victimes collatérales.
Vous réalisez, j'espère, que vous prêchez pour la fin de l'état de droit et la dictature de ceux qui prônent une politique de "je n'aime pas la loi, j'en casse les instruments", pour le plus grand plaisir et bénéfice des mafias et avec des conséquences telles que le pont "Morandi". Votre chauffeur italien a soit un sens de l'humour, soit la tête dans le sable ..jean7 a écrit : 19 déc. 2018, 07:45On peut aussi faire l'économie de leur remplacement et de leur entretient si on a pas les sous et que ça coute cher.
Un jour, y'a pas longtemps, en Italie, je montais dans une voiture et j'ai demandé au chauffeur pourquoi il ne mettait pas sa ceinture, s'il n'avait pas peur d'être verbalisé. Il m'a répondu "ici, les policier sont au service de la population, et c'est la population qui fait la loi".
Je ne sais pas dans quelle mesure il frimait, mais pour en revenir à nos radar, il peut y avoir un large consensus sur le fait que la vitesse excessive peut être criminelle sans pour autant que les contrôles automatisés soient tous tolérés.
Florence a écrit : 19 déc. 2018, 08:05Vous réalisez, j'espère, que vous prêchez pour la fin de l'état de droit et la dictature de ceux qui prônent une politique de "je n'aime pas la loi, j'en casse les instruments", pour le plus grand plaisir et bénéfice des mafias et avec des conséquences telles que le pont "Morandi". Votre chauffeur italien a soit un sens de l'humour, soit la tête dans le sable ..jean7 a écrit : 19 déc. 2018, 07:45On peut aussi faire l'économie de leur remplacement et de leur entretient si on a pas les sous et que ça coute cher.
Un jour, y'a pas longtemps, en Italie, je montais dans une voiture et j'ai demandé au chauffeur pourquoi il ne mettait pas sa ceinture, s'il n'avait pas peur d'être verbalisé. Il m'a répondu "ici, les policier sont au service de la population, et c'est la population qui fait la loi".
Je ne sais pas dans quelle mesure il frimait, mais pour en revenir à nos radar, il peut y avoir un large consensus sur le fait que la vitesse excessive peut être criminelle sans pour autant que les contrôles automatisés soient tous tolérés.
C’est sûr, la violence, c’est mal, ça tue des chatons, ça mange des enfants et ça viole des grands-mères.Florence a écrit : 19 déc. 2018, 08:02 Épargnez-nous vos larmes de crocodile, regardez-vous dans un miroir et admettez que les "dégâts collatéraux" ne vous dérangent pas tant qu'ils ne vous touchent pas personnellement.
Et votre réflexion est très bête : la violence et ses conséquences touchent tout le monde, même si ce n'est qu'indirectement, et le dicton "qui veut la fin veut les moyens" est généralement éructé par des idiots qui ne réalisent pas que la fin en question ressemble toujours aux moyens utilisés pour l'obtenir