uno a écrit : 13 juin 2024, 17:49
Dominique18 a écrit : 13 juin 2024, 17:02Je t'ai déjà signalé que je n'obéis pas aux ordres, aux sommations,... surtout formulé dans ce style.
1 - Toujours dans la guerre d'égos là où je t'invite à échanger sur les faits. Mais l'échange tu le refuse et tu justifie ce refus du dialogue en prétextant un offense personnelle vis-à-vis des ordres que je t'adresserais. Je te pose une question mec, si tu refuses d'y répondre c'est simplement que tu refuses de discuter en bonne foi. C'est ton droit, mais soit honnête c'est simplement que tu refuses le dialogue.
Dominique18 a écrit : 13 juin 2024, 17:02Et "Gros lardon", tu en penses quoi?
2 - Que c'est un bouffon aux objectifs politiques aussi débiles que nuisibles. Petite note apparemment un autre droitard s'est vu être confondu avec le dit gros lardon
alors que ce n'était pas lui. Cela étant dit encore une fois le gros lardon original, n'était pas le lardons le plus savoureux de la couenne.
3 - Tu vois de mon côté je réponds à tes sommation/ordres c'est-à-dire à tes questions. Et comme toujours contrairement à toi je suis disposé à répondre à tous tes interrogatoires
Mein General.
Dominique18 a écrit : 13 juin 2024, 17:02Les faits ont été constatés, ils sont en cours d'examen, les responsabilités exactes seront précisées avec les peines prononcées.
4 - Les faits constatés oui, et les faits sont des gaillards des cités qui ont attaqués au couteau des villageois non-armés. Donc encore une fois arrives-tu déjà a identifié les coupables dans cette affaire oui ou non? C'est une simple question tu n'es pas obligé d'y répondre, mais clairement ton refus d'y répondre semble davantage être une affaire d'égo qu'autre chose.
Dominique18 a écrit : 13 juin 2024, 17:02Est-ce que je me défile ou est-ce que je minimise? Non. Je suis effrayé par l'évolution de cette société où la violence est omniprésente.
5 - Moi aussi, mais bizarrement tu sembles douter de ma sincérité, des mes intentions ou je ne sais quoi quand j'exprime de mon côté mon inquiétude sur cette violence qui prend la pente ascendante. Et pourtant si je reconnais l'immigration comme alimentant cette violence, et l'impact des facteurs culturels (voir Hugues Lagrange entre autres exemples), je ne considère pas que l'immigration est la cause unique, ni que cela est du à une nature plus violente des immigrés et descendants d''immigrés, j'ai cité également Théodore Dalrymple et je pourrais développer en long et en large les causes de l'anomie sociale grandissante. Je me suis récemment procurer les deux ouvrage fraichement traduits en Français, de Théodore Dalrymple à savoir
«Zone et Châtiment» et
«Culture du Vide». Si l'auteur parle essentiellement de la société britannique, tout ce qu'il décrit fait écho à ce qui se passe en France. D'ailleurs en 2002 il a écrit un essai sur l'ultra-violence qui commençait déjà à émerger en France et dont il était témoin.
Cet essai disponible en version audio via la vidéo suivante. Théodore Dalrymple décrit déjà en 2002 le péril du laxisme judiciaire et d'une immigration bien trop massive et non-intégré promettant un avenir ponctué de violence pour la France. Et l'avenir, c'est-à-dire notre présent lui a donné entièrement raison. Je le précise Dominique18 car cette perspective de Théodore Dalrymple correspond à la mienne et j'attends qu'on m'explique en quoi celle-ci serait fausse ou extrême. Si tu conviens que ce n'est pas le cas, je pense que tu peux être à présent et plus apaisé quand à mes idées et mes intentions.
1 - Une guerre d'égos supposerait une inscription dans une échelle hiérarchique de dominance, avec un ascendant sur l'autre.
Je me contente de limiter et de rectifier si besoin est tes agissements expansifs et intempestifs.
J'ai abordé les modes de communication. Pourquoi, à ton avis?
2 - Ah, la France (bien) profonde, ses cochonnailles, son gros rouge qui tache, ses (très) bas de plafond...
3 - N'inverse pas l'ordre des chose s'il te plaît, et ne tire pas la couverture à toi. Je ne te somme pas, ni t'ordonne quoi que ce soit. Si tu ne t'y prenais pas comme un manche, la discussion se passerait sous de meilleurs auspices. Prends en compte les remarques de tes interlocuteurs à cet effet.
Si j'accepte de te répondre c'est que la tonalité générale de ton post est nettement plus prédisposante, moins sujette à conflit, plus apaisée et conviviale, en somme (cf. poin 1).
"Tu vois... mein general..." ben non, je ne vois rien du tout, si ce n'est qu'il y a mieux comme formulation. L'employer, c'est vouloir se conformer à ce que j'ai exprimé dans le point 1.
4 - Je te réponds pour clarifier:
l'affaire de Crépol s'est déroulée en deux phases.
La première correspondant à une altercation.
La deuxième, la plus sanglante, par ce qu'on ne peut nommer autrement que comme une expédition punitive avec une cohorte d'individu, dont plusieurs résidaient dans une cité. Il a été commis un homicide volontaire et des tentatives volontaires d'homicides en bande organisée.
https://www.ouest-france.fr/societe/fai ... 85a3b868c8
Ce n'est pas parce que j'avais choisi de ne pas te répondre directement que je n'en pensais pas moins. Ma position au sujet de cette affaire n'a pas changé d'un iota. Par contre, je n'emploie pas le termes de racailles ou d'autres termes pour stigmatiser les individus de ce groupe en fonction de leur lieux de résidence, de leurs origines familiales. Je retiens les actes, les paroles, les faits. Juridiquement, dans le cas de la deuxième phase qui s'est traduite par la mort d'un jeune, il y avait dès le départ une intention et une volonté d'en découdre, d'attenter (sciemment) à l'intégrité physique de l'autre/des autres (ce qui se traduit dans les fait par des conduites bestiales indéfendables).
Des agresseurs (la bande organisée) et des agressés (des villageois)...
J'emploie à dessein l'autre/les autres parce que trop souvent, dans la tête de ce genre d'individus, la ou les cibles, l'ennemi ou les ennemis (supposés) à abatte sont très mal définis, c'est nébuleux au possible avec un aveuglement qui submerge ce qui reste de raison. On passera sur les "adjuvants et carburants" éventuels pour dynamiser les esprits et renforcer l'émulation. Je n'en sais rien, c'est possible, la sobriété n'étant pas l'apanage de ces personnes.
Une goutte de sang sur une poule, dans un poulailler, peut déclencher une catastrophe sanglante. On peut remplacer les gallinacés par des humains.
L'espèce humaine (une branche animalière parmi d'autres) en meute, peut être redoutable...
Ce n'est pas une digression, c'est un constat, étayé par des faits.
Ce n'est pas une question d'égo, mais de communication. Tu facilites et entretiens les moyens de favoriser la communication, le reste devrait suivre.
Ce qui s'applique également dans mon cas, une relation n'est pas uniquement unilatérale.
C'est élémentaire et basique. ABC a produit une très bonne analyse sur ces questions. Contrairement à ce qu'affirme un Shisha, je ne fais pas "de la lèche", j'identifie et reconnais les compétences, ce qui est très différent, beaucoup plus intelligent et subtil.
5 - Nier ou occulter les problèmes liés aux questions d'immigration serait stupide. Il ne s'agit pas" d'immigration", terme bien impropre, mais plutôt de vagues migratoires qui peuvent ne rien avoir à voir les unes aves les autres. Par exemple, l'immigration "turque" a toujours été favorisée et accompagnée par le gouvernement politique en place, au contraire des autres. l'immigration algérienne, marocaine,... s'inscrivent par rapport à des accords entre les pays (d'origine et d'accueil). Les multiples questions (s'il n'y en avait qu'une...) sont très complexes, et les réponses ne peuvent en aucun cas être simplistes. Ce qui en dit long sur le nombre de cas, disparates, à prendre en considération avec tous les moyens et l'objectivité nécessaires.
Ce qui conduit à examiner les structures, d'accueil et d'accompagnement.
Le constat, implacable, est qu'elles sont submergées, déficientes, insuffisantes, inopérantes, les manques, carences, égarements, gabegies,... de l'état sont ahurissants.
Une vague migratoire pas ou mal accompagnée devient un problème rajouté à ceux déjà existants.
Si tu as la possibilité de lire "40 ans dans les cités" (Michel Aubouin), tu disposeras de bonnes bases de réflexion pour suivre et comprendre les difficultés actuelles.
Ajouter de la misère à de la misère déjà existante et non traitée (prise en considération), c'est devoir affronter le mythe de Sisyphe au quotidien, dans la vraie vie.
Les raccourcis de pensée: pratiqués par les extrémismes de droite:
- immigration actuelle = problèmes : oui
- immigration = délinquance : non
- immigration = violence, épisodes meurtriers à répétition,... : non
Etc...
Les extrémistes (radicaux) de gauche ne sont pas en reste, avec d'autres mots d'ordre, d'autres motivations.
C'est de la théorie systémique: soit on continue d'entretenir le problème en le nourrissant, soit on essaie de sortir de la dynamique ce ce problème en agissant avec des leviers créés à cet effet à l'extérieur de cette dynamique pour faire évoluer positivement la situation.
C'est une vision idéaliste, onirique face à un défi humain monumental.
Soit! C'est aussi la traduction d'un demi-siècle de gaspillages éhontés, la tâche est immense.
Reste à savoir si on veut continuer à rester humains, dignes, faire preuve d'humanité, ou si on choisit de s'orienter vers la brutalité, la carotte et le bâton à coups de matraques ou de maillet.
Je continue de m'inscrire dans une perspective humaniste, avec la reconnaissance et le respect de l'autre, quel qu'il soit, en dépit des différences qui peuvent nous séparer. Ce n'est jamais simple, n'est jamais assuré d'un résultat, il faut accepter les échecs, les déceptions, les erreurs...
Naïveté, crédulité, bisounourserie? Non. Réalisme et lucidité, ne pas tout accepter, mais agir au mieux en fonction des situations.
Je ne connais pas Theodore Dalrymple. Le personnage semble mériter une attention. A suivre...