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Message
par Nicolas » 22 janv. 2011, 16:32
Un vrai déficient mental ^^
Evidement qu'il y a des races plus intelligentes et des races moins intelligentes, cela tout le monde le sait.
Les aborigènes d'Australie ont un crane totalement différents de celui des européens avec une capacité cranienne moindre de 300 cm cubes, penser qu'ils ont la meme intelligence que les européens relève d'un problème cérébral.
Avant même qu'il existe des tests d'intelligence, les philosophes, les hommes d'État, lescommerçants et bien d'autres pensaient qu'il existait un lien entre race, intelligence, etaccomplissements culturels. Aristote, Platon, Voltaire et David Hume étaient tous de cet avis. Demême pour Broca, Darwin, Galton, et tous les fondateurs de la théorie de l'évolution et de la scienceanthropologique. Même Freud croyait à certaines différences entre races. Mais les choses ontcommencé à changer dans les années 1920 avec Franz Boas et James B. Watson, qui pensaient que laculture pouvait pratiquement tout changer. Aujourd'hui, des auteurs comme Jared Diamond dansGuns, Germs and Steel (Les fusils, les microbes et l'acier) (1997) et S. J. Gould dans The Mismeasureof Man (1996) nous disent qu'il n'y a pas de lien entre race, intelligence et culture. Les différences que nous observons sont la faute à pas de chance ou au racisme blanc. Les premiers explorateurs de l'Afrique de l'est ont écrit avoir été choqués par la nudité, le paganisme, le cannibalisme et la pauvreté des indigènes. Pour l'un, les Noirs avaient la nature « d'animaux sauvages... la plupart sont nus...l'enfant ne sait pas qui est son père, et ils mangent d'autres hommes ». Pour un autre, ils avaient un sens naturel du rythme de sorte que si un Noir « devait tomber du ciel sur la Terre il battrait la mesure pendant sa chute ». Certains ont même écrit des livres et fait des peintures d'Africains dotés d'organes sexuels surdimensionnés. Cela vous paraît familier ? Juste une traduction du racisme ? Peut-être, mais ces exemples neviennent pas des colonialistes européens du 19ème siècle ou de la littérature de haine du KKK. Ils sontdus aux Arabes musulmans qui ont été les premiers à pénétrer en Afrique de l'est il y a plus de1200 ans (dans les années 700), comme on peut le lire dans le livre écrit en 1990 par Bernard Lewis,Race and Slavery in the Middle East (Race et esclavage au Moyen-Orient).Plusieurs centaines d'années plus tard, les explorateurs européens ont éprouvé les mêmes impressions. Ils ont écrit que les Africains paraissaient être dotés d'une intelligence très faible et ne disposer que d'un vocabulaire limité pour exprimer des pensées complexes. Ils étaient choqués par la quasi-nudité des indigènes, leurshabitudes sanitaires déplorables, leurs maisons très élémentaires, et leurs petits villages. Il n'y avait pas de roues pour faire tourner des tours de potiers, pour moudre le blé, ou pour le transport, pas d'animaux de la ferme, pas d'écriture, pas d'argent et pas de système de numération.
Les Blancs qui ont exploré la Chine étaient tout aussi racistes que ceux qui ont exploré l'Afrique, mais leurs descriptions étaient bien différentes de ce qu'eux-mêmes et les Arabes ont écrit sur les Africains. En 1275, parti de son Italie natale, Marco Polo est arrivé en Chine pour ouvrir le commerce avec l'empire mongol. Il a découvert que les Chinois disposaient de routes bien construites, et qu'il y avait des ponts, des villes reliées par des canaux, des agents de recensement, des marchés, des poids et mesures standardisés, et de l'argent non seulement sous forme de pièces mais également de papier monnaie. Il existait même un système postal. Il s'est émerveillé de tout cela quand il a comparé les Chinois à ce qu'il avait vu en Europe et au Moyen-Orient. Bien qu'italien, fier de son peuple et conscient de la grandeur de la Rome antique, Marco Polo écrivit : « Il n'existe sûrement pas sur Terre de race plus intelligente que celle des Chinois ».
La recherche historique confirme les impressions de Marco Polo. Dès 360 av. JC, les Chinois utilisaient l'arbalète et ont changé la face de l'art de la guerre. Vers 200-100 av. JC, ils recouraient à des examens écrits pour recruter les fonctionnaires, deux mille ans avant la Grande-Bretagne. Les Chinois utilisaient l'imprimerie vers l'an 800, quelque 600 ans avant que la première Bible de Gutenberg apparaisse en Europe. Le papier monnaie était en usage en Chine en 1300, mais n'est pas apparu en Europe avant les 19ème et 20ème siècles. Vers 1050, les chimistes chinois avaient fabriqué la poudre, des grenades à main, des flèches incendiaires et des fusées d'huile et de gaz toxique. En 1100, des usines chinoises de 40 000 ouvriers fabriquaient des fusées. Les lance-flammes, les fusils et les canons étaient utilisés en Chine au 13ème siècle, environ 100 ans avant l'Europe.
Les Chinois ont utilisé la boussole dès le 1er siècle. On n'en trouve pas trace dans les archives européennes avant 1190. En 1422, soixante-dix ans avant que Colomb traverse l'Atlantique avec ses trois petits navires, les Chinois avaient atteint la côte orientale de l'Afrique. Ils étaient arrivés avec une grande flotte de 65 navires océaniques chargés de 27 000 soldats avec leurs chevaux et une année de réserve en céréales, viande et vin. Avec leurs armes à feu, leur navigation, leurs cartes précises et leurs boussoles, les Chinois auraient facilement pu contourner la pointe de l'Afrique et découvrir l'Europe !
Au cours des cinq derniers siècles, les nations européennes sont passées largement devant les Chinois en sciences et technologies. Depuis 1950, cependant, le Japon a battu l'Occident pour la production de nombreux produits de haute technologie. D'autres pays de la bordure Pacifique (Chine, Taiwan, Singapour, et Corée du sud) suivent désormais la voie du Japon. L'Afrique, au contraire, a reculé encore davantage. La situation médiocre des pays africains et de l'Amérique noire est devenue un sujet de préoccupation pour beaucoup de gens. L'optimisme du mouvement des années 1960 pour les droits civiques aux USA s'est en grande partie dissipé, et il en est de même des grands espoirs placés dans les nations africaines indépendantes. Des milliers de milliards de dollars d'aide étrangère ont été déversés sur l'Afrique. Pourtant, les économies africaines ont décliné depuis le départ des Européens.
Abandon et dégradations se voient partout en Afrique et dans une bonne part des Antilles. Les firmes internationales doivent souvent assurer leur propre fourniture d'énergie, leur propre approvisionnement en eau, et leur propre système téléphonique. À l'âge de l'ordinateur, du fax et de l'Internet, obtenir la tonalité est difficile dans beaucoup de villes africaines.