J'admets que je n'en ai pas tenu compte.Igor a écrit :Vous oubliez la guerre entre les Transformers.
Je me limitais aux mythes religieux qui remontent à l'an tiquité.
J'excluais les bandes dessinées du 20ième siècle et les contes de Perrault.

J'admets que je n'en ai pas tenu compte.Igor a écrit :Vous oubliez la guerre entre les Transformers.
Qu'une question de temps peut-être ? On ne se débarrasse pas de ses croyances comme on se débarrasse d'une vieille chemise, ce n'est pas un choix délibéré, mais plutôt une prise de conscience qui se fait crescendo. Faites attention quand même, à force de remettre en question vos convictions et d'être sensible à la discussion rationnelle, vous pourriez bien finir par devenir sceptiqueMireille a écrit : Remarque que ça ne change pas ma vision pour l’instant
Je comprends ce que tu veux dire, mais c'est mal formulé à mon avis. Je pense que tu veux dire jusqu'à quel point tu as accepté des « idées » d'autrui qui, au départ, ne provenait pas de tes propres réflexions. Parce que si on considère aux mots près ta formulation : « indépendamment de toute influence extérieure », il n'y en aurait aucune !Mireille a écrit :j'en suis là à me demander combien de pensées sont nées de ma propre expérience indépendamment de toute influence extérieure.
Je ne pense pas que ce soit une erreur, mais plutôt un positionnement sur la science. Rien n’empêche de croire que la science progressera sans fin dans le déchiffrement des lois de la Nature. Ce qui nous semble irrationnelle n’est à ce titre que la frontière de notre ignorance.Greem a écrit :Ton raisonnement comporte néanmoins une petite coquille puisque nous n'appréhendons qu'en partie l'univers, donc étendre ce principe de "raison" (le terme "raisonnant" me semblerait peut-être mieux adapté) à tout l'univers est une erreur, pas bien grave, mais une erreur quand même. On peut seulement dire que l'univers est en partie rationnelle/raisonnant, dans la mesure de ce que nous - et notre raison - percevons.
Pour ce qui est du termes ‘vérité’, j’en distingue deux grandes classe.Greem a écrit :Il ne faut pas perdre de vue néanmoins que la science n'est qu'un outil pour produire des connaissances pratiques, et que des termes comme "vérité" n'ont pas grand chose à faire dans le jargon scientifique.
Et moi je remercie tout mes détracteurs. Sans eux, je n’aurais probablement jamais étudié la philosophie. Il me semble claire que c’est en découvrant l’origine de l’opposition du point de vue cohérent des autres que l’on se rapproche un peu de l’universel.Greem a écrit :Merci pour ta patience et ta courtoisie.
Dangereux et inutile ? Inutile, peut-être cela dépend du point de vue. Mais dangereux, je ne crois pas.Greem a écrit :. À l'avenir, si je puis te conseiller d'évité d'employer des termes comme dieu, c'est dangereux et inutilement abscons, d'autant que certains pourraient y voir des arguments en faveur de leurs croyances
Je suis plutôt d’accord avec ton protocole ou ce que j’en saisi. Cependant, si l’expérience nécessite d’étaler plusieurs détails de nos vie privé sur ce forum, je ne serait pas 100% ouvert.Mireille a écrit :J’appellerai et titrerai le message sur le forum sous le nom de : Exploration psychique, si ça te convient. Ce sera une expérience partagée parce que nous suivrons tous deux la même procédure et utiliserons le même outil, soit comme convenu les 22 lames majeurs du Tarot de Marseille.
On ne le saura jamais puisque ce qui est hors du champ de la science est par définiton insaisissable pour nous.Gabriel C a écrit :Je ne pense pas que ce soit une erreur, mais plutôt un positionnement sur la science. Rien n’empêche de croire que la science progressera sans fin dans le déchiffrement des lois de la Nature.
Toute croyance – au sens large - est susceptible de biaiser nos jugements, pourquoi l'athéisme plus qu'autre chose ? Je suis certain que dieu n'existe pas, comme je suis certain que Peter Pan n'existe pas. Dans le meilleur des cas, dieu est un personnage de récit facilement réfutable; dans le pire des cas, dieu est un mot vide de sens qui permet à l'homme de projeter ses propres fantasmes, et étant donné qu'il existe autant de fantasmes qu'il y a d'hommes sur terre, c'est nager dans des eaux particulièrement profondes que de construire son raisonnement là dessus.Gabriel C a écrit :Aussi, je trouve qu’en philosophie, être dogmatiquement athée (au sens d'avoir la certitude du non-Dieu) est une sorte de biais cognitif assez handicapant. C’est en quelques sortes une forme de facilité intellectuelle ; un blocage sur la moitié des questionnements traditionnelle qu’amène cette discipline.
Parce que ça revient à postuler arbitrairement l'existence de certaines choses comme te l'a déjà expliqué Beetlejuice, sans quoi de telles réflexions n'auraient pas lieu d'être : pour débattre du sexe des anges, encore faut-il reconnaitre leur existence ! Tu dis vouloir être objectif, mais c'est ton obsession à vouloir donner du sens à l'univers qui t'incite à emprunter ce chemin. Si tu étais aussi objectif que tu prétends l'être, tu te rendrais vite compte que ta démarche est vaine.Gabriel C a écrit :Pourquoi refuser catégoriquement toutes spéculations métaphysiques à prétention objective, sur la raison suffisante de notre existence et/ou, du sens de l’univers ?
Il est vrai que l'on aura surement jamais la preuve, comme vérité de fait, que l’univers est infiniment déchiffrable.Greem a écrit :On ne le saura jamais puisque ce qui est hors du champ de la science est par définiton insaisissable pour nous.
En philosophie, dire qu’on est certain que Dieu n’existe pas, est un simple blocage à tout un pan de réflexion vieille comme l’humanité. Pour ce qui est de votre analogie avec Peter Pan, cela me semble parfaitement impertinent. Le concept dieu, en philosophie rationnelle, c’est le questionnement sur la raison suffisante de l’existence. Cela n’a strictement rien à voir avec la révélation, les miracles, le fantastique ou le surnaturelle. Pourquoi quelques chose plutôt que rien, pourquoi l’existence est ainsi plutôt qu’autrement, sont à mon sens des questions purement légitime.Greem a écrit :Toute croyance – au sens large - est susceptible de biaiser nos jugements, pourquoi l'athéisme plus qu'autre chose ? Je suis certain que dieu n'existe pas, comme je suis certain que Peter Pan n'existe pas.
L’idée que dieu soit une sorte de personnage me semble tout à fait contradictoire. Même l’idée qu’il soit un être subjectif aillant sa propre volonté est absurde.Greem a écrit :Dans le meilleur des cas, dieu est un personnage de récit facilement réfutable; dans le pire des cas, dieu est un mot vide de sens qui permet à l'homme de projeter ses propres fantasmes,
Je tente de construire mon raisonnement sur le principe de non-contradiction et de raison suffisante. Et puisque tous nos concepts sont basés sur ses principes cela me semble très solide.Greem a écrit :et étant donné qu'il existe autant de fantasmes qu'il y a d'hommes sur terre, c'est nager dans des eaux particulièrement profondes que de construire son raisonnement là dessus.
Je pense que Beetlejuice et toi n’avez, de toute évidence, pas bien comprit mon positionnement métaphysique déiste. Je n’ai JAMAIS affirmé l’existence de Dieu.Greem a écrit :Parce que ça revient à postuler arbitrairement l'existence de certaines choses comme te l'a déjà expliqué Beetlejuice, sans quoi de telles réflexions n'auraient pas lieu d'être : pour débattre du sexe des anges, encore faut-il reconnaitre leur existence !
Je pense que ce sont mes manques de prudence et de vocabulaire adéquat qui rendent ma démarche confuse aux yeux de plusieurs. Mais, je ne crois pas que ce soit ma démarche qui soit vaine en elle même.Greem a écrit :Tu dis vouloir être objectif, mais c'est ton obsession à vouloir donner du sens à l'univers qui t'incite à emprunter ce chemin. Si tu étais aussi objectif que tu prétends l'être, tu te rendrais vite compte que ta démarche est vaine.
La question du "pourquoi" sous-entend d'emblée l'existence d'un sens ou d'un but à l'univers. Autrement dit, la question est d'emblée biaisé par des a priori métaphysiques.Gabriel C a écrit :Pourquoi quelques chose plutôt que rien, pourquoi l’existence est ainsi plutôt qu’autrement, sont à mon sens des questions purement légitime.
Mais vous affirmez que l'univers à un sens, ce n'est pas beaucoup plus pertinent.Gabriel C a écrit : Je n’ai JAMAIS affirmé l’existence de Dieu.
Vous feriez mieux de prendre en considération ce qu'on vous explique plutôt que de vous dire des choses...Gabriel C a écrit :Es-ce vain de ce dire que jamais rien n'arrive sans qu'il y ait une cause ou du moins une raison déterminante ?
Gabriel C a écrit : Votre concept non-dieu c’est justement de dire qu’il n’y a pas de sens à l’existence… Que l’existence (contrairement à tous nos concepts) n’a aucune raison suffisante…
Et vous oser dire que mon concept dieu fait moins de sens que votre certitude du non-sens de l’existence ??? J’ai un peu de misère à comprendre votre raisonnement.
Pas nécessairement. Je suis d'accord que plusieurs croyants ou zozos le font (sous-entendre) avec l'intention claire et avouée de justifier leur croyance (un barbu sur un nuage, etc.), mais je pense qu'il est possible de se poser simplement la question sans avoir l'intention de justifier des âneries, non?Greem a écrit :La question du "pourquoi" sous-entend d'emblée l'existence d'un sens ou d'un but à l'univers. Autrement dit, la question est d'emblée biaisé par des a priori métaphysiques .
Non, la preuve :Dash a écrit :Sauf qu'au niveau de l'univers, la cohérence des lois de la physique (et de la MQ, etc... j'imagine) ou plutôt le simple fait qu'ils existent et que tout n'est pas que chaos sens dessus dessous (sans loi constante, où tout ferait un peu n'importe quoi, sans constance, sans reproductibilité, sans pouvoir rien déduire, etc.) est quand même une manifestation qui s'apparente plus aux concepts de cohérence, de sens et de logique que l'inverse non?
Sauf qu'au niveau de l'univers, la cohérence des lois de la physique (et de la MQ, etc... j'imagine) ou plutôt le simple fait qu'ils existent et que tout n'est pas que chaos sens dessus dessous (sans loi constante, où tout ferait un peu n'importe quoi, sans constance, sans reproductibilité, sans pouvoir rien déduire, etc.) est quand même une manifestation qui s'apparente plus aux concepts de cohérence, de sens et de logique que l'inverse non?
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