Loupa a écrit :
Personnellement, c'est votre ignorance abjecte de la situation qui me fait intervenir et comme je manque de tact et je n'ai pas de facilités à débattre, je mets de l'avant des faits, rien que des faits, et je laisserai les autres continuer leur débat comme ils pensent qu'ils doivent le faire après mon intervention.
Vous vous débrouillez très bien. Je suis désolé de ne pas avoir compris plus tôt à qui j'avais à faire. Je vous ai pris pour quelqu'un de tout à fait normal.
Avant de balancer des études (même sérieuses), essayez d'avoir plus de jugeote sur les concepts de base sur lesquels vous vous référez au lieu d'essayer de débattre sur des idées fausses en prenant appui sur des études scientifiques, même si ces dernières sont vraies... car là n'est pas la question.
De quels concepts de base vous voulez parler? Des idées fausses basées sur des études qui seraient vrais, je ne vous suis plus.
Avant de sortir des choses hors de leur contexte, il faut avoir des notions sur les connaissances de base reliés aux faits, et s'informer un peu sur le thème principal de la recherche, qui est dans ce cas-ci l'autisme.
J'ai pris le mot "autisme" au sens figuré qui se trouve dans le Larousse.
"Au figuré, par exagération. Déni de réalité qui pousse à s'isoler et à refuser de communiquer, et, particulièrement, d'écouter autrui."
Pour utiliser un mot qui se trouve dans le dictionnaire, il n'est généralement pas nécessaire d'avoir des connaissances scientifiques sur le mot en question.
Ah, au fait, les autres, j'ai une question spécifiquement sur le sujet de l'heure : est-ce que cette information faisant le lien entre les excréments et l'autisme a été transmise par un journaliste scientifique ou non ?
Oui
Caroline Tourbe : Chef du service médecine du magazine Science et Vie.
https://www.franceculture.fr/emissions/ ... p=1&xtcr=9
Ou cette information a été transmise car elle est « spectaculaire ? » Avons-nous des informations sur la source ? Je manque de connaissances pour être certaine des informations qu'on y avance, voire si ce serait véritablement applicable dans la réalité ou si c'est particulièrement préliminaire comme champs d'étude ?
Plutôt préliminaire. Sur un autre fil on me reproche de me baser sur des études scientifiques qui datent des années 70. Ici j'ai un peu d'avance.
Malgré mes recherches fréquentes sur ma propre condition, je n'ai pas connaissance de ce genre d'informations à partir des ressources. Le microbiote semble peut-être prometteur comme champ de recherches, mais vu la vague d'articles douteux à ce sujet qui pullulent sur Internet, j'ai un doute sur la validité de cette information.
Sur ce forum soi-disant sceptique, les gens qui doutent sont plutôt rares.
Ma source principale est
Guillaume Fond: psychiatre à l'hôpital Henri Mondor, enseignant à l'université Paris-Est Créteil,
chercheur à l'Inserm et coordinateur du réseau des Centres Experts Schizophrénie de la Fondation FondaMental
G.F. : l’autisme est diagnostiqué avant l’âge de trois ans. On fait l’hypothèse d’un traumatisme immunologique ou infectieux qui impacterait le développement cérébral selon le terrain génétique de la personne. On retrouve en effet des gènes de vulnérabilité chez les personnes schizophrènes ou autistes. Comme les anomalies sont retrouvées dans la fratrie d'enfants autistes, cela suggère aussi des facteurs environnementaux communs. On recherche donc tout ce qui est alimentaire : produits industriels, colorants. Par ailleurs, il y a plus de dix ans, des chercheurs ont montré que l’on pouvait faire disparaître les troubles autistiques grâce aux antibiotiques. Le résultat est assez extraordinaire, mais utiliser un antibiotique, c’est décapiter
la flore intestinale. C’est trop dangereux, il y a des résistances, des effets secondaires et ça coute cher.
http://future.arte.tv/fr/guerir-des-mal ... anguage=fr
La greffe de matière fécale serait une alternative aux antibiotiques. Personnellement c'est moins la matière fécale qui m'intéresse que la flore intestinale.
A mon tour de vous poser une question. Vous dites que vous compensez par votre intelligence. Je suis curieux et j'aimerais savoir jusqu'à quel point.
j'ai écrit : Dans le cadre de mon métier, j'ai pour habitude d'escalader les toits
Miraye répond : Laissez moi deviner, votre métier c'est "la mise en place de parabole" ?
Comment interprétez vous cette dernière phrase?