Re: Épistémologie de la zététique
Publié : 12 févr. 2022, 18:51
Pour d'Espagnat, je n'ai pas creusé plus avant.
Pour la psychanalyse, je suis nettement plus réservé et circonspect.
C'est aussi du côté des neurosciences qu'il faut aller prospecter.
Ce n'est pas .tant une question de tendre vers le réel (quel réel ? Quelle définition ? Pour qui? Parle-t-on chacun du même réel ?) que de faire le ménage et de virer ce qui entrave les connaissances. C'est plutôt aller, dans la mesure du possible, vers plus de précision dans les constats, recherches et analyses.
Si la psychanalyse reposait sur des bases scientifiques solides, des progrès auraient pu être constatés au niveau de l'autisme, qui produit un état de conscience et un rapport au monde environnant particuliers. La confrontation avec un certain "réel".
L'autisme, globalement, reste un mystère, qui recouvre des "autismes" avec une multitude d'autistes confrontés à un environnement qui n'est pas optimal pour leur épanouissement.
Depuis que la psychanalyse a été virée du domaine d'étude de l'autisme, les choses se passent beaucoup mieux avec des progrès constatés et des prises en charge possibles et probantes, bien que le chantier soit immense, et les retards accumulés.
Ça c'est une réalité, de la réalité, constatable, évaluable.
Pour la psychanalyse, je suis nettement plus réservé et circonspect.
C'est aussi du côté des neurosciences qu'il faut aller prospecter.
Ce n'est pas .tant une question de tendre vers le réel (quel réel ? Quelle définition ? Pour qui? Parle-t-on chacun du même réel ?) que de faire le ménage et de virer ce qui entrave les connaissances. C'est plutôt aller, dans la mesure du possible, vers plus de précision dans les constats, recherches et analyses.
Si la psychanalyse reposait sur des bases scientifiques solides, des progrès auraient pu être constatés au niveau de l'autisme, qui produit un état de conscience et un rapport au monde environnant particuliers. La confrontation avec un certain "réel".
L'autisme, globalement, reste un mystère, qui recouvre des "autismes" avec une multitude d'autistes confrontés à un environnement qui n'est pas optimal pour leur épanouissement.
Depuis que la psychanalyse a été virée du domaine d'étude de l'autisme, les choses se passent beaucoup mieux avec des progrès constatés et des prises en charge possibles et probantes, bien que le chantier soit immense, et les retards accumulés.
Ça c'est une réalité, de la réalité, constatable, évaluable.