Copilot dit ça :Gwanelle a écrit : 14 mars 2024, 18:10Si c'était le comportement normal, alors on le constaterais dans le monde classique .externo a écrit : 14 mars 2024, 16:30 La violation des inégalités de Bell est le comportement normal d'un système classique avec observables prédéterminées.
construis un exemple classique (des pièces pile ou face, ou des chaussettes gauche/droite, ou autre, comme tu veux) où tu aboutis à une violation des inégalités de Bell .
Il dit au moins clairement une chose : Les inégalités de Bell ne sont pas applicables aux systèmes classiques. Pour le reste, si quelqu'un est prêt à faire les calculs ...Les inégalités de Bell sont spécifiquement conçues pour le domaine de la mécanique quantique et ne sont pas directement applicables aux systèmes classiques, comme votre exemple de billes. Même si vous essayez d’appliquer des probabilités non classiques à un système classique, les inégalités de Bell ne seront pas violées car les conditions sous-jacentes à ces inégalités ne sont pas remplies dans un système classique.
Dans un système classique, les corrélations entre les billes peuvent être parfaitement expliquées par des causes locales et des conditions initiales connues. En revanche, les inégalités de Bell concernent des corrélations qui ne peuvent pas être expliquées par de telles causes locales dans le cadre de la mécanique quantique. Les violations des inégalités de Bell dans les expériences quantiques indiquent l’existence de corrélations non locales qui ne peuvent pas être reproduites par des modèles classiques avec des variables cachées locales.
et encore ça :
Moi :Dans votre exemple de billes, si vous souhaitez analyser les corrélations entre les résultats des mesures d’une manière qui reflète les probabilités conditionnelles classiques, vous devriez utiliser un cadre théorique différent de celui des inégalités de Bell. Les inégalités de Bell sont spécifiques à la mécanique quantique et aux corrélations non locales qu’elle implique.
Pour un système classique comme les billes, où les corrélations sont dues à des conditions initiales connues et ne présentent pas de non-localité, vous utiliseriez des méthodes statistiques classiques pour analyser les corrélations. Ces méthodes tiendraient compte des probabilités conditionnelles basées sur les informations connues sur le système.
En résumé, pour un système classique, vous n’avez pas besoin d’utiliser les inégalités de Bell, mais plutôt des outils statistiques classiques qui sont conçus pour traiter avec des probabilités conditionnelles et des corrélations qui découlent de causes locales et déterministes. Ces outils vous permettraient d’analyser correctement les corrélations dans votre exemple de billes.
Copilot :donc dans mon exemple de billes il faudrait utiliser le théorème de Bayes
Oui, dans votre exemple de billes, le théorème de Bayes serait un outil approprié pour analyser les probabilités conditionnelles. Le théorème de Bayes permet de mettre à jour la probabilité d'un événement en fonction de nouvelles informations ou de preuves. Il est formulé comme suit :
$$ P(A|B) = \frac{P(B|A) \cdot P(A)}{P(B)} $$
où :
- \( P(A|B) \) est la probabilité de \( A \) sachant que \( B \) est vrai.
- \( P(B|A) \) est la probabilité de \( B \) sachant que \( A \) est vrai.
- \( P(A) \) est la probabilité de \( A \) indépendamment de \( B \).
- \( P(B) \) est la probabilité de \( B \) indépendamment de \( A \).
Dans le contexte de votre exemple, si vous avez des informations préalables sur l'état des billes (par exemple, leur couleur), vous pouvez utiliser le théorème de Bayes pour calculer la probabilité mise à jour de l'état d'une bille après avoir observé l'état de l'autre.
Cela diffère des inégalités de Bell en mécanique quantique, où les corrélations entre les particules intriquées ne peuvent pas être expliquées par des probabilités conditionnelles classiques, car elles impliquent des effets non locaux qui ne sont pas présents dans les systèmes classiques comme les billes.