Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Publié : 11 oct. 2024, 16:01
Je suis d'accord avec uno (pour une fois!
).

Débattons sans nous battre !
https://forum-sceptique.com/
La Chine étant une dictature, on ne peut l'influencer que si on la contraint. Etant donné que nous somme sa demande extérieure, baissons notre demande (produisons chez nous ce que actuellement elle produit chez elle pour nous).Lambert85 a écrit : 11 oct. 2024, 11:53 La Chine étant une dictature, elle pourrait agir réellement pour le climat mais elle ne le fera pas.
je n'arrive pas à comprendre la phrase . J'ai l'impression que les besoins et les attentes sont corrélés. ( je pense qu'il faut les décorréler pour comprendre, mais je n'y arrive pas)ABC a écrit : 10 oct. 2024, 17:30 En fait, ce qui perdrait une entreprise, serait de chercher à répondre aux besoins des consommateurs plutôt qu'à leurs attentes ou celles qu'il est facile de susciter eu égard à notre système de valeurs (bien plus commun qu'on ne le réalise).
C'est une réflexion beaucoup plus raisonnable que de vouloir augmenter dix fois le coût de l'énergie...Gwanelle a écrit : 11 oct. 2024, 16:06La Chine étant une dictature, on ne peut l'influencer que si on la contraint. Etant donné que nous somme sa demande extérieure, baissons notre demande (produisons chez nous ce que actuellement elle produit chez elle pour nous).Lambert85 a écrit : 11 oct. 2024, 11:53 La Chine étant une dictature, elle pourrait agir réellement pour le climat mais elle ne le fera pas.
Je suis d'accordMirages a écrit : 11 oct. 2024, 14:26En parallèle, ça serait pas mal de baisser les taux de natalité.
Mirages a écrit : 11 oct. 2024, 14:26Déjà que l'on est arrivés à 8 milliards d'être humains sur terre, comment on peut s'en sortir avec un tel chiffre !
Je ne suis pas de cet avis. Petite illustration en image ci-dessous.Mirages a écrit : 11 oct. 2024, 14:26Et en plus ça augmente follement, à mon sens c'est le principal problème.
Elles ne sont pas indépendantes (La compétitivité d'un produit parcourant des milliers de km serait très impactée par une augmentation drastique de prix des énergies fossiles servant au transport et à l'emballage longue durée)LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 16:13 C'est une réflexion beaucoup plus raisonnable que de vouloir augmenter dix fois le coût de l'énergie...
Je pense qu'il faut le comprendre ainsi :Gwanelle a écrit : 11 oct. 2024, 16:10je n'arrive pas à comprendre la phrase . J'ai l'impression que les besoins et les attentes sont corrélés. ( je pense qu'il faut les décorréler pour comprendre, mais je n'y arrive pas)ABC a écrit : 10 oct. 2024, 17:30 En fait, ce qui perdrait une entreprise, serait de chercher à répondre aux besoins des consommateurs plutôt qu'à leurs attentes ou celles qu'il est facile de susciter eu égard à notre système de valeurs (bien plus commun qu'on ne le réalise).
On ne sait pas bien ce qui va se passer.Mirages a écrit : 11 oct. 2024, 14:26 Déjà que l'on est arrivés à 8 milliards d'être humains sur terre, comment on peut s'en sortir avec un tel chiffre !
Et en plus ça augmente follement, principalement dans les pays du tiers monde.
le nombre d'individus sur Terre pourrait chuter à quatre milliards d'ici 2100.
Effectivement, mais c'est différent de ce que tu disais au départ :Gwanelle a écrit : 11 oct. 2024, 16:20Elles ne sont pas indépendantes (La compétitivité d'un produit parcourant des milliers de km serait très impactée par une augmentation drastique de prix des énergies fossiles servant au transport et à l'emballage longue durée)LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 16:13 C'est une réflexion beaucoup plus raisonnable que de vouloir augmenter dix fois le coût de l'énergie...
Cela existe déjà avec la taxe carbone. Ce pourrait être une bonne chose de l'augmenter. Sauf qu'à mon avis, les producteurs répercuteraient le coût sur toute la chaîne et au final, sur le consommateur. Mais cela pourrait équilibrer les prix entre produits importés et achats dans le pays, boostant ainsi les industries nationales :Gwanelle a écrit :Mais que se passerait il si le gouvernement surtaxait l'énergie au point que son prix, pour le particulier, soit multiplié, par exemple, par 10 ? serait ce vraiment si méprisant pour les gens qui peinent à joindre les deux bouts ? Cela empêcherait complétement les plus démunis etc
C'est vrai que je ne l'ai pas écrit, mais pour moi il serait "souhaitable" que les populations du tiers monde mangent à leur faim et aient un minimum de "confort" basique.LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 15:29 De plus, l'Afrique, là où il est le plus élevé (5 à 6 enfants), est le continent le moins polluant du monde.
On en revient à la ligne rouge. Il n'y a pas continuité , soit la ligne n'est pas franchie et on reste à un système qui marche de plus en plus mal mais ou fondamentalement rien ne change , soit la ligne rouge est franchir et l'adaptation est amorcée .LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 16:48 Cela existe déjà avec la taxe carbone. Ce pourrait être une bonne chose de l'augmenter. Sauf qu'à mon avis, les producteurs répercuteraient le coût sur toute la chaîne et au final, sur le consommateur. Mais cela pourrait équilibrer les prix entre produits importés et achats dans le pays, boostant ainsi les industries nationales :
Il y a quelques années, la Dacia, fabriquée en Roumanie je crois, avait un prix de revient presque aussi élevé que si elle avait été fabriquée en France.
Heu, non, pas vraiment. L'exemple du protocole de Montréal montre le contraire. A moins que par "répondre complètement au problème" tu ne parles de résoudre l'entièreté des situations néfastes causées par les activités humaines, auquel cas, effectivement, une telle solution me paraît irréaliste. Sauf que personne ne demande cela, et que - évidemment - résoudre certaines des difficultés actuelles peut se faire hors du cadre nécessaire pour apporter des réponses à toutes les autres simultanément.Gwanelle a écrit : 09 oct. 2024, 17:01
Cette réponse est toujours vraie, pour n'importe quelle proposition isolée.
En cas de proposition d'action globale , progressive, cohérente, et étudiée pour répondre complètement au problème , la réponse, toujours vraie aussi, sera qu'elle est irréaliste car elle implique trop de changement de tous les pans de la société, et sur trop d'années, or nous ne sommes pas dans une société planifiée ! Et en plus si une action, qu'elle quelle soit, ne donne pas d'effet dans les cinq ans ... alors on punira le décideur en élisant quelqu'un d'autre.
Et le fait que la Chine puisse théoriquement mener une politique planifiée et holistique de transition écologique avec bien plus de facilité que les démocraties occidentales, mais ne le fasse en grande partie pas, implique une faute sociale/éthique/d'anticipation encore plus importante...Et c'est justement le point qui me gêne lorsqu'on montre du doigt la Chine comme si elle était "le cancre de la prise en compte de la dérive climatique" : nous sommes, nous, et pas eux, dans un système qui rend impossible de concevoir une solution globale à un problème global .
Non, il ne déciderait pas, il serait forcé. Là où je diverge de ton point de vue (et de celui d'ABC), c'est quand on rejette toute la responsabilité sur le consommateur. Selon moi, il faut viser les "gros" et la course au profit : producteurs, distributeurs, parce qu'ils ont bien plus de 50% de responsabilité. Le consommateur se contente de ce qu'il y a dans les rayons. Le degré de satisfaction (et de variétés inutiles de produits) est généré artificiellement par ceux qui les créent, pas par ceux qui vont les trouver dans les rayons une fois créés.Gwanelle a écrit : 11 oct. 2024, 16:58 Ce qu'il se passerait si la ligne rouge est franchie est totalement différent de ce qu'il se passe tant que la ligne rouge ne l'est pas.
Il y a un seuil (que manifestement la taxe carbone ne franchit pas) à partir duquel le consommateur dirait "stop ! A ce prix là j'arrête de me servir de ma voiture"
Ils sont corrélés, mais le moins qu'on puisse dire c'est que la corrélation est de très mauvaise qualité.Gwanelle a écrit : 11 oct. 2024, 16:10Je n'arrive pas à comprendre la phrase. J'ai l'impression que les besoins et les attentes sont corrélés ( je pense qu'il faut les décorréler pour comprendre, mais je n'y arrive pas)
On se trompe autant que quand on l'exonère de toute responsabilité en rejetant la totalité de notre responsabilité en tant que consommateur sur celui qui (avec bien souvent les mêmes objectifs qu'une bonne partie d'entre nous d'ailleurs : avoir toujours plus) se sert de notre système de valeurs pour nous faire tomber dans le sens dans lequel nous avons envie de tomber.LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 17:33quand on rejette toute la responsabilité sur le consommateur.
Le consommateur, notamment plus il est pauvre, n’a pas le choix de ce qu’il consomme.ABC a écrit : 11 oct. 2024, 17:52 On se trompe autant que quand on l'exonère de toute responsabilité en rejetant la totalité de notre responsabilité en tant que consommateur sur celui qui (avec bien souvent les mêmes objectifs qu'une bonne partie d'entre nous d'ailleurs : avoir toujours plus) se sert de notre système de valeurs pour nous faire tomber dans le sens dans lequel nous avons envie de tomber.
ABC a écrit : 11 oct. 2024, 17:52On se trompe autant que quand on l'exonère de toute responsabilité en rejetant la totalité de notre responsabilité en tant que consommateur sur celui qui (avec bien souvent les mêmes objectifs qu'une bonne partie d'entre nous d'ailleurs : avoir toujours plus) se sert de notre système de valeurs pour nous faire tomber dans le sens dans lequel nous avons envie de tomber.
Ce ne sont pas les consommateurs pauvres, cad en dessous du seuil mondial de pauvreté (voir même simplement en dessous de la médiane) qui sont les plus coûteux en termes climatique et écologique.nikola a écrit : 11 oct. 2024, 18:03Le consommateur, notamment plus il est pauvre, n’a pas le choix de ce qu’il consomme.
Le levier de la sobriété est le levier absolument nécessaire.LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 17:33 Non, il ne déciderait pas, il serait forcé. Là où je diverge de ton point de vue (et de celui d'ABC), c'est quand on rejette toute la responsabilité sur le consommateur. Selon moi, il faut viser les "gros" et la course au profit : producteurs, distributeurs, parce qu'ils ont bien plus de 50% de responsabilité. Le consommateur se contente de ce qu'il y a dans les rayons. Le degré de satisfaction (et de variétés inutiles de produits) est généré artificiellement par ceux qui les créent, pas par ceux qui vont les trouver dans les rayons une fois créés.
Je parlais surtout de ta proposition d'augmenter fortement le coût de l'énergie. Mais il va falloir y venir, à minima par la taxe carbone qui est bien trop faible aujourd'hui (cf fin du post).Gwanelle a écrit : 11 oct. 2024, 15:49 Pour déterminer s'il y a double langage de ma part, il faut une réflexion sur ces questions (qui, je le reconnais, sont loin d'être évidentes) :
- moins consommer revient il à s'appauvrir ?
- la décroissance revient elle à s'appauvrir ?
J'ai tenté une amorce de réflexion avec l'exemple d'une surtaxation drastique de l'énergie, il m'a été répondu que c'était simpliste (akine et Inso) ou alors que ça franchissait sans doute une ligne rouge (Mirages et Loutre de Mer).
Effectivement c'est assez complexe et dépend de pas mal de facteurs. En lisant différents rapports, je ne sais toujours pas si c'est une vraie bonne idée ou une fausse bonne idée. Dans certains domaines, ça parait très intéressant et bien moins dans d'autres.LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 16:13 Economiquement ce n'est pas simple. Cela passe par la relocalisation de l'industrie, ce qui me semble une bonne chose. Mais cela induit des couts de production plus importants. D'un autre côté, il y aura moins de transports, donc gain financier et pollution moins importante.
Le problème est qu'avec le net, les rayons sont infinis (j'ai cité Aliexpress ou Temu) et contraindre les gros à l'international relève aujourd'hui de la gageure.LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 17:33 Non, il ne déciderait pas, il serait forcé. Là où je diverge de ton point de vue (et de celui d'ABC), c'est quand on rejette toute la responsabilité sur le consommateur. Selon moi, il faut viser les "gros" et la course au profit : producteurs, distributeurs, parce qu'ils ont bien plus de 50% de responsabilité. Le consommateur se contente de ce qu'il y a dans les rayons. Le degré de satisfaction (et de variétés inutiles de produits) est généré artificiellement par ceux qui les créent, pas par ceux qui vont les trouver dans les rayons une fois créés.
Si chaque consommateur ne se rend pas compte de la futilité d'un certain nombre de ses achats (je parlais d'achats de vanité), des gaspillages qu'il provoque et des pollutions qu'il occasionne, il sera très difficile de progresser.Gwanelle a écrit : 12 oct. 2024, 11:23 Le levier de la sobriété est le levier absolument nécessaire.
[...]
Le consommateur n'est pas "visé", c'est la consommation qui est visé
Gwanelle a écrit : 12 oct. 2024, 11:23Pour revenir aux taxes, En ce moment ça débat sur la taxe sur l'électricité, or notre électricité n'est (majoritairement) pas carbonée. ... ce qui remet en lumière le fait que ce sont les énergies fossiles qui ne sont pas assez taxés.
https://www.francetvinfo.fr/replay-radi ... 03737.html
Oh que si! Tu considères la consommation comme "libre", "facultative" et à la discrétion de chacun. C'est faux. A moins d'avoir un logement de fonction, une voiture de fonction et des défraiements, le paiement des factures d'énergie pour les besoins essentiels : eau chaude, chauffage etc et carburant, est ce qui pèse le plus dans la balance des dépenses.Gwanelle a écrit : 12 oct. 2024, 11:23 Le consommateur n'est pas "visé", c'est la consommation qui est visé,[...] ce ne sont pas les pauvres qui surconsomment. Autrement dit si tu consommes déjà quasiment rien, il n'y a quasiment rien qui puisse changer pour toi quand il y a des mesures destinées à forcer (comme tu dis) la sobriété.
Ce qui montre bien ce que je veux démontrer : les plus modestes vont payer (et paient déjà) à la place de ceux qui devraient payer. L'électricité : on a subi une augmentation de + de 40% en 2 ans. On nous annonce une baisse de 10% mais en compensation, on crée une nouvelle taxe qui noie complètement cette économie de 10%. Et on nous oblige à la voiture électrique avec des prix déjà prohibitifs.Pour revenir aux taxes, En ce moment ça débat sur la taxe sur l'électricité, or notre électricité n'est (majoritairement) pas carbonée. ... ce qui remet en lumière le fait que ce sont les énergies fossiles qui ne sont pas assez taxés. https://www.francetvinfo.fr/replay-radi ... 03737.html
Globalement d'accord sur les points abordés dans ton post, je sais que les responsabilités sont partagées et suis d'accord sur le rôle de chacun (producteurs, consommateurs, annonceurs, media, politiques).ABC a écrit : 11 oct. 2024, 17:52On se trompe autant que quand on l'exonère de toute responsabilité en rejetant la totalité de notre responsabilité en tant que consommateur sur celui qui (avec bien souvent les mêmes objectifs qu'une bonne partie d'entre nous d'ailleurs : avoir toujours plus) se sert de notre système de valeurs pour nous faire tomber dans le sens dans lequel nous avons envie de tomber. .....LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 17:33quand on rejette toute la responsabilité sur le consommateur.
Oui, j'irai lire tes liens pour m'éclaicir les idées aussi sur relocalisation et taxe carbone.Inso a écrit : 12 oct. 2024, 11:43Effectivement c'est assez complexe et dépend de pas mal de facteurs. En lisant différents rapports, je ne sais toujours pas si c'est une vraie bonne idée ou une fausse bonne idée.LoutredeMer a écrit : 11 oct. 2024, 16:13 Economiquement ce n'est pas simple. Cela passe par la relocalisation de l'industrie, ce qui me semble une bonne chose. Mais cela induit des couts de production plus importants. D'un autre côté, il y aura moins de transports, donc gain financier et pollution moins importante.
D'autant plus que j'ai testé Temu et Shein, quelle déception quand on reçoit les articles (taille inappropriée, fort décalage esthétique avec la photo (vive Photoshop), et des matières synthétiques parfois irritantes concernant les vêtements (ce n'est jamais notre bon vieux coton).En parallèle, réduire fortement les transports par avion (Aliexpress, Temu...) et les consommations ahurissantes de produits de mode aura un impact bien plus important sur les émissions (un très bon exemple où consommer moins n’appauvrit pas).
Oui, les USA et d'autres pays se protègent déjà avec des taxes d'importation et je trouve cela pas mal, pourquoi pas nous.À analyser les problématiques, il y a un point qui semble faire consensus : Il faut protéger nos industries. Non pas par du protectionnisme (ça ne marche pas), mais par des règles (environnementales, éthiques) induisant des taxes.
Oui, j'ai mis pas mal de liens, parce que il y a beaucoup de paramètre. Maintenant, je ne veux pas non plus surcharger le lecteur ou la lectriceLoutredeMer a écrit : 12 oct. 2024, 15:03 Oui, j'irai lire tes liens pour m'éclaicir les idées aussi sur relocalisation et taxe carbone.
Il y a deux choses :LoutredeMer a écrit : 12 oct. 2024, 15:03 Oui, les USA et d'autres pays se protègent déjà avec des taxes d'importation et je trouve cela pas mal, pourquoi pas nous.
Pas complètement.LoutredeMer a écrit : 12 oct. 2024, 13:36 Oh que si! Tu considères la consommation comme "libre", "facultative" et à la discrétion de chacun. C'est faux.
C’est qu’il n’a rien compris au mouvement des Gilets jaunes.Inso a écrit : 12 oct. 2024, 17:08 Je rajouterai que, vu les annonces budgétaires récentes, il est de moins en moins possible de compter sur une (très relativement) juste redistribution des richesses de la part de l'État.
Si, les fonctionnaires français se serrent la ceinture cran par cran chaque année depuis 1983, où leur salaire horaire est augmenté (quand il l’est) systématiquement moins que l’inflation, depuis 1983 donc. Dernière saloperie en date, la GIPA (garantie individuelle [de] pouvoir d’achat) n’a pas de décret cette année et risque d’être carrément supprimée. C’est une prime (donc pas un salaire) qui permet à un fonctionnaire qui a vu son pouvoir d’achat baisser depuis plus de cinq ans (oui, oui, pas avant), de récupérer la perte via une prime. Si un passage d’échelon fait que le salaire passe au-dessus de la barre, dans le luc Lulu. Mais la perte de pouvoir d’achat est tellement importante ces dernières années que même passer un échelon ne suffit plus.Il me parait donc important de réfléchir à des choix de vie permettant de réduire mes dépenses tout en augmentant ma qualité de vie. Mais je sais aussi que ce n'est pas toujours possible.