Je skip les cranckiness ...
Cependant, une chose me semble assez claire. Pour Aristote, la forme était inhérente à l'aspect de l'objet (ou du corps) et ne devait pas vraiment dépendre du point de vue de l'observateur ou du référentiel.
Vaste question. La notion de forme est référntiel dépendantes. A se titre elle n'est pas la même dans tout les référentiel inertiel.
Un cube dans un référentiel, est un pavé dans un autre.
On sait de part notre connaissance moderne, que ce qui joue pour la chute du corps dépend aussi de l'orientation. Si on prend la notion de forme comme l'apparence extérieur, cette version dépend de l'orientation.
EB prend Aristote pour un gros neuneu, car ça fait son affaire.
Le fait que Aristote rajoute à son propos la notion de forme, indique qu'il avait déjà constaté cet état de fait. Il avait aussi constaté l'importance du milieu.
Par la même, il est difficile de considérer, qu'ayant constaté ces effets, il n'est pas constaté que la vitesse de chute d'un même objet non-symétrique tombait à des vitesses différentes, vitesse qui dépendent donc de l'apparence perçu de l'objets en question, de la forme que l'on perçoit

, selon l'orientation ... cette considération est très probablement compris dans la formule, "toute propriétés de forme".
Bon il ne statut pas la dessus dans ces textes, mais compte tenu de la connaissance qu'il exhibe ... il est très unlikely qu'il ignore cela

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Honnêtement, j'ai cherché la définition la plus fidèle possible du terme grec qu'il emploie. Et forcément c'est très sujet à interprétation, et il me semble abusif, d'interpréter un texte vieux de 2400 via les acceptions particulières de termes moderne ! Mais bon, pour certain ça ne gène pas.
Il est distrayant de voir les grands adepte du "contexte" quand viens le moment de défendre leur idole ... ignorer totalement le contexte, quand il lise un propos de seconde main issue d'un texte vieux de 2400 ans

... on frôle le comique
Et c'est tout le soucis ... EB veut nous faire croire, pour sauver les propos de son idole EK, que Aristote était un débile congénitale (en lui faisant tenir des propos qu'il ne tient pas, en utilisant des defs qui n'avait aucune chance d'être en vigueur à l'époque ... j'en passe et des meilleurs).
Cependant, il est bien incapable de fournir des propos de première mains qui vont dans le sens de ce qu'il prétend

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Je pense donc que Phrysicien a raison en expliquant (même si c'est toujours sur le ton méprisant et supérieur qu'on lui connait)
Ouaip ... j'y peux rien, je suis un méchant

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