Re: Le racisme anti-blancs
Publié : 21 nov. 2015, 21:44
Où ai-je dit que vous aviez dit... bla bla bla ?
viewtopic.php?f=20&t=12934&p=441066#p441050Pepejul a écrit :Où ai-je dit que vous aviez dit?
Pepejul a écrit :Vous faites du racisme en prétendant que si les indiens (c'est quelle race au fait amérindiens dans votre imaginaire ?) avaient régressé c'était certainement de leur faute...
Non.unptitgab a écrit :les colons sont des immigrés.
N'ont ils pas migré d'un territoire vers un autre? Ils sont donc bien émigrés d'Europe et immigrés d'Amérique. Votre non définitif demande un développement.Pardalis a écrit :Non.unptitgab a écrit :les colons sont des immigrés.
Vous essayez de les réduire à leur plus simple expression.unptitgab a écrit :N'ont ils pas migré d'un territoire vers un autre?
Vous êtes incapable de débattre intelligemment et êtes un menteur avoué.Pepejul a écrit :Vous ne répondrez pas à mes questions ?
La distinction est valable pour ceux qui fondent la colonie, mais ça n'est pas forcément le cas de la majorité des habitants par la suite. Par exemple, aux USA, une partie des colons étaient plus ou moins contraints et forcés à l'émigration àcause des guerres de religion secouant l'Angleterre.Un colon s'établit dans un territoire CONQUIS, il est incité pas son chef d'état, souvent monétairement, à établir une colonie qui a les mêmes lois que le pays colonisateur.
Un immigrant le plus souvent fuit vers un autre pays, soit par que choix individuel, ou par nécessité économique ou politique. Il n'amène pas ses lois avec lui, il accepte les lois déjà établies par le pays hôte..
C'est mieux que "vous êtes trop con"... vous progressez.Pardalis a écrit :Vous êtes incapable de débattre intelligemment et êtes un menteur avoué.Please go away.
Il a sciemment omit la contribution des colons Européens, et a accusé à tort les « Chrétiens blancs » de génocide. Il a précisé leur « race » blanche, comme si c'était un élément pertinent.BeetleJuice a écrit :Je pense que vous surréagissez Pardalis. Moore fait clairement des raccourcis historiques mais de là à parler de racisme, c'est interprété très librement ce qu'il dit.
A part ça, c'est débile de parler de racisme anti-blanc, même si je sais que le terme fait fantasmer les extrémistes de droite.[...]Le rajout de l'anti-blanc est une astuce de rhétorique de l'extrême-droite.
La distinction est valable pour ceux qui fondent la colonie, mais ça n'est pas forcément le cas de la majorité des habitants par la suite.
Désolé de ne pas réduire le sens des mots et de les prendre pour ce qu'ils sont. Les colons sont une forme particulière d'immigrés, les réfugiés une autre, les expatriés encore une autre.Pardalis a écrit :Vous essayez de les réduire à leur plus simple expression.unptitgab a écrit :N'ont ils pas migré d'un territoire vers un autre?
Un colon s'établit dans un territoire CONQUIS, il est incité pas son chef d'état, souvent monétairement, à établir une colonie qui a les mêmes lois que le pays colonisateur.
Un immigrant le plus souvent fuit vers un autre pays, soit par choix individuel, ou par nécessité économique ou politique. Il n'amène pas ses lois avec lui, il accepte les lois déjà établies par le pays hôte..
Faites-vous une distinction entre « immigré » et « immigrant »?unptitgab a écrit :Désolé de ne pas réduire le sens des mots et de les prendre pour ce qu'ils sont. Les colons sont une forme particulière d'immigrés, les réfugiés une autre, les expatriés encore une autre.
Le premier est installé, le deuxième est en mouvement ou en cour d'installation, ainsi un immigrant devient un immigré.Pardalis a écrit :
Faites-vous une distinction entre « immigré » et « immigrant »?
Tu as pas mal compris. Tu ne soulignes cependant pas suffisamment le mot HOMME dans «homme blanc». Il ne faudrait surtout pas laisser croire que les femmes soient quelque chose d'autre que de "victimes".Pardalis a écrit : Selon une certaine gauche, il faut à tout prix que l'Europe et ses rejetons d'Amérique expient les crimes commis par la colonisation. L'Histoire Européenne n'est selon eux qu'une erreur à corriger.
Pardalis a écrit : Est-ce qu'on doit les blâmer pour avoir amené quelque chose dont ils ignoraient l'existence?
Pour la contagion accidentelle, non! Mais, pour la contagion délibérée, planifiée, oui! Nos ancèstres ne connaissaient pas le vecteur "microscopique" de la maladie, mais ils savaient depuis longtemps que le contacte avec un malade, le vêtement ou la couverture souillée d'un malade pouvait transmettre la maladie. Il n'en faut pas plus pour démarrer une guerre bactériologique...Pardalis a écrit : Les Européens qui ont amené la variole et l'influenza avec eux n'avaient aucune notion de biologie, ignoraient tout de la théorie pathogénique.
Pardalis a écrit : Allez-vous arrêter de tenter de salir ma réputation en m'attribuant d'un discours que je n'ai jamais tenu?
Quelle modération!
C'est vrai que la persecution des hommes blancs par les femmes amérindiennes est une horreur de l'histoire qu'on a trop souvent tendance a oublier (odieux double standard du politiquement correct!).Kraepelin a écrit : Tu as pas mal compris. Tu ne soulignes cependant pas suffisamment le mot HOMME dans «homme blanc». Il ne faudrait surtout pas laisser croire que les femmes soient quelque chose d'autre que de "victimes".![]()
À part le cas supposé de Amherst, y a t'il un autre exemple avéré d'une telle pratique?Kraepelin a écrit :Pour la contagion accidentelle, non! Mais, pour la contagion délibérée, planifiée, oui! Nos ancèstres ne connaissaient pas le vecteur "microscopique" de la maladie, mais ils savaient depuis longtemps que le contacte avec un malade, le vêtement ou la couverture souillée d'un malade pouvait transmettre la maladie. Il n'en faut pas plus pour démarrer une guerre bactériologique...
Pardalis a écrit :
À part le cas supposé de Amherst, y a t'il un autre exemple avéré d'une telle pratique?
Sinon faudrait peut-être penser donner un prix Nobel posthume à Jeffery Amherst pour sa découverte scientifique.
Le pouvoir destructeur de certaines maladies n'a pas échappé aux belligérants de toutes les époques. Certaines techniques simples sont les précurseurs de la guerre biologique :
Empoisonner un puits avec des charognes ou des excréments
Propulser des cadavres pestiférés dans une ville assiégée (En 1346, les Mongols vinrent à bout de la résistance du comptoir génois de Féodosia avec cette méthode)
Enduire les pointes des flèches au moyen d'excréments
Offrir des objets souillés par des malades à ses ennemis
En Chine, l'envoi de cadavres de pestiférés dans les villes assiégées constitua sans doute le premier exemple d'arme bactériologique, bien que personne ne sût à l'époque ce qu'était une bactérie. Durant l’Antiquité, Grecs, Romains et Perses utilisaient des cadavres d’animaux pour contaminer les sources et puits ennemis. WIKI
spin-up a écrit : C'est vrai que la persecution des hommes blancs par les femmes amérindiennes est une horreur de l'histoire qu'on a trop souvent tendance a oublier
On va regarder celà, mais déjà tu peux noter que les maladies, et bien sûr celles apportées par les blancs, ont réellement amoindries les tribus.
Certaines, comme les Mandans, nation redoutée et puissante, disparaissent quasiment lors de ces épidémies.
La comparaison avec d'autres continents. Les indiens, de manière générale, refusaient de travailler pour les blancs, depuis les premiers contacts.
Dans les antilles par exemple, les Caraïbes sont passés à la trappe en partie du fait de l'esclavage.
C'est d'ailleurs pour celà que les blancs feront venir des esclaves d'Afrique.
N'oublions pas non plus le phénomène "nouvelle nation".
Si anglais, français,espagnols, portugais, et dans une moindre mesure hollandais et allemands colonisaient à tout va, c'était essentiellement pour piller les ressources naturelles.
On pense bien sûr à l'or ou tout autre métal précieux, mais les épices constituaient aussi un moteur puissant, ainsi que d'autres matières (soie, etc..)
En amérique du Nord, le contexte est rapidement différent.
Pendant longtemps, disons pour simplifier jusqu'en 1803, les colons, désormais citoyens d'un monde nouveau depuis 1776, étaient cantonnés sur l'est du continent, et si certes les guerres avaient été violentes, elles étaient souvent du fait d'alliances : anglais contre français, anglais contre américains (pendant longtemps), et chaque nation blanche tentait d'attirer des tribus de son côté.
Il faut savoir qu'à ce jeu-là nous étions imbattables, et que c'est avec les français que les indiens signèrent le plus grand nombre de traités d'alliance.
Au début du 19è siècle, tout bascule... On ne cherche plus des fourrures dans le nord,ou de l'or dans le sud hispanique, les américains veulent de la terre.
Et là, problème, ces terres sont occupées.
En effet, on peut parler de génocide à partir de ce moment-là, même si avant tout n'était pas rose.
Déportations de nations entières, massacres, etc.. n'auront de cesse que lorsque les indiens seront soumis totalement.
Les américains firent preuve d'un acharnement incroyable, car toutes les terres conquises ne seront pas exploitées, mais elles devaient leur appartenir.
La destinée manifeste les soutenait.