Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Publié : 14 avr. 2020, 07:37
faut arretez la fumette et allez voter pour le partie patriote le plus a meme de le remporter. ça c'est du concret !
Débattons sans nous battre !
https://forum-sceptique.com/
Dash a écrit : 14 avr. 2020, 05:26
Parce que j'observe que certains ont une représentation biaisée du nombre de gens réellement conscient et engagé. Les cercles « d'engagés », « d'artistes » et autres « bobos » ou « de gauche » (non péjoratif dans cette phrase) donne l'impression, via leur présence publique, qu'une majorité agit alors que la grande majorité du peuple lambda sans bat les couilles en réalité, malgré ce que certains peuvent dire pour se donner bonnes consciences.
Parce que les parties ont le contrôle?Spartacus a écrit : 14 avr. 2020, 07:37 faut arretez la fumette et allez voter pour le partie patriote le plus a meme de le remporter. ça c'est du concret !
Oui c'est ça, et ma réponse était plus spécialement pour lePsychosophe. J'aimerai le voir lâcher un peu prise et reprendre un peu de sérénité parce qu'il est dans une phase qui m'inquiète.ABC a écrit :Mmm... C'est un point de vue....miraye a écrit : 07 avr. 2020, 10:24l'humain ne contrôle pas grand chose, l'accepter et s'accepter tel qu'on est me semble bien plus apaisant.
Tout à fait. C'est ce point là que j'ai développé.Dash a écrit : 14 avr. 2020, 05:26(C'est moi qui ai mis en gras.). Le problème, c’est que ce fameux « nous » n’existe pas.ABC a écrit : 10 avr. 2020, 19:24Nous ne contrôlons [...] puisque nous ne nous contrôlons pas [...] Nous sommes dans le déni de notre responsabilité [...] nous nous considérons parfois [...] c’est quand même bien nous qui provoquons [...] dont nous sommes la principale cause [...] dont nous sommes à l’origine
Ça peut effectivement nous aider à franchir ce pas difficile à condition de réaliser qu'il s'agit d'opportunités dont il faut parvenir à tirer le meilleur profit.Dash a écrit : 14 avr. 2020, 05:26Pour moi, le plus probable qui est susceptible de « rassembler » une certaine majorité dans un objectif commun, ce sont des catastrophes, désastres et cataclysmes d'envergure planétaire, où tous les pays et nations sont touchés simultanément, comme avec le présent COVID19
Penser que de tels évènements sont des opportunités à saisir pour tâcher d'éviter le pire, et en plus agir à son niveau individuel (comme tu le signales) là où on pense pouvoir apporter quelque chose dans une direction que l'on croit bénéfique, c'est déjà un premier pas très constructif. La peur de se tromper ou de faire des erreurs ne doit pas pour autant nous paralyser. Elle doit juste nous pousser à faire de "petites et moyennes choses" avec soin.Dash a écrit : 14 avr. 2020, 05:26Je n'arrive pas à entrevoir une autre possibilité avec le si peu de temps requis.
Je ne connaissais pas. L’on pourrait faire un parallèle (un peu moins « jolie et constructif ») avec la loto : bien que les chances de remporter le gros lot sont extrêmement minces, même en jouant toute sa vie, elles demeurent tout de même plus élevées que si l’on ne participe pas du tout!ABC a écrit : 16 avr. 2020, 08:47Ils sont très loin d'être négligeables (cf. la légende du colibri).
ABC a écrit : 16 avr. 2020, 08:47Ils sont très loin d'être négligeables (cf. la légende du colibri).
Pour le loto, cette faible probabilité est facile à démontrer (et elle devient encore beaucoup, beaucoup plus faible si on ne joue pas).Dash a écrit : 17 avr. 2020, 04:42La légende du colibri et jouer à la loterie ont quelque chose en commun en ce sens qu’ils impliquent tous les deux d’agir même si l’on sait les chances extrêmement minces d’aboutir au résultat escompté.
Ils sont fous ces Égyptiens et leur pyramides ! Ces Romains, leurs viaducs et et leurs via Romana ! Ces scientifiques et leurs recherches ! Bref, ces humains...Dash a écrit : 17 avr. 2020, 04:42Autrement dit, effectuer des efforts — répétés sur le long terme — quand l’objectif à atteindre ne nous concerne pas personnellement n’est pas une propension humaine « naturelle » et/ou très répandue.
Oui, mais, le contexte était totalement, mais totalement différent. À cette époque, quand t’étais pauvre et que « le roi » t’obligeait et/ou te donnait à bouffer pour « participer » à construire « son temple », ben que pouvais-tu faire d’autre dans la vie? Y avait-il vraiment une alternative?ABC a écrit : 19 avr. 2020, 13:12 Ils sont fous ces Égyptiens et leur pyramides ! Ces Romains, leurs viaducs et et leurs via Romana ! Ces scientifiques et leurs recherches !
Voilà! C’est bien la seule autre chose que nous pouvons faire : mettre la pression sur les gouvernements. Tu as raison sur ce point et j'suis d’accord. Par contre j’ai l’impression que l’on a atteint un plateau à ce sujet depuis quelques années. Le sujet est d’actualité et il y a toujours un segment « vert/environnement/climat » lors des débats/campagnes politiques.ABC a écrit : 19 avr. 2020, 13:12Ces mouvements d’opinion et initiatives modestes impactent les discours politiques. Le fait que ces discours ne soient pas systématiquement sincères n’élimine pas le fait que ces discours soient devenus politiquement rentables quand l’opinion est devenue sensible à un sujet donné.
Je sais pas. Pour certains trucs, oui, mais pour d’autres c’est aussi simplement une question d’intérêts. Il y a déjà, pas dans un éventuel proche futur, mais ici et maintenant, des gens qui crèvent de faim, qui sont sans abris, qui sont mal traités dans des centres pour personnes âgées, etc., et les gens ne font rien à moins d’être touché de près (un proche) par la situation.ABC a écrit : 19 avr. 2020, 13:12L’origine de ces blocages est, à mon avis,
- pour 50% dans nos doutes quant à la possibilité de de réussir,
- pour 50% dans notre difficulté à trouver une motivation et un plaisir à agir dans ce sens (plaisir source de motivation).
Du grand délireLePsychoSophe a écrit : 20 avr. 2020, 16:25 Le Québec à la fête. Un modèle d'agriculture sans tracteur, bio-intensive.
Essayer de réduire au maximum son impact carbone à échelle individuelle.Ensuite, mis à part être attentifs à notre consommation d’eau et d’électricité et préférer les transport en commun, que pouvons-nous faire de plus, en tant que simples citoyens?
Oui, mais pour moi c'était implicite! J'allais quand-même pas tout énumérer les petites actions qui contribuent.
Sauf que sans la nature (la biosphère) l'humanité meurent (enfin sauf si tu apellent vivre sous des bunker sous terre vivre). et préserver la nature est important parce que c'est elle qui regule le carbone et l'oxygène. et que une vie avec uniquement une nature utilitariste est non seulement extremement dangeureux (plus la nature est varié plus elle est resistante).Godfax a écrit : 21 avr. 2020, 22:59 Le problème de tout ce fil de discutions qui ce veut au combien bienveillant est qu’il est purement basé sur idéologie devenu l’alpha et l’oméga de la Vérité moderne; le malthusianisme écologique. Rappelons que ce beau modèle de société qui veux que l’humanité existe le moin possible n’est applicable qu’avec des mesures extrêmement autoritaires.
Or si on remet en question la base idéologique du discoure tout s’effondre, car ont parle bien ici d’une structure idéologique arbitraire et non d’une sorte de vérité révélé par la science…
Écologie politique = idéologie
Pour résumé; l’écologie est passer du domaine de la science(etude des écosystèmes sans l’homme) a la philosophie et est maintenant pour tout les ÉCOLOGISTE une sorte de Vérité sur la nature (métaphysique). Le nous vivons-dans-un-monde-finitisme. La biodiversité et l’équilibre seraient le BUT du vivant.
Cela est normal puisque l’atome de ce résonnement, ses plus petites briques, sont les espèces. Car vu sous le prisme de l’évolution darwinienne (avec la vision libérale d’individu) Ce sont les espèce qui sont la Nature, et la biodiversité y est vu comme une panacéeS; comme le BUT de la vie. Vu sous cette angle l’espece humaine est obligatoirement perçu comme une espèce nuisible; elle n’a pas d’écosystème, mais une technosphère évolutive qui c e perfectionne et s’adapte a tout les écosystèmes.
Mais c’est arbitraire de juger l’espèce humaine ainsi puisque la seul science qui l’appuis est l’écologie (l’étude des écosystème sans l’homme). Il y a quelques choses d’absurde dans tout ce résonnement car normalement la science ne juge pas; elle analyse.
Ne pas croire que l’humain est naturel, que notre civilisation n’est pas un pure fruit déterministe de la biosphère est une façon sophistiquer de croire a un libre-arbitre extrême de l’humanité qui par péché serais sortie des lois de la nature… pour faire contre-nature techno scientifique et blessé la terre…
La chute de la biodiversité, le réchauffement climatique et l’acidification des océans n’arrètera pas le progrès de la biosphère incarné dans la technosphère surtout si cette dernière maitrise la fusion nucléaire.
La biosphère sera parvenu a crée ses propres soleils.
Selon moi notre espèce n’est que le maillon d’une longue chaine mais elle tien pour un temps la noosphere, la civilisation industriel est l’organe le plus moderne de notre planête, une tentative créative pour la vie de continuer son aventure au delà des frontière de cette planète et peut-être même a la mort de notre étoile.
On doit remplacer l’écologisme par le biospherisme si on veut avoir le début d’optimisme culturel collectif apte a bâtir l’avenir.
"La biodiversité et l’équilibre seraient le BUT du vivant.". non mon chère. la biodiversité et surtout. SURTOUT. L'équilibre c'est bien le but du vivant. parce que sans équilibre tout s'effrondre. c'est important d'avoir une biosphère en equilibre et en bonne santé sinon on meurent aussi. et comme une vie sans nature est une vie au combiens triste (n'est ce pas messieur les transhumaniste). et bah la protéction de l'environement est une néscécité pour la survie de notre éspèce !!! parce que si tu vie que dans le prisme de "l'huamanité fait c'quelle veut". bah ça va pas marcher très longtemps.jeunehomme a écrit : 25 avr. 2020, 19:32Sauf que sans la nature (la biosphère) l'humanité meurent (enfin sauf si tu apellent vivre sous des bunker sous terre vivre). et préserver la nature est important parce que c'est elle qui regule le carbone et l'oxygène. et que une vie avec uniquement une nature utilitariste est non seulement extremement dangeureux (plus la nature est varié plus elle est resistante).Godfax a écrit : 21 avr. 2020, 22:59 Le problème de tout ce fil de discutions qui ce veut au combien bienveillant est qu’il est purement basé sur idéologie devenu l’alpha et l’oméga de la Vérité moderne; le malthusianisme écologique. Rappelons que ce beau modèle de société qui veux que l’humanité existe le moin possible n’est applicable qu’avec des mesures extrêmement autoritaires.
Or si on remet en question la base idéologique du discoure tout s’effondre, car ont parle bien ici d’une structure idéologique arbitraire et non d’une sorte de vérité révélé par la science…
Écologie politique = idéologie
Pour résumé; l’écologie est passer du domaine de la science(etude des écosystèmes sans l’homme) a la philosophie et est maintenant pour tout les ÉCOLOGISTE une sorte de Vérité sur la nature (métaphysique). Le nous vivons-dans-un-monde-finitisme. La biodiversité et l’équilibre seraient le BUT du vivant.
Cela est normal puisque l’atome de ce résonnement, ses plus petites briques, sont les espèces. Car vu sous le prisme de l’évolution darwinienne (avec la vision libérale d’individu) Ce sont les espèce qui sont la Nature, et la biodiversité y est vu comme une panacéeS; comme le BUT de la vie. Vu sous cette angle l’espece humaine est obligatoirement perçu comme une espèce nuisible; elle n’a pas d’écosystème, mais une technosphère évolutive qui c e perfectionne et s’adapte a tout les écosystèmes.
Mais c’est arbitraire de juger l’espèce humaine ainsi puisque la seul science qui l’appuis est l’écologie (l’étude des écosystème sans l’homme). Il y a quelques choses d’absurde dans tout ce résonnement car normalement la science ne juge pas; elle analyse.
Ne pas croire que l’humain est naturel, que notre civilisation n’est pas un pure fruit déterministe de la biosphère est une façon sophistiquer de croire a un libre-arbitre extrême de l’humanité qui par péché serais sortie des lois de la nature… pour faire contre-nature techno scientifique et blessé la terre…
La chute de la biodiversité, le réchauffement climatique et l’acidification des océans n’arrètera pas le progrès de la biosphère incarné dans la technosphère surtout si cette dernière maitrise la fusion nucléaire.
La biosphère sera parvenu a crée ses propres soleils.
Selon moi notre espèce n’est que le maillon d’une longue chaine mais elle tien pour un temps la noosphere, la civilisation industriel est l’organe le plus moderne de notre planête, une tentative créative pour la vie de continuer son aventure au delà des frontière de cette planète et peut-être même a la mort de notre étoile.
On doit remplacer l’écologisme par le biospherisme si on veut avoir le début d’optimisme culturel collectif apte a bâtir l’avenir.
et me sort pas du trans/post-humanisme a base de "on s'en fous d'avoir besoin de la nature si on est transfère notre corps dans des machines" parce que c'est débile.
bref l'ecologie C'EST important. parce que sans un ecosystème globale en bonne santé. on ne peut pas continuer a vivre parce que on en est dépendant
Ta naïveté ?Spartacus a écrit : 15 avr. 2020, 08:23
Vous me le dites si y a des choses que vous ne comprenez pas ?!
hooooo !!!...un macroniste !!!!MaisBienSur a écrit : 27 avr. 2020, 11:28Ta naïveté ?Spartacus a écrit : 15 avr. 2020, 08:23
Vous me le dites si y a des choses que vous ne comprenez pas ?!
Parce que imaginer que Macron est le problème des changements d'environnement global et que Lepen (quelque soit le membre de la famille...) est la solution mondiale (ou une solution tout court...), faut avoir un regard sur la politique niveau maternelle.
Hooo !!! ...un facho !
Je ne suis pas macroniste, mais je préfère ça que le premier mot qui me vient à l'esprit pour te qualifier...