Si vous vouliez savoir quels sont les motifs réels qui font que vous aimez, voire vous demander "est-ce vrai que je l'aime?", il faudrait vous poser des questions et non vous contenter de dire "je l'aime et ça me suffit". Si vous ne voulez pas réfléchir ça n'est pas un problème d'en rester au niveau du "ça vient du fond de moi" mais ça n'explique certainement pas grand-chose sur pourquoi vous l'aimez.Jodie a écrit : 07 juin 2024, 20:24Pensez-vous que je vais commencer à réfléchir pouquoi j'aime mon petit oiseau ou mon travail ou n'importe quoi d'autre ou que je vais penser : Ah ! J'aime mon époux parce que c'est une invention imaginaire de mon cerveau me venant de mes hormones et que j'ai des biais de ceci ou cela ?
Sinon, vous êtes caricaturale en essayant de faire croire que j'ai dit que votre mari était une "invention imaginaire". Je n'ai rien dit de tel.
Comment voulez-vous que quelqu'un puisse répondre à une question aussi floue et générale? Si je vous demande "pourquoi je ne retrouve pas le livre de Romain Gary qui était pourtant dans ma bibliothèque en janvier?", est-ce que vous pensez avoir les éléments nécessaires pour offrir LA seule réponse valable? Si non, ben, la réponse que vous allez offrir est celle qui vous parait la plus correcte. L'alternative est de ne rien dire.Vous disiez : ''...c'est votre cerveau qui produit cette impression de rencontre avec Bouddha.'' Là n'était pas la question. Ma question était de savoir d'où origine l'Information qui m'a amené à avoir cette perception avec laquelle mon cerveau a bricolé Bouddha ou le chien du voisin ?
Je n'en suis pas sûr, mais a) il est forcé que votre cerveau soit impliqué et b) c'est l'explication la plus parcimonieuse. Vous en avez une autre?Vous répondez une hallucination. Comment pouvez-vous en être sûre ?
C'est vrai que ça révèle des traits de personnalité. D'ailleurs, un exemple me vient spontanément en tête: une tendance à réagir vite parce qu'on pense avoir trouvé un contre-exemple qui va moucher un interlocuteur. On voyait ça régulièrement chez une ancienne participante. Quoique, chez elle, cette tendance était peut-être un contre-coup d'une commotion cérébrale consécutive à un accident avec un éléphant volant.la spontaniété permet aussi de voir certains aspects de la personnalité
Jean-François