Demandez à être "euthanasié" le cas échéant, vous aurez plus de chance de ne pas voir vos volontés contournées. Mais, je ne sais pas si c'est légal au Canada?mauricemaltais a écrit :[...] on va demander d'être heutaniser [...]
Jean-François
Qu'est-ce qui vous fait dire celà. Le centre de la douleur du cerveau (si ça existe) était-il détruit ?Jean-Francois a écrit :A mon avis, peu de chance qu'elle ait senti de la douleur lors de sa mort.
Jean-François
Faute avouée, à moitié pardonnéeDarthBug a écrit :... Et même la maladie la plus répandue offre des périodes de rémission :
la connerie.
(la preuve ici...)
Dans le rapport, il est mentionné une dégénescence importante du thalamus (ainsi que des connexions entre cortex et régions sous-corticales). Le thalamus est le seul relai (connu) des informations douloureuse vers les circuits corticaux (mal identifiés) qui permettent la conscientisation de la douleur. il semble aussi que certaines des structures du tronc cérébral qui semblent nécessaires à l'émergence de la conscience aient aussi été atteintes, bien qu'à un moindre niveau. Si c'est surtout la région occipitale du cortex télencéphalique qui était abîmée (elle a une fonction principalement visuelle), les régions pariéales (entre autres les zones somatosensorielles primaires) et frontale (zone motrice) l'étaient aussi.Invité a écrit :Qu'est-ce qui vous fait dire celà. Le centre de la douleur du cerveau (si ça existe) était-il détruit ?Jean-Francois a écrit :A mon avis, peu de chance qu'elle ait senti de la douleur lors de sa mort.
Denis a écrit : Salut ti-poil,
Plein de maladies accordent des périodes de relâche. Le sida, le cancer, l'insomnie, l'épilepsie, la cirrhose, les rhumatismes, la schizophrénie,... Pourquoi pas l'Alzheimer?
Denis
ti-poil a écrit : [
Encore une fois tes comparaisons sont boiteuses et n'explique en rien le *phenomene.
L'alzheimer fait reference a la memoire qui supposement est detruite.
Question? D'ou vient cette soudaine lucidite?
Ti-poil ne fait que propager avec crédulité ce qu'il a lu dans ce dumping massif d'yone, et dont il n'a évidemment rien vérifié. Moi, je suis sûr que cette histoire d'"Alzenheimer" (sic)* c'est de la pure foutaise et que le Dr. Morse serait incapable d'amener des preuves sérieuses de ses dires. Je me demande même s'il a fait autre chose que de noter des anecdotes, des on-dits entendus dans des hôpitaux.Florence a écrit :Question bien plus pertinente: pouvez-vous citer des cas dûment documentés ?
A mon avis, c'est moins la mémoire en tant que telle que la complexité des circuits corticaux. La grenouille n'est pas équipée pour manifester une conscience aussi poussée que l'humain. La "dimension psychologique" comprend la mémoire, mais elle est surtout assujetie à la conscience. Une forme de mémoire de la douleur peut être montrée chez la grenouille (une grenouille peut être dressée à éviter certains comportements qui résulteraient en une sensation douloureuse).DarthBug a écrit :Si nous sommes d'accord pour admettre que les circuits de la douleur obéissent tous aux même phénomènes physico-chimiques dans le monde du vivant, une notion supplémentaire est à ajouter dans le cas de l'humain : la mémoire
La douleur est quelque chose d'extrêment variable car ce n'est pas une sensation nette. D'autre part, elle dépend évidemment de ce qui a été atteint par la lésion (quelqu'un ayant subit une lésion complète de la moelle épinière au niveau thoracique sera totalement insensible* au niveau du corps situé en-dessous de la lésion). De la même manière, une lésion restreinte affectant uniquement des fibres nociceptives innervant une région précise du visage ou des centres thalamiques qui relaient l'information nociceptive au cortex, sera totalement insensible au stimulations douloureuses dans cette région (ce qui ne veut pas dire qu'il ne percevra rien). Enfin, le point le moins clair est encore quels circuits sont responsables de rendre la sensation douleureuse consciente.DarthBug a écrit :Considérant cela, comment peut-on parler de douleur pour une personne atteinte dans son intégrité cérébrale de la même manière que pour une personne (a priori) saine, fonctionnant normalement dans son environnement, comme (a priori encore) vous et moi ????
Je tiens à préciser que, dans le monde animal, ma chatte est une exception.difficile de savoir si une grenouille sait qu'elle à mal. Elle perçoit la douleur, c'est certain, mais je ne pense pas qu'elle sait qu'elle a mal (contrairement à un chat, par exemple destiné à titiller Denis).
Dommage. Peut-etre qu'elle aimerait ca.Denis a écrit :ma chatte est une exception <snip> elle ne sait pas ce qu'est la douleur. Même pas un tipeu.
Confirmer, ayant connue quelques chattes aimant c'la.groucho_max a écrit :Dommage. Peut-etre qu'elle aimerait ca.Denis a écrit :ma chatte est une exception <snip> elle ne sait pas ce qu'est la douleur. Même pas un tipeu.
groucho max
Bonjour finesse. Aller, un peu de poesie dans ce monde de brutes ti-poilues.ti-poil a écrit :Confirmer, ayant connue quelques chattes aimant c'la.groucho_max a écrit :Dommage. Peut-etre qu'elle aimerait ca.Denis a écrit :ma chatte est une exception <snip> elle ne sait pas ce qu'est la douleur. Même pas un tipeu.
groucho_max a écrit :Bonjour finesse. Aller, un peu de poesie dans ce monde de brutes ti-poilues.ti-poil a écrit :Confirmer, ayant connue quelques chattes aimant c'la.groucho_max a écrit : Dommage. Peut-etre qu'elle aimerait ca.
groucho max
Probablement pasDenis a écrit : Salut Herby,
Ton questionnement me rappelle un cartoon que j'ai lu récemment et que j'ai trouvé pas pire.
Un insecte philosophe déclare à un autre : « Je réagis aux stimuli extérieurs, donc je suis. »
Je ne sais pas si Descartes l'aurait trouvé amusant, ce cartoon.
Denis
Je pense qu'ils ne souffrent pas comme nous nous concevons la souffrance. Ils perçoivent définitivement la douleur* et réagissent de manière comportementale à celle-ci mais ne sont probablement pas en mesure de la ressentir consciemment comme nous le faisons. Les vers encore moins que les poissons.HerbeDeProvence a écrit :Voilà, d'un point de vue scientifique, à la pêche, est-ce que l'asticot que l'on empale sur l'hameçon souffre?
Exepté quand ils se piques eux-même avec leur ameçon.HerbeDeProvence a écrit :Merci d'avoir parlé de grenouilles et de chats : je n'osais pas poser ma question directement après le cas Terri Shiavo...
Voilà, d'un point de vue scientifique, à la pêche, est-ce que l'asticot que l'on empale sur l'hameçon souffre?
Idem pour cet idiot de poisson qui avale l'hameçon et que l'on est obligé de charcuter pour récupérer son matos: Est-ce que les poissons souffrent?
Bien sûr, tous les pêcheurs à qui j'ai posé cette question me répondent que non....
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