Stéphane: J'ai dit que la source de ces différences était en partie du génétique, en partie (majorité) de l'acquis -- tout en soulignant que l'ensemble de l'expérience humaine résulte toujours d'une combinaison des deux
Ghost. Bof, d'un réductionnisme décevant venant de votre part.
Moi je dis que la source de ces différences c'est:
1- En majorité de l'inné (génétique?, on n'en sait rien) et en minorité de l'acquis
ou
2- En minorité de l'inné et en majorité de l'acquis.
Ou encore:
3- Autant d'inné que d'acquis.
4- pratiquement que de l'inné et rien d'acquis.
5- Pratiquement que de l'acquis et rien d'inné.
Bref, pour la centième fois, les facultés d'acquérir sont proportionnelles au capital inné. Et, pour certaines aptitudes comme la créativité, les vertus ou l'amour, il n'y a, dans certains cas extrêmes, aucunement besoin d'acquérir quoi que ce soit. C'est l'inné qui s'exprime naturellement et qui permet aux autres d'acquérir.
Il en est ainsi pour tous les dons et toutes les aptitudes morales ou physiques. D'ailleurs, d'un point de vue purement logique et rationaliste, il n'y a aucune raison que ce postulat soit valable pour les aptitudes physiques et non valable pour les aptitudes morales, surtout si vous y mettez des gènes au milieu.
Je veux bien que nous ne soyons pas d'accord sur l'origine de ces aptitudes innées, mais que vous refusiez de voir leur qualité innée démontre en vous une étroitesse d'esprit qui apporte un sérieux discrédit à votre intelligence. Inutile d'aller encore me brouter qu'on ne peut mesurer la qualité d'une aptitude à la naissance. Certains ne seront jamais performants dans une discipline donnée même en travaillant d'arrache pied jours et nuits et pendant toute une vie! (vieux discours). Est-ce vraiment nécessaire de le déterminer à la naissance? Enfin, voyons, ne soyez pas ridicule!
Ghost