La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Ben alors Homère qu'est-ce qui vous fait croire, en dehors de vos observations empiriques, que le consommateur n'est pas rationnel. Saviez-vous que tout notre système économique repose sur cette théorie ?
En ce qui concerne le concept binaire dont vous parlez, si je vous comprends bien vous croyez que mon concept est uniquement l'interdépendance de deux éléments ? Précisez vous la dessus s.v.p parce-que je ne suis pas sûr de bien saisir à quoi vous faites allusion.
Je n'ai jamais dis que l'offre et la demande était interdépendant mutuellement . La seule interdépence qu'il y a c'est une interdépendance entre le prix et la demande. Un prix moins chère mène a une plus forte demande. Un prix plus chère diminue la demande. J'avais utilisé le prix fixe pour théoriser à titre démonstratif que lorsqu'un consommateur est place devant des choix biens claires en ce qui concerne les prix et qu'il peut perçevoir nettement son coût-bénéfice, il demeure essentiellement rationnel.
Je ne sais pas non plus à quoi vous faites allusion lorsque vous dites que je ne vous écoute pas. Peut-être faites vous allusion au fait que je n'ai pas commenté votre lien que vous m'avez soumis ? Si c'est le cas, j'en suis conscient mais je n'ai pas le temps de la vérifier pour l'instant. J'aurai plus de temps ce week-end pour ce faire et oui je le commenterai. Désolé si ça vous a insulté c'est uniquement une question d'agenda et non une volonté de me planter la tête dans le sable. Si j'avais voulu me convaincre que j'ai raison, je n'aurai pas partagé avec vous mes réflexions et intérogations.
Cordialement.
En ce qui concerne le concept binaire dont vous parlez, si je vous comprends bien vous croyez que mon concept est uniquement l'interdépendance de deux éléments ? Précisez vous la dessus s.v.p parce-que je ne suis pas sûr de bien saisir à quoi vous faites allusion.
Je n'ai jamais dis que l'offre et la demande était interdépendant mutuellement . La seule interdépence qu'il y a c'est une interdépendance entre le prix et la demande. Un prix moins chère mène a une plus forte demande. Un prix plus chère diminue la demande. J'avais utilisé le prix fixe pour théoriser à titre démonstratif que lorsqu'un consommateur est place devant des choix biens claires en ce qui concerne les prix et qu'il peut perçevoir nettement son coût-bénéfice, il demeure essentiellement rationnel.
Je ne sais pas non plus à quoi vous faites allusion lorsque vous dites que je ne vous écoute pas. Peut-être faites vous allusion au fait que je n'ai pas commenté votre lien que vous m'avez soumis ? Si c'est le cas, j'en suis conscient mais je n'ai pas le temps de la vérifier pour l'instant. J'aurai plus de temps ce week-end pour ce faire et oui je le commenterai. Désolé si ça vous a insulté c'est uniquement une question d'agenda et non une volonté de me planter la tête dans le sable. Si j'avais voulu me convaincre que j'ai raison, je n'aurai pas partagé avec vous mes réflexions et intérogations.
Cordialement.
Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Bonjour Baron693,
2/ Et donc une expérience de vente de limonades par à une belle fille incompétente chez des étudiants va contredire des allégations (sur facebook! je rappelle) quant à la comptabilité florissante d'un commerce. Celle-ci imputé à l'embauche d'une belle fille.
Etes-vous réellement sérieux?
Si vous aviez pris le temps et la peine de vous renseigner sur les principes que je vous cite plus haut, vous auriez évité ce nouveau faux pas. Qu'en dites-vous?
Je suis tout à fait prêt à humblement reconnaitre en savoir moins que vous sur bien des points en économie, mais en vous lisant, un soupçon de doute me titille quand même un peu.
Petite question: allez-vous dans peu de temps jalouser la recompense récente d'Elinor Ostrom?
J'avais apprécié la qualité de votre enquête sur les fantômes, sérieuse et rationnelle. Mais ici, entre une expérience bancale, des exemples tirés par les cheveux (même pas des cas d'école) et une tendance à esquiver tout ce qui risquerait de vous faire réfléchir sur votre position, je ne suis pas certain de comprendre votre entêtement.
Homère
Baron693 a écrit : 6) Les consommateurs sont largement rationnels.
1/ Sont-ils largement (cf mon lien que vous esquivez) ou relativement rationnels (cf ma question que vous esquivez)?Baron693 a écrit : Pour lui démontrer que les consomateurs étaient relativement rationnel je lui ai proposé une petite expérimentation :
2/ Et donc une expérience de vente de limonades par à une belle fille incompétente chez des étudiants va contredire des allégations (sur facebook! je rappelle) quant à la comptabilité florissante d'un commerce. Celle-ci imputé à l'embauche d'une belle fille.
Etes-vous réellement sérieux?
Amen.Baron693 a écrit :Saviez-vous que tout notre système économique repose sur cette théorie ?
Est-ce une autre certitude? Allez-vous fermement défendre cette affirmation au nom d'une grande théorie économique et me rappeler à l'ordre?Baron693 a écrit : Un prix moins chère mène a une plus forte demande. Un prix plus chère diminue la demande.
Si vous aviez pris le temps et la peine de vous renseigner sur les principes que je vous cite plus haut, vous auriez évité ce nouveau faux pas. Qu'en dites-vous?
Je suis tout à fait prêt à humblement reconnaitre en savoir moins que vous sur bien des points en économie, mais en vous lisant, un soupçon de doute me titille quand même un peu.
Et hop, vous "théorisez".. Y en a un sur ce forum qui théorise sur la physique fondamentale sans rien y connaitre. On en a un maintenant qui va nous pondre des théories économiques avec des expériences dans le business de la limonade et en lançant des affirmations tristement discutables.Baron693 a écrit :J'avais utilisé le prix fixe pour théoriser
Petite question: allez-vous dans peu de temps jalouser la recompense récente d'Elinor Ostrom?
J'avais apprécié la qualité de votre enquête sur les fantômes, sérieuse et rationnelle. Mais ici, entre une expérience bancale, des exemples tirés par les cheveux (même pas des cas d'école) et une tendance à esquiver tout ce qui risquerait de vous faire réfléchir sur votre position, je ne suis pas certain de comprendre votre entêtement.
Homère

Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Vous beurrez épais je trouve et j'ai de la misère à voir ce qui justifie cet emportement.Homère a écrit : Et hop, vous "théorisez".. Y en a un sur ce forum qui théorise sur la physique fondamentale sans rien y connaitre. On en a un maintenant qui va nous pondre des théories économiques avec des expériences dans le business de la limonade et en lançant des affirmations tristement discutables.
Je suis habitué à une approche plus rationnelle ici... Où sont les arguments, les démonstrations, les preuves, les faits?
Envoyé de mon iMac ou de mon MacBook ou de mon iPad ou de mon iPhone
Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Bonjour DanB,
A un moment donné, il faut arrêter d'esquiver. Technique populaire sur ce forum. Si Baron693 veut que je revienne sur cet ajout inutile que vous dénoncez, ce que je ferai, qu'il réponde aux questions.
Ensuite arriver avec une expérience qui ne démontrera pas grand chose (du tout?) pour convaincre quelqu'un de pas forcemment mieux informé, bof.
Si vous souhaitez un éclaircissement sur un point que j'ai abordé, n'hésitez pas à demander. Simplement cette conversation part un peu dans tous les sens. Les théories économiques et financières du bistrot, non merci.
J'ai un peu de temps en ce moment, alors je participe un peu plus activement au forum. On trouve un peu de tout le monde ici, des statisticiens, des neurologues, historiens, biologistes etc... Mon domaine de compétence(non ce n'est pas l'économie), c'est la finance et plus précisement l'établissement des prix. Et je reconnais humblement ne pas avoir beaucoup de connaissances hors de ma shpère, hélas. Mon métier c'est de comprendre ces mécanismes.. j'ai même intérêt. Je n'oserai pas en faire un argument d'autorité mais me jeter des scénarios incohérents et simplistes avec des 10$ - 1$ "à l'arrache", ça marche pas. Si Baron693 veut réellement échanger et comprendre aussi, il va devoir admettre que son expérimentation ne servira probablement à rien, qu'il focalise plutôt là-dessus. S'il (ou vous) souhaite discuter sur une idée plus flexible et relative de la rationalité du consommateur (ce que j'ai tenté en posant la question et à travers un très bref point de vue*), il est la bienvenue.
*Peut être développé
Suis-je plus tempéré maintenant?
Homère
Je ne souhaitais pas donner une impression d'emportement. Bon, je me suis manqué sur ce coup.DanB a écrit : Vous beurrez épais je trouve et j'ai de la misère à voir ce qui justifie cet emportement.

A un moment donné, il faut arrêter d'esquiver. Technique populaire sur ce forum. Si Baron693 veut que je revienne sur cet ajout inutile que vous dénoncez, ce que je ferai, qu'il réponde aux questions.
A la base la charge de la preuve revient à cette personne affirmant à Baron693 qu'une belle vendeuse incompétente serait capable de doubler un chiffre d'affaire, non? Ce que j'en dis, c'est qu'en l'état, je ne suis pas certain que ce soit possible de prouver quoi que ce soit.DanB a écrit :Je suis habitué à une approche plus rationnelle ici... Où sont les arguments, les démonstrations, les preuves, les faits?
Ensuite arriver avec une expérience qui ne démontrera pas grand chose (du tout?) pour convaincre quelqu'un de pas forcemment mieux informé, bof.
Si vous souhaitez un éclaircissement sur un point que j'ai abordé, n'hésitez pas à demander. Simplement cette conversation part un peu dans tous les sens. Les théories économiques et financières du bistrot, non merci.
J'ai un peu de temps en ce moment, alors je participe un peu plus activement au forum. On trouve un peu de tout le monde ici, des statisticiens, des neurologues, historiens, biologistes etc... Mon domaine de compétence(non ce n'est pas l'économie), c'est la finance et plus précisement l'établissement des prix. Et je reconnais humblement ne pas avoir beaucoup de connaissances hors de ma shpère, hélas. Mon métier c'est de comprendre ces mécanismes.. j'ai même intérêt. Je n'oserai pas en faire un argument d'autorité mais me jeter des scénarios incohérents et simplistes avec des 10$ - 1$ "à l'arrache", ça marche pas. Si Baron693 veut réellement échanger et comprendre aussi, il va devoir admettre que son expérimentation ne servira probablement à rien, qu'il focalise plutôt là-dessus. S'il (ou vous) souhaite discuter sur une idée plus flexible et relative de la rationalité du consommateur (ce que j'ai tenté en posant la question et à travers un très bref point de vue*), il est la bienvenue.
*Peut être développé
Suis-je plus tempéré maintenant?

Homère
Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Ce que Baron dit c'est que la "beauté" de la vendeuse, à un titre équivalent au prix du bien, intervient dans le choix "rationnel" du consommateur.
En equation ca donnerai Demande( du bien)=1/Prix(du bien) +Beauté-de-la-vendeuse(du bien)
Bien évidemment c'est sans doute juste. Mais justement cette pirouette est l'aveu que Baron considère le consommateur comme non-rationnelle .. et même pas à "rationnel limité".
Parce que si le consommateur est influé par la beauté de la vendeuse , il l'est aussi , par le temps qu'il fait, la couleur des murs, l'état de son estomac, etc.
C'est justement si le consommateur n'est plus décidé par des critéres objectifs -prix et qualités d'un bien- mais par des critères subjectif -la beauté est assez subjective- que l'on peut le définir comme non-rationnel.
La théorie de la rationnalité du consommateur est un outil théorique, une approximation qui permet de comprendre et de prévoir a peu pres correctement une situation économique.
Je penses que les économistes savent pertinement que ni le consommateur, ni le producteur ne sont rationnels. Mais les économistes estiment (à tord ou a raison) que la part d'irrationnel peut etre négligé globalement quand on parle de 500 millions de consommateur. Et c'est le comportement de 500 millions de consommateur qui interresse l'économiste.
La microéconomie n'interresse ,par contre, aucune entreprises sérieuses, qui , elles, préferont le marketing et l'exploitation de l'irrationalité.
En equation ca donnerai Demande( du bien)=1/Prix(du bien) +Beauté-de-la-vendeuse(du bien)
Bien évidemment c'est sans doute juste. Mais justement cette pirouette est l'aveu que Baron considère le consommateur comme non-rationnelle .. et même pas à "rationnel limité".
Parce que si le consommateur est influé par la beauté de la vendeuse , il l'est aussi , par le temps qu'il fait, la couleur des murs, l'état de son estomac, etc.
C'est justement si le consommateur n'est plus décidé par des critéres objectifs -prix et qualités d'un bien- mais par des critères subjectif -la beauté est assez subjective- que l'on peut le définir comme non-rationnel.
La théorie de la rationnalité du consommateur est un outil théorique, une approximation qui permet de comprendre et de prévoir a peu pres correctement une situation économique.
Je penses que les économistes savent pertinement que ni le consommateur, ni le producteur ne sont rationnels. Mais les économistes estiment (à tord ou a raison) que la part d'irrationnel peut etre négligé globalement quand on parle de 500 millions de consommateur. Et c'est le comportement de 500 millions de consommateur qui interresse l'économiste.
La microéconomie n'interresse ,par contre, aucune entreprises sérieuses, qui , elles, préferont le marketing et l'exploitation de l'irrationalité.
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"Ne pas juger un homme à ses fréquentations: Judas en avait de très bonnes" J.L.Borges
"Ne pas juger un homme à ses fréquentations: Judas en avait de très bonnes" J.L.Borges
Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Si vous voulez me faire dire que l'incompétence est "compensable" par la beauté, ne comptez pas sur moi...Baron693 a écrit :Je suis tout à fait d'accord avec vous Lancelot, le commerce devrait mettre toutes les chances de son côté, mais si cette belle est incompétante et inefficace, vous ne croyez pas qu'elle pourrait mettre en péril les ventes d'un commerce ? Tels qu'exprimé dans mon expérimentation ?

Il est clair que la plus belle fille du monde qui vous accueil par un "caisse tu veux connard" ne vous vendra pas grand chose... Notez ici que son langage vulgaire est laid, ce qui rejoins notre sujet... Bin, je plaisante un peu, là...

Le problème est que vous ne comparez pas deux choses comparables : vous comparez une fille belle Et incompétente à une fille laide... point. Or, cette fille laide peut être AUSSI incompétente... Auquel cas, malheureusement, la fille belle, à niveau de compétence égal avec la fille laide, à une (toute petite) chance de vendre un tout petit peu plus, et vous le savez parfaitement : si le mec (ou la fille, je ne fait pas d'ostracisme) "flash" sur elle, il fera l'achat peut être rien que pour tenter de la séduire, cas de figure beaucoup plus rare, vous ne me démentirez pas, si la fille est laide...
J'entends bien.. Il n'y a pas de non-client "absolument" absolu... Mais vous restez à un niveau "micro-économique" : vous avez dèja vu des pubs où la cible est "le manchot qui veut acheter une raquette à son fils" ? Non. Tout simplement parce que le coût de la campagne ne serai JAMAIS amorti par les ventes de raquettes aux manchots. Nous sommes ici dans un monde "économique" : ça ne rapporte pas ? ça n'existe pas...Homère a écrit :Certainement pas. Et si le fils ou la fille du manchot joue au Tennis? Il est certes manchot, mais c'est lui qui a le porte-monnaie dans la poche .lancelot a écrit : Par exemple, pour une raquette de tennis, un manchot est classé en "non-client absolu".

J'en dis qu'en tant que fumeur, puisque vous voulez rester au plan micro économique, lorsque j'habitai à Grenoble, je payai mes cloppes le même prix, que ce soit au bureau de tabac A ou le bureau de tabac B, qui était "un poil" plus loin... Oui, mais, chez "A", c'était un gros beauf moustachu raciste de surcroit...Chez "B", le magasin était tenu par un couple de lesbienne mignonnes et adorables, et vous savez quoi ? Moi, la grosse feignasse qui rechigne à faire 100 mètres de trop, j'ai pris l'habitude, SANS MEME y penser, d'aller chez mes petites lesbiennes souriantes... J'allais à MON bureau de tabac..; Faut être con, hein ? Faire 200 mètres de plus et perdre du temps pour acheter le même produit au même prix... C'était devenu, au bout de quelques mois, "normal" : j'allais "chez elles"... et chez gros beauf quand je ne pouvais pas faire autrement.Homère a écrit :C'est pas comme ça que je définirais un client captif. Un fumeur peut changer de bureau de Tabac et/ou de marque de cigarette. Qu'en dites-vous?lancelot a écrit : Un fumeur de cloppe sera un "client captif". Voyez ?
Maintenant, j'ai déménagé. Tout cela a ses limites : j'ai trouvé un buraliste super sympa, rigolo, et toujours enjoué, j'y vais quand j'ai le temps, le choix, l'occasion... mais pas régulièrement : il est à trois bornes, alors que le bureau de tabac de mon village est à 200 mètres, et tant pis s'ils sont aussi agréables que des portes de prisons. Cela me rappelle cette forte pensée de Marcel Bleustein-Blanchet (Publicis) : "un magasin qui réussi, c'est trois choses : 1 - un bon emplacement ; 2- un bon emplacement ; 3- un bon emplacement".
Auriez-vous la gentillesse d'étayer votre "cas 2 non" ? J'ai travaillé en grande distribution, comme chef de département... Je peux vous assurer qu'un "beau" rayon de gâteaux, propre, bien tenu, agréable à voir, vend plus qu'un rayon sale et peu agréable à voir. Je ne parle pas ici des rupture de stock, des étiquettes absentes, d'un rayon "illisible" (car les rayons ont leur lisibilité, je peux vous en parler si vous souhaitez); Je parle d'un rayon où le produit est bien à la place où il doit être, mais mal empilé, de travers, des étagéres sales, ce genre de choses. Croyez moi, j'ai eu les chiffres en main (et les chiffres de vente, on les a AU JOUR LE JOUR, RAYON PAR RAYON). Un "beau" rayon vend plus... car il déclenche les achats d'impulsion.Homère a écrit :Cas 1 oui ; cas 2 non.lancelot a écrit :Donc :
cas 1 (achat de nécessité) : belle ou moche, il y a vente ;
cas 2 (achat d'impulsion) : belle, il y a vente, moche, y'a pas.
Homère
Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Bonjour,
Il y a un sondage que j'ai vu dans fhm je crois sur la beauté et le fait qu'on sorte ou non avec quelqu'un. En fait la beauté n'était pas un critère déterminant. C'est à dire que ça pouvait jouer pour 10 à 15% des personnes mais globalement je résume ainsi (c'est de mémoire interprété et déformé) :
S'il y a une opportunité le garçon ira quelle que soit la beauté de la fille.
Si le garçon a du charme la fille ira quelle que soit la beauté du garçon.
Sinon, si vous vous intéressez aux techniques psychologiques utilisables dans la vente, vous pouvez écouter ceci :
http://www.zetetique.fr/index.php/media ... o-beauvois
A+
Il y a un sondage que j'ai vu dans fhm je crois sur la beauté et le fait qu'on sorte ou non avec quelqu'un. En fait la beauté n'était pas un critère déterminant. C'est à dire que ça pouvait jouer pour 10 à 15% des personnes mais globalement je résume ainsi (c'est de mémoire interprété et déformé) :
S'il y a une opportunité le garçon ira quelle que soit la beauté de la fille.
Si le garçon a du charme la fille ira quelle que soit la beauté du garçon.
Sinon, si vous vous intéressez aux techniques psychologiques utilisables dans la vente, vous pouvez écouter ceci :
http://www.zetetique.fr/index.php/media ... o-beauvois
A+
Combien d'entre vous croient en la télékinésie ? Levez ma main...
Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Chuck Norris autorise à survivre.
Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Chuck Norris autorise à survivre.
Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Homère j'ai été grandement froissé par l'un de vos messages...Le fait que vous me comparez à Gatti est vraiment de bas étage. De plys,qualifier mon expérimentation de science de bistro sans que vous ne proposiez quoi que ce soit en échange relève de la méprise et de l'arrogance nette. Qu'est-ce que je vous ai fait à vous ? Vous ne faites que me renverser la charge de la preuve alors que je n'ai jamais prétendu en arrivant ici que mon expérimentation prouvait hors de tout doute que les consommateurs sont largement rationnnels. À quoi vous vous attendiez, à ce que je vous présente une thèse de doctorat peut-être ? D'ailleurs je ne vois pas ce que j'esquive. Je crois que c'est plutôt vous esquivez mes questions en ne répondant pas à mes question et mes demandes d'éclaircissement.
J'ai lu votre texte avec le taux d'endettement des consommateurs, eh bien oui, croyez-vous que je n'étais pas au fait de ce phénomène. Cependant, la marge de crédit accordé à un consommateur n'est nullement en lien avec le choix rationnel ou non d'un consommateur. L'argent plastique qui est à la disposition d'un consomateur n'interfère pas avec le produit que ce dernier choisira.
En fait, je vous soupçonne de rien comprendre à mon raisonement. Ce que j'affirme c'est que le choix économique lié à la beauté d'un consomateur sous un angle coût-bénéfice est calculé dans les bénéfices. En ce sens, Olii semble m'avoir bien compris. Cependant, je n'avais pas l'impression de faire une pirouette, parce-que je ne considerai pas seulement les économies dans le calcul du bénéfice des consomateurs.
En ce sens, si on calcul le coût-bénéfice en terme de travail ça sera comme ça :
Travail = (Bénéfice du travail) Salaire - (coût du travail) efforts + perte de temps libre et loisir = choix de travailler ou non.
Ainsi, il ne faut pas voir le choix rationnel comme la rationnalité qui s'impose dans le monde scientifique, mais bien voir le choix rationnel comme le calcul entre le coût et le bénéfice qui est présent dans la réalité concrète du consomateur.
J'ai lu votre texte avec le taux d'endettement des consommateurs, eh bien oui, croyez-vous que je n'étais pas au fait de ce phénomène. Cependant, la marge de crédit accordé à un consommateur n'est nullement en lien avec le choix rationnel ou non d'un consommateur. L'argent plastique qui est à la disposition d'un consomateur n'interfère pas avec le produit que ce dernier choisira.
En fait, je vous soupçonne de rien comprendre à mon raisonement. Ce que j'affirme c'est que le choix économique lié à la beauté d'un consomateur sous un angle coût-bénéfice est calculé dans les bénéfices. En ce sens, Olii semble m'avoir bien compris. Cependant, je n'avais pas l'impression de faire une pirouette, parce-que je ne considerai pas seulement les économies dans le calcul du bénéfice des consomateurs.
En ce sens, si on calcul le coût-bénéfice en terme de travail ça sera comme ça :
Travail = (Bénéfice du travail) Salaire - (coût du travail) efforts + perte de temps libre et loisir = choix de travailler ou non.
Ainsi, il ne faut pas voir le choix rationnel comme la rationnalité qui s'impose dans le monde scientifique, mais bien voir le choix rationnel comme le calcul entre le coût et le bénéfice qui est présent dans la réalité concrète du consomateur.
Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Bonjour Baron693,
Bonjour Lancelot,
Bonjour ooli,
Homère
Votre expérience ne prouvera rien du tout. Vous souhaitez vraiment donner de la répartie à cette personne et ses allégations? Et bien prenez-le en défaut sur des arguments réels. Je veux bien vous aider. Dites-moi ce que le commerce vend, où, quand ; combien d'employés ; gros business international/petit commerce de quartier? Quels chiffres annoncent-ils, quelles années? Sont-ils côtés en bourse, a-t-on des précisions aussi sur l'embauche de cette jolie fille, des dates aussi peut-être? Remplace-t-elle quelqu'un, des détails sur ce quelqu'un (une fille moche peut-être...?) etc... Au plus d'informations vous m'apportez, plus précise sera la réponse, ou plutôt la réalité de la difficulté de mesurer son argument. Qu'en dites-vous? Au moins vous opposerez des données réelles contre de simples opinions probablement pas ou peu fondées.Baron693 a écrit : je n'ai jamais prétendu en arrivant ici que mon expérimentation prouvait hors de tout doute que les consommateurs sont largement rationnnels.
Bonjour Lancelot,
La vendeuse a-t-elle vraiment besoin d'être belle pour vendre? Si j'ai un soudain coup de coeur pour une paire de chaussures, même avec un vendeur vieux, barbu et distant, il a quand même de grandes chances que je lui achète les chaussures.lancelot a écrit :Auriez-vous la gentillesse d'étayer votre "cas 2 non" ?
cas 2 (achat d'impulsion) : belle, il y a vente, moche, y'a pas.
Bonjour ooli,
Pas vraiment puisque le marketing s'insère très bien dans la microéconomie.ooli a écrit :La microéconomie n'interresse ,par contre, aucune entreprises sérieuses, qui , elles, préferont le marketing et l'exploitation de l'irrationalité.
Homère

Re: La beauté à l'encontre du postulat du cosommateur rationnel
Bonjour,
Bien que non spécialiste, je pense que vu les divergences de vue, vous pourriez commencer un redico.
A+
Bien que non spécialiste, je pense que vu les divergences de vue, vous pourriez commencer un redico.
A+
Combien d'entre vous croient en la télékinésie ? Levez ma main...
Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Chuck Norris autorise à survivre.
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